Le dimanche 2 décembre, mes bagages sont dans la soute, l’aéroport Charles de Gaulle est bondé et je sens que le voyage va être très long. Je vois des personnes avec des enfants pas loin de moi, ce qui m’évoque de mauvais présentiments. Je pars avec une de mes collègues qui sera ma binôme durant toute la semaine d’interrogation, elle rentrera directement après cette semaine, je lui explique que je reste une nuit de plus pour visiter. À vrai dire, c’est plutôt pour me faire visiter par le Canada. Et quel Canada ! Marc-André quoi !
Le voyage se passe finalement bien, j’informe Marc-André que je suis à mon hôtel et que je ne suis finalement qu’à quelques kilomètres de lui. Là où je n’avais pas encore été. J’essayais d’en savoir plus sur le sort qu’il me réservait. Sur ce que j’allais subir, mais il restait toujours assez évasif, c’était plus que frustrant. Le vendredi matin, il m’a envoyé son adresse, ce n’était finalement pas loin du Lycée Français de Montréal où j’avais interrogé toute la semaine des élèves de bonne famille, bien éduqués, instruits et extrêmement intéressants. J’y ai noté une spectaculaire différence avec mes élèves français, si peu respectueux du système et des adultes en général. Et si Marc-André en avait baisé un ou deux parmi ceux que j’ai eu à l’oral ? Cela ne m’étonnerait guerre.
Mes valises remballées, mon corps purifié, ma bouteille en main, je me rendus à l’adresse indiquée par Marc-André par message. J’arrivai devant un petit bâtiment. Je m’attendais à plus crado, les appartements ont l’air assez classes. Je monte au 2ème étage, appartement de gauche. Je sonne à la porte. Mon cœur était prêt à exploser. J’ai revu ces quinze années passées à imaginer Marc-André. À me branler sur ses photos. La porte s’ouvre et je vois un minot affublé d’une laisse en cuir ouvrir la porte. Je suis confus et m’excuse de ne pas être au bon endroit. « Tu es Jared ? » me dit-il. J’acquiesce et il me fait entrer.
D’emblée, j’étais chamboulé par la situation et je ne comprenais pas trop ce qui se passait. J’entrais dans l’appartement et fut pris au nez par une odeur que je trouvais excitante à souhait, mélange d’odeurs de pisse, de pieds et surtout de foutre. C’était prenant et je pense que la plupart des habitants de la Terre en seraient dégoûtés mais moi cela m’excitait. J’avançais dans un couloir et je suivais Tom et son cul affriolant, sa laisse autour du cou. Nul doute que ce minot de 16 ou 17 ans servait de réceptacle à foutre au grand Marc-André.
Le salon, beaucoup plus lumineux, s’ouvrait à moi et Marc-André était là, accoudé à son canapé, un bédo à la main qu’il amenait de manière douce et sexy à sa bouche. « Alors, c’est ça un français » me dit-il en me faisant signe de m’approcher. J’avais posé ma valise, ma veste et mon écharpe dans l’entrée, si bien qu’il ne me restait que son présent à la main. Je m’approchai de lui pour la lui offrir et ne savait pas trop si je devais lui faire la bise ou lui serrer la main ou ne rien faire. Je ne connais pas les us et coutumes des Canadiens. Alors je m’approche de Marc-André. Très près, je lui tends la bouteille et lui dit que c’est un souvenir de France. Il regarde avec attention la bouteille et me dit qu’il en fera excellent usage.
« À poil et à genoux devant moi ! » fut la troisième tirade de Marc-André. À ce moment-là, j’étais tétanisé. Son charisme, son autoritarisme et sa froideur m’avaient clairement glacé le sang. Aucune étreinte, peu de reconnaissance quant au cadeau que je lui offre, j’avais peur de ce qui allait se passer moi. J’étais effrayé mais aussi terriblement excité. Je me mis donc, selon sa volonté, totalement à poil, faisant glisser mes vêtements sur le canapé, mon futur lit que j’ignorais alors, entre deux boites de pizzas et des dizaines de bouteilles de bière. J’étais alors nu et suis allé me positionner devant Marc-André.
