Romain, mon premier esclave

La veille de mon rencard avec Romain, j’ai pris le slob que je mettais quand je baisais Jordan. Il était bien dégueulasse, mais pour le crader encore plus, j’ai pissé et giclé dessus. Le lendemain, il était carrément cartonné et puait un max. J’avais dit 16 heures à Romain. Je me suis pointé avec un quart d’heure de retard. Il m’avait envoyé une dizaine de messages et avait essayé de m’appeler mais je n’avais pas répondu. Quand je suis arrivé au bistrot où on avait rencard, il était dans un coin, seul comme un con, devant un Coca.

— Tu es en retard, on avait dit 16 heures, ça fait un quart d’heure que je poirote et tu ne répondais pas à mes messages.
— Et alors ? Tu te prends pour qui ? Je ne suis pas à ta dispo. Et je suis là maintenant.
— Excuse-moi. Mais j’avais peur que tu ne viennes pas. Tu veux boire quoi ?
— Comme toi.

Il a appelé le serveur et a commandé un autre coca.

— Tu fais vachement jeune pour 18 ans.

Ça m’a fait marrer.

— Normal, j’en ai 16. Mais je ne pouvais pas mettre 16 ans, j’ai dû tricher. Mais t’inquiète, pour ce qui est de la baise, ça ne m’empêche pas de me servir de ma queue. Et je ne te dénoncerai pas pour détournement de mineur.

J’ai fini mon coca et je l’ai laissé payer. Il habitait juste à côté, au 5ème étage dans un immeuble ancien, avec un vieil escalier en bois, le genre on tient tout juste à deux. Une fois dedans, je lui ai foutu la main au pacson. Tout de suite, il a écarté les cuisses, comme une bonne pute. Il bandait déjà. Je lui ai écrasé les couilles, de plus en plus hard.

— Vous pouvez y aller, Maître. Ce sont des couilles de pédé, elles sont faites pour ça et je suis fier de vous les offrir.
— Mais j’espère que ça ne vous gêne pas si je bande. Certains mâles considèrent qu’un pédé, ça ne doit pas bander. Mais je ne peux pas m’en empêcher. C’est juste une réaction physique que je ne peux pas contrôler. Un hommage à votre virilité.
— Nan, ça ne me pose pas un problème. Ça me plait même ce que tu me dis, l’hommage à ma virilité. Et puis, on verra si tu bandes toujours quand je me défoulerai sur ton sexe.

Comme on était seul, il était passé au vouvoiement et m’appelait Maître ! Ça me branchait bien qu’un mec qui avait presque le double de mon âge me vouvoie. L’appart faisait deux pièces. Un living et la chambre de Romain. En entrant, je lui ai ordonné de se foutre direct à poil. Il était grave en rut, plutôt bien monté et total rasé sauf sa touffe sombre et frisée. Faudrait que je demande à Jordan de faire pareil.

Une fois à poil, il a écarté ses cuisses et a mis les mains sur sa tête pour que je puisse l’examiner en détail. J’ai commencé par lui faire les tétons, soft au début puis serrant et pinçant de plus en plus fort. Il a un peu couiné tout en bombant le torse pour mieux me les offrir. Je me suis rapproché de lui, pour les mordiller. Comme j’étais collé contre lui, j’en ai profité pour remonter brutalement un genou et lui écraser les couilles. Il a gueulé, ne s’y attendant pas.

— Tourne toi et cambre toi que je vois ce que vaut ton cul.
Je lui ai d’abord entré un doigt puis deux et enfin trois. Il était nettement plus large que Jordan.
— Tu es plutôt élargi du trou.
— Je suis désolé, ça vous gêne ?
— Ça ira. Et ma queue est assez large pour que tu la sentes bien quand je t’enfilerai
— Oui, Maître, et je suis impatient de me faire mettre. Mon trou sert régulièrement. C’est pour ça qu’il n’est plus aussi serré que celui du mec que vous baisez d’habitude.
— Je ferai avec. Et avant tu seras puni pour ça. J’ai l’intention de bien me défouler sur toi.
— Je ne demande que ça, Maître. Pour mériter votre queue.

En tout cas son trou était nickel. Bon point pour lui, parce que j’avais horreur de défoncer un cul crade. Comme le Coca, ça me donne envie de pisser, avant de passer aux choses sérieuses, je lui ai demandé où étaient ses chiottes. Il s’est foutu direct à genoux en me proposant de me servir d’urinoir ! Je trouvais ça franchement dégueu, de boire ma pisse, mais ça m’a foutu la trique direct.

— Tu es sérieux ? Tu es prêt à boire ma pisse ?
— Oui, Maître. Je suis votre esclave et tout ce qui sort de votre queue est sacré.

