Banquier accro (02/02)

Sa mutation se ferait dans trois mois. Ce qui nous laissait quelques créneaux pour se voir et apprécier nos esprits pervers avant de devenir collègues de travail. Il prévoyait de déménager à Nice avec sa nana et d’y acheter un appartement. Il est actuellement en location sur Cannes et à 30 ans, il pense que c’est plutôt judicieux d’acheter. Mais avant ce projet, mon banquier avait voulu me revoir. Nous en avions parlé tellement de fois que nous impatientons les deux au fait de se voir à nouveau.

La seconde entrevue était prévue le lundi à midi, comme la dernière fois sauf qu’on avait pensé à prendre un repas avant, pendant ou après de s’en être donné à cœur joie. Il avait choisi un restaurant de sushis pas loin de chez lui et m’a fait la liste de ce qu’il voulait. J’ai passé la commande sur Internet le matin pour y passer juste avant le plan. Évidemment, je l’avais compris assez tôt, c’est moi qui régale. Lui est le supérieur, mois le sous-homme. J’ai donc payé ce premier resto, ce ne serait pas le dernier. Heureusement, mon banquier n’était pas le plus gourmand des hommes.

Les sushis récupérés, je me suis pointé au troisième étage de son appartement ou il m’attendait de pieds fermes dans son petit caleçon bien tâché de jus, ou de pisse, je ne sais pas trop. Je devais lui amener, en plus de la bouffe, un caleçon à moi dans lequel il pourrait juter et me faire porter et/ou sniffer les fois suivantes. Je lui ai donné le sac de sushis, il m’a dit « Les chiens, ça se met à poil et à quatre pattes », je me suis donc exécuté et j’ai retiré toutes mes fringues, avec un bon début de gaule. Je me suis mis à quatre pattes, comme voulu, et j’ai suivi mon banquier dans son salon. J’ai pu apercevoir sur le table la même fiole de jus que la dernière fois, remplie à ras-bord, un peu plus même que précédemment. Il s’est assis sur le canapé et j’avais le bonheur de le voir là en caleçon, son paquet qui prenait des ampleurs indécentes. Je lui dis à chaque fois, mais que sa queue est grosse, il m’impressionne ce mec.

« Passe-moi la fiole » fut sa deuxième tirade de la journée, j’ai saisi la fiole remplie de jus posée sur la table du salon, il l’a prise en main et a recommencé le spectacle si plaisant de la dernière fois. Il s’en est versé sur le torse, sur le ventre et j’ai lapé, comme un petit chien. Il a ensuite retiré son calbut et sa grosse queue est à nouveau apparue à mes yeux, j’ai sucé, léché le jus qu’il lâchait sur sa queue, ses couilles. Pour la première fois, il m’a fait lui bouffer le fion. Il s’est penché en arrière afin que je puisse plonger au plus profond de lui ma langue longue et agile. Je lui ai bien ramoné le fion de ma langue, sa queue était plus grosse que jamais. Au bout d’un petit moment, il s’est remis en position assise afin que je le finisse. Et qu’il finisse dans ma bouche. Ce qu’il a fait quelques instants plus tard. Dans un râle de plaisir, en me tenant bien fermement les cheveux. J’ai évidemment avalé ma dose de protéine. J’étais bourré de protéines avec tout le jus qu’il me faisait bouffer.

On est ensuite passé à table, pour avaler les sushis, dont nous deux étions des fans. Il a versé un peu de jus dans ma sauce sucrée, j’ai plongé tout mes sushis dans cette sauce royale. C’était d’une part humiliant et d’une autre part, totalement excitant. Ce mec avait saisi ce que je souhaitais d’une relation avec un autre mec. Je me suis d’ailleurs dit à cet instant que je n’aurai plus besoin de chercher des extras. Si nous continuons à nous voir une deux fois par mois, cette relation suivie et le fait d’être soumis à ce mâle me suffirait amplement. J’espérais que pour lui aussi, cette relation serait aussi suffisante.

Le repas s’est ensuite passé de manière normale. Nous étions les deux en caleçon devant nos sushis à parler boulot. Le fait que nous fassions le même boulot faisait que la conversation ne se tarissait jamais. Et quand nous bosserons au même endroit, cela serait encore mieux. Il a d’ailleurs avancé sur son projet immobilier et sa meuf (qui bosse déjà sur Nice) est fine heureuse, ils ont trouvé un appartement de deuxième main dans le quartier Gambetta, nous ne serons pas loin si le projet se concrétise. Et on imagine déjà des trucs bien pervers, en faisant rencontrer nos meufs pour passer encore plus de temps ensemble. A faire des trucs dégueulasses.

