Je me suis branlé durant toute la lecture de récit, tant ma lope a été salie, humiliée et baisée comme je l’aime et comme elle doit l’être. Je suis très fière d’elle pour la parfaite retranscription de tout ce plan, mais je pense que ça l’excite au plus haut point… Ce dont je suis moins fier, c’est en effet la fin de l’histoire ou ma lope a osé se révolter. Je peux admettre qu’elle ait subie toute l’après-midi des choses plus salaces mais elle n’a en aucun cas le droit de dire « Non ! » à quoique ce soit. La punition a certes été rude mais je pense qu’elle lui aura servie de leçon. Tu ne voulais pas sortir la gueule pleine de foutre dans la rue jusqu’à la voiture, j’ai alors approuvé et t’ai ordonné d’aller à la salle de bain te débarbouiller ainsi que d’enlever tout tes vêtements. Tu m’as répondu par un « Comment ? » que j’ai alors ponctué d’une bonne mandale dans la gueule qui t’a fait tomber à la renverse. Un fou rire s’est alors fait entendre pendant que tu reprenais tes esprits en courant vers la salle de bain. J’ai alors demandé à tes nouveaux tortionnaires s’ils possédaient une laisse ainsi qu’une chaine, ils m’ont répondu par la positive. Je leur ai dit que ça te donnera une raison de leur rendre visite bientôt, afin de leur rendre leur bien. Tu reviens de la salle de bains, le nez écarlate et les yeux tout mouillés. « A quatre pattes ma pute. Puisque tu me désobéis pour une chose peu humiliante, tu vas devoir subir une chose bien plus humiliante. ». J’attachai la chaine au collier que Yassine venait de t’enfiler, et je vis des larmes couler sur tes jours. Tu compris finalement assez vite ce qui t’attendait. Nous sommes donc sortis de l’appartement de ces deux mecs, moi debout tenant fièrement en laisse ma salope, ma pute, mon chiottes totalement nu et chialant sa mère. Ma voiture n’était pas garée très loin, et tu as de la chance, on ne croisa finalement qu’un mec qui était plus que choqué et une mère avec son fils de cinq ou six ans qui regardait la scène avec une grande inquiétude. La mère lui boucha les yeux tout en nous insultant, je lui répondis que les mauvaises graines avaient besoin d’être punies. Et tes pleurs redoublèrent à l’énoncé de mes paroles, ce qui me faisait bander au plus haut point. J’ouvris le coffret et te fis monter lentement, j’observai brièvement les égratignures sur tes genoux et tes mains dus à cette position avilissante que tu as dû conserver jusqu’ici. Tu avais dû souffrir, mais je m’en foutais. C’était ce que tu voulais après tout.
Le lendemain, 10 heures, je dois filer en cours. Je te dis d’attendre mon retour ici, mais je ne te dis pas à quelle heure je rentre. Ainsi, tu m’attendras toute l’après-midi totalement nu. Et afin de te mettre au défi, je te demanderai juste après le plan de rédiger ce que je viens de te faire subir en vingt minutes, pas une de plus, et que tu avais intérêt à faire ça dans les règles de l’art si tu ne voulais pas subir cinquante coups de fouet sur ton frêle corps encore marqué de Yassine et de Greg. Après vingt minutes d’attente après ce que je t’ai infligé, tu me donnes cela :
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Je t’attendais comme une pute, entièrement à poil dans le couloir pour que tu puisses me coller la gueule direct sur ton paquet fumant à peine la porte franchie ! Sachant que ton bâtard serait là pour t’accueillir comme il se doit, tu aurais grave transpiré et bien sûr oublié d’essuyer les dernière gouttes de pisse de ton prépuce afin que ton gland soit bien gluant quand tu me le foutras sous le pif !
