Mon prof, mon soumis (1/3)

Il est de ces périodes où l’on repense à sa vie et à tout ce que l’on a accompli. A l’aube de mes trente ans, je suis un auteur reconnu, sur le point de décrocher l’un des prix littéraires les plus prestigieux. Et si j’en suis là, c’est aussi un peu grâce à un prof que j’ai eu à la fac. Ce prof était à ma merci, je faisais de lui tout ce que je voulais. Je l’ai soumis durant des années et il a très largement aidé à ma carrière et a même inspiré mon roman le plus illustre.

Tout a commencé lors de ma deuxième année à l’université de lettres classiques de Nancy. Lors de cette rentrée, j’ai eu un nouvel enseignant que je nommerai ici Jérôme. Il était de corpulence normale, avec un visage quelconque mais j’ai de suite décelé dans son regard un esprit pervers et un potentiel de soumis complet. Dés le premier jour, j’ai raisonné ainsi : je ferai tout pour faire de lui mon esclave. Faire de lui ce qu’il mérite en ce monde : être le sous-homme d’un de ses étudiants. Il a peut-être même choisi ce métier dans cet objectif : trouver sa destinée et se réduire à n’être rien aux yeux de son maître pervers.

De mon côté, j’ai la domination dans le sang. Depuis toujours, j’aime dominer et j’aime être supérieur aux autres. Mon physique m’y aide pas mal : du haut de mes deux mètres, j’ai une toison de poils bruns qui recouvrent largement mon torse, mes jambes et évidemment ma queue. Je pratique la musculation depuis la fin du Lycée, mes muscles sont saillants et je sais que je plais tant aux meufs qu’aux mecs.

A l’époque, j’étais célibataire et j’avais déjà eu quelques meufs et mecs à ma merci, mais rien n’y faisait : je ne m’y attachais pas. Ils n’aimaient pas ma brutalité, mes coups de sang, ma perversité malsaine ou bien encore le côté naturel de mon corps. Et puis, il y a eu Jérôme. Lors de son premier cours, il nous avait parlé de l’art antique et des auteurs de l’époque. Il était passionné par ce qu’il transmettait à ses étudiants. De mon côté, ce n’était pas ma période littéraire préférée et je ne voyais finalement pas tellement l’intérêt de revenir si loin pour comprendre ce qu’est la littérature. J’ai changé d’avis avec les années.

Lors de son deuxième cours, je me suis placé au dernier rang de l’amphithéâtre et je n’ai cessé de le scruter durant les deux heures de son intervention. Je ne suis même pas sûr qu’il m’ait remarqué mais j’aimais cette idée de ne cesser de le regarder. A la fin du cours, je suis allé lui parler en prétextant m’intéresser plus particulièrement à l’œuvre de Plaute, il a été surpris de ma demande et ses joues rougissaient face à mon regard insistant. Je l’ai gêné et j’ai adoré ça. Jérôme m’a proposé de m’amener une ou deux œuvres de cet auteur qu’il possède chez lui mais qu’il y tenait beaucoup.

Je l’ai remercié et lui dit que je prenais toujours très soin de ce qui m’appartenait. Il a rougi encore. J’ai été froid et dans mon regard et dans l’attitude que je lui portais. Je ne voulais laisser transparaitre aucune émotion, aucun geste qui aurait pu lui faire penser que j’en veux à son cul pour le dilater comme jamais, que j’en voulais à ses couilles qui doivent être minuscules et que je m’amuserai à torturer, que j’en veux à sa bouche que je déformerai avec ma grosse bite ou encore à sa langue qui récurera toutes les parties de mon corps.

La semaine suivante, j’ai attendu Jérôme à la fin de son cours et il m’avait apporté « Amphitryon » et « Les Bacchis » de ce dramaturge romain dont je n’avais finalement pas grand-chose à faire. Je l’ai remercié avec un sourire et il a encore une fois rougi. Il m’a dit que cela lui faisait plaisir que des étudiants s’intéressent encore à la littérature antique.

« Je m’intéresse surtout à celui qui l’enseigne » lui ai-je répondu du tac-o-tac.

Son attitude a alors totalement changé et c’est désormais la fuite qui le caractérisait, son regard était fuyant et il a cherché à couper court à la conversation. J’ai été trop direct et mon emprise n’a pas fonctionnée. Il a quitté l’amphithéâtre avant moi ce jour-là. S’il savait que dans quelques mois, il ferait cours à mes camarades et moi avec un plug vibrant de quinze centimètres dans le cul que je télécommanderai du fond de l’amphithéâtre.

Les premières vacances sont arrivées rapidement et je n’ai plus vu Jérôme durant quelques semaines. Lorsque le cours de Jérôme a commencé, j’avais préparé un paquet contenant ses deux livres ainsi qu’une longue lettre afin de lui prouver qu’il est le bêta et moi l’alpha. Son regard fuyant avait parlé pour lui : il en avait envie et je ferai de lui la soumise qu’il n’a jamais osée être. Ma lettre était enflammée, perturbante et je savais que je jouais quitte ou double.

