Quand on est arrivé dans la pièce d’à côté, mon mec était là, le regard perdu et le visage couvert de sperme, il avait de nombreuses marques rouges sur les fesses et le dos, il semblait ne plus en pouvoir.
Totalement vidé. Les sept mecs repartirent alors de chez Farid lui laissant chacun un billet de 20 balles, pour s’être bien amusés et bien vidangés. On se retrouva les trois nus sur le canapé.
« Ça va les mecs ? On vous a assez humiliés ce soir ? » dit Farid. Pour ma part ouais, mais mon mec n’avait pas l’air du même avis, il n’a pas pipé mot. On est sorti de l’appartement. Et je lui ai demandé ce qu’il avait, ce par quoi j’ai eu cette réponse d’un ton très sec et autoritaire : « J’avais jamais été autant humilié de toute ma vie ! Ces mecs m’ont pourri ! Ils m’ont donné des coups de ceinture, m’ont fait prendre en fond de gorge leurs teubs, j’en ai même gerbé !
Ils m’ont enculé à tour de rôle, puis à deux, puis à deux avec une télécommande de Wii en plus ! L’un des mecs m’a ensuite fisté, et ils ont fini par juter tous dans ma bouche et pisser dans mon cul béant ». Nous voilà de nouveau au début de l’histoire. Dans la voiture, à attendre ses mots.
Après quelques longues minutes de patience, on arrive enfin chez nous, il ne me dit toujours rien et moi je commence réellement à flipper. On monte à notre appartement en silence. Arrivés dans notre salon, il me lance enfin une phrase : « Fous toi totalement à poil, j’en ai rien à foutre que tu bosses dans 4 heures, tu vas morfler avant d’aller au travail, je vais te faire souffrir autant que j’ai souffert durant cette soirée ! » Je m’exécute donc sans broncher, je sais que ça sert à rien que je me révolte. Je n’allais apparemment pas assez vite pour lui qu’il m’a collé une droite dans la gueule qui m’a fait tomber à la renverse. J’étais à terre et je continuais de me déshabiller au plus vite. Je n’avais pas envie de m’en prendre une nouvelle de cette intensité.
Nico me prit ensuite par les aisselles et me traîna jusqu’à la cuisine, il me dit alors de m’allonger sur la table et sur le dos, qu’il allait chercher quelque chose. Je me plaçai donc sur cette table de manière à ce que mes jambes trainent le long des pieds de la table et que ma tête soit encore dessus, pas qu’elle pende. Il est ensuite arrivé, et m’a dit que ça ne le ferait pas ! « La tête en dehors de la table pour l’instant, j’ai besoin de ta bouche pour te défoncer comme la pute que tu es ! » Bon, je n’avais plus trop le choix des actes, je me mis comme il m’avait dit, la tête penchée en dehors de la table afin qu’il puisse se servir de ma bouche à loisir. Il se saisit de mes jambes qu’il attacha aux deux pieds de la table, il fit de même avec mes mains. Je n’avais donc plus aucun contrôle de moi, je lui appartenais.
Il commença alors par me placer des pinces à linges sur tout le corps. J’en avais sur les couilles, sur mon long prépuce, sur mes tétons ou encore sur mes cuisses. Il vint alors se placer nu devant ma bouche, son sexe en main. « Avale tout sinon c’est avec des couilles bleues que tu vas arriver tout à l’heure au travail. » De longues rasades de pisse commencèrent alors à sortir de sa grosse bite, je m’empressai d’avaler goulument ce liquide doré jusqu’à ce que sa vessie soit totalement vide, et c’est bien après un litre de pisse ingurgitée que ça se stoppait.
Il entreprit ensuite, étant donné qu’il n’avait pas encore une complète érection, de faire entrer dans ma bouche sa bite ainsi que ses couilles pourtant bien massives. Il y arriva après plusieurs manipulations, et je faillis gerber des dizaines de fois. Mais il s’en foutait royalement ! Il entreprit ensuite de me labourer la gueule avec sa queue qu’il faisait rentrer bien à fond. Il la ressortait complètement pour faire sortir un peu de précum et me le faire avaler… Cela dura bien une demi-heure, si bien que le sang me montait à la tête. Il le comprit et me plaça alors la tête sur la table pour la suite du plan.
Après le pied qu’il a pris avec ma bouche, il va encore bien profiter de moi. Il retira les pinces une à une et j’avais pour ordre de ne pas hurler sous peine de coups de ceinture. Je me retrouvai nu comme un vers attaché à cette table et lui tournait autour de moi en réfléchissant à ce qu’il allait pouvoir m’infliger. Il partit encore quelques instants afin de chercher des bougies, je connaissais pertinemment la suite. La cire sur mon corps allait me brûler encore et encore tout ou parties de mon corps. J’avais raison, il alluma un premier cierge qu’il me fit couler sur le torse et la queue, ce qui fait un mal de chien. « Dans deux heures, tu dois être au travail mon Amour… » lança-t-il avec un regard de pervers qui en disait long. Il s’en foutait, il ne bossait pas le lendemain, il pourrait donc dormir toute la matinée. Moi, je prenais à 8h du matin, départ à 7h et il était déjà donc 5h.
« Passons aux choses sérieuses ! » Avec ces mots prononcés, il se plaça à genoux au-dessus de ma tête et commença une pluie de mollards bien glaireux et de baffes à m’en faire perdre connaissance. Le traitement était simple et efficace : je devais me prendre une baffe bien puissante, le remercier et il me lâchait un mollard que je devais goulument avaler.
Cette action se répéta des dizaines de fois, mais ou allait-il chercher toute cette salive ? Il me fit ensuite bouffer son cul tout boursoufflé de ce qu’il s’était pris plus tôt dans la soirée, ça devait lui faire le plus grand bien car il gémissait de plaisir à chaque coup de langue. Pendant que je m’exécutais, il s’amusait avec mes couilles et ma queue qui était à son excitation la plus forte après tous ces ébats. Il la giflait, la prenait parfois en bouche, il jouait avec. Avant de me détacher, il me laisse un choix : ouvrir ou fermer la bouche. Il voulait lâcher ses sphincters, cul qui avait été rempli de pisse un peu plus tôt dans la soirée. Je préférai fermer la bouche avant de me prendre des rasades de pisses de black et rebeux qu’on lui avait foutu dans le fion plus tôt dans le soirée.
Et puis, il me détacha les bras et les jambes pour me placer cette fois-ci cul offert à lui. Les jambes toujours accrochées aux pieds de la table et les bras reliés entre eux au-dessus de ma tête. J’eus donc droit à la sodomie du siècle ! La plus longue de la soirée, et ce n’est pas peu dire ! Parce que j’en avais pris dans le cul ce soir ! J’ai eu l’impression que ça a duré des heures, mais il savait y faire ! C’est donc au bout d’un temps interminable qu’il choisit de gicler bien au fond de mes entrailles pour bien montrer son appartenance. Il me détacha alors, mon calvaire était terminé.
« 6h28, il te reste même un peu de temps pour nettoyer ce foutoir et quelques minutes pour te préparer. Tu vas aller à ton taf avec mon jus dans ton petit trou, et garde le bien tout aujourd’hui ! Je vérifierai ce soir. Ça t’apprendra à me faire de tels plans ma petite salope ! » dit Nico d’un ton beaucoup plus calme. J’allai alors m’habiller pour aller au travail. Je gardai le jus dans mon cul toute la journée, j’avais trop peur de ce qu’il pouvait encore m’infliger…