Cette histoire s’est passée il y a désormais quelques mois. J’étais à l’hôtel avec mon amant, on avait passé une nuit de folie, du pur bonheur mais tout se gâta arriver au petit déjeuner. On sort de notre chambre autour de dix heures, ayant profités de nos corps en ce début de matinée, on descendit pour prendre ce premier repas de la journée. Nous étions côte à côte et là je vis au loin le meilleur ami de mon mec, Tony. Nos regards se croisèrent, je devais être à cet instant totalement décomposé, livide, si bien que je ne lui adressai aucun signe, aucun mot. Il n’avait pas l’intention de le faire non plus. Il repartit après avoir payé sa note de la nuit, non sans me fixer de son regard le plus noir.
Je ne savais vraiment pas quoi faire. Le rattraper ? Il n’est pas crédule, il a bien compris mon petit manège. Alors je l’ai laissé partir sans rien dire, me disant que peut-être il n’en parlera pas à mon copain. Bien qu’ils se vissent au moins une fois par semaine. J’étais terrorisé, je n’avais pas envie que mon couple dépérisse à la suite de cette tromperie. On prit donc le déjeuner, je n’expliquai bien sûr rien de cela à mon amant, il m’aurait surement rassuré mais je n’avais pas envie d’entendre cela.
Quelques semaines passèrent sans aucun remous, je me suis dit que Tony avait surement autre chose à faire, qu’il n’avait pas envie de rentrer dans notre couple. Après tout me suis-je dit, il n’est pas censé savoir comment fonctionne notre couple… Alors je me mis aussi à oublier cette fâcheuse rencontre, mais je peux vous avouer que cela m’a calmé au niveau du cocufiage. Jusqu’au jour où je reçus un Snap de Tony. Chose qu’il n’avait jamais faite. Je m’empressai alors de l’ouvrir et un message simple en trois phrases plutôt surprenantes m’y attendaient : « RDV à 10 heures demain matin au Grand Désert. On verra de quoi tu es capable par amour. Sois là, où ce qui t’arrivera risque de ne pas te plaire du tout. » Surpris. Voilà le mot qui me vînt à l’esprit à cet instant, j’étais chamboulé, et je ne savais comment vraiment réagir.
Je n’ai pas beaucoup dormi cette nuit-là. Me retournant sans cesse dans notre lit. Réfléchissant à ce qu’il avait l’intention de me faire. Voulait-il juste me parler ? Régler ces comptes en redonnant toute sa dignité à mon copain ? Je connaissais le Grand Désert de Besançon, c’est un endroit sur une colline, qui est réputé pour les rencontres gays. Bien souvent, des mecs de tout âge s’y retrouvent pour baiser, de nombreux bosquets et recoins y pullulant. Dix heures, j’étais déjà sur le parking du Grand Désert à attendre ma destinée. J’avais enfilé un short en jean et un T-shirt blanc, je portais mes Converses aux pieds. Une barbe de trois jours durcirait mon visage et mes cheveux partaient dans tous les sens. Quelques minutes plus tard, Tony arriva dans sa vieille bagnole, il se gara à quelques dizaines de mètres de moi. Nous étions les seules voitures sur le parking, un jour de semaine et tôt le matin, ça semblait plutôt logique. Il descendit de la voiture, il était habillé en survêtement et TN, et on voyait qu’il faisait la gueule. Tony opte pour le style lascar, même s’il est aussi blanc que moi, il kiffe ça. Il n’est pas bien grand et ne m’a jamais vraiment attiré.
Il m’adressa quelques mots en me disant qu’on allait se promener dans les bois. Là, il me parla de mon mec, que ce que je faisais n’était pas bien, mais qu’il ne lui en parlera pas à condition que je fasse tout ce qu’il me disait de faire. Tout ce que j’avais donc envisagé tomba à l’eau, en fait il profitait du fait de savoir quelque chose de confidentiel sur moi pour me faire chanter et profiter de mon jeune corps. Pendant cette balade, on croisa un vieux type, la soixantaine, qui avait tout du parfait pervers. Et puis arrivé dans un bosquet, il me dit de me mettre à genoux devant lui. Je m’exécutai donc, je n’avais encore une fois pas le choix. Puis il me dit qu’aujourd’hui il se contenterait d’abuser de ma bouche et de mon cul.
De quoi pouvait-il donc abuser d’autres ? Et là, il m’attrapa par les cheveux et positionna ma gueule sur son pacson qui refoulait bien la pisse. Il me fit renifler puis lécher son bas de survêtement au niveau de la bite.
