La nuit des motards – 2/2

Ma chienne était maintenant rassasiée, prostrée au pied de mon lit auquel elle était attachée. Les nuits d’été sont belles en général et la lune dessine sur les montagnes la silhouette des grands arbres centenaires. Le parc qui entoure ma propriété pouvait être le lieu idéal d’un second round où se mêleraient grands espaces, brise légère, retour aux sources et un je-ne-sais-quoi d’inconnu pour mon bâtard à qui je décidais de faire prendre l’air.

Nu comme un ver, la bite humide encore, épaisse et bien pendante, j’entraînais ma salope à l’extérieur en ayant pris soin préalablement de lui passer une cagoule destinée à lui faire perdre totalement le sens de l’orientation.

J’entassais dans un sac de sport quelques instruments de torture sexuelle. Sa laisse en main, je lui fis faire le tour du parc sans lui dévoiler mes intentions.

— Tu bouges maintenant, et je te préviens que tu vas connaitre le plaisir des nuits d’angoisse en pleine nature, lui dis-je.

Il eut pour unique réponse :
— Mais Maître, vous serez là, vous restez à mes côtés ?
— Silence petite chienne, plus un mot ou ce sera ton dernier ! Tu peux gémir, pleurer mais tu ne parles que si j’exige une réponse à une question précise.

Le silence se fit aussitôt, juste le bruit de nos pas dans l’herbe fraîche, le cri des buses, et des renards qui semblaient observer ce curieux manège.

Mon choix se porta sur un arbre massif au fond du parc, juste à l’entrée de la forêt qui bordait l’extrémité sud du parc. Je poussais fermement ma lope et l’adossais contre le tronc rugueux à l’écorce saillante. Un premier gémissement me fit entrevoir que ce contact n’était pas sans douleur. Je sortais du sac quelques mètres de cordage et entrepris de le ligoter. Une corde autour du cou qui faisait le tour complet de l’arbre, idem pour le bassin et les jambes.

— Adieu petite lope, ce fût une belle expérience, lui lançais-je.

Je m’éloignais de ma proie ainsi ficelée et la laissai seule, au milieu de nulle part. J’avais un point d’observation, de la fenêtre même de ma chambre. À dire vrai, c’était terriblement bandant de voir ce grand garçon, seul, nu, aveuglé, planté là, laissé pour compte.

Une bonne demi-heure passa, le temps pour moi de griller trois ou quatre clopes, de vider quelques canettes de bière et pour ma lope d’être totalement angoissée. Je revenais à ses côtés, en passant par la forêt sans dire un mot et sans laisser entrevoir qu’il était question de son Maître. Des bruits de pas provenant des sous-bois, quelques coups portés sur les arbres voisins, des grognements aussi. Je m’approchais de ma chienne en panique et pouvais voir perler des gouttes de transpirations à l’intersection de la cagoule et de son cou entravé.

— Ohhhhhh Maître, Maître, je ne dois rien dire, Maître, Maître… Mais c’est vous Maître s’il vous plaît…

Brusquement et sans rien dire j’enfonçais un foulard dans le gueule de ma lope que je fixais avec du ruban adhésif. Je collais ma bouche à son oreille et lui murmurais en tentant de changer de voix :
— Ton Maître t’a vendu, tu es à nous maintenant… Tu seras docile sans quoi tu ne verras plus jamais le jour se lever… Fais un signe si tu as compris ce qui est en train de se jouer là !

Des gémissements, des pleurs et l’accord tacite de ma chienne par un hochement de tête.

Je commençais alors à disposer méthodiquement une cinquantaine de pinces à linge sur les tétons, les couilles et la queue de mon bâtard qui se tordait de douleur. Je dus lui administrer une baffe monumentale pour lui rappeler ce qui était en train de lui arriver. J’entrepris ensuite de l’étrangler par tranche d’une minute, pour le faire suffoquer, mais pas trop, juste afin de faire monter la tension. Ce petit jeu sadique dura en tout et pour tout une trentaine de minutes. Je libérais ensuite cette grosse chienne des pressions en tous genre et le détachais du tronc massif. Un soulagement total pour ma lope qui devait penser que le tour était joué et qu’en fin de compte le plus dur était derrière elle.

En un sens elle avait raison la petite salope. Le plus dur était bien derrière elle. Ma grosse bite gorgée de sang et la vessie pleine de bière, je jetais au sol mon prisonnier et j’enfonçais d’un seul coup brutal ma grosse bite dans son cul que je limais sauvagement et qu’en quelques minutes j’avais inondé de ma pisse la plus jaunâtre. Un lavement de circonstance qui me soulagea et mit ma chienne dans tous ses états. La petite salope était en train de bander et tentait de s’astiquer. Je lui attachais les mains dans le dos. J’entrepris ensuite d’essuyer mes baskets couvertes de boue sur le corps entravé de ma lope, allongée sur un tapis de feuilles et d’herbes en tous genres, et d’exercer de solides pressions sur sa queue raide et imposante que je piétinais sans ménagement.

