J’arrive un peu en retard ce soir-là, si bien que les deux couples invités par ma sœur et mon beau-frère étaient déjà présents lorsque je sonnai à la porte. C’est Mathieu qui se précipite pour m’ouvrir, il me salue comme d’habitude ; une poignée de main qui s’accompagne cette fois-ci d’un clin d’œil qui m’a fait sourire. Il me fait entrer, je pose mes affaires dans l’entrée pour aller saluer les convives que je n’étais pas censé connaître. Mais je m’aperçois alors très vite que la femme d’un des couples est enseignante dans un lycée où je suis passé il y a quelques années. Je vais pouvoir bavarder avec elle, j’appréhendais en effet cette soirée, étant donné que je n’avais aucune information sur les invités et vu le niveau de beaufitude de Mathieu, je m’attendais au pire ! Mais tout va se passer pour le mieux…
« Je vais t’aider à monter tes affaires dans la chambre p’tit frère ! J’ai préparé ton lit et ta chambre » dit ma sœur qui a mis les petits plats dans les grands pour ma venue. C’est la toute première fois que je viens dormir chez eux.
« Non chérie, laisse donc, ne bouge pas, je vais m’occuper de montrer sa chambre à Jared, tu t’es déjà donné assez de mal à tout préparer le repas, je peux faire ça… » rétorque Mathieu, qui est d’une humeur particulièrement joviale ce soir. À quoi s’attend-il ? On ne va pas avoir la chance de dormir dans le même lit à chaque fois. À moins qu’il se mette totalement minable et que ma sœur exaspérée lui dise d’aller dormir dans le canapé. Mais quand bien même, il ne va pas venir dormir avec moi, cela paraîtrait louche. On monte alors, lui et moi, à l’étage, pour déposer mes affaires dans la chambre d’ami. Il me dit alors : « Retire ton jean et ton caleçon et remets ton jean, je veux voir ta grosse bite se balader le long de ta cuisse, et n’oublie pas, tu es ma salope ce soir ! » juste avant de fermer la porte. Je m’exécute donc avec un peu de honte mais surtout beaucoup d’excitation. Puis je redescends tranquillement les escaliers pour rejoindre tout le monde.
La soirée reprit alors corps, l’apéritif, puis le repas succulent que ma sœur avait préparés. Le fameux passage à l’année suivante eut lieu durant le dessert. Les baisers ainsi que les vœux s’échangèrent alors entre tous, Mathieu me fit même la bise pour l’occasion, ce qui fit beaucoup rire ma sœur, un hétéro pareil, taper la bise à son frère homo, relevait en effet de l’irréel. Si elle savait où il avait fourré sa queue la nuit de Noël… Enfin… Trois heures sonnèrent, et les bouteilles de liqueur totalement vides, les deux couples d’un commun accord, prirent la porte non sans aider ma sœur à ranger un peu. Ils partirent me laissant seul homme face à Mathieu. On aide alors aux derniers rangements qu’il reste à faire, l’essuyage de la vaisselle pour Mathieu et l’aspirateur pour moi. Ma sœur dit alors qu’elle est totalement lessivée et qu’elle monte se coucher. Mathieu propose alors une bière devant la télévision, j’aurais été vraiment bête de refuser. Ma sœur part donc se coucher dans leur chambre à l’étage, tandis que Mathieu amène deux bières sur la table du salon, allume la télévision et met la chaîne des sports.
« Je n’ai pas arrêté de mater ton paquet pendant l’apéro tout à l’heure, c’était trop bon de voir ta queue totalement libre dans ton jean, mais tu peux tout retirer et te mettre à quatre pattes devant moi maintenant ! »
Encore une fois, j’exécute ses ordres, je ne me vois pas faire autre chose de toute façon. Et puis une telle queue, cela ne se refuse pas ! Je lui demande tout de même si ce n’est pas dangereux, que ma sœur peut arriver à tout moment. Il confirme, on comate alors quelques minutes devant la télévision attendant que la maison soit dans le silence le plus éloquent. Puis il me dit que c’est bon, que je peux désormais faire ce qu’il m’a demandé. Telle une chienne. Telle la chienne que je suis.