Puisqu’il était demandeur, je n’allais pas l’en priver. J’ai sorti mon zob. Il a commencé à me lécher les couilles, puis est remonté avec sa langue le long de ma queue, avant d’ouvrir bien sa gueule. Je la lui ai fourrée dedans. J’ai eu du mal à uriner, parce que je bandais dur. Mais j’ai fini par réussir à débander et à me vider dans la gueule, en m’arrêtant de temps en temps, pour lui permettre d’avaler. Il a tout bu, avant de me lécher le gland pour recueillir les dernières gouttes !

— Ouah. C’était bon. Dessape-moi maintenant, salope.
— Oui Maître, tout de suite Maître.

Romain s’est remis debout et est venu se coller à moi. J’ai levé mes bras, il m’a enlevé mon T-shirt.
— Je peux vous lécher, Maître ?
— Oui, et suce moi les tits. J’aime ça.

Il m’a léché le cou, le torse, les tétons, en les suçant tout doucement au début, puis au fur et à mesure qu’ils durcissaient, il a commencé à me les mordiller. Je lui collé sa première baffe. Il ne s’y attendait pas.

— Je t’ai permis de sucer, pas de mordre. Tu me prends pour un pédé ?
— Pardon, Maître, excusez-moi, Maître.

Il a plaqué son corps contre moi, frottant son entrejambe contre mon sexe, comme une vraie lope en chaleur, me faisant bander à mort. Puis, doucement, il s’est laissé glisser, langue tendue, pour bien me lécher, jusqu’à se retrouver à genoux, à caresser, sniffer l’emplacement de mon sexe.

— Vous sentez le Mâle, Maître. Vous êtes le Mâle. Je suis votre esclave.
Je l’ai agrippé par les tifs, le forçant à se relever.
— Décrasses-moi les aisselles. Elles en ont besoin.

Il a enfoui son visage sous mes bras, sniffant, léchant longuement. Ça me chatouillait un peu mais ça m’excitait grave. Une fois mes aisselles bien nettoyées, il s’est refoutu à genoux, pour m’enlever mes skets puis mes cho7, avant me de me lécher longuement les panards.

— Tu peux m’enlever mon pantalon maintenant. Je suis sûr que tu attends que ça
Il a dégrafé ma ceinture, le bouton de mon 501 et me l’a retiré.
— Ouah, votre slob il est vraiment crade. Vu comme ça sentait, je m’y attendais, mais là il est carrément cartonné.
— Je savais que ça te plairait. C’est celui que je mets quand je vois Jordan, ça fait des semaines qu’il n’a pas été lavé. Mais en ton honneur, j’ai encore pissé dessus hier et j’ai giclé dedans.
— Merci Maître. Je peux le sniffer ?
— Te gêne pas, c‘est fait pour ça. Et te prive pas de le déguster. C’est ma sueur, ma pisse et mon jus.

Il l’a longuement sniffé avant de le lécher. Ma queue était raide, mes boules de plus en plus dures, la teub me sortait du slob.

— Enlève le. Avec ta bouche.
Je me suis retrouvé nu, le sexe dressé, Romain à genoux devant moi, il était temps de passer à la suite.
— Tu es une vraie pute. Ça me plaît bien. Mais maintenant, faut que je me défoule. C’est à ça que tu sers. Ton matos, il est où ?
— Dans ma piaule, on y va ?
— Ouais. Et prépare-toi à morfler grave.

Romain avait effectivement ce qu’il fallait : collier d’esclave, menottes, bracelets en cuir, cordes de bondage, cordelettes plus fines pour ses couilles, pinces à seins, le modèle standard et un autre réglable, godes, plugs, un humbler, paddle, badine, cravache, cockrings divers et un ballstretcher en acier. À côté il avait posé des bougies.
Un des cockrings me branchait bien. Il était en cuir, permettant d’attacher à la fois chaque couille et sa queue, avec des pointes tournées vers l’intérieur. J’ai essayé sur un de mes doigts l’effet que faisait. Les pointes rentraient bien dans la chair et ça faisait mal. Alors sur la queue, ça devait être craignos.

— Approche, pédale.
Il s’est placé face à moi, jambes écartées.
— Tu crois peut-être que je vais me baisser ou m’agenouiller devant toi ? Fous toi sur le pieu.
— Pardon, Maître. Excusez-moi, Maître.

Il s’est allongé sur le dos, pendant que j’allumais les bougies qu’il avait préparées. J’ai eu un peu de mal à lui mettre le cockring. Même si c’était un pédé, il avait de belles couilles et une queue plutôt épaisse. En plus, histoire que les pointes pénètrent bien, je voulais serrer le ballstretcher au max.

