Et puis la routine s’est très vite installée, j’ai emménagé chez lui quelques jours après sa demande et je suis alors devenu son esclave, son larbin et assez rapidement ses latrines. Il m’a alors demandé d’arrêter de travailler au bar où j’allais chaque soir et de me consacrer entièrement à lui. Par conséquent j’ai obéi à tout ce qu’il souhaitait. Et puis, j’étais tellement heureux d’être à lui, j’étais tellement fier d’être à son bras dans la rue ou dans les lieux publics. Je le trouvais simplement beau et attirant, tout me plaisait chez lui.
Une routine bien excitante s’est alors mise en place. Le matin, je me lève pour lui préparer son petit déjeuner, il vide sa vessie dans ma bouche et je vis un bonheur chaque matin de devoir avaler toute la pisse souvent puante de mon Maitre. Il prend ensuite son petit déjeuner et bien souvent, je passe mon temps à le dévorer des yeux. Il s’habille puis part enregistrer son émission. Dès son départ, je réalisais mon emploi du temps hebdomadaire de tâches ménagères : cuisine, vaisselle, ménage, lavage, repassage. Son appartement était assez grand pour que j’y passe un temps certain. Il rentrait ensuite entre 15h et 16h à l’appartement et je devais l’attendre totalement vidé pour obéir à tous ses fantasmes les plus tordus. Au début de notre relation, chaque fois qu’il rentrait, on passait des heures au lit. Il me dominait, il me baisait par tous les trous, dans tous les sens et dans tous les recoins de l’appartement.
Lors de notre premier anniversaire, notre relation a changé et s’est encore intensifiée. Avant ce premier anniversaire, je préparais chaque soir un repas pour deux. Mais ce soir-là, il m’a demandé de préparer un repas pour une seule personne et d’installer deux assiettes à table. Je me demandais bien ce qui m’attendait. Il m’a bandé les yeux et m’a laissé sans un mot à table devant mon assiette vide. Je l’ai alors entendu se saisir de mon assiette, il est allé dans une autre pièce avant de revenir avec une assiette pleine.
« D’abord, tu vas sentir, ensuite tu pourras retirer ton bandeau »
Dès que j’ai eu l’assiette sous le nez, j’ai reconnu clairement l’odeur de la merde. Une odeur qui était atroce à mes yeux. Certes, dans notre relation, j’avais du parfois récurer quelques petites traces de merde laissées par son immense queue dans mon fondement. Je le faisais à contre-cœur mais je le faisais car je savais que c’était ma place. Mais ce soir-là, je suis tombé des nus. Il m’a alors retiré le bandeau et j’ai vu son énorme merde qui s’était brisée en deux dans une assiette. J’avais placé une fourchette et un couteau.
« Désormais, chaque soir, tu auras ma merde à avaler. Et tu devras être heureux d’avaler cette grosse merde puante. Tu n’es bon qu’à cela. Joyeux premier anniversaire mon Prince. »
Les premières fois, j’ai pleuré et j’ai mis du temps avant de pouvoir avaler. Il faut dire que vu le gabarit de mon Maître et ce qu’il s’enfile comme nourriture chaque jour, ses merdes sont des monuments. C’est une nouvelle habitude, qui sera, je l’avoue, la plus compliquée à adopter au quotidien. Mais je m’y pliais car cela lui plaisait, car cela le rendait fier de moi lorsque je terminais l’assiette. J’avais droit à de l’eau ou à du vin pour accompagner. Mais je me faisais plaisir le midi, je prenais un repas bien consistant, plusieurs desserts pour pouvoir tenir toute la journée. Je me maintenais en forme en faisant également une heure d’exercices par jour. Mon Maître me voulait ferme, musclé et en excellente condition physique. Je lui dois mon corps d’éphèbe. Allègrement.