Je remis ma chienne sur pieds et l’entraînais vers le potager, situé à quelques mètres de là. Toujours sans un mot, je la jetais à terre, face contre le sol et lui expliquais dans un timbre d’outre-tombe que j’allais fertiliser son cul en le gavant des légumes du jardin. J’arrachais quelques carottes en terre et entrepris de lui gaver le cul. Les cinq premières tiges passèrent assez facilement, mais au total une dizaine devaient trouver leur place dans son cul de salope. Un beau défi dont je suis fier et après tout, ma chienne aurait pu aussi s’en glorifier. J’exigeais ensuite qu’elle fertilise mon potager, et les carottes au cul, j’entrepris de la branler sévèrement pour irriguer les sillons désormais orphelins de quelques carottes. Une fabuleuse giclée de sperme me donna entière satisfaction. J’aspergeais à mon tour cette connasse de foutre son visage laissé enfin à l’air libre.

Il fut terriblement humilié de constater qu’il était question de son Maître et que toute cette angoisse était en fin de compte parfaitement maîtrisée. La dernière humiliation fut de taille. À l’image du retour à la maison, ma chienne en laisse, carottes plantées dans le cul, les feuilles à l’air donnaient à ma lope des allures de Bugs Bunny. Le second round était salé, mais tellement bandant. En nous rapprochant de la maison, nous entendîmes au loin des bruit des motos. Je me retourne vers ma lope et lui réplique :
— Tiens voilà ton dessert qui arrive.

Effectivement deux minutes plus tard quatre motos se garent dans le jardin. Je mets ma lope à quatre pattes, l’attache au pied de la table de jardin et je vais accueillir mes potes. Ce sont des mecs de cité qui font de la motocross et du stunt. Ils sont hétéros, mais dans le milieu cross stunt, la pudeur n’existe pas vraiment.

Le premier, Fred, 18 ans, grand et d’une maigreur affolante est totalement imberbe avec une queue courte, environ seize centimètres mais d’une largeur impressionnante qui lui a valu le surnom d’ouvreur. Il passe toujours en premier pour préparer les trous. Le deuxième, Joe, 24 ans, mince avec une musculature joliment dessinée et une queue de dix-huit centimètres circoncise avec un gland massif. Le troisième, Ben, 20 ans est plutôt trapu. Une vraie montagne de muscles.

Dix-huit centimètres avec un prépuce d’une longueur inimaginable ! Même en pleine érection le prépuce continue à pendre comme une queue au repos et pourtant il décalotte super bien. Et pour finir le quatrième, Seb, 19 ans est petit et mince, un vrai corps d’Apollon version miniature. On pourrait écrire un roman sur sa queue. Seize centimètres et très épais… Mais au repos ! En érection, on est plutôt à vingt-trois bons centimètres. Je vous laisse imaginer les proportions démesurées sur un corps aussi petit et fin ! Il est obligé de porter des baggy pour pouvoir ranger son arme redoutable. Mais je suis certain que ma petite lope Jared, friand des queues les plus massives, adorera Seb !

Je laisse donc la pouffiasse attachée à la table de jardin et nous entrons dans la maison pour rafler quelques canettes de bière. Le grand sec me demande alors :
— C’est quoi la chose que tu as attachée dans ton jardin ?

Je lui réponds :
— Une petite lope qui a besoin de se faire doser par des chacals. Je l’ai déjà labourée, humiliée et je lui ai même planté des carottes dans le cul. Mais il lui faut toujours plus ! Je sais que vous êtes ‘hétéros’ mais je sais aussi que vous êtes toujours en rut. Donc c’est l’occasion pour vous de vous défouler et d’explorer les zones les plus sombres de vos fantasmes refoulés. À part nous, personne ne saura jamais ce qu’on aura fait à cette sale chienne. Les mecs se regardent entre eux, gênés, ne sachant que répondre. Je sens que j’ai touché un point sensible et ils hésitent.

Je rajoute :
— Hey les baltringues. Vous faites les durs, votre devise « No Fear », vous en faites quoi ? Vous vous dégonflez ? Je vous ai déjà tous vus à poil, je vous ai déjà vu vous branler voire plus. Vous le faites sans pudeur et là vous faites vos tarlouzes à fourailler un trou avec vos queues. Alors vous attendez quoi ? Putain vous êtes vraiment des lopes tout comme elle, vous mériteriez que je vous traite comme la chienne qui est attachée à ma table de jardin. Vous me décevez, la prochaine fois que j’ai envie de pisser je vous appelle vous me servirez d’urinoir. Vous êtes juste bon à ça !

Je savais que la provocation allait réveiller les maîtres qui dorment en eux. Je ressens leur gêne, ils n’osent même plus se regarder. On dirait quatre adolescents puceaux en train de regarder ensemble leur premier film de cul. Je regarde le plus petit, il est manifestement gêné mais on voit pertinemment que son baggy est gonflé. Je me rapproche de lui, palpe sa bite à travers son froc.