Finalement, j’ai réussi. Une lanières enserrait chacune de ses boules et la dernière son zob. Je les ai légèrement déplacées et le visage de Romain s’est crispé de douleur. Mais il n’a pas moufté. Le résultat était plutôt sympa avec ses couilles bien séparées et sa teub raide. Mais c’était que le début. Cela étant, je l’ai attaché sur son pieu, bras et jambes en croix. Puis j’ai pris les pinces réglables.

— Excusez-moi, Maître, mais est-ce que vous accepteriez de me gazer au poppers ? Ça me rend plus salope et je résiste mieux.
— Il est où ?
— Sur la table de chevet, Maître.

J’ai pris le flacon, c’était du Jungle Juice. Je me suis accroupi sur lui et je lui ai relevé la tête, rapprochant le poppers de ses narines, le laissant sniffer longuement. Après avoir sniffé un max, comme j’étais encore sur lui, il a voulu me prendre en bouche. Ça lui a valu une nouvelle claque dans la gueule.

— Je ne t’ai pas permis de goûter à ma queue. Avant tu devras la mériter.
— Pardon Maître, je comprends Maître. Mais j’en avais trop envie, je n’ai pas pu m’en empêcher.
— OK pour cette fois. Mais ma queue, tu y touches que quand je t’y autorise, pigé ?
— Oui, Maître.

Je me suis relevé. J’ai pris les pinces, et je les lui ai attachées aux tétons. En serrant au max. Il a gémi, mais il devait avoir l’habitude que ça fasse mal puisque c’était les siennes. Ses pointes dépassaient légèrement. Je me suis un peu écarté pour regarder mon œuvre.

Je le trouvais sexy, Romain, ainsi attaché et surtout complètement à ma dispo. J’ai fait quelques photos avec mon smartphone. Les bougies avaient pas mal fondu. J’en ai pris une, j’ai fait couler de la cire sur ses tits, recouvrant les pinces que je venais d’y fixer. J’ai continué ensuite à faire couler de la cire, sur son torse, son ventre, ses couilles et sa queue.

Pour la dernière bougie, j’ai pris sa teub, je la lui ai décalottée, et, tout en la maintenant à la verticale (ce n’était pas dur, vu qu’il bandait), j’ai fait couler la cire brûlante sur son gland. Là, il a carrément gueulé, ce qui lui a valu une nouvelle baffe dans la tronche.

J’ai repris quelques photos avant de le re-popperiser à fond et de passer à la cravache. Il serrait les dents pendant que je lui cravachais les seins, le torse, le ventre. J’ai dû lui filer une vingtaine de coups, bien appuyés. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il encaissait bien.

Moi, ça m’excitait grave d’avoir un mec total à ma dispo, qui n’avait d’autre choix que de subir ! Mon pouvoir sur Romain n’avait rien à voir avec mes plans baise avec Jordan. Jordan, je possédais juste ses trous, alors que Romain je l’avais totalement à ma merci ! Le final, ça a été pour ses couilles. Comme il risquait de gueuler, je suis allé chercher mon slob pour le lui enfoncer dans la gueule. Mais comme j’étais sympa, je lui ai fait resniffer du poppers avant de lui exploser les boules.

J’avais remplacé la cravache par la badine. Ça permettait de mieux cibler. Comme ses boules étaient bien serrées dans le cockring, il a dû morfler grave. En tout cas, après les 100 coups que je lui ai mis, il chialait. Il avait mérité sa récompense. Et moi, il fallait que je me vide les couilles. Je lui ai retiré mon slob de la gueule et lui ai mis son oreiller sous la nuque avant de m’accroupir sur lui, la queue tendue au max.

— Pour un novice, vous êtes du genre hard, Maître.
— Je le prend pour un compliment. De toute manière, tu es là pour morfler. C’est à ça que tu sers. Et tu vas avoir droit à te récompense. Commence par lécher ma teub. J’en peux plus, faut que je te nique la gueule.

Je lui ai foutu le zob sur la tronche. Il a commencé par me bouffer les couilles, avant de remonter le long de ma verge et de lécher longuement mon gland couvert de mouille. Je lui ai refilé un dernier sniff de Jungle Juice avant de lui enfoncer ma bite dans la gueule.

Il a manqué de s‘étouffer mais s’est vite repris. Vu ce qu’il avait encaissé, j’ai fait en sorte de me contrôler le plus longtemps possible avant de lui féconder la tronche. Après avoir déchargé, je l’ai détaché, lui conservant simplement le cocking qui lui enserrait le sexe et les pinces aux seins.