« Des années que nous parlons… Combien de fois as-tu imaginé cela ? » « Des centaines de fois Monsieur… »
« À quel point as-tu envie de moi ? » « A un point dont il n’est humainement pas possible d’avoir envie Monsieur »
« Dis-moi pourquoi je devrais accéder à ta requête. » « Parce que je mérite d’être soumis, humilié, dégradé par votre grandeur. J’estime qu’après toutes ces années d’attente, vous pouvez enfin me montrer ce qu’est un homme. Un vrai. Je n’ai jamais rencontré quelqu’un d’aussi puissant que vous. Il n’y a personne au-dessus de vous Monsieur. Vous êtes Dieu »
« Excellente réponse. Mais nous allons voir si tu me mérites petit individu sans utilité aucune » termina-t-il par dire. En réalité, ce sont des dizaines de questions auxquelles j’ai dû répondre, j’en ai sélectionné seulement quelques-unes, celles qui me semblent les plus importantes. Il était impassible, droit. Et moi j’étais à genoux devant lui. Sans oser le regarder alors que lui me dévisageais depuis mon entrée. Très sûrement pour se rendre compte de la peur et de l’envie dans mes yeux.
Il était affublé des mêmes fringues que sur les plupart des photos des années précédentes qu’il m’avait envoyées. Proche de lui, je sentais que les fringues n’avaient jamais été lavés, je sentais son odeur, je sentais sa présence. Tous les mots du monde ne suffiraient à décrire ce à qui j’avais à faire à ce moment précis de ma vie. Et pourtant, Marc-André était là, il s’est mis assis sur le canapé, son bédo presque entièrement consumé, il m’a demandé d’ouvrir la bouche et y a écrasé son mégot avant de l’y laisser. Il m’a demandé d’avaler avant de râcler sa gorge et d’y mettre un énorme mollard bien glaireux. J’ai avalé. C’est le nectar des Dieux.
Tom était à la cuisine, il n’avait pas beaucoup bougé depuis mon arrivée et semblait attendre la suite des évènements. Je me demandais d’ailleurs pourquoi il y avait un autre mec, affublé d’un collier de clebs dans son appartement. Il m’avait parlé de ce collier et je savais qu’il était cher à Marc-André. Cela était une preuve de soumission infaillible. Marc-André nous a demandé de le suivre dans sa chambre. Je découvrais alors cette pièce, assez sombre. Des trucs y trainaient absolument partout, pour un être aussi ordonné que moi, c’était difficile, mais c’était exactement ce à quoi je m’attendais à découvrir.
« Tom, tu t’allonges sur le pieu, tête en dehors comme d’hab. » lança Marc-André. Le petit s’exécutai sans broncher. « Jared, on va jouer à un jeu un peu spécial. Je vais te faire languir. Tu n’as pas encore le droit de goûter à mon corps mais je vais te faire un cadeau. Je vais défoncer la gorge de Tom, la démonter comme ce n’est pas permis. Tu vas venir te positionner juste en dessous de son visage en enfilant cet écarteur de mâchoire. Ainsi tu avaleras toute la salive de Tom, salive souillée par la crasse de mes couilles, par l’odeur de mon gland et par le travail de ma queue tellement massive dans sa petite bouche. Et tu ne broncheras pas. L’exercice peut durer longtemps »
J’ai enfilé l’écarteur de mâchoire et me suis installé comme voulu. Il positionna ses deux pieds autour de mon visage avant de s’accroupir. Le matelas était presque à même le sol et commença. Il déboutonna son jean et sortit sa queue. Immense. Puante. Impressionnante. Et il ne bandait pas encore. Il n’avait menti sur rien au niveau des odeurs. Cela prenait au nez, et c’était exactement ce que j’avais espéré et imaginé durant toutes ces années ou je me branlais en pensant à lui. Il glisse sa queue dans la bouche de Tom qui l’a pris allègrement, il devait avoir l’habitude de cela. Et puis Marc-André ne bandait pas encore.
Les difficultés arrivèrent assez vite puisque Marc-André commença à bander comme un taureau. J’étais aux premières loges de ce spectacle impressionnant et l’énormité de sa queue me laissait réellement béat. Il put alors commencer des va-et-vient dans la bouche de Tom qui prenait comme il le pouvait cette queue magistrale. Les premiers haut-le-cœur apparurent et la salive commençait à couler abondamment sur le visage de Tom. Quelques secondes après, les premiers relents arrivèrent dans ma bouche. Tom bavait énormément et Marc-André s’en donnait à cœur joie pour lui éclater littéralement la gueule.
A la fin de l’opération, je ne sais combien de décalitres de salive, de mouille et de souillures de queue de Marc-André j’avais avalé. Je ne pourrai pas dire que c’était ce dont j’avais rêvé mais c’était impressionnant. Humiliant. Extrêmement dégradant. Au bout d’un temps assez long, Marc-André cessait de bourriner la gueule de Tom qui en plus de saliver un max laissait couler des larmes sur ses joues qui se sont aussi retrouvées dans ma bouche. Si l’on m’avait dit un jour que j’avalerais goulûment les larmes d’un minet, je ne l’aurai pas cru. Tom, alors rouge comme une pivoine avait la permission de prendre quelques secondes de pause en se relevant.
