Je suis conseiller bancaire à Nice depuis presque cinq ans, ce n’est pas le métier le plus sexy du monde, mais ça me permet bien souvent d’avoir de jeunes mâles dans mon bureau. C’est un aspect indéniable du métier : les clients. Évidemment, j’ai aussi à faire à des nanas et des gros chauves bedonnants. Un jour, en réunion de formation départementale, je vois un collègue d’une agence située à 50km de la mienne qui me tape tout de suite dans l’œil. 1m80, brun, mignon et surtout avec un sourire bien pervers. Pas sûr qu’il soit gay, mais de toute façon, je n’oserais jamais l’aborder. La formation se termine, j’ai ce goût amer en bouche (pas encore celui de son sperme malheureusement) de ne pas avoir oser.
Quelques semaines plus tard, en me connectant sur un des sites de rencontres que je fréquente, je tombe sur un profil sympa, qui m’aborde, on fait connaissance. On s’échange des photos de bite, de cul, de panards, il a l’air de bien kiffer les odeurs comme moi. Il est pourvu d’une belle teub de 18cm plutôt épaisse et semble avoir un mental de domi, même s’il l’ignore encore. Puis vint le fameux moment d’échanger des photos de visage. C’est souvent à cet instant que la conversation s’arrête. Ou que l’autre ne répond plus car votre gueule ne lui revient pas. Évidemment, vous voyez pertinemment où je veux en venir… Je reconnais le collègue vu il y a plusieurs semaines à la formation. Lui ne me reconnaît pas en revanche, c’est un peu vexant.
Je lui explique la situation, cela ne lui pose aucun problème, au contraire, je crois même que ça l’excite. Il m’avoue être en couple, je lui dis que moi aussi, ce qui tombe plutôt bien. On échange sur nos trips, nos envies, on parle beaucoup, longtemps, des heures pendant des jours durant. Nous savons pertinemment qu’il sera compliqué de se voir et qu’il faudra saisir toute opportunité. Je lui parle de ma passion pour le jus, il me dit qu’il jute un max, ce qui évidemment me rend encore plus impatient de le voir. Je lui dis que j’aime les odeurs, voire la crasse, cela ne le dérange pas. Je lui dis que j’ai envie de lui appartenir, il acquiesce encore et dit que cela lui convient. Je lui fixe néanmoins quelques limites ; de ne pas me marquer, de ne pas me baiser le cul et de ne faire aucune photo ou vidéo, là encore, il dit oui.
Une date se fixe : un lundi après-midi. Chez lui, sa meuf sera absente. Il sera en congé cette semaine, il aura besoin de récupérer de ses 30 ans fêtés en grande pompe avec une tonne d’amis à lui. Il imagine déjà un plan : celui de prendre sa dernière douche vendredi soir de telle manière à me faire bien profiter de ses odeurs et de sa crasse lundi. J’ai un peu peur, mais c’est cela que je souhaitais. Deuxième action qu’il met en place trois semaines avant que l’on se voie : juter dans un récipient qu’il mettra au congélo et me fera bouffer lors du plan. Ma queue s’est raidit directement à cette idée. J’avais tellement hâte de le voir.
Le lundi en question arrive et je reçois les dernières recommandations avant de partir de chez moi : je dois apporter un bandeau pour mes yeux et je devrai à mon arrivée devant chez lui me foutre totalement à poil et ensuite sonner. Personne n’habite en face de chez lui me confie-t-il.
J’arrive devant son immeuble cannois, je me gare et je monte, mon sac à la main, histoire d’y mettre mes vêtements à l’intérieur avant d’entrer. Je monte au troisième sans ascenseur et je me mets devant sa porte. Je pense qu’il me lorgne déjà. Je retire mes vêtements et me retrouve totalement nu devant sa porte. Il m’avait également demandé de mettre en place le bandeau avant de sonner chez lui. Je trouve tant bien que mal l’interrupteur pour me confier à lui. Celui qui m’avait plu à la formation et que j’ai retrouvé ensuite : il allait me foutre la misère.