Je retire donc ce qu’il me reste de vêtements, c’est-à-dire une chemise, un jean et ma paire de chaussettes plus vraiment blanches, les chaussures étant restées dans l’entrée. Je me retrouve nu comme un ver devant l’Homme, je me positionne alors à quatre pattes face à lui, il me dit de me retourner, je lui présente mon cul rasé de la veille. J’ai eu droit à un « Bonne chatte ! » pendant qu’il commençait à me titiller le trou. Il prend alors sa bière, en verse un peu sur le bas de mon dos pour que mon trou soit humidifié. Il continue l’exploration de mon trou du cul en y mettant un doigt puis deux, c’était une situation si excitante que je me retiens réellement de ne pas gueuler ma satisfaction. Malgré tout, je pousse quelques gloussements de plaisir afin de lui montrer que ce qu’il m’impose est pour moi un pur délice.
Il m’ordonne ensuite de me retourner, je me retrouve encore face à lui, totalement nu et offert, mon cul encore bien ouvert ne demande qu’une seule chose : se faire ramoner par sa belle et grosse bite, qu’il claque ses couilles contre les miennes, qu’il me prenne aussi sauvagement que la dernière fois ! Il était là, avachi sur le canapé, une bière à la main et encore totalement habillé. Il sort alors son engin déjà bien bandé qu’il me dit de sucer. Il semble absorber par les programmes de sport à la télévision pendant que je lui offre des gorges profondes à en faire pâlir les plus grandes stars du porno, mais je sais qu’il aime ce que je lui donne. Il mate toujours la télévision alors que sa main vient se poser sur le dessus de ma tête, il attrape mes cheveux pour donner le rythme qu’il veut pour la fellation que je lui donne, un rythme assez rapide. Puis il retire d’un seul coup le hochet de ma bouche.
« Assez de gamineries, passons aux choses sérieuses » lance-t-il. Ma queue se mit alors à frémir, je vais enfin pouvoir me prendre à nouveau sa belle bite bien au fond de mon fondement. J’en avais rêvé depuis la nuit de Noël. Il me dit alors de rester dans la position ou je suis, à quatre pattes, ma tête en direction du canapé. Il prend tout de même la peine de retirer sa chemise blanche, son jean ainsi que son boxer. Il ne lui reste que ses chaussettes de sport sur ses pieds puants et ses mollets poilus. Il passe alors derrière moi, prend ma tête qu’il enfonce dans le canapé en cuir. Il va chercher un bon mollard qu’il crache dans sa main et qu’il passe ensuite sur sa grosse queue déjà bien mouillée de la pipe que je lui avais offerte auparavant. Je passe mes doigts sur mon cul, pour voir si celui-ci est assez lubrifié pour les assauts que j’allais recevoir, il retira alors ma main avec violence. Il pose alors son gland épais sur ma chatte. Il me susurre alors ces mots à l’oreille « Ce soir, tu vas prendre cher, évite d’hurler ! » avant de s’enfoncer d’un coup d’un seul au fond de mes entrailles.
Je hurlais dans le canapé tant la douleur était intense. Il reste immobile durant quasiment une minute, il doit jubiler intérieurement devant son ouvrage. Briser en deux un petit pédé rien qu’avec sa queue, ça le faisait bander au plus haut point, j’en suis convaincu. Puis le pilonnage intensif prend le dessus. Il m’encule comme jamais on ne m’a encore enculé, d’une force, d’une puissance, d’une intensité sans nulle autre pareille. J’ai toujours la gueule bien enfoncée dans le canapé, afin que mes cris soient dissimulés. Puis il sort de mon cul, me dit de venir le pomper. Je m’exécute alors sans broncher, tant je dépends de sa queue. Ce connard aurait pu tout me demander, tant qu’il m’enculait sans ménagement, j’aurais été d’accord. Je le pompe alors comme la chienne que je suis, à quatre pattes devant lui toujours, j’avale goulûment sa queue qui avait pris l’odeur de transpiration de mon cul, j’alterne gorges profondes et pipe basique, il semble adorer ça.
