Plombier en rut

Je m’appelle Farid, je suis apprenti plombier. Je suis encore très jeune et évidemment, je suis passionné par la bite. Comme tout jeune qui se respecte, je suis assez fan de skets, notamment les AF1 que j’arbore en quasi-permanence. Je kiffe les bonnes odeurs de panards et de queue, mais je ne le dis pas à tout le monde. Depuis quelques temps, mon patron a décidé de m’envoyer seul chez les gens afin que je puisse prendre plus d’assurance en moi-même. Bref, je vais vous raconter ma première visite chez un client un peu particulier.

Alors que la fin d’après-midi arrive, mon patron reçoit un coup de téléphone d’un client qui appelle pour une fuite dans sa salle de bain. Comme d’habitude il m’envoie gentiment là-bas. Arrivé sur place, je sonne et attends quelques minutes avant que la porte ne s’ouvre sur un mec plutôt jeune, grand et black. Il ne porte qu’un jogging qui laisse deviner une bosse déjà impressionnante et des Air Max qui ont déjà bien vécues.

Je rougis immédiatement, ce qui semble le faire sourire. Voyant ma gêne, il me dit d’entrer et me montre sa salle de bain. Il me laisse un moment pendant que je commence à regarder sa baignoire. Effectivement, il y a une petite fuite, mais rien de bien grave. Au bout de quelques minutes, je vois mon client revenir et engager la conversation. Je suis accroupi et lui debout, sa bosse venant me narguer presque au niveau de mon visage, ce qu’il semble apprécier. Pendant qu’il parle, il joue un peu avec sa bite en la déplaçant dans son jogging.

— Tu as quel âge ? Tu es jeune pour être déjà plombier.
— J’ai 18 ans, mais je ne suis encore qu’apprenti. C’est seulement la cinquième fois que l’on m’envoie seul chez un client.
— OK t’es encore un gamin… T’en as pour longtemps encore, le mioche ?
— Euh, je dirais encore trente minutes environ. Mais rien n’est jamais sûr avec ces tuyaux.
— Ah merde, faut absolument que je pisse, je ne tiens plus… Alors écoute, je vais pisser et tu n’as qu’à pas regarder. Tu crois que tu vas réussir ? me dit-il avec un sourire en coin.

Il me dépasse et s’installe devant ses chiottes. Et là, il sort sa queue qui est véritablement énorme ! Encore molle mais déjà très longue, d’un noir sombre, avec un long prépuce qui couvre un gland un peu moins épais que la base de sa queue. Il voit mon regard, se décalotte et commence à pisser devant moi. Un long jet de pisse s’échappe de son gland pour atterrir dans la cuvette. Je reste ébahi devant la taille de cette matraque. Lui continue de pisser comme si de rien n’était, avec un regard vicieux néanmoins.

Puis il s’arrête un instant :
— T’en as jamais vu d’aussi grosse, hein, petit pédé ?
— Euh non. Jamais non…
— Et ça t’impressionne ?
— Assez oui.
— Tu n’imagines pas comme je fais couiner les mecs quand je les défonce avec. Ils hurlent et pleurent leur mère.
— Euh… Je…
— Je suis sûr que t’es une petite pédale, toi !
— Comment tu sais ça ?
— Tu veux la toucher, ma grosse bite de black ?
— Euh, non non, merci. Franchement, je ne fais pas ça, pas pendant mon travail.
— Tu viens donc d’avouer, mec ! Tu dis que tu ne fais pas ça pendant ton travail, mais ça veut dire que tu le fais. Vas-y, touche, putain !

À cet instant, je me dis que je ne veux pas passer à côté d’une occasion pareille. J’approche doucement ma main et caresse cette énorme matraque noire. Il frotte alors sa queue sur ma main et des gouttes de pisse s’y déposent :
— Lèche, petite chienne. Tu verras, tu vas kiffer !
— Non, c’est dégueulasse ! T’es grave toi.

Violemment, il me prend par les cheveux d’une main, saisit ma main de l’autre et me fait lécher sa pisse. Elle a un goût âcre, mais cela ne me déplait pas. Il me tire ensuite jusqu’à sa baignoire, place ma tête au-dessus et me pisse dessus. Son jet frappe mon visage et j’en reçois même un peu dans la bouche. Mais cela m’excite et je décide d’ouvrir plus grand ma bouche. Je reçois alors le reste de sa pisse. Il m’insulte et me crache sur la gueule. Il finit de pisser et me positionne à genoux devant lui :
— Vas-y, nettoie ma bite maintenant, salope ! Je veux voir mon gland briller et ce à n’importe quel prix. Tu te démerdes !

J’obéis et lèche son gros gland humide qui commence à grossir. Il décide ensuite d’enfoncer son énorme bite dans ma petite bouche de tapette, comme il l’a répété. Il force le passage pour me l’enfoncer le plus loin et le plus profond possible. Je commence à étouffer et à baver.

— Stop, arrête, c’est beaucoup trop gros pour la prendre en fond de gorge !
— Ta gueule, sale pute, et suce-moi la bite, putain ! Je t’ai demandé de dire quelque chose ? Non, alors ferme-la !

Il me lime alors la bouche en rythme en me tenant par les cheveux et en m’insultant de tous les synonymes de pédé qui existent dans la langue française. « Allez, petite pute, suce à fond, ouais ! », « T’aimes ça, les grosses bites de black, hein ? », « Allez, pompe comme une chienne, ouais ! ». Ces grosses boules cognent contre mon menton plein de salive. Je dégouline réellement de partout, je me trouve dégueulasse.

De temps en temps, il ressort sa queue et me frappe le visage avec, en me mollardant et en étalant les mollards avec sa bite qui, maintenant, dégouline de bave. Puis il me dit de sucer tout seul, d’intégrer son rythme sans qu’il ait à me tirer par mes cheveux qu’il finirait par m’arracher, à force. Je fais alors de longs va-et-vient sur sa bite. Il grogne de plaisir, et moi je couine comme une pute, même si je me trouve sali et humilié. Au bout de quelques minutes de va-et-vient, il reprend ma tête et accélère le mouvement en grognant de plus en plus :
— Vas-y, salope ! Putain, je vais te remplir ta gueule de foutre ! Tu vas en bouffer du jus de black, sale pute ! T’en auras jamais vu autant, je vais te noyer sous ma dèche !

Il me fait ouvrir la bouche et me jute sur la langue tendue un jus épais et abondant. Je me remets ensuite à le sucer avec son jus en bouche. Sa grosse queue baigne dedans mais ne diminue pas de volume, ni de taille. Il me force à avaler son jus épais. Comme sa pisse, il a un goût âcre mais pas déplaisant. Il ressort sa bite et me fait nettoyer les dernières traces de jus en ne le lâchant pas du regard.

Pendant tout le plan, j’ai pas mal lorgné sur ses skets si bien qu’à la fin, il me lâche :
_ Elles te plaisent mes Air max ? Un 47. Un jour tu les lécheras, tu verras.

Je finis sa réparation, je lui dis que c’est gratuit s’il me file son numéro. Je m’arrangerai avec mon boss. Il prend un feutre, m’écrit son numéro sur le bras. Et je repars de chez lui. Avec le goût de son sperme de black en bouche.

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