Le repas englouti, il m’a dit « Vas dans la douche, j’ai une surprise pour toi ». Je m’exécutai, ne savant trop à quoi m’attendre. Je suis donc allé nu dans la douche, il s’est ramené avec une grande bouteille pleine d’un liquide qui ressemblait à de la pisse. « Une bonne douche de pisse pour la lope, tu vas kiffer » me lança-t-il. Il s’est approché de moi et a versé lentement sa bouteille sur ma gueule et mon corps. Moi je me branlais. Quel gros pervers je suis. Mais vu la gaule qu’il se trainait en face de moi, je supposais que cela l’excitait aussi. Une fois la moitié de la bouteille vide, il s’est approché et a versé la pisse sur sa queue pour que je le pompe. C’est une première pour moi, et je dois dire que l’odeur de sa pisse, presque translucide, me met en transe. Je l’ai pompé comme un fou. La bouteille de pisse terminée, il m’a demandé de me doucher avant de venir le rejoindre au salon.

Quand j’ai passé la porte, il était là à se branler, en m’attendant. Je me suis donc assis devant sa grosse queue, ma position préférée, et j’ai pompé. L’une de mes activités favorites au monde en fait. Je l’ai pompé, en alternant fonds de gorge et branle avec ma main droite. De la main gauche, je me branlais, il m’excitait tellement mon banquier. Il m’a juté une seconde fois, en fond de gorge cette fois-ci et j’ai avalé ce que je pensais être la dernière dose de la journée. Mais il a saisi la fiole qui était encore remplie de moitié. J’ai dû avaler son foutre. Encore. Après avoir bouffé des tonnes de sushis, une dizaine de rasades de foutre, un peu de sa pisse avouons-le, j’ai pris mon courage à deux mains et j’ai avalé le reste de la fiole. Il l’a saisi d’une manière assez fière et m’a remercié. Il m’a dit de prendre mes affaires, il avait encore du taf l’après-midi. Je me suis exécuté et j’ai quitté son appartement, la queue encore bien dure. Je me suis branlé comme un fou en rentrant chez moi.

Le débrief que nous avons eu quelques jours après a mis en avant cette absence toujours récurrente de mollards. Il s’était pourtant entraîné à cracher pour le plan. Je lui ai dit que l’aspect pisse m’excitait beaucoup et que d’autres trucs étaient envisageables. Je lui ai avoué que le côté humiliant de devoir lui payer le resto était tout aussi excitant que le reste. Je crois que cela n’est pas rentré dans l’oreille d’un sourd.

Trois semaines plus tard, nous nous sommes revus, mais il avait convenu d’un rendez-vous dans le centre-ville de Cannes au McDo. Arrivé devant, il m’attendait en réalité un peu plus loin. Il avait changé d’avis et de resto, j’ai pris un peu peur, car je savais que ce serait moi qui régalerais. Et certains restaurants sur Cannes, comme partout finalement, peuvent chiffrer facilement. On arriva au « New-York New-York », une brasserie que je connaissais mais où je n’étais encore jamais allé. C’était assez sympa et on s’est commandé une boisson et un plat. J’aurais bien pris un dessert mais mon banquier était beaucoup trop pressé de me la mettre. Il m’a laissé aller payer la note tandis qu’il regardait son smartphone. Totalement indifférent. Il m’a avoué avoir été déçu de ne pas pouvoir me toucher sous la table durant le repas. Je lui ai avoué que je m’attendais à devoir bouffer des plats agrémentés de parties de lui.

On est arrivé rapidement chez lui après avoir pris ma voiture. On prendrait dés lors toujours ma voiture, privilège du domi. Passé la porte, il m’a demandé de me mettre totalement nu et de m’installer dans la douche. Je savais ce qu’il voulait. Il est arrivé, en caleçon, avec sa grosse queue déjà bien imposante malgré sa non-bandaison. Il s’est installé debout devant moi, qui était à genoux devant sa grosse queue. Attendant sa pisse chaude, la bouche grande ouverte. Il s’est concentré. Longtemps. Je suis resté silencieux. Longtemps. Mais il n’a pas réussi. L’exercice est difficile, les personnes ayant déjà essayé le savent. Je l’ai rassuré, lui disant que ce n’était pas grave et que ce serait pour une autre fois.

Il semblait énervé mais je n’y pouvais rien. Il m’a dit de m’installer dans le couloir, je n’aurai pas droit à une autre pièce aujourd’hui. Il m’a fait le sucer. Il était plus violent que d’habitude. Il m’a installé contre la porte d’entrée afin de me bourriner la gueule. Il n’a pas oublié de me mollarder à la gueule aussi. Il ne râclait pas très fort mais ses mollards étaient agréables. Il m’en recouvrit le visage, m’en mis aussi dans la bouche. Sa queue était toujours aussi bonne, je la suçais du mieux possible. Allongé sur le dos, il m’a fait lui lécher ses bons panards, il m’a foutu son trou sur le nez et j’y ai introduit ma langue au plus profond. Mon banquier couinait un peu j’avoue. Si sa meuf voyait ça… Elle en serait morte de jalousie.