Après m’avoir plaqué la gueule sur ton paquet déjà raide, tu me tire violement la tête en arrière et sans que je m’y attende, tu me balanceras une baffe magistrale suivie d’un putain de mollard bien glaireux juste entre les deux yeux !!! Me voyant au sol en train de gémir comme une pute, tu m’écraseras direct ta sket pourave sur la tronche afin que l’empreinte de la semelle soit bien imprimée sur ma gueule de pute dégoulinante de ta bave… Tu enlèves alors la sket, dégageant une odeur monstrueuse de chacal dans tout le couloir, et tu me colles direct la TN pourrie sur la gueule en de demandant de lécher l’intérieur pour récupérer tout le sperme de la dernière salope que tu avais fait cracher dedans lors de ta pause déjeuner !
Complètement gazé par tes odeurs de queutard, je chancelle et un coup de pied dans le bide me fait comprendre qu’il me faut maintenant te récurer les orteils un à un… Putain ça daube, un truc de fou ! Mais je n’ai pas le choix, mon master veut que je lui récure les ieps, je n’ai pas mon mot à dire ! Il faut que j’obéisse comme la pute crade que je suis…
Après t’avoir bien nettoyé ton 45 fillette, tu me traines par les cheveux jusqu’aux chiottes où tu t’installes illico sur le trône, ton futal sur les chevilles. Tu ramènes ma gueule au niveau de ta queue encore mi- molle et là une putain d’odeur de gland me met direct hors de moi. Je me lance sur ta queue pourave ne pensant qu’à la décalotter mais tu m’arrêtes par une baffe monstrueuse dans la gueule ! « Pas tout de suite bâtard !! J’ai prévu autre chose pour toi sale pute !!! » Et avant même que tu aies fini ta phrase, ma gueule se retrouve coller entre tes cuisses et tu largues une énorme caisse bien foireuse. Putain je me retrouve carrément gazé avec ton trou à quelques centimètres seulement de ma gueule de pute ! Ça daube comme jamais et je manque de peu de gerber ! Mais tu n’es pas décidé à en finir ainsi et avant même que je réagisse, je vois un boudin bien compact t’écarter la rondelle et glisser le long de ta raie déjà moite de sueur. Putain, j’ai des haut le cœur mais avant que je ne puisse faire quoi que ce soit, tu es déjà en train de me décalotter ton chibre monstrueux sous le nez… Ma langue ne se fait pas prier et lape immédiatement ce bon bitos. Satisfait de me voir faire la chiennasse ainsi, tu me roules une putain de pelle afin de profiter toi aussi de l’odeur de ton onctueuse bite… Après une bonne soupe de langue, je retourne exécuter ma mission de décrasseur de chibre ! Je manque carrément d’étouffer quand, une fois le gland nickel, tu décides de me fourrer la gueule avec ta queue d’étalon en rut ! Tu me bourrines la gueule pendant de longues minutes m’explosant littéralement la mâchoire et me faisant baver sur mon torse en sueur. Et après 20 minutes de bourrage de gueule en règle, je sens des litres de dèches bien crémeux remplir ma bouche de putasse ! Putain je n’en reviens pas comment tu me doses la gueule au jus de gland… je n’ai jamais connu un aussi gros foutreur que toi maitre, c’est clair. Je pense que je t’aime vraiment maître… Et dire que je suis encore à ta disposition pour toute la vie… Je vais morfler comme jamais, c’est clair ! Mais pour le plus grand plaisir de mon maître Jared et c’est le principal…
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Défi réussi. Il est 17 heures, je prends donc un bon gouter et dit à ma lope que ce soir elle va encore devoir servir de vide couilles à plusieurs mecs. C’est à ce moment qu’elle s’interrogea et me dit « Mais ce n’est pas soirée poker le lundi ?». Je lui répondis alors par la positive et que justement la soirée poker se fera sans lui, ou plutôt qu’il ne jouera pas avec nous ce soir. J’avais en effet parlé à mes potes des penchants pervers qui nous réunissaient Cédric et moi, et je pense que ça leur a tout de suite donné envie de contempler de leurs yeux ce dont ma salope est capable. Je préparai donc la table de jeu pour 20 heures comme prévu, je laissai alors quelques heures à ma lope pour se raser le corps et profiter d’un bon bain chaud pour être prêt pour nos invités. Je lui ai donné uniquement un ordre, c’est d’aller ouvrir la porte en jockstrap. Mes amis devraient entrer dans l’appartement en voyant Cédric à genoux par terre, la gueule grande ouverte. Il avait juste cette consigne à respecter. Facile pour une lope en son genre…