Marc-André s’est approché de moi et a retiré l’écarteur de mâchoire qui était encore tout gluant de la bave de Tom. Il me l’a fait lécher et l’a déposé sur la table de nuit. Il m’a dit « Maintenant tu vas t’allonger à la place de Tom, tu vas lui bouffer le cul et je vais le niquer. Tu vas voir un peu ce que c’est de se faire baiser. » me dit Marc-André.
Alors je me suis exécuté, me suis allongé, Tom est venu se mettre juste au-dessus de moi, je bandais à fond, le grand Marc-André l’a autorisé à me pomper. Entre sous-merde, il parait que c’est possible. Je lui ai bouffé le cul, déjà bien ouvert. Marc-André, après être allé boire un coup, est revenu dans la pièce, sa queue massive et dure dans la main pour baiser le cul de Tom. J’étais aux premières loges et le spectacle était le plus beau du Monde. Marc-André s’est glissé dans le cul de Tom. Sans aucun ménagement, ce qui l’a fait hurler de plaisir. Ou de douleur. Je ne sais pas trop. Je pouvais voir de très près les couilles bien massives de Marc-André qui venaient frapper contre ce corps d’adolescent encore frêle. C’était beau.
Le rythme était soutenu et je plaignais le minet qui prenait des coups de butoirs presque inhumains. Il était trimballé telle une marionnette s’enfonçant le plus profondément possible sur l’une des plus grosses bites que je rencontrais dans ma vie. Mais il semblait être habitué à ce traitement étant donné que ma queue était, entre deux plaintes sonores, engouffrée dans sa bouche. Le minet avait des capacités assez incroyables. Néanmoins, au bout d’un long temps, il semblait souffrir et ses cris se faisaient davantage plaintes qu’autre chose. Marc-André était violent, il le frappait sans ménagement. Des bons coups de poing aux flancs, des énormes baffes dans la gueule. Le sexe se devait d’être violent pour ce mâle hors-norme. Il le tirait par les cheveux, par la laisse. Le minet n’était plus qu’objet. Un simple trou pour l’Homme.
Je sentais que le minet était à bout de force et il commençait à chouiner comme un bébé, ce qui n’arrêtait aucunement Marc-André qui continuait à l’utiliser comme un vide-couilles et à le violenter comme jamais. Ses couilles semblaient énormes et sa queue était sublime. J’avais tellement envie de la sucer, de la prendre en bouche pour la faire gicler.
Mais je n’osais même pas la toucher tellement j’appréhendais la réaction de Marc-André. Celui-ci après un temps que je qualifierais d’interminable, s’est mis à attraper fermement les fesses de Tom et à accélérer encore son action. Comme si c’était possible. Je voyais sa queue devenir plus massive et alors qu’il commençait à gueuler comme un roi, il déchargeait tout son foutre dans le cul de Tom. Il me sembla que ça durait un très long moment tant ses couilles devaient être pleines. Je venais d’assister à la reproduction de Marc-André. Il avait malmené ce minet et j’avais pu assister à tout ce spectacle. Le minet m’avait bien pompé mais à la fin, il avait lâché ma queue, la douleur ayant laissé place au plaisir. Je n’avais pas juté et ma queue bandait encore très fort. À m’en faire mal. Marc-André a laissé sa puissante queue dans le fondement du petit et chacun reprenait lentement ses esprits. Marc-André s’est retiré. Lentement. Laissant pendre sa queue désormais ramollie.
« Tom, tu prends tes affaires et tu te casses. Tu as mon jus au fond de toi. Sois en fier. Maintenant, je veux plus voir ta gueule. Je te donne deux minutes. Et viens là que je te retire ton collier. ». Marc-André avait été clair, net et précis. Ses paroles invitaient à filer droit. Et à ne surtout pas aller contre ses pensées. Le minet s’est relevé, il a essuyé ses larmes. Je pouvais voir les marques sévères dans son dos tout endolori des assauts de Marc-André. Son cul était béant, rempli à ras bord de foutre. Tandis qu’il se levait, Marc-André était encore au-dessus de moi. Je regardais le minet, défoncé, quitter la pièce pour entendre quelques instants plus tard la porte claquer. Il était parti. Comme ça.