Il s’est levé pour sortir capote et gel. « J’ai envie de te niquer » me dit-il. Il s’est exécuté assez rapidement et m’a embroché rapidement. Durement. Sans préparation, comme la dernière fois. Ce n’est pas le genre à bouffer le cul pour préparer. La sodo brutale a dû l’exciter pas mal étant donné qu’elle n’a pas duré bien longtemps. Il s’est retiré de mon cul pour venir lâcher tout son jus sur ma gueule. J’en ai eu aussi dans la bouche, pour mon plus grand plaisir.

Il m’a autorisé à reprendre une douche, une fois sorti de la salle de bain, mes affaires n’étaient plus là mais m’attendaient sur le palier. « A bientôt chienne ! ». Je suis donc sorti, me suis rhabillé sur le palier, humilié comme souvent avec mon banquier. En reprenant ma voiture, j’ai reçu une photo d’une bouteille d’un litre et demi de Cristalline remplie aux trois-quarts de sa pisse avec le message suivant : « Putain, dégoûté ! Il y avait à boire. Une prochaine fois ? ». Ses mots et cette photo m’avaient largement excité. Mais je ne savais trop ce qu’il voulait au niveau pisse, nous en reparlerons. Il m’avait fait réaliser une enveloppe d’argent à la suite de cette déception et m’avait dit de mettre vingt euros dans l’enveloppe. Il me fera ensuite, à chaque erreur ou déception que je lui faisais, l’alimenter. Je ne sais pas encore à quel fin. Je ne suis pas dans sa tête. Aujourd’hui, il y a 70€. J’avais oublié son anniversaire et je lui ai désobéi une ou deux fois.

La dernière fois que nous nous sommes vus, c’est lors d’une formation de deux jours à Antibes. Deux jours à passer à se lorgner. Cela allait être terriblement excitant mais aussi tellement frustrant. Nous avions prévu de manger ensemble le premier jour le midi. Il devait manger avec une collègue amie à lui. Mais le matin même il m’a envoyé un message me disant « Tu croyais quand-même qu’une sous-race comme toi viendrait manger avec moi et une amie ? ». Je n’ai pas tellement su quoi répondre, me trouvant dans une position tellement avilissante… J’ai acquiescé ne sachant quoi répondre. Je suis allé manger avec un gros collègue de Nice avec qui je n’avais aucune affinité. J’ai reçu un message à mon retour de repas. « Troisième étage, chiottes pour nanas ». C’était clair, il avait envie de se vider les couilles.

Les salles de formation étant au premier étage, mon banquier ne prenait pas tellement de risque de se faire chopper.
J’ai enjambé les marches quatre à quatre pour rejoindre mon mâle et sa grosse queue. Il était assis sur les chiottes à branler sa grosse queue. J’ai sorti la mienne, j’étais trop excité et je l’ai sucé. Quelqu’un a essayé d’ouvrir la porte, on s’est dit que ce n’était rien et on a continué. Il a mis peu de temps à remplir ma bouche de son foutre chaud et gluant. J’ai avalé. Je me suis approché de son cou, j’ai déposé un baiser et lui ai dit « Merci de m’humilier si fort ». Et nous sommes sortis pour retourner à la barbante formation. Personne n’attendait dehors, donc nous avions été les plus discrets possibles.

Le soir en rentrant, il m’a envoyé un message pour me dire que nous mangerions ensemble chez lui le lendemain, qu’on irait dans un magasin acheter des trucs à bouffer dans le coin. Enfin on, je paierai pour nous. On s’est donc retrouvés le lendemain, on a pris les voiture, acheté des victuailles à Auchan et avons rejoint son appartement. Encore une fois, mon banquier n’est jamais trop gourmand niveau achat de bouffe et thunes. Mais je doute que cela continue encore longtemps… Il m’a fait bouffer son jus, deux fois de suite, j’adore tellement sa grosse queue moelleuse. Et je suis toujours impressionné par le fait qu’il ne débande pas après l’avoir vidé. C’était la première fois que j’en profitais. On a mangé en parlant de nos projets pour l’été, des voyages prévus et savions qu’au premier septembre, nous serions réunis sur Nice.

Il m’a dit trois mots à concrétiser pour ce nouveau départ : pisse, exhib et sodo. Ce seront nos trois objectifs à atteindre et à dépasser durant l’année à venir. Il me parle de quantité folle de pisse. Mais de pisse à avaler. Il m’a dit qu’il pissait au moins un litre de pisse à chaque fois qu’il allait aux chiottes mais que selon lui, cela pourrait même atteindre deux litres… Et il aimerait que j’avale tout. Ça m’effraie atrocement, mais ça m’excite tellement aussi. Pour l’exhib, il aimerait beaucoup faire ça dans des endroits insolites, voire sous les yeux d’une autre personne. Enfin, il aimerait continuer à me baiser le cul, alors qu’il sait que je ne suis pas anal avec les mecs. Mais j’aime être soumis et humilié. Enfin, je sais que je vais devoir raquer. Encore plus… Mais je n’y peux rien. Je suis accro à mon banquier. Tellement fort.

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