J’ai rencontré Dieu… Au Canada – Acte 04/04

Lorsque le premier coup est tombé, c’était sur mes reins et j’en eu presque le souffle coupé, et j’ai susurré « 69 ». À cet instant précis, je savais que j’allais souffrir. Surement comme je n’avais souffert dans la vie. Les coups pleuvaient et étaient bien répartis sur la surface de mon corps, de mes pieds à mes épaules, en passant par mes fesses, mon dos ou mes mollets. Les coups sont francs, nets et précis. Lorsque j’ai dit « 42 », c’était avec des sanglots. Je chiale ma race mais je ne lui demande pas d’arrêter. Je ne sais pas ce qu’il pourrait imaginer de plus à me faire. Donc je sanglote, je pleure à chaudes larmes et je subis. Il ne me demande pas de me retourner et je l’en remercie pleinement. Arrivé à « 0 », je fonds en larmes et j’ai l’impression que mon corps n’est plus que douleur et compote. Je me sens mou, affaibli, terriblement humilié. Et il ne m’a pas encore baisé.

Je le remercie chaudement, comme prévu, pour les efforts qu’il avait fournis. Son front était trempé, il était en sueurs, mais pas autant que moi. Il me demande de me lever, je viens me présenter devant lui et il me prend dans ses bras. Ce sera l’unique câlin de cette rencontre.

« Tu as été à la hauteur. Je n’en attendais pas moins de toi petit français. Maintenant, à quatre pattes. Je suis fatigué mais je veux quand même t’honorer. Que je te féconde et que tu repartes en France avec mon sperme dans le cul » me susurre-t-il à l’oreille. Alors j’ai souri bêtement. La douleur s’est effacée juste durant quelques instants. Lorsque je me suis retourné pour me mettre en position, tout mon corps me brulait et j’avais l’impression d’être à sang.

Après son ultime bédo, il est venu pointer son énorme queue qu’il branlait depuis quelques minutes pendant qu’il se baladait dans son appartement. La taille de ce monstre avait pris ses proportions les plus énormes et la préparation de mon cul que j’avais faite en son absence ne serait pas vaine. Alors il a pointé son gland à l’entrée de mon trou. Il a craché un bon mollard de manière bruyante et en a enduit sa queue. Et il s’est enfoncé. Doucement la première fois. Et puis il a commencé à me pilonner. Comme j’y avais pensé durant des années. Il était dur, sa queue colossale entrait et sortait de moi à un rythme effréné. Je savais, de ce que j’avais vécu en début d’après-midi, qu’il était endurant. Peut-être le mâle le plus endurant que j’ai rencontré. Il m’empoignait par les cheveux, par les aisselles ou pas la taille pour que je vienne m’encastrer durement sur sa queue.

Il me frappait le dos, chaque fois qu’il touchait une des plaies qu’il avait occasionnée quelques minutes plus tôt, je hurlais de douleur. Tout était mélangé dans ma tête : le bonheur, la satisfaction, la douleur, le fait d’être dominé, le fait d’être sa femelle à ce moment précis. Il me défonçait le cul, il y allait à cœur joie. Il m’a un moment demandé de me retourner et de me mettre sur le dos, qu’il voulait se finir ainsi en matant ma gueule. À vrai dire, c’était pour une tout autre utilité. Je me suis exécuté et puis il s’est remis dans mon cul pour reprendre ce va-et-vient juste fou.
Je pouvais voir Marc-André m’honorer, prendre du plaisir dans mon trou. Que ce moment était beau. Il m’a alors étranglé, a pu me coller des gifles d’une force assez incroyable. Les larmes coulaient le long de mes joues, et il les léchait goulûment. Je pense que ça l’excite de me voir pleurer. Que là encore, il se sent puissant. Dieu quoi. Les baffes se faisaient de plus en plus fortes tandis que son cheminement dans mon cul était de plus en plus puissant. Il prit aussi mes couilles en main, les frappant de son autre main libre. Sa queue ne lâchait pas mon cul que je pense désormais béant. Et puis j’ai vu son visage se transformer, ses yeux révulser et sa bouche se tordre. Dans un râle de plaisir puissant et bruyant, il a juté en moi. J’ai senti sa queue se durcir et ses boules se rétracter. Il lâchait des flots de jus dans mon cul. Des années que j’espérais cela.

