J’ai rencontré Dieu… Au Canada – Acte 03/04

La queue de Marc-André avait largement perdue en volume et elle pendait à quelques centimètres de ma gueule. Il savait pertinemment de quoi j’avais envie. Quinze ans que j’ai envie de goûter à cette queue énorme et puante. Le gland était recouvert de jus, elle luisait. Après tous ses assauts, Marc-André devait être épuisé. Il prit la parole :
« Tu vois ce que tu as vu cet après-midi avec ce minet ? Ce n’est absolument rien par rapport à ce que je te ferai subir ce soir en revenant du taf. Mes couilles seront vidées et je tiendrai au moins le double de temps. Je pars dans quelques minutes et reviendrai vers vingt heures. Je veux que mon repas soit prêt. Un repas pour une personne. Toi tu auras autre chose. Ouvre la bouteille de vin. Je l’aurais amplement méritée. » me dit-il avant de ranger cette énorme queue à l’intérieur de son boxer et de son pantalon qu’il n’avait pas quitter. Il prit ses clés et referma la porte derrière lui. Je n’avais dit que peu de paroles et j’étais surtout nu sur son lit. Ahuri par ce que je venais de vivre.

Me voilà donc seul, livré à moi-même des heures durant dans l’appartement de Dieu. Je suis allé aux chiottes pour me branler et vider mes couilles. J’en pouvais plus. J’ai lâché des grands jets dans ses chiottes à l’aspect plus que douteux en criant le prénom de Marc-André tout en lâchant la purée. C’était trop bon. Je me suis ensuite rhabillé et ai pu faire le tour de l’appartement et regarder tout ce que je pouvais y trouver.

Marc-André vivait dans 45m², plutôt bien agencés, mais l’appartement était vraiment en bordel. Une grand pièce à vivre avec un canapé recouvert d’immondices, idem pour la table du salon. Un coin salle à manger avec une grande table, des affaires dessus et un piano dans le coin gauche. Il y avait dans la même pièce une cuisine qui devait peu lui servir, si ce n’est pour réchauffer des trucs, une petite salle de bain avec une douche, des chiottes et sa chambre dans laquelle j’avais passé le plus de temps.

J’ai erré, me suis un peu perdu sur le net, j’ai appelé des amis avant son retour. A 18h30, je me suis attelé à lui préparer un repas. Le frigo était presque vide mais je me suis débrouillé pour lui faire un truc potable. En ouvrant le placard au-dessus de la plaque de cuisson, je suis tombé sur une bouteille plus que suspecte. J’ai observé avec plus d’attention, une eau grisâtre y gisait et une cho7 que je devinais portée des mois, voire des années, y trônait. Je ne sais pas depuis combien de temps ce jus macère, j’ai ouvert la bouteille et l’odeur était âcre. Et pourtant, je sais que cela sera la base de mon repas de ce soir… Marc-André est réellement imprévisible. Il allait m’humilier comme jamais.

19h50, son repas est prêt. J’ai mis la table, j’ai ouvert la bouteille et je n’attends plus que Marc-André. J’ai mis un jock et je l’attends à genoux devant sa table. Je n’avais qu’une hâte : passer la meilleure soirée et nuit de ma vie. A 20h02, j’entends la clé tourner dans la serrure de l’appartement et Marc-André se pointe après cette dure après-midi de service. Il fut surpris de me voir presque nu à côté de la table. Il avait pris une grosse miche de pain et semblait d’une humeur joueuse. Il s’est approché de moi et m’a lâché un « Bon toutou » qui me ravissait. Il a pris une casserole pour la mettre sur une plaque chauffante et s’est saisie de la bouteille mystère, il en a versé le contenu qu’il a mis à chauffer. Il a déboutonné sa braguette, a sorti sa grosse queue et s’est mis à pisser dans la casserole. Une quantité phénoménale de pisse sortait de sa queue. C’était presque impensable.

