(Histoire tirée du Net – Auteur inconnu)
J’avais 23 ans et j’étais étudiant. Qui dit étudiant, dit peu d’argent. Je faisais des petits boulots pour arrondir mes fins de mois. Parmi ceux-ci, je faisais du baby-sitting chez des amis de mes parents qui avaient deux fils, de 8, Romain, et 18 ans, Yannick. Je pense que le grand aurait pu s’occuper de son petit frère mais ça ne devait pas être l’avis des parents. Quoi qu’il en soit, ceci m’arrangeait.
Ce soir-là, les parents étaient sortis à l’opéra, suivi d’une soirée ; ils ne devaient rentrer que vers une ou deux heures du matin. Le petit était couché et dormait à poings fermés ; le grand était dans sa chambre, sûrement en train de se branler. Moi j’étais devant un programme abêtissant sur je ne sais plus quelle chaîne.
C’est alors qu’arrive Yannick en robe de chambre à peine attachée, sans rien en dessous. Il s’installe dans le fauteuil presque en face de moi et croise ses jambes, ce qui a pour effet d’ouvrir un peu plus la robe de chambre et de laisser entrevoir ses couilles. Il change plusieurs fois de position, la robe de chambre s’écartant à chaque fois un peu plus, jusqu’au moment où l’intégralité de son service trois-pièces soit bien visible. Je le matte du coin de l’œil mais je ne perds rien, mon érection est totale et me fait mal car je n’ose pas mettre ma main dans mon pantalon pour placer correctement ma bite.
Il me regarde alors droit dans les yeux :
— T’es pédé, non ?
Je n’en reviens pas, personne ne le savait dans ma famille et encore moins chez les amis de ma famille !
— Réponds, t’es pédé, non ?
Comme je ne réponds rien :
— Elle te plaît ma bite ?
Je fais celui qui n’a rien entendu mais je dois être cramoisi ; j’avale ma salive et continue à fixer la télé. Il se lève et vient se planter entre moi et la télé, la robe de chambre complètement ouverte et son sexe à demi-bandé.
— Ça te plaît ? Alors suce !
Il s’approche, j’ouvre la bouche et il vient se planter dedans. Il me prend la tête et commence à limer.
— Fous-toi à poil !
Je me lève et je me déshabille entièrement.
— Allonge-toi ! Et fais gaffe au tapis.
Je m’exécute. Je n’ai toujours pas dit un mot, je ne dirais pas que je n’ai pas ouvert la bouche car je l’ai ouverte pour le sucer. Il se met à cheval sur moi et me présente à nouveau sa bite. J’ouvre la bouche encore une fois.
— Caresse-moi le cul !
Pendant que je lui doigte le cul, je sens qu’il s’ouvre, il est en train de pousser comme s’il voulait chier. Peu de temps après, je sens la merde arriver du bout des doigts. Il ne va quand même pas me chier dessus ! J’essaie de me dégager mais lui me tient la tête fermement avec sa bite qui me pénètre la gorge par moments. Tout se passe alors très vite et je me retrouve avec une grosse merde posée sur mon ventre. Il me lâche alors la tête.
— T’es con où quoi ?
— Ta gueule, c’est moi qui commande ici.
— Où t’as vu que c’est toi qui commandes ? Laisse-moi me relever ! Tu vas ramasser ta merde.
— Ta gueule, tu fais ce que je dis, sinon je dis à mes parents que je t’ai surpris dans la chambre de Romain et qu’après tu m’as violé.
J’en reste sans voix. Quel enfoiré !
— Je vais me lever mais toi tu ne bouges pas.
Il se lève, il se tourne et s’accroupit au dessus de la bouche.
— Nettoie !
— T’es pas bien, jamais je ne ferai ça.
— T’as oublié ce que j’ai dit ? Nettoie ou je parle à mes parents.
Je ne dis rien.
— En plus, on dirait que ça te plaît. Tu bandes comme un âne.
C’est vrai que je suis hyper excité. Je n’en reviens pas, un mec me chie dessus, me demande de lui nettoyer le cul emmerdé et en plus me menace de m’accuser de viol et moi je suis hyper excité.
— Nettoie !