Ce premier soir, j’ai pris quelques bouchées de sa merde, j’ai pu en avaler deux ou trois seulement. Lui était face à moi, à dévorer le bon repas que je lui avais préparé. Sa merde avait un goût tellement âcre, je me dégoutais de faire ça. J’ai chialé comme pas possible en amenant ma fourchette plusieurs fois dans ma bouche. Je touchais la merde de mon mec avec ma fourchette, un peu comme un bébé va faire la bouillie avec ses petits poids ou ses épinards. Je lui en voulais de m’imposer ça, mais je sais qu’il voulait me rendre plus fort. Mon Maitre, ce n’est pas du genre bouquet de fleur et gâteau, c’était désormais indéniable. Il avait fini son assiette et il me regardait en se marrant. Il a pris son assiette, ses couverts, son verre, il est venu à côté de moi en me disant « Tu y arriveras à la longue. » et il est allé à la cuisine poser tout ça dans l’évier. En revenant, il m’a dit « Tu as terminé ? Car tu n’auras rien d’autre à manger ce soir. », j’ai opiné de la tête. Je n’en pouvais plus. C’est lui qui a porté mon assiette à la cuisine et quand il est revenu, il s’est mis face à moi.
« Ce n’est pas la seule surprise du jour. Pour notre anniversaire, je t’offre un vraie bite noire » me lança-t-il. Il a fait défiler différentes photos sur son smartphone. Des photos avec une grosse bite noire épaisse charnue qui me donnait envie de me soumettre immédiatement. Et puis il m’a regardé dans les yeux et il m’a annoncé les chiffres : 24cm de longueur pour 6 de largeur. À partir de cet instant j’ai eu plus qu’une seule envie : sucer et me faire pénétrer par cette grosse bite black. Mon Maître savait que c’était l’un de mes plus grands fantasmes. Je n’ai jamais eu l’occasion de me taper un black et mon Maître en a trouvé un dans toute sa splendeur : avec un gourdin entre les cuisses. Son sosie de queue couleur ébène.
Je devrais l’appeler Monsieur Farid. Il était boxeur professionnel et de passage à Paris pour une compétition. Il était prévu qu’il passe après son échauffement du soir, vers 23h. Mon mec m’a demandé d’aller me nettoyer correctement la bouche, de me refaire un lavement bien profond avant d’accueillir notre boxeur. J’étais excité comme une pucelle. Je me suis mis en jock et j’ai attendu aux pieds de mon Maître qui s’était lancé un film dans sa salle. Une sonnerie sur son portable a retenti, Monsieur Farid était en bas de l’immeuble, mon Maître est allé le chercher et ils sont donc rentrés les deux dans l’appartement, je les attendais juste en face, à genoux, soumis.
« Tu veux boire un truc ? »
« Ouais, je veux bien un truc frais » lança Monsieur Farid. Je le détaillais du regard, il portait un débardeur blanc trempé sous les aisselles, un short noir et des chaussettes Adidas. Il avait retiré ses TN à l’entrée de l’appartement.
« Sous merde, arrête de rêver et vas chercher deux verres et la bouteille de Coca » me réveilla mon Maître. Je m’exécutai et leur apportai la boisson, ils se sont installés sur le canapé. Je me lovai devant mon Maître pour lui caresser ses pieds nus.
« Occupe-toi de notre invité plutôt. Masses ses pieds endoloris par son entraînement. Putain, il faut tout te dire. » me dit-il. Je me positionnai devant lui pour masser ses pieds. Enfin ses chaussettes qui n’en étaient pas à leur premier jour. Je pris sa grande pointure entre mes mains pour le masser, il semblait apprécier le traitement. Les deux mâles discutaient tranquillement, j’écoutais, ça m’excitait un max. Dire que je vais bientôt avoir accès à ces deux queues.
« Il a l’air d’avoir une bonne paire de couilles ton esclave. Tu le ballbuste parfois ? »
« Le quoi ? »
« Le ball-busting, c’est une technique qui consiste à bien exploser les couilles de son esclave. Coups de poing, de pieds, écrasement, histoire de bien le faire couiner. »
« Ah non je ne fais pas ça avec lui mais ça peut être intéressant à voir. Ce soir, lors du repas, il m’a déçu. Je pense qu’il a bien mérité quelques coups de poing dans les couilles, t’en dis quoi ? »
« Ah moi je veux bien te montrer mais il risque de souffrir un peu, je sors de l’entraînement et j’ai frappé comme un fou ce soir, je vais lui défoncer les couilles à ton esclave »
J’ai avalé ma salive de manière bruyante, ils me faisaient peur ces deux-là finalement.
