« J’arrive dans deux heures à la gare de Lyon » C’est le message que je viens de recevoir. Je me décide à venir te chercher. Tu connais mes conditions. Je ne suis pas fan d’odeurs ni de crade. J’aime que le mec soit passif et très gourmand. Il doit chercher à me faire plaisir sans que je lui demande, à m’épater, à m’obéir sans rechigner. Chaque fois que je dois être directif, cela m’agace et ce n’est pas bon pour toi… Plus je suis agacé, plus je suis invivable voire brutal et violent. Toi, tu es intrigué par moi, je t’attire mais malgré tout, tu crains de ce que je pourrais t’imposer. Tu me connais sans vraiment m’avoir cerné.
Je viens te chercher et malencontreusement, je suis obligé de t’attendre. Le train aura du retard et du coup je me mets en rogne. Tu me sonnes lorsque le train entre en gare. On se rejoint quelques minutes après. Tu es désolé. Tu as une boule d’angoisse. Tu sais que je suis contrarié. On sort alors pour rejoindre ma bécane. Je ne suis pas impressionnant et cela te rassure un peu. Je ne fais pas si peur que tu l’avais imaginé, mais ce n’est qu’une couverture, je sais cacher ce genre de choses.
Tu te présentes à moi tout sourire mais avec ce fond d’angoisse que je ressens dès tes premiers mots. En fait tu espères que ton sourire charmeur endormira mon agacement. Et moi à cet instant je pensais « Mais quel con ! Il me fait mariner et il me nargue avec son sourire ». Je m’assois sur ma bécane et je tends mon bras et te colle une magistrale claque devant tout le monde. « Efface-moi ce sourire de niais de ta tronche de morveux ! Tu me fais poireauter et ça te fait sourire ! Tu as vraiment besoin d’être dressé toi ! Tu vas voir, je vais te montrer à coups de fouets comment on apprend le respect aux sous-merdes dans ton genre ! » Tu tentes alors de bégayer quelques mots mais tu n’as pas le temps de finir ta phrase que tu en reprends une dans ta face : « Ta gueule… Et mets ton casque ! » Tu t’exécutes et je rajoute : « J’espère que tu sais au moins être un bon passager à moto ! Grimpe salope ! » Tu commences à douter… La peur te tiraille et tu te demandes dans quelle galère tu vas te fourrer…
Mais finalement tu te décides. Tu grimpes sur la moto et nous partons. En roulant, tu tentes de m’amadouer et m’exciter en glissant ta main sur mon paquet. Ça ne me fait aucun effet. Tu as raison, tu m’excites mais l’excitation aiguise mon irritabilité. J’ai été particulièrement agacé de devoir t’attendre dans le froid à la gare, avec passants qui me regardaient comme si j’étais une pute en train de faire le trottoir. Cette décharge de haine qui est en moi n’est pas près de disparaître. Il va falloir que tu donnes de toi pour te faire pardonner !
Nous arrivons chez moi et je te demande de descendre de la moto pour aller ouvrir le portail. Tu descends de la bécane d’une manière foireuse et en plus tu n’arrives pas à ouvrir le portail. Je suis obligé de mettre la moto sur béquille et ouvrir le portail par moi-même. Non seulement tu n’as pas l’air doué mais en plus j’ai l’air fin avec la trique visible dans la rue. Je rentre la moto dans le jardin et te montre une porte. Je te demande alors de m’attendre devant cette porte. Je fais le tour pour entrer chez moi et je descends t’ouvrir. Je te fais entrer. Nous sommes dans une pièce de deux mètres carrés avec une porte sur chaque mur.
Là je plonge ma main dans ton boxer. Je veux vérifier, je manipule brutalement ta queue, la décalotte, frotte mon doigt contre ton gland. Je ressors ma main et sens mon doigt. Je vois que tu as fourni un effort : ta queue est propre mais après quelques heures dans le caleçon, elle sent, très peu mais il y a un soupçon d’odeur. Je te colle une baffe sur l’arrière de la tête. Ce ne sera pas la dernière que tu recevras durant ton séjour.
J’ouvre une porte et tu découvres alors un minuscule cagibi. Il y a une chaise et elle occupe toute la place. Je te retourne et attache tes mains dans ton dos avec un collier plastique. Je te force à t’assoir sur la chaise et attache tes mains à celle-ci avant te balancer : « Hey mec ! Je t’ai à peine vu que tu m’as gavé alors je vais te laisser sécher ici. Ça te fera réfléchir un peu. Quand je reviendrai, j’espère que tu seras capable de me proposer quelque chose pour te faire pardonner. » Je claque la porte et tu te retrouves coincé dans le noir dans ce petit espace exigu. Tu entends mes pas sur les marches d’escaliers qui sont le dessus du cagibi.