« Tu vois, dans ce genre d’exercice, ce qui est intéressant, c’est la quantité. Faire bouffer à une lope un verre de pisse ou de mollards, c’est humiliant. Clairement. Mais je connais les lopes dans ton genre, cette idée est des plus excitantes pour vous sous-espèce. En revanche, ce qu’il y a d’intéressant dans le fait de jouer avec des quantités importantes, c’est qu’au début, il y a du plaisir mais naît très vite le dégoût. Et c’est cela que je viens chercher avec toi. Je te laisse réchauffer le mélange et y mettre la quantité de pain que tu souhaites à l’intérieur. Une fois réchauffé, viens t’installer devant moi, avec la casserole encore chaude » me lança Marc-André.

Alors, mes craintes se sont justifiées. J’allais devoir avaler le mélange de jus macéré à la chaussette pourrie et sa pisse. À y regarder de plus près, il devait y avoir entre deux et trois litres de soupe malodorante et grisâtre. J’y mis le plus de pain possible afin que l’ensemble soit le plus digeste, s’il peut l’être. Marc-André s’est installé à la table et s’est mis à manger le repas que je lui ai préparé. Il m’a sifflé de lui servir du vin dans un joli verre trouvé dans un de ses placards que j’avais pris l’initiative de nettoyer. Je lui servi le Château Margaux et le vît humer et boire ce nectar. Il semblait l’apprécier et c’était le but recherché.

Ma gamelle chaude, j’ai arrêté le feu et suis allé m’installer devant lui, à ses pieds avec ma casserole et mes yeux de chien battu. « Allé à 4 pattes et tu lapes » me dit-il. Alors je me suis mis à 4 pattes et ai commencé à laper ce breuvage en essayant d’éviter de me brûler avec les bords de la gamelle. Les premières bouchées n’étaient pas si dégoutantes que je l’aurais pensé. Et puis je mourrais de faim. Mais plus je semblais en manger, plus il semblait y en avoir dans ce récipient… Lorsque Marc-André eut terminé son repas et m’eût fait lui servir à nouveau deux verres de vin, il me demanda d’approcher de lui, il me saisit par les cheveux, approcha mon visage à quelques centimètres du sien et me lâcha un putain de gros rot odorant à la gueule.

Il me laisse retourner à mon breuvage en me parlant un peu d’art et d’une exposition qu’il a vu le week-end précèdent. En fait, j’ai l’impression que pour lui, la situation est juste normale et peut se prêter à la discussion sérieuse. Je suis à quatre pattes devant lui en train d’avaler le jus d’une chaussette qu’il a dû porter des mois à l’intérieur comme à l’extérieur et toute sa pisse de la journée et il me parle d’art, tranquillement. Au bout d’un long moment, j’entends un bruit qui fit frétiller ma queue : sa braguette. Il me fait à nouveau signe de me rapprocher et me regarde, sa demi-molle dépassant du pantalon.

« Prends en soin, d’abord avec ton odorat. Et ensuite avec ta langue. Profite de ce don du ciel que je t’offre sur un plateau. Et remercie-moi » dit Marc-André.

Je pose mes mains sur les hanches de Marc-André et en le regardant droit dans les yeux, je lui dis : « Merci Monsieur pour ce cadeau, merci de m’accueillir, merci de m’offrir ce repas. J’ai rêvé durant des années de ce moment. Votre queue énorme à portée de ma bouche. Votre… »

« Oh ta gueule et pompe » coupa Marc-André.

Alors j’ai approché mon nez de la touffe de poils dépassant et de la queue de Marc-André. L’odeur était terrible, je n’avais jamais senti une queue pareille. Mais c’était somptueux. Marc-André m’offrait sa queue massive. Je reniflais un long moment avant de commencer à lécher ses 22 centimètres veineux de pur mâle. Je m’attardais aussi sur ses couilles charnues et poilues. Même en ayant lécher un bon moment sa queue, l’odeur était encore présente. Et alors j’ai commencé à sucer Marc-André. Pour de vrai. En le regardant dans les yeux. On m’a toujours dit que je pompais bien et j’imagine que Marc-André y prenait du plaisir. Il n’avait presque aucune réaction. Je lui offrais, autant que faire ce peu, la profondeur de ma gorge en restant de longs instants, son énorme queue plantée bien au fond.