« J’te propose de te limiter à 100 coups. Je le tiendrai fort. S’il chiale, ne t’en fais pas, je le consolerai quand tu seras parti. Il a bien mérité ça pour notre premier anniversaire. »
J’ai alors tenté de m’échapper mais mon Maître m’a choppé par les cheveux pour me retirer de force mon jock. Je n’ai pas résisté, je savais que je ne faisais pas le poids. Il m’a positionné à 4 pattes, couilles bien pendantes. Il est venu s’assoir sur ma nuque pour me bloquer, il a saisi mes cuisses pour bien les écarter. Monsieur Farid s’est installé assis derrière moi, les jambes croisées. Il a fait un compliment sur mon beau cul de chienne et les coups ont commencé à tomber. Tout d’abord quelques petits coups, mais déjà bien pesants sur mes boules. Et puis ça s’est intensifié, aucun coup ne passe à côté, on voit qu’il maîtrise ça.
« Tant que tu ne comptes pas, ça ne compte pas. T’en voulais davantage c’est ça ? » me dit-il. Je me suis alors mis à compter, la dizaine de premiers coups comptait donc pour du beurre. Je me disais en mon for intérieur que j’étais vraiment une pauvre merde. Alors j’ai compté les coups de poings que le boxeur Monsieur Farid me donnait dans les couilles. Les coups étaient intenses, la douleur était assez impressionnante, je ne pensais pas être capable de me prendre autant de coups dans les couilles. Je gesticulais mais je me savais écrasé par mon Maître, totalement offert pour ce boxeur qui maitrisait pleinement son nouveau punching-ball constitué par ma paire de couilles.
Une fois les 100 coups donnés, j’ai chialé en exultant. Mon mec s’est levé et lui a juste dit : « J’adore, je bande comme un âne ». Dès lors, je savais qu’outre sa merde à manger chaque soir, il se ferait un malin plaisir à entraîner ses poings sur mes grosses couilles. J’étais effondré à terre, complètement allongé, me tenant les couilles dans la main droite. « Moi aussi, ça m’a foutu la gaule » lui dit le boxeur.
« Il est temps de te mettre au taf, va nous attendre sur le lit » me dit mon Maître. Je me relevais difficilement, apparemment pas assez vite pour mon Maître qui m’a choppé par les couilles pour m’amener dans notre lit. Je hurlais de douleur. Il devait avoir envie de montrer sa puissance en ces murs. Il est ensuite retourné voir Monsieur Farid dans le salon, je me tordais de douleur dans le lit. Ils sont arrivés quelques minutes plus tard, après une pause clope. Et j’ai ramassé sévère.
J’ai commencé par bouffer la queue du black qui était vraiment énorme. J’ai léché ses grosses couilles, je le branlais, je le suçais bien profond. Il semblait adorer ce traitement vu les compliments qu’il me faisait sur ma façon de sucer. Mon mec me bouffait le fion depuis tout à l’heure. Il allait hyper profond, il savait que j’adorais ça. Et puis, je savais aussi que je me prendrais bientôt leurs deux chibres énormes, alors je devais être bien ouvert.
Mon Maître a pointé son gros gland à l’entrée de mon cul. Il me l’a mis doucement alors que ma bouche était remplie par la grosse queue de Monsieur Farid. Je le suçais comme un malade, sa queue sentait trop bon. La pièce s’était emplie d’odeurs de transpiration et de sexe, j’étais réellement en transe. Mon Maître a commencé à me baiser durement, je couinais sous ses coups de rein, mes cris étaient de toute façon étouffés. Le black a saisi ma bouche pour m’embrasser, ses grosses lèvres sur les miennes, c’était un bonheur. Il m’a collé quelques baffes et m’a renvoyé sur son énorme queue qui était vraiment d’une largeur folle.