Je reviens te voir une heure plus tard, j’ouvre la porte et tu es ébloui par la lumière : « Alors tu as réfléchi ? Tu n’es même pas à la hauteur de tes prétentions… Tu as une grande gueule par mail et à la caméra mais en réel tu n’es qu’une grosse merde. » Je te sors un glaviot d’anthologie. J’ouvre ta bouche et le crache au fond de ta gorge, la referme et te colle une claque sur l’arrière de la tête. Je te montre un verre plein sur une toute petite étagère dans un coin de ce cagibi. « Regarde ce verre ! C’est ma pisse de ce matin… bien froide et puante. » J’attrape le verre te le porte à la bouche : « Bois ! Et ne t’avise pas d’en faire tomber à côté ou de recracher. » Tu bois tout en prenant bien soin de ne rien faire tomber ou ruisseler. « Tu boirais n’importe quoi toi ! C’était la pisse de mon chien, mais ce n’est pas grave, ça prouve que tu es prêt à beaucoup de choses… » Je te vois avoir des relents, je sais que je suis sadique. Je n’ai même pas de chien.
Je te détache de la chaise, te mets debout, baisse ton froc et ton boxer. Je palpe ta queue et tes burnes. Je prends tes burnes en main et je les serre fort. Tu te plies de douleur. « Alors tu es prêt à m’obéir sagement ou tu as besoin d’être dressé ? Penche-toi en avant. » Une fois penché, je palpe tes fesses, mon doigt va titiller ton petit trou. Puis je t’enfonce sans ménagement un plug à peine lubrifié. Je te force à t’asseoir te rattache et repars en te laissant dans le noir le plus total. Encore.
Toi de ton côté, tu commences à être excité par la tournure que prennent les événements mais tu as peur. Que va-t-il bien t’arriver ? Tu sens la présence de ce plug en toi, tu as le goût de mon urine dans ta bouche, tu es attaché dans le noir d’un minuscule espace. C’est le seul endroit que tu as vu dans ma maison.
Quelques heures plus tard, c’est autour d’un whisky-coca que nous nous réconcilions. Je t’ai laissé mariner dans le cagibi pour voir si tu étais capable de tenir, de ne pas t’effondrer telle une merde, tu as résisté, le jeu va donc reprendre son cour normal. Je t’ai retiré le plug de ton cul de lope et je voulais désormais passer aux choses sérieuses.
Prétextant quelques photos incroyables dont je voulais te faire partager la primeur, je t’attirai alors vers une pièce au fond de la maison. Tu me suivis sans broncher, savais-tu que tu étais au centre d’un piège qui se refermait sur toi-même à chacun des pas que tu faisais ? Que tous ces pas te conduisaient, dans ce long couloir, au destin que je te réservais ? Une grande chambre, aux volets baissés, avec salle de bain et WC privatifs, sera l’aire de jeux et de dressages intensifs. Je te fis passer devant moi pour te faire les honneurs de la pièce. À peine avais-tu le dos tourné que je te poussais sur le lit pour t’attacher solidement les mains à l’aide de menottes de circonstance. Tu poussas un cri de stupéfaction en lâchant un : « Déjà ! Mais attends un peu ! » vite contré par la lanière de cuir tendue autour d’un slip sale imbibé de pisse et de sperme séché que je te serrais autour de la bouche.
Étendu sur le lit, les mains et la gueule entravées, il me faut à peine une minute pour ôter ton pantalon, tes baskets et t’arracher cette chemise bleue déjà partiellement déboutonnée. Un beau spectacle que ce grand garçon presque nu, les genoux à terre et le torse sur mon lit. Je t’écartais violement les jambes et passais ma main par derrière entre tes cuisses. Je pouvais constater que tu bandais très fort et que ta queue était tout bonnement énorme lorsqu’elle bandait fort. Je pensais à ce moment précis que j’avais choisi la bonne salope et qu’elle allait en baver. À dire vrai, je bandais comme un taureau et mon boxer était trempé de mouille à l’idée de ce séjour qui s’annonçait torride.