La sonnette retentit et mon esclave était tout frétillant de la queue. Il se mit à sa place à côté de la porte et l’ouvrit accroupi derrière celle-ci et ouvrit grand la bouche. Mes trois amis rentrèrent et à tour de rôle crachèrent un mollard dans la bouche de Cédric. Mollard qu’ils allèrent chercher au plus profond d’eux et dans un raclement de gorge divin vinrent vider tout le contenu absolument dégueulasse dans la bouche de ma lope. Je fis alors signe à ma salope de s’approcher de moi sans avaler le contenu de sa bouche, et alors, je me bouchai une narine pour vider l’autre dans la bouche de cet esclave qui n’attend et ne comprend que les humiliations sévères. Je fis de même avec l’autre narine et admirai alors mon petit chef d’œuvre, il était à la limite de la gerbe. Je lui donnai alors la bénédiction pour avaler tout le contenu de morve, ce qu’il fit sans réellement broncher, il savait pertinemment ce qui l’attendait s’il se révoltait.
« Alors c’était donc vrai ? » lança Xavier, « Tu as une réelle pute totalement soumise à la maison… Si j’avais su ça avant Cédric, tu aurais morflé à mort durant toutes ces années ! ». Tout le monde se mit à rire, et on débuta donc notre partie de poker à quatre pour la toute première fois. Cédric avait pour mission de nous servir, d’exécuter le moindre de nos désirs. Ainsi, lorsque Florent lui demandait un cendrier, je lui obligeai à ouvrir lui-même la bouche afin de récupérer les cendres de clopes de mes trois amis. J’ai vu une larme couler lorsque Zack lui écrasa son mégot sur la langue, je lui ai tout de même donné le droit de le recracher. Son regard m’a trop fait pitié. Et puis je tiens tout de même à sa santé. En milieu de soirée, il nous a alors servi à boire et à manger. A plusieurs reprises, je lui dis de venir, crachai alors un bon gros mollard à terre et lui obligeai à le gober. Il passa également un bon bout de temps à sniffer et vénérer nos pieds sous la table. C’était si excitant d’avoir une petite pompe à orteils pendant une bonne partie de poker. Il était 22 heures, et tous avions en nous des envies de sexe tant cette petite pute de Cédric nous avait chauffés.
On s’installa donc alors au salon, les quatre côte-à-côte sur le canapé, et je mis un bon film de boules (hétéro…) pour nous chauffer. Cédric avait pout ordre de retirer à tour de rôle nos skets daubantes à souhait uniquement avec ses dents. En effet, je lui ai menotté les mains derrière le dos, afin de l’humilier encore un peu plus. Ce manège dura pas mal de temps. Si bien que peu à peu, la pièce se remplissait des odeurs les plus dégueulasses et pouraves des pieds de mes potes et des miens qui ne sont pas en reste au niveau odeurs. Nous avons alors eu le temps de retirer nos hauts et de bien transpirer serrés les uns contre les autres. On a alors instauré un petit jeu. Chacun de nous donnait un ordre à Cédric, et ce dernier devait alors l’exécuter pour nous tous. Par exemple, Florent lui demandait de lécher ses aisselles bien transpirantes. Il dut ensuite récurer les six autres. Ma lope était au nirvana. On enleva alors les pantalons pour garder uniquement nos boxers et nos chaussettes. Les autres ordres furent un bon sniff du trou de bal à travers le calbut, une prise en bouche de tous les orteils de chacun de nos pieds à travers les chaussettes, des bonnes baffes à l’en faire rougir les joues, des fessées, des coups de poing dans le ventre pour couper sa respiration et puis des mollards à n’en plus finir.