Il se leva au bout d’un certain moment pour y prendre, à ma surprise, la casserole encore à moitié remplie. Il la plaça en dessous de sa chaise, au même niveau que ma queue pendante. « Fini de jouer à touche pipi. Je vais goûter ta gorge. Le fond de ta gorge. À toi de bien jouer » me dit Marc-André. Joignant la parole aux faits, il se saisit de mes cheveux et se mit à défoncer ma gorge avec son énorme pieu. Je ne résistai pas très longtemps et des flots de soupe jaillissaient de ma bouche pour aller impitoyablement s’écraser dans le reste du plat. La défonce de ma bouche a duré un très long moment. Il est impitoyable. Sa queue est dure comme du béton. Mais je n’apprenais rien. Il choisit d’arrêter au bout d’un moment ses impitoyables coups de rein au fond de ma gorge. J’avais gerbé comme jamais j’avais gerbé auparavant. Le pire peut-être est que je n’avais pas détesté l’acte. En revanche, ce qui allait arriver si…

« Tu prends ta gamelle et tu viens t’installer vers mon piano. J’ai besoin de jouer un peu. Je lance le chronomètre, chaque minute passée sans avoir terminer la boisson des Dieux que tu as sous les yeux sera un coup de plus donné avant que je te défonce. Si tu veux rejoindre la France sans boiter ou entier, prends garde à ne pas dépasser l’heure. » dit paisiblement Marc-André.

J’ai regardé l’état de la gamelle qui semble encore plus remplie qu’au tout début de l’opération. C’était filandreux et gluant, la quantité était inhumaine. Je me suis mis à chialer et à supplier Marc-André de me faire grâce, il s’est approché de moi pour me coller des aller-retour dans la gueule implacables. « Tu vas faire ce que je te dis, sinon je te fous comme ça sur le trottoir toute la nuit et te fais tourner par des vieux crasseux qui, vu ton état, te chieront tous au fond de la gorge. Ton choix ? ». Mes yeux allèrent alors rejoindre la gamelle. Je n’avais pas le choix. Marc-André voulait que je me dépasse et j’ai fait la pire chose que j’ai faite dans ma vie. Je me suis accroupi et j’ai lapé tout le contenu. J’ai cru gerber à nouveau des dizaines de fois. J’ai énormément pleuré aussi… Le piano et le talent de Marc-André accompagnaient mon geste dégradant. Je n’en pouvais plus, mais j’avais terminé le plat. Mon plat de vomis.

« 69 minutes. Tu l’as fait exprès salope ? Tu vas morfler. Mais je suis fier de toi. Je t’offre un verre de vin, tu veux ? » me dit Marc-André. Je réponds bien évidemment par la positive. Je sais que ma nuit est loin d’être terminée. Il me laisse prendre un verre et me servir. Je verse la fin de la bouteille dans son verre. Je le dévisage. Il est beau. Il m’impressionne. Nous discutons un long moment, je sais que ce sera la dernier moment où je pourrai discuter avec lui. Il se fume un bédo et nous refaisons le monde avec ce Château Margaux. Je n’ai jamais bu quelque chose de si bon dans ma vie. Au bout d’une petite heure passée avec le plus beau des hommes, il s’approche de moi en me lance « Place à la défonce. »

Il m’attrape par les cheveux et me conduit dans sa chambre ou des restes de Tom trônaient encore. Tout comme l’odeur de sexe que nous avions partagé tout à l’heure. Il me dit de me mettre à quatre pattes sur le lit, défait sa ceinture cloutée et me demande de compter à l’envers, de commencer par 69 jusqu’à 0. Je devrais aussi le remercier à la fin, d’avoir fait l’effort de me frapper, de transpirer pour moi. Je ne sais pas encore dans quel état je serai… Mais je devais assumer d’avoir mis du temps à bouffer le mélange.

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