Une fois le caleçon à terre, je tirais sévèrement ta grosse queue et tes couilles en arrière entre tes cuisses pour te faire comprendre qu’il fallait désormais m’appeler Maître et me vouvoyer. Une ceinture en cuir et une raclée sur tes fesses suffisaient à te faire lâcher le « Oui Maître, bien Maître » que j’attendais. Pour te féliciter de ce premier pas, je te permis de te mettre debout afin de t’inspecter des pieds à la tête. Mais pourquoi est-ce que je te parle à toi finalement ? C’est à tous mes lecteurs que je vais désormais m’adresser pour leur montrer le calvaire que je t’ai imposé…
Je lui fis comprendre qu’il devait baisser la tête et les yeux par quelques baffes bien administrées. Ce qu’il fit sans broncher. Inspection édifiante, bon tétons que je pinçais et mordillais et comme j’avais ses couilles dans une main, chaque petit cri était assorti d’une pression pour lui faire comprendre que je voulais du silence. Une vraie grosse bite très épaisse que je décalottais à plusieurs reprises en mordillant le prépuce. Me restait à examiner son cul plus en profondeur. Je le fis mettre à quatre pattes la tête sur la moquette et le cul en arrière. Du gel, un doigt, deux doigts, trois doigts, un nouveau plug de taille plus considérable enfin enfoncé qu’il garderait quelques temps. J’étais satisfait, tant le potentiel de cette salope à en devenir était énorme.
Il était à genoux… Je lui mis sans attendre davantage son collier de chienne et une laisse qu’il garderait toute la nuit. Je retirai mon boxer de sa bouche. Exigeant de ma salope qu’elle se déplace à quatre pattes, je le tirais vers les WC, par sa laisse. J’exigeais qu’il mette sa tête dans les chiottes, le visage incliné. Je sortais ma grosse queue du jeans et fis couler délicatement ma pisse sur ses joues pour qu’elle arrive ruisselante au creux de ses lèvres en ordonnant qu’aucune goutte ne lui échappe. « Tu vas boire toute ma pisse petite salope. » Ce second « Oui Maître » me fit l’effet d’une bombe. L’excitation était à son comble et j’en voulais encore d’avantage. Assis sur les chiottes, je lui bandais les yeux. Je lui ordonnais de me lécher la bite et sans crier garde je lui enfonçais dans la gorge en l’étranglant avec sa laisse. Cette pute pouvait vraiment faire des gorges profondes sans pratiquement s’étouffer. Je décidais alors de le balancer sur le lit, sur le dos, tête en arrière sur le rebord du matelas et je me mis à lui limer la gorge pour lui faire gober tout ma mouille et je lui balançais des mollards sur sa petite gueule de salope excitée.
Cet exercice dura bien dix minutes et à chaque tentative d’esquive de ma queue, je lui administrais une correction sur ses grosses couilles pendantes. J’avais l’idée de lui faire bouffer mon cul, aussi je m’asseyais sur sa face de chienne en chaleur et lui imposais de me récurer le cul avec sa langue, bien en profondeur. Au même moment je décidais de m’attaquer à ses couilles en les serrant avec une corde que je pourrais tirer à volonté le cas échéant. Je pris du gel au creux de ma main et commençais à le branler frénétiquement. Puis j’arrêtais pour qu’il ne jouisse pas et je repris pour bien chauffer le gland de la salope qui me récurait profondément le cul.
Le plug ayant fait son effet je décidais d’aller inspecter son cul avec ma grosse bite. Je collais ma pute à genoux, par terre, je retirai le plug de son cul déjà bien ouvert. Avec une main je tirais la corde avec laquelle ses couilles étaient attachées et le rodéo pouvait commencer. Je lui introduis d’un coup sec ma queue et commençais à le limer sauvagement en me cramponnant à la corde à couilles. Je possédais totalement ma monture et quinze minutes après, j’entrepris de le gazer au poppers pour m’attaquer à une double pénétration avec mon pote le gode de vingt-quatre centimètres.
Les débuts de cette double pénétration étaient laborieux, mais la corde à couilles était là pour dissuader ma chienne de toute tentative de rébellion. Je parvenais à mes fins et les deux gros calibres pouvaient aller et venir dans son cul béant de salope au service du maître. Ce dernier exercice avait tellement excité ma chienne que je finissais par la goder en la suçant et c’est une explosion de sperme que ma bouche pouvait enfin accueillir. Je déversais ce trop-plein de jus sur mes pieds dont j’exigeais le nettoyage immédiat par ma salope. Un bon quart d’heure passé à me récurer les pieds, il était temps que je fasse bouffer mon jus à ma monture assoiffée. Je lui enfonçais ma grosse bite dans la gorge sans jamais la sortir avant que mon sperme explose et qu’il avale tout jusqu’à la dernière goutte.
Comme il était temps de se restaurer, j’enchaînais ma lope au lit, j’allais préparer quelques sandwiches dont je jetais quelques miettes et morceaux déglutis dans la gamelle réservée à ma chienne entravée. La nuit pouvait commencer… Le temps de reprendre quelques forces… Le premier round était désormais terminé et je le trouvais très prometteur. Je déposais sur le sol des pinces à tétons, des godes de différentes tailles, des entraves cloutées, d’autres cordes, une cage de chasteté, quelques foulards et chaussettes dégueulasses et le second round au clair de lune s’annonçait déjà comme jouissif.