Après plus d’une heure attaché sur son pieu, Romain était pas mal ankylosé. Comme il était couvert de cire, je lui ai dit de commencer par me nettoyer le gland puis d’aller se doucher mais en lui interdisant de se branler et je me suis effondré sur le lit. Mine de rien, c’est crevant de s’occuper d’un bâtard ! Quand il est revenu, il m’a demandé s’il pouvait s’allonger à côté de moi et me caresser. Je n’y voyais pas d’objections.

Surtout que le moins qu’on puisse dire, c’est que pour exciter les Mâles, il était plutôt doué, le mec. Il m’a parcouru le corps avec ses mains, sa bouche, son corps. Et quand il s’est attaqué à mon sexe, je me suis mis à re-bander direct.
— Vous êtes prêt à me reprendre, Maître ? J’ai trop envie de me faire enculer.
— Oui, mais avec capote. Vu que visiblement tu as déjà pas mal servi, je ne prends pas de risque.
— Mais je suis clean, s’il vous plait, Maître, je voudrais être fécondé.
— La prochaine fois peut-être si tu me ramènes un test négatif.
— Et avant, je veux te cravacher.

Il est allé chercher la cravache et me l’a tendue. De mon côté j’ai pris son collier d’esclave et je le lui ai mis autour du cou.
— Reprends du poppers et accroupis toi.

J’ai commencé par 10 coups sur son dos, puis je l’ai fait s’allonger sur le dos que je venais de fouetter, je me suis mis debout au-dessus de lui et il s’est pris 10 coups supplémentaires sur le torse. Et pour finir, pour faire bonne mesure, 5 derniers sur le sexe, mais à la cravache cette fois-ci. Ses couilles avaient largement assez morflé.

— Enfile moi une capote et fous toi sur le pieu maintenant, que je t’encule.
— Oui Maître, tout de suite Maître.
— S’il vous plaît, Maître, vous pouvez m’enlever les pinces et le cockring ? Ça fait trop mal.
— OK, approche.

J’ai commencé par lui retirer le cocking. J’en ai profité pour lui travailler un peu les couilles. Quand je lui ai retiré les pinces, il a couiné. Ses pointes étaient dures et j’imagine que ça faisait mal, surtout quand le sang a recommencé à les irriguer. Il m’a embrassé une dernière fois le zob, enfilé une capote et s’est mis à 4 pattes sur le pieu.
— Je peux prendre du poppers, Maître ?
— Vas-y sniffe bien, va-t’en falloir.

Je l’ai agrippé par le collier pour le forcer à se cambrer et je l’ai enfilé direct. Même s’il était plus élargi que Jordan, il a quand même gueulé quand il s’est pris mon zob.

— Alors, pédale, t’aime ça la bite ?
— Oui, Maître, c’est bon Maître, défoncez-moi, Maître.

Je n’allais pas m’en priver. Question baise, j’étais un pro. Romain aussi visiblement. Il se cambrait quand nécessaire, pour me permettre de rentrer toujours plus profond, en vibrant au rythme de mon zob. Plusieurs fois, je suis ressorti quelques instants, le temps de me calmer un peu, pour pas jouir trop vite. Il en profitait pour reprendre un sniff de poppers et je recommençais à le défoncer, jusqu’au moment où j’ai plus pu me retenir et où le foutre a giclé.
Je me suis effondré sur lui après avoir joui. Je suis resté quelques minutes comme ça, l’écrasant sous mon poids, ma queue toujours en lui, avant d’en sortir et de m’allonger sur le dos, épuisé. Il m’a enlevé la capote.

— Vide la et avale.
— Oui, Maître, merci Maître.

Puis il m’a nettoyé la bite.

Je me serais bien fait sucer encore une fois, mais j’étais vraiment à la bourre. J’ai dit à Romain de me rapporter mes fringues. En revenant, il m’a demandé s’il pouvait garder mon slob pour le sniffer en pensant à moi et m’a proposé de m’en filer un à lui ! J’ai accepté.

Cependant, il avait pratiquement que des slips de pute, genre strings ou jockstraps et les seuls à peu près normaux étaient pas à ma taille vu qu’il avait les hanches nettement plus étroites que moi. Je lui ai donc laissé mon slob et j’ai enfilé mon jean sans rien. Avant de partir il s’est de nouveau agenouillé devant moi pour embrasser l’emplacement de mon sexe.

— Vous me rappellerez, Maître ? Je suis prêt à recommencer quand vous voulez. Je vous kiffe trop.
— Je verrais. Dans l’immédiat, fais-toi tester, que je puisse te niquer au jus si on se revoit.

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