Le second round eut lieu quelques minutes plus tard, il me dit de me lever, et en fit de même, puis on va dans la cuisine, il me dit de poser mon cul sur l’évier. Sans nulle hésitation, je m’empresse de le faire, il vient alors m’embrocher telle une pute sur le lavabo de sa cuisine. Il a prévu son caleçon afin d’étouffer les cris qui pourraient sortir de ma bouche. Il m’a enfoncé son boxer bien humide dans celle-ci, et pendant ce temps-là sa queue besognait mon cul. Après l’évier, il me porte pour me placer contre le mur, sa bite toujours en moi, il m’encule tout en me portant, c’était réellement divin. Une fois ses bras ne pouvant plus supporter mon poids, il me plaque au sol comme un rugbyman l’aurait fait, face à lui. Je pouvais alors observer son torse bien dessiné, poilu à souhait, son visage rempli de sueur, des gouttes perlaient sur son front et son sourire en disait long sur le bien que mon cul lui procurait.
Les mouvements s’accélèrent encore plus en moi, puis il enlève le caleçon de ma bouche, et reste face à moi, il sort sa queue de mon cul, la prit en main et la branle à tout va. C’est alors que je pus voir tout son bon jus exploser sur mon torse, les premiers jets atterrirent même sur mon visage. Je me délecte alors de ce sperme qui avait un goût très prononcé. Avec ce torrent de sperme répandu sur ma queue et mon torse, il prend ma queue en main et commence à me branler lentement. Au même moment, il rentre sa queue à nouveau dans mon cul et reste planté là. Mon sperme jaillit à son tour sur mon torse également, le premier jet allant même s’écraser sur la faïence de la cuisine. J’étais là, allongé au milieu de la cuisine de ma sœur, totalement recouvert du sperme de son mec et du mien…
Sa queue toujours plantée au fond de moi, je compris alors que les spasmes de ma jouissance l’ont excité grandement. Il a de nouveau une gaule impressionnante… « Celle-là, c’est pour ta sœur petite salope de mes deux ! Nettoie tout ça, je ne veux pas qu’elle se doute de quoique ce soit demain. Dépose mes vêtements dans la salle de bain du premier étage. Et fais de beaux rêves ! » Dit-il aussi calmement que les premières paroles qu’il m’a énoncés en début de soirée.
Je pris alors une quantité phénoménale d’essuie-tout afin d’éponger tout ce jus, je vérifie les traces sur le parquet ou la faïence, puis me rend au salon, les bières restent encore à moitié pleines, je les vide avant de les jeter. Je pris alors ses fringues, les miennes, je mis les siennes dans la salle de bain. Je garde tout de même ses cho7 presque noires, puantes, comme une petite vengeance, et je vais dans ma chambre totalement épuisé, cassé en deux. Je suis totalement vidé et pourtant, les cris que poussent ma sœur et les gémissements bestiaux de Mathieu dans la pièce d’à côté commencent à se faire réveiller ma queue. Je me branle donc après tant de plaisir reçu, tout en mettant plusieurs doigts dans mon cul. Nous jouissons les trois quasiment simultanément, et je lâchai encore des litres de jus sur mon torse. Mes cho7 ont tout essuyé… Puis le silence, je m’endors très vite épuisé par tant d’assauts.
Aujourd’hui, je me branle encore tout en sniffant les cho7 crades de Mathieu et en repensant à sa queue totalement énorme et la manière dont il aimait me bourrer le cul avec. Je pense que je vais me rapprocher de ma sœur à l’avenir.