Puis vinrent les choses sérieuses. Il fallait désormais s’occuper de nos bites, mes potes n’étaient pas les mieux montés du monde mais ils se défendaient. Florent a une queue de 17 centimètres bien durs et d’une bonne largeur, Xavier un 18 qui pointe vers le bas et Zack était le mieux monté du groupe avec un 22 centimètres mais beaucoup moins large que moi. C’était d’ailleurs bien dommage ! Alors Cédric commença à sniffer nos bites gonflées à travers les boxers puis il eut le droit de les découvrir et de les prendre en bouche, il suçait avidement ces queues qui ne connaissaient pas beaucoup le savon, pendant que je passai derrière lui afin de lui bouffer un peu la rondelle et lui lubrifier le trou pour le passage de mes hôtes. C’est Xavier qui eut le privilège d’attaquer le cul de Cédric, il y plaça sa queue tout entière du premier coup, ce qui arracha à Cédric un cri vite calmé par la bite de Zack bien au fond dans sa gorge.
La défonce commença alors pour mon Cédric qui couinait bien qu’empaler de chaque côté de son corps par deux bonnes queues. Pendant ce temps-là, Florent s’était installé de manière à pour voir me sucer. Je poussai ma queue au fond de l’orifice de Florent qui avait bien du mal avec les gorges profondes. Puis du côté du trio, les rôles s’échangèrent, Zack passa dans le cul du déchet et Xavier dans sa bouche. On se plaça alors en 69 avec Florent qui continuai à bien prendre ma teub en bouche et moi qui le bouffai allègrement le cul, afin qu’il puisse peut-être recevoir une queue, je sais qu’il aime beaucoup cela… Et puis, un nouveau changement s’opérait juste à côté de nous puisque qu’une double pénétration se profilait à l’horizon. Cédric fut donc placé sur le dos s’empalant alors sur la queue de Zack, la plus longue et sans grande difficulté Xavier rentra dans son petit cul avec lui. Florent eu alors l’idée de s’empaler sur la queue de l’esclave qui était dure comme du bois… Je me plaçais alors devant la bouche de Cédric afin de lui défoncer de ma teub. Il était rempli au maximum, par tous les orifices, on ne pouvait faire plus, la triple pénétration étant un peu compliquée. Les rôles s’échangèrent de nombreuses fois au cours de la soirée, et c’était à chaque fois un pur bonheur que de bourrer cette chienne en manque permanent de bites.
Il était alors venu le temps de la jouissance suprême. On se plaça alors autour de Cédric, et nous nous branlons comme des malades afin de lui offrir son baptême au sperme. C’est quasiment instantanément que nous jutèrent, recouvrant totalement la moindre parcelle du visage de Cédric. Il en avait dans l’oreille, dans le nez, sa bouche étant restée ouverte, il reçut de bonnes grosses giclées à l’intérieur. On pouvait alors vraiment s’apercevoir de son potentiel de lope, il était recouvert de jus, et il se jeta sur nos queues afin de toutes les nettoyer. Quand il arriva sur la mienne, je lui ai ordonné « Si tu laisses une seule goutte s’échapper, je te préviens que c’est ma merde qui te sera servie chaque matin », il prit alors mon gland en bouche, et je me mis à pisser une bonne partie de l’alcool ingurgité durant la soirée. Il avala tout, il savait ce qu’il l’attendait s’il ne le faisait pas ! Florent et Zack firent de même, puis chacun lui mollarda au visage. Mes amis se rhabillèrent alors et repartirent tranquillement chez eux. Il était une heure du matin et ma salope ne tenait même plus debout. Je lui fis avant qu’il aille se reposer, me décrasser le cul et avaler les quelques pets bien gras que j’avais conservés durant toute la soirée… Je lui permis ensuite de se coucher, avec un plug de 15 centimètres planté dans son fondement.