« On échange ? ». Alors ils ont échangé, le manège a duré trois ou quatre fois. Je me prenais des ass-to-mouth à n’en plus finir. C’est peut-être ce qui m’excite le plus dans les films de cul que je me tape sur ThisVid. Il avait été convenu qu’il me baiserait au jus, je sais que mon Maitre ne me ferait prendre aucun risque.
Ils ont donc échangé plusieurs fois de rôle, quand le black avait son énorme queue bien au fond de mon cul, mon mec me labourait la gueule avec son énorme queue blanche. Il essayait d’aller au plus profond de ma gorge, histoire de me mettre vraiment la misère. Ou de me faire gerber. Parfois, je ne sais pas tellement ce qu’il a dans la tête. C’est à la fois excitant et terriblement effrayant. Le black m’a arraché un cri quand, lorsqu’il était en moi, il a choppé mes couilles totalement endolories par le traitement de tout à l’heure. Ca les a fait rire tous les deux.
« Double ? »
« Double ! »
Mon Maître s’est installé sur le dos et m’a demandé de venir sur lui, sa grosse queue dans mon cul. Il a saisi mes hanches puis m’a fait signe de m’approcher de son visage, il m’a embrassé à pleine bouche et j’ai fondu. Je l’aimais tellement à cet instant. Avec tout ce qu’il m’avait pourtant fait subir ce soir, je l’aimais atrocement.
« Joyeux anniversaire mon ange » me dit-il. « Achève-le ! » dit-il à Monsieur Farid. Ce dernier s’est alors enfoncé en moi, écartelant mon trou du cul à l’extrême. La baise était intense, j’étais en transe et en nage, tous nos corps luisaient de transpiration. Les coups tombaient de partout sur mon corps. Mon Homme me collait des baffes à m’en faire siffler les tympans tandis que Monsieur Farid se faisait plaisir sur mes côtes. Le manège n’a pas duré très longtemps avant que ces deux mâles puissants n’éjaculent en moi. Dans des râles de plaisir, ils ont lâché tout leur jus. Ma queue était dressée au maximum, mais je sais que ni l’un ni l’autre ne chercherait à me faire juter.
Le black s’est un peu laissé aller sur moi, nous faisant tout deux nous reposer sur mon Maître. Ce dernier touchait du bout de ses doigts mes hanches. Je sentais leurs deux queues perdre du volume dans mon cul. Le black s’est retiré le premier en se levant.
« Tu n’as plus qu’à nettoyer nos deux queues pleines de jus » me dit-il.
En effet, sa queue noire était recouverte du jus de mon Maître et vice-versa. J’ai pris sa grosse queue en bouche, j’ai pris aussi celle de mon Homme pour les décrasser et les rendre bien luisantes. Et le black nous a remercié, il est allé se rhabiller et est parti. Je l’ai accompagné, mon Maître était tout groggy sur le lit et surtout crevé de sa longue journée.
Monsieur Farid m’a embrassé à nouveau à pleine bouche. Il m’a dit qu’on se reverrait quoiqu’il arrive. J’ai fermé la porte avec une excitation dans le bas du ventre. J’ai rangé un peu l’appartement avant de rejoindre mon Maître dans le lit. Il était toujours là allongé sur le dos, les yeux fermés. Je l’ai chevauché, je l’ai couvert de baisers avant de me blottir contre lui. Sa main gauche est venue caresser mes cheveux, j’étais bien là. Tellement heureux. Tellement à lui.
« Ce soir, c’était un peu un test. Pour voir comment tu réagis avec d’autres mecs. J’ai l’intention de te partager davantage. Parfois même au plus offrant. Tu ne bosses plus et je me dis que tu pourrais rapporter un max de fric tout en prenant du plaisir. Je vais réfléchir à tout ça mais c’est déjà bien avancé dans ma tête. Tu en tires du plaisir, j’en tire du fric pour profiter, c’est donc un excellent deal. Qu’as-tu pensé de mon invité ? »
« J’ai adoré mon Ange. Merci pour ce cadeau… Enfin, ces cadeaux… », j’étais un peu perplexe quant à ce futur partage mais aussi tellement excité…