Il m’a fait entrer chez lui, je n’y voyais rien, il a pris mes affaires pour les mettre à l’intérieur. Il m’a emmené dans ce qui semble être le salon, il m’a fait mettre à genoux devant lui, il s’est saisi d’une fiole qu’il a ouverte, j’ai reconnu au bruit. Il semblait s’induire quelques parties du corps. Il m’a ensuite fait le lécher, je suis passé par sa queue, son ventre, ses cuisses et le dessus de ses orteils, le tout recouvert de jus. Le goût était excellent, je pensais être assez vite écœuré mais je tenais bon. Le manège a bien duré dix minutes. Je l’entendis éplucher une banane et toute enduit de foutre, il me la fit gober en quatre morceaux…
Il m’a fait le suivre ensuite un peu plus loin, il s’est assis et je suis resté à 4 pattes devant lui, il m’a dit de lui lécher les pieds. J’ai de suite senti à l’odeur et au goût qu’ils n’étaient pas clean. Le goût était vraiment dégueulasse. Mais j’ai évidemment assumé mes propos et j’ai tout léché. J’ai dû me résoudre à lécher et à récurer son autre pied. Il m’a dit : « Je porte des chaussures de ville depuis samedi matin. Sans chaussettes. Je comprends tes grimaces. ». Quel porc ! Mais je kiffais. J’étais humilié. Salement.
Puis une fois le supplice passé, je devais le sucer et le sucer encore. C’était le deal. Je lui demandai de retirer mon bandeau. J’ai alors pu le voir et chopper son regard et son sourire. Avant de retourner sur sa queue qu’il arrosait copieusement de sa fiole de jus. Et moi je bouffais, j’avalais toute sa semence qu’il avait crachée des semaines durant. Pour moi. En m’imaginant la bouffer très sûrement.
D’un coup il me dit : « J’ai envie de ton cul. Fous toi sur la table ». Je ne me fais pas baiser habituellement, mais je me suis plié ici à ses exigences. Car il m’excitait. Je me suis mis sur la table, ventre posé dessus, il a enfilé une capote, du gel et il m’a baisé. Ce qui m’a étonné, c’est qu’il est entré assez rapidement et facilement. Il m’a bien baisé puis m’a demandé de me retourner, je me suis donc retrouvé dos à la table, les pattes en l’air pour un bon bourrage de mon cul. Il m’a bien défoncé. Au bout d’un certain moment, il est sorti de mon cul, s’est rassis sur le canapé et m’a demandé de venir le sucer.
Il a repris sa fameuse fiole, continuant le manège de s’en coller sur la teub, le ventre, que je lapais comme une grosse chienne. Une fois presque arrivé à la jouissance, il m’a lancé un « Cul sec pour le reste » ! Il restait bien deux bonnes gorgées, j’ai alors saisi la fiole, j’étais hyper chaud mais stressé. Je ne voulais pas gerber. Les fans de jus comprendront ce que je ressens à ce moment : le besoin de lui plaire et de le satisfaire mais l’appréhension de ne pas avoir de réflexe vomitif. En deux fois, j’avalai le reste de la fiole. Pendant ce temps-là, il me regardait, il se branlait.
Puis vint l’heure d’avaler une nouvelle dose de foutre, mais chaude celle-là. Il m’a laissé le branler, le sucer jusqu’à la jouissance finale. J’ai avalé cette dernière rasade de foutre, comme si c’était la première, tel une morfale. Je me branlais depuis un moment, et il m’a demandé si je voulais jouir sur sa gueule. Une petite gueule comme la sienne, ça se salit ! J’ai accepté et j’ai recouvert sa tronche de mon jus bien chaud et épais. Il a kiffé. Il m’a proposé une douche, j’ai évidemment accepté. Une fois fait, on a bavardé un peu autour d’une bière, on a parlé boulot. Je lui ai « reproché » de ne pas m’avoir mollarder la gueule, il n’y a plus pensé, m’a-t-il confié. Pour une prochaine.
Hier à mon boulot, j’ai appris une nouvelle : un collègue allait être muté pour remplacer Sandrine, partie à la retraite. Il s’agissait de mon fan de jus. Dans mon agence. Quel rêve…