Instinctivement, je sortis ma queue, on ne peut pas dire que je restais indifférent devant ce traitement. Je suis une chienne et toute chienne qui se respecte serait excitée par une telle situation. Il le vit et m’engueula, en me disant que j’avais assez pris de plaisir avec le mec l’autre jour à l’hôtel. Il me fila donc un coup de pied dans les couilles, ce qui eut pour conséquence de me refroidir. Puis il baissa son jogging, laissant apparaître un boxer noir déjà bien porté. Ça avait l’air de bien avoir déjà macéré là-dedans. Il me fit faire la même chose avec son boxer, c’est-à-dire le sniffer et le lécher. Sa queue transparaissait bien et on devinait une bonne bite de mec, un bon dix-huit centimètres à vue de nez. Enfin, vînt le moment où il retira son boxer bien dégueulasse. J’aperçus alors la queue du meilleur ami de mon mec. Il portait un cock-ring en métal et sa queue était bien raide. Il refoulait bien la pisse et le sperme.
« Alors elle te plait ma queue ? » qu’il me demanda, je répondis d’un hochement de tête. « Il faudra t’y habituer, tu vas la voir souvent désormais… ». Joignant les paroles à l’acte, il prit ma tête dans ses mains pour me faire bouffer sa queue bien à fond. Il me donnait la cadence à laquelle il aimait être sucé. Je respectai ça et il n’eut plus à me tenir lorsque je compris son rythme. Je le suçai tantôt en fond de gorge tantôt en faisant des va-et-vient incessants. Puis il tira fort mes cheveux vers l’arrière, renifla un bon coup et se plaça juste aussi de ma bouche. Il cracha alors le contenu de sa bouche, je l’avalai de force même si ça me dégoutait vraiment.
Quand il en eut marre de ma bouche, il me dit de faire descendre mon short et mon caleçon en bas de mes jambes pour qu’il puisse accéder à mon cul. Quelques bouffées de poppers plus tard, il était à me mettre quelques doigts mouillés de sa salive. Le poppers faisait son effet, c’était la toute première fois que j’en prenais, et n’étant pas habitué, je me sentais déjà partir. Il en profita. Ma queue bandait bien dure, ce qui ne lui plaisait pas. Il me mit alors plusieurs coups bien placés dans mes grosses couilles pendantes.
En ayant marre de me coller des doigts dans le cul, il vint y placer sa queue. En moins de temps qu’il faut pour le dire, il m’avait mis sa queue en entier dans le cul et tout ça sans capote. Cela me fit juter des litres de foutre alors qu’il n’avait encore effectué aucun mouvement. Alors qu’il n’avait pas encore commencé à me bourriner. Mais je n’avais jamais été pris aussi sauvagement. Cela ne l’arrêta surtout pas au contraire ! Il me bourrait le cul comme si de rien n’était. Après tout, il se foutait bien de ce que je pouvais ressentir. C’est à cet instant que je vis à côté de nous le vieux qui nous matait et qui avait sorti sa queue pour se soulager.
Humilié ! Je ne pense jamais avoir été aussi humilié de la sorte, j’étais en train de me faire baiser au milieu d’une forêt et un vieux branlait sa queue totalement pourrie à quelques mètres de moi. Cela n’arrêta pas non plus Tony qui lui fait tout de même signe de se barrer, même si ça peut être excitant, ce n’était pas vraiment dans le trip qu’il avait imaginé. Puis Tony se retira de mon cul, il avait l’intention de jouir, il devait déjà bien être onze heures. Il me dit de me placer à genoux devant lui comme au début et commença à branler sa belle queue. « Tu as envie de le sucer ? » me dit-il d’un ton totalement naturel et franc. Je lui fis signe que non. « Pour cette fois, je ne t’y oblige pas, mais les prochaines fois… » me répondit-il.
Et il empoigna mes cheveux tout en se branlant. Je fermai les yeux pour recevoir tout son jus. Il m’arrosa tout le visage de son jus bien liquide. J’en avais plein les cheveux, mais je pense que c’était le cadet de ses soucis. Il m’ordonna alors de jouir une nouvelle fois tout en bouffant sa queue. Je jouis pour la seconde fois en quelques minutes, sa queue toujours coincée entre mes lèvres. Je me rappelle même avoir poussé quelques cris aigus. Le vieux à côté avait dû jouir également parce qu’il était parti. Tony remballa sa queue dans son calbut et renfila son bas de survêtement. Je me rhabillai également et on se dirigea vers nos voitures respectives. Juste avant de partir, il me dit « Je te fixerai le prochain rendez-vous bientôt ma petite chienne mais saches que tu as été à un encore meilleur niveau que j’avais imaginé ! Je vais aller loin avec toi. Le bonjour à ton mec ! » Puis il rentra dans sa voiture et démarra. Je reparti silencieux et honteux.
Cette histoire s’est passée hier matin et depuis aucune nouvelle de ce cher Tony. Bien que j’appréhendasse ce rendez-vous, finalement j’avais trouvé un nouvel amant qui me domine comme j’aime l’être. La seule chose qui va être étrange, c’est quand il viendra boire un verre chez nous ou passer des soirées… Les sous-entendus risquent de fuser, et j’ai désormais plutôt intérêt à lui obéir. Je suis devenu partiellement à lui.