— Mais tu bandes comme un porc mon salaud ! Ça t’a excité !

Je dégrafe son pantalon et sort son énorme engin. Putain c’est un manche de pioche, c’est monstrueux et gonflé à bloc. Je regarde les autres et leur dit :
— Allez montrez-moi les vôtres bande de fiottes !

Les mecs s’exécutent et, surprise ils bandent tous. Je me baisse et goûte à cette énorme queue que j’ai en main. Le petit mec frémit et n’arrive pas à contenir un gémissement de plaisir. Je me relève et leur dit :
— Bon les mecs, vous avez une lopette à rassasier en bas et lui faites pas de cadeau. Vous commencez par cueillir les carottes que j’ai plantées dans son derche puis vous me la finissez. Je vous avertis les mecs, je vous surveille. S’il y en a un qui se dégonfle où qui n’est pas à la hauteur, il prendra la place de la lope et j’aurai l’honneur de le fourrer sans ménagement en premier.

Et voilà que mes quatre petits motards descendent finir ma lope. Je suis surpris, ça a été plus simple que je le pensais de les engrener. Tu me diras, avec tout ce qu’ils ont ingurgité dans la soirée ; deux bouteilles de whisky et cinq pack de bière, ils peuvent être prêts…

Je regarde par la fenêtre mes quatre jeunots se taper le cul de ma lope qui hurle de plaisir. Mais sa bouche n’est pas longtemps laissée béante. Ben se met à lui remplir de sa bonne bite pendant que ses potes se succèdent dans son cul. Ils jutent tous à l’intérieur. Après avoir juté, les mecs vont s’installer un peu plus loin se descendant une ou deux bières. Comme si de rien n’était. No fear.

A quatre heures du matin, je vais saluer mes potes motards et les remercier de leur venue. Je vais retrouver Jared, le cul béant, il doit sentir les courants d’air vu comme il est ouvert. Il est couvert de terre mais son sourire me fait penser qu’il a passer un excellent moment.

_ Je t’emballe les carottes, tu pourras les manger en rentrant chez toi lui dis-je fièrement. Je le détache et lui demande de rester à quatre pattes, je tiens sa laisse et le fais remonter à la salle de bain. Je l’installe dans la douche, je règle la position sur l’eau froide et l’asperge de la tête aux pieds, je lui tends un savon pour qu’il retire toute la terre sur son corps. Il grelotte et j’adore ça. Les lopes ont besoin d’être refroidies : je ne sais pas combien de fois il a lâché son jus durant cette soirée. Je lui tends un linge et lui dit de me suivre, toujours la laisse autour de son cou.

Je l’amène dans ma chambre et l’invite à se coucher… Par terre, devant mon lit.
_ Ton train est à quelle heure demain ?
_ 10h03 Maître me répondit-il.
_ Très bien. Je mets le réveil à 8h, tu me prépares un petit déjeuner sur un plateau et je te ramènerai à la gare. Bonne nuit esclave dis-je. Il me répondit simplement. Je savais qu’il ne dormirait rien de la nuit. Le parquet est froid et grinçant. Je lui avais quand-même refourgué une vieille couette qui sent un peu le moisi. Je suis humain.

J’entends le réveil qui sonne, la lope est déjà debout et se dirige vers la cuisine. Ma vessie va exploser. Toutes ces bières auront eu raison de moi. Quelques minutes plus tard, il m’apporte un petit déjeuner complet.

_ Installe-toi à genoux. Ton petit déjeuner est ici lui dis-je en pointant du doigt ma grosse queue puante. Je lui pisse alors dans la bouche, il semble assoiffé tant il avale ma pisse avec désir. J’aime ça. Le flot semble ininterrompu. Si je n’ai pas pissé plus d’un litre, je n’ai rien pissé du tout. Jared me regarde avec ses grands yeux. Ce serait facile de tomber amoureux.

_ File t’habiller et te préparer, on part dans vingt minutes lui dis-je. Je prends tranquillement mon petit déjeuner, lui se prépare, élimine certainement les dernières traces de merdes laissées la veille. Il revient tout pimpant quelques minutes après.

_ Puis-je faire quelque chose Maître ? me dit-il. Je lui ordonne alors de décrasser mes pieds qui sortent de la couette. Il s’installe devant et fait son dégoûté. Le pauvre ne doit pas être déçu : la soirée en santiags sans cho7, ils sont dégueulasses. Mais il lèche. Après quelques minutes, je lui ordonne de descendre et de se préparer devant ma moto.

J’arrive vers ma bécane, il a son casque et porte le mien dans sa main gauche qu’il me tend. Je le ramène à la gare, avec l’honneur d’avoir pu voir pour de vrai Jared. Et de l’avoir humilié. Il s’en rappellera de cette nuit-là.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *