Habituellement, les fêtes de fin d’année, je n’aime pas ça. Ce sont toujours les mêmes choses, on se goinfre, on boit beaucoup et bien souvent malgré les sourires forcés, on s’ennuie à mourir… Sans déroger à la règle, Noël s’est passé chez mes parents, avec ma sœur, Mathieu, son beauf de copain, leurs deux gosses ainsi que mes deux petits frères. Nous avons essayé de respecter ce que les mesures gouvernementales 2020 nous imposent. Je dormais dans mon ancienne chambre tandis que ma sœur et son mec dormaient dans le salon. Je dois tout de même vous parler du mec de ma sœur. Il a la trentaine, un bon mètre quatre-vingt-dix, très macho limite homophobe, il me prend à chaque fois de haut, il sait que je suis pédé, et je pense que ça l’excite au fond de lui. Que je ne baise pas de femmes, ça doit le titiller un maximum ! Ce mec est viril à souhait : un torse bien dessiné et poilu comme jamais je n’avais vu auparavant, des pieds immenses et une odeur musquée qu’il trimbale en permanence. De visage, il a l’air bourru, pas spécialement aimable. Enfin, je pense que ma sœur prend cher à chaque fois qu’il la saute. C’est débile à dire, mais ce mec, malgré le fait qu’il me dégoûte, m’attire et m’excite. C’est un monstre dont j’aimerais bien qu’il vienne hanter mes nuits !
Le jour précédant Noël, je suis donc chez mes parents des dix-huit heures, afin de poser mes affaires dans la chambre de mon enfance, me préparer pour la soirée et prendre une petite douche également. Ce fut donc retrouvailles avec mes parents et mes frères, cela faisait un long moment que je n’avais pu venir les voir. Ma sœur et son homme des cavernes n’étaient pas encore arrivés. Je me décidai donc à aller prendre ma douche, histoire de me rendre présentable, mes affaires sous le bras, j’investiguai donc la salle de bain qui se trouvait juste à côté de ma chambre. Une fois sorti de la douche, je fus surpris par ce gros porc de Mathieu qui entra dans la salle de bain pour poser le Vanity de ma sœur. J’étais totalement à poil avec une serviette sur mes épaules, lui était évidemment tout habillé. Il me dit : « Joli p’tit cul ! » en se marrant, et il sortit tranquillement en s’esclaffant comme la brute qu’il est… Je suis resté sans rien dire quelques secondes. La prochaine fois, je penserais à fermer à clef. Ou pas justement.
La soirée passe donc, puis plats après plats, Mathieu et moi buvons pas mal, il faut dire que mon père a pour habitude de beaucoup verser. Si bien qu’à la fin de la soirée, les femmes et les enfants vont se coucher, on resta donc mon père, Mathieu et moi pour finir tranquillement l’absinthe. Puis au moment du coucher, j’allais dans ma chambre, je me mis nu comme à mon habitude et filai sous la couette. Je fus réveillé quelques minutes plus tard par une personne qui ouvrait la porte de ma chambre. Je pensais alors que c’était ma mère ou mon père qui passait, par habitude.
C’est avec stupeur que s’allonge à côté de moi le gros Mathieu, me disant que ma sœur lui a dit d’aller dormir (ou cuver) ailleurs, tant il pue l’alcool, et étant donné qu’il ne veut pas aller réveiller l’un de mes petits frères, c’est donc à moi que reviens cette lourde tâche. Je lui dis qu’il n’y a pas de souci pour moi. Au contraire, c’est plutôt à lui de se faire du souci… Mais quelques minutes après ces paroles échangées, je sentis sa grosse paluche tripoter mon cul, je me révolte donc et il me dit : « En plus d’être joli, il est bien ferme, ça doit être trop bon d’y plonger sa queue. Malheureusement, la mienne est bien trop grosse pour un si petit trou… ». C’est alors que je sentis dans mon bas-ventre une sensation plutôt étrange : je bandais au plus haut point. Et je lui réponds, l’alcool y aidant : « Tu doutes de mes capacités ? ». C’est avec ces mots que je lui donne alors toute bénédiction sur mon corps. Il prit alors une de mes mains afin de la glisser dans son caleçon déjà bien déformé par la taille majestueuse de son engin. Je suis alors surpris par le mandrin que j’empoigne, j’ai l’habitude des gros calibres, mais celui me parait énorme, surtout au niveau de la largeur…
« Suce ! » retentit. Je ne me suis pas fait prier, je me lève un peu pour poser ma bouche sur cette queue déjà bandée au maximum. Je prends d’une main ses couilles et de l’autre, je fais le mouvement habituel de branle pendant que je suce les dix premiers centimètres de sa belle queue. Ce manège dure un bon moment, puis il prend ma tête dans ses mains, me fait passer la tête au-dessus de sa queue, je me retrouve ainsi accroupi entre ses jambes en train de pomper l’énorme dard qui s’offre à moi. Les mouvement sur ma tête se font de plus en plus pesants et vont de plus en plus profond dans ma gorge. Si bien que je me retrouve très vite avec une monstrueuse envie de gerber. Il comprend et relâche ma tête. Il prend ensuite sa queue en main, pour la branler, et me dit pendant ce temps-là de lécher ses couilles bien massives. Je ne m’aventure pas à goûter son trou du cul, j’ai peur de sa réaction. Quelques minutes plus tard, je reviens sur sa queue, pour la lécher de haut en bas, sa respiration s’accélère alors, je pose mes lèvres autour de ce gland que j’imagine violacé afin de recueillir le jus de ce mec que j’ai en horreur. C’est une bonne quantité de jus qu’il lâche dans la bouche de son beau-frère. J’avale ce nectar que j’adore boire à toute heure. Puis je vais me remettre à ma place, allongé à ses côtés, satisfait de sa jouissance, je n’ai pas à prendre ce monstre dans mon cul. Et d’un autre côté, je dois aussi avouer que je suis frustré qu’il ait juté si rapidement dans ma bouche. Mais je me dis que je suis sûrement un bon suceur, et que ma sœur ne s’adonne peut être jamais à la fellation.
« Qu’est-ce que tu fous ? » qu’il me lance. Je lui réponds alors qu’il vient de jouir, que veut-il de plus ? « Ton cul ! » me répond-il du tac au tac. Je confirme donc, ma sœur prend chaque soir très cher, à moins qu’il profite du fait que je sois une petite chienne en chaleur et dévouée à son énorme mandrin. Je lui fais comprendre que ça ne passera pas si facilement dans mon fondement… Alors qu’il faut du lubrifiant, il se lève alors et file à la salle de bain, il revient avec la bouteille de lubrifiant espérée. Tu m’étonnes qu’il en ait dans son sac, vu la taille de sa bite. Il me confie le tube et me dit de me mettre à genoux au bout du lit, de me doigter le cul et de me préparer aux assauts de son engin surdimensionné. C’est assez humiliant de devoir se préparer alors que monsieur me regarde tout en se paluchant la teub. À la lumière, je constate enfin l’ampleur de ce que Mathieu a entre les jambes, et c’en est encore plus effrayant. Il me demande de me mettre à quatre pattes et de continuer à me doigter, il vient alors se placer sous moi, sa bite quasiment au niveau de mon cul, ses pieds au niveau de ma main posée sur le lit. J’en suis à quatre doigts bien enfoncées, il me dit de lui passer le gel, ce que je fais avec précipitation, je ne veux pas être explosé…
« Lèche mes orteils » entends-je, « J’ai toujours rêvé qu’on me le fasse, et je pense que c’est à toi que reviendra cet honneur », je ne me fais pas prier, j’aime tant ça… Surtout un bon 48. Pendant que je déguste ses pieds, ses doigts prennent place dans mon cul. Les va-et-vient qu’il effectue présagent alors un bon baiseur, ça me rend chienne ! Je ne vis plus que pour une chose : me prendre cette grosse bite dans le cul. Il le comprend vite, et c’est dans cette position qu’il a décidé de commencer à m’enculer. À ma grande surprise, il rentre doucement dans mon cul déjà bien préparé, je le sens malgré tout s’enfoncer peu à peu bien au fond de moi, je suis en transe, j’ai juste envie de faire échapper de grands cris de satisfaction, mais je sais que cela est totalement impossible.
Je me retiens donc de ne pas hurler mon bonheur. Et puis, je sens ses couilles bien pendantes frapper les miennes. Il est au fond, bien au fond. Et c’est à cet instant précis que Mathieu, cet être gras, beauf et totalement inutile se transforme en un petit bonheur dont je vais savoir profiter encore longtemps. Après ce premier allé, le rythme n’est plus le même. Il ressort d’abord totalement sa queue d’un seul coup, avant de s’enfoncer à nouveau de tout son long. Puis son tempérament bourrin reprend vite le dessus. Il empoigne mon bassin, il y était agrippé pour être plus précis, et le fait coulisser pour y mettre sa queue bien à fond, que je sente bien toute sa virilité en moi. On change de position plusieurs fois, et c’est de plus en plus avilissant. Il me demande même de lécher ses orteils alors qu’il est toujours planté au fond de mon cul. La baise dure des dizaines de minutes, et je dois dire qu’au moment où il a dit qu’il va jouir, mon cul est en compote, je ne sais même pas si j’arriverais encore à marcher au lendemain. Il jouit donc une seconde fois et cette fois-ci, c’est mon torse qui eut le privilège de récupérer le précieux nectar. Cinq secondes plus tard, il me dit de « bourrer mes viandes », et il s’écroula sur le lit telle une masse. Il me laisse là, son jus partout sur moi, encore raide des assauts qu’il vient de me donner. Je le déteste.
Au lendemain, je me réveille et je suis seul dans mon lit. Est-ce que j’ai rêvé ? Je mis une main vers mon trou et compris très vite que ce n’était pas un rêve étant donné l’état meurtri de mon trou du cul… Je vais donc prendre le petit déjeuner avec les autres, dans la totale indifférence de Mathieu. Ma sœur me demande alors si j’avais bien dormi, je lui réponds que j’ai été dérangé par les ronflements d’un gros sac, mais que sinon, dans l’ensemble, j’ai trouvé le sommeil assez facilement. Elle me demande aussi ce que j’ai prévu pour le nouvel an. Rien encore, Mathieu se réveille donc de son semi-silence et me propose de venir chez eux, ils organisent l’évènement avec deux couples d’amis voisins, et que je peux dormir chez eux, ils ont une chambre d’ami à l’étage. Ça promet…