Et puis il a lâché son corps sur le mien. J’étais totalement nu et lui totalement habillé. Je faisais des mouvements avec mes mains sur son corps. Mon visage était encore mouillé de mes larmes et une de mes mains s’est risquée à toucher ses cheveux vert fluo. J’ai pu en profiter quelques instants. Il s’est alors retiré de moi et m’a dit : « Tu as le canapé pour dormir, ne te gêne pas, il est bien confortable. Si tu veux prendre une douche, je t’y autorise, mais garde mon jus. Il est plus précieux que toi. Demain matin, je pars bosser. Claque la porte en partant. Pendant que je m’endors, je te laisse lécher ça. ». Il s’est allongé sur le lit, sur le dos et a retiré ses chaussettes. Je souffrais mais je me suis assis à terre pour lécher les pieds que Marc-André me proposait. Ses pieds aussi j’en ai rêvé des années. Mais une fois devant, c’était de suite moins attirant.

Ses pieds étaient sales, ses ongles étaient noirs, il les négligeait totalement. Je comprends pourquoi il conserve toujours ses chaussettes, l’odeur est pestilentielle. Je me suis donc mis à lécher les pieds de ce mâle puissant. J’en léchais toute la surface, entre les orteils. Lui commençait à respirer plus fort, ses yeux étaient fermés depuis un moment. L’action de ma langue a duré un moment, je savais qu’après ça, je ne pourrais plus converser avec lui et que je n’aurai sûrement plus accès à son corps. Alors qu’il dormait à point fermé, que son ronflement se faisait assez bruyant, j’ai quitté ses pieds et la pièce. J’ai éteint le néon dans le coin et ai repoussé la porte. Sur la pointe des pieds, j’ai rejoint la salle de bain pour prendre une douche salvatrice.

Je pus alors m’apercevoir des dégâts sur mon corps. Les traces dans mon dos et sur mes cuisses étaient rouge écarlate, mon visage avait plusieurs marques de doigt. Arrivé dans la douche, je ne pus m’empêcher de tout lâcher et de pleurer. J’étais heureux, libéré et purifié à la fois. Marc-André m’avait honoré, mais à quel prix ? Je trouvai une serviette suspecte pour me sécher et suis allé m’allonger sur le canapé. Je me suis fait une place pour dormir le plus correctement possible et je repensai à cette journée, à cette rencontre, à ce qu’il m’avait fait subir ce soir. Je sanglotais un peu aussi. Je souffrais. J’entendis alors la porte s’ouvrir et Marc-André s’est approché de moi pour me glisser les derniers mots du séjour.

« Je t’entends chouiner depuis tout à l’heure. Sache que pour moi, c’est terriblement excitant de savoir que j’ai fait pleurer une lope dans ton genre. Mais tu sais, tu es une merde, il va falloir t’habituer. Moi je suis de la race supérieure, ceux fait pour éduquer, pour prendre du plaisir, pour gouverner. Toi, tu es une larve. Quelque chose sans importance. Et plus vite tu comprendras, plus vite tu arrêteras de pleurer et vivra ta situation plus sereinement. Essaie de dormir, ton vol est à 11 heures demain. »

Je lui ai juste dit « Merci Monsieur ». Il est ensuite parti pisser me laissant là seul avec mes pensées. J’ai dormi durant cette nuit. Ou alors je n’ai fait que penser, que rêver, je ne sais plus trop. Alors que le soleil transperçait les fenêtres du salon et atteignaient doucement la chambre de Marc-André, je me disais que j’aurais tellement aimé une nuit dans son lit. À ses côtés. Qu’il me tienne dans ses bras, qu’il m’embrasse. Mais il avait raison, ce n’est pas ainsi que cela doit se passer. Je dois me résoudre à n’être qu’une sous-race.

Je l’ai entendu se lever, il s’est approché du canapé, a baissé son froc pour installer sa raie bien odorante sur ma face. Après avoir lâché quelques pets bien bruyants et puants, il m’a dit de ne rien oublier chez lui. Il s’est refroqué, il a bu un verre et est parti au taf. Sans se laver, sans se rechanger. Je me suis levé quelques minutes après, me suis préparé et j’ai vadrouillé une dernière fois dans son appartement pour y sentir encore son odeur, sa présence. Les traces sur mon corps ne s’étaient que peu estompées, les marques de ceinture étaient creusées, mon visage, lui, néanmoins avait repris son apparence normale. Ma valise prête, j’ai dit au revoir à cet appartement, j’ai claqué la porte et j’ai descendu les escaliers et me suis rendu à l’aéroport.

De retour en France, avec le jet-lag, j’ai tellement peu dormi, il fallait absolument que je retranscrive tout ce que j’avais vécu à Montréal avec Marc-André. Et j’ai choisi de reprendre toute l’histoire depuis le début. Le jour où les souvenirs s’éteindront, j’aurais une trace dans ce journal de tout ce que j’ai vécu. Et personne ne pourrait nier ce que j’ai vécu. J’ai rencontré Dieu. Il habite au Canada.

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