Je lève mon torse, je sors ma langue et je commence à lui lécher le cul. Le goût de merde n’est pas si atroce que ça. S’il me touchait la bite à cet instant, j’exploserais immédiatement. J’évite moi aussi de me toucher, je suis au comble de l’excitation. Il s’assoit carrément sur ma bouche et je sens son cul se détendre comme s’il poussait à nouveau. Ça facilite mon léchage et ma langue pénètre profondément dans son cul.
Je le sens qui tripote sa merde sur mon ventre. Il se relève et me met un morceau de merde dans la bouche puis il se recule et me donne à nouveau sa bite à sucer. Je dégage la merde sur le côté de ma bouche pour laisser passer sa bite. Il me pistonne à fond et je le sens tripoter à nouveau sa merde. Il se retire, laisse tomber un gros morceau de merde dans ma bouche et s’enfonce à nouveau. Le morceau est trop grand pour que je l’écarte et sa bite en arrache une partie qui est poussée dans ma gorge et que j’avale. C’est alors que j’explose, je jouis comme jamais et sans même me toucher. Mon corps est secoué de soubresauts pendant plusieurs secondes. Je ne sais plus qui je suis ni où je suis. J’ai toujours cette bite profondément enfoncée dans ma bouche et qui m’empêche de crier et encore heureux, sinon j’aurais réveillé Romain et sûrement tout l’immeuble.
Quand je reviens à moi et que je réalise ce qui je suis en train de faire, je ne peux réprimer un haut-le-cœur. J’arrive tout de même à m’empêcher de vomir sur le tapis persan qui doit valoir au moins dix mille euros. Yannick n’a pas encore joui et continue à me limer la bouche. J’essaie de le repousser mais il me dit :
— T’as envie que je parle à mes vieux ? Non ! Alors, laisse-toi faire.
Il se retire. J’en profite pour recracher dans ma main les morceaux de merde que j’avais dans la bouche.
— Remets-ça dans ta bouche !
J’hésite.
— N’oublie pas ce que j’ai dit !
Je me remets les morceaux dans la bouche. Il prend le reste de merde sur mon ventre et le présente devant ma bouche fermée.
— Ouvre !
J’ouvre la bouche et il m’enfonce la merde dedans. Le morceau est si gros qu’il ne tient pas en entier dans ma bouche. Il pousse dessus avec sa main puis il m’enfonce une nouvelle fois sa bite. Évidement, il pousse la merde dans ma gorge et j’avale. Je suis à deux doigts de vomir mais je pense au tapis persan. Il me lime la gorge pendant de longues minutes à travers sa merde puis jouit au fond. Il s’écroule alors sur moi, immobile, sa bite profondément enfoncée dans ma bouche. J’ai beaucoup de mal à respirer alors que lui est comme mort sur moi. Sa bite dégonfle lentement, du coup je peux respirer plus facilement. Je le sens qui se tend et il me dit :
— N’en perds pas une goutte et fais gaffe au tapis.
Un petit jet de pisse, suivi par un autre, puis un jet continu. J’avale aussi vite que je peux, je sens ma bouche se remplir et bientôt elle va déborder. Il stoppe le jet, puis reprend peu après. Puis des petits jets, une bonne dizaine, un peu plus faible à chaque fois. Puis il se retire de ma bouche. Je me lève et me dirige vers la salle de bains.
— Tu fais quoi là ? Où tu vas ? Reste ici et finis d’avaler !
Je lui fais face mais je ne peux pas avaler, toute mon excitation est partie et je suis à la limite de vomir. Je repars vers la salle de bains.
— N’oublie pas mes parents, t’imagine leur tête quand je leur dirai que tu m’as violé ?
Je lui fais face à nouveau, puis j’avale en le regardant dans les yeux.
— C’est bon ? Je peux aller me laver ?
— Oui, mais interdiction de vomir, je viens avec toi pour te surveiller.
S’il m’autorise à me laver le visage, il m’interdit de me laver la bouche.
— Puisque t’as envie de pisser, bois ta pisse pour te rincer la gorge, car t’auras rien d’autre.
Il reste auprès de moi devant la télé et me suit quand je me rends au toilettes pour me surveiller jusqu’au retour de ses parents. Il leur dit que tout s’était parfaitement passé et que j’étais une compagnie très agréable. Les parents furent ravis, ils me proposèrent souvent par la suite de faire le baby-sitter et j’acceptai avec excitation à chaque fois.