Soit Jérôme osait répondre à mes attentes, soit cela serait la fin et je devrai me trouver une autre proie. Cette deuxième hypothèse me déplaisait atrocement.

Je lui déposais le paquet en sortant de son cours. Je lui adressai à peine un regard.

« La balle est dans ton camp. À toi de voir Jérôme. » lui dis-je avant de quitter l’amphi.

Et puis… Jérôme a répondu à mon rendez-vous fixé dans la lettre. Je lui ai dit que je l’attendrai au Café des Artistes à 19 heures le soir-même. Et il est venu, avec une tenue un peu plus décontractée, il a commandé un verre de Chardonnay, je me suis pris une deuxième bière. Il ne savait pas comment aborder ce que j’avais écrit dans cette lettre et je suis donc allé directement à l’essentiel : « Alors, ainsi, tu es un bêta et moi un alpha. En ce monde, cette deuxième catégorie n’est pas représentée par beaucoup d’hommes. La première catégorie est largement majoritaire, malheureusement, peu ont la prétention d’arriver à satisfaire pleinement cette deuxième catégorie. J’ai néanmoins décelé en toi que tu en étais capable. Et que cela te fera même jouir de plaisir, sans même te toucher. »

Il a obtempéré et m’a dit qu’il craignait surtout que cette relation ne nuise à son travail. Je lui ai expliqué que je ne lui causerais jamais de tort de ce point de vue-là. Je suis respectueux et je sais respecter les limites. Il lorgnait pas mal sur mon paquet bien rempli alors, avec ma main gauche, j’ai choppé ma queue et je lui ai demandé si c’était ça qu’il voulait. Il a rougi. Encore.

« Chez toi ou chez moi ? » lui répondis-je.

Il me dit qu’il peut me recevoir mais qu’il vit une vie assez simple. Je l’ai constaté quand je suis entré dans son appartement. Des livres partout, un lit une personne à même le sol. Une cuisine qui semble néanmoins bien remplie et une salle de bain avec une grande baignoire. Il n’y a quasiment aucune technologie chez lui : pas de TV, pas de PC, pas de tablette. Mais les livres sont omniprésents à tous les coins de son appartement.

Jérôme était tout intimidé et ne savait que faire ou que me proposer.

« Je te laisse t’installer dans la baignoire, j’ai besoin d’évacuer le litre de bière que je me suis enfilé avec toi » lui dis-je d’un ton assez sec.

« Et je dois me mettre nu ? » me répondit-il. C’est finalement la seule question qu’il avait alors que je venais de lui dire que je souhaitais lui pisser à la gueule.

« Évidemment ! Montre-moi ton corps tout entier » lui répondis-je. Il s’est alors mis nu, il a retiré un à un ses vêtements et sa queue était dressée comme jamais. Il avait une si petite queue que je me suis retenu de rire.

L’humiliation était prévue plus tard. Il s’est mis devant moi et je le dépassais de plus d’une tête, j’ai pris sa tête entre mes mains et je lui ai galoché la gueule comme ce n’est pas permis. Il a repris son souffle difficilement et ses jambes semblaient fléchir de mon assaut.

Je l’ai pris par la queue et l’ai mené dans la baignoire, il s’est instinctivement placé à genoux, ma queue était alors bien au-dessus de son corps qui allait désormais être mien. J’ai ouvert ma braguette, j’ai fait glisser mon pantalon vers le bas, il branlait déjà impatiemment sa petite queue d’excitation et j’ai sortie ma grosse queue molle au-dessus de son visage. Ses yeux étaient emplis d’admiration devant mon braquemard poilu et puant et dont le gland était encore couvert de mon gros prépuce. J’ai choppé ma queue de la main droit et ai dirigé le méat vers sa gueule de prof d’université. Une seconde après, le jet, qui aller durer presque une minute, s’est mis à sortir de ma bite. Il se prenait une rasade énorme de pisse dans la gueule, sur le corps et même dans la bouche qu’il ouvrait parfois pour prendre des gorgées de bière transformée.

Sa petite queue était recouverte de ma pisse jaune et forte et il n’arrêtait pas de se branler. Je lui ai dit de profiter de pouvoir encore se branler. Bientôt, cela sera terminé ce genre de plaisir. Je lui ai alors ordonné de lécher les dernières gouttes restées sur mon prépuce, il semble s’en être régalé. Ce spectacle avait commencé à me faire bander et ma queue prenait alors une tout autre ampleur. Enfin, Jérôme allait voir à quoi ressemblait une queue d’alpha, une vraie queue de mec. Au moins aussi large que son poignet, mes vingt centimètres de chair étaient, dans son regard, comme une œuvre d’art. J’adorais ce regard.

Jérôme s’est alors saisi de ma grosse bite et a commencé à la branler doucement. Il ne faisait même pas le tour d’elle avec ses doigts et j’adorais ça. Je l’ai laissé me branler. Il ne m’a pas sucé, je ne le souhaitais pas. Au bout de plusieurs minutes, je me suis saisi à mon tour de ma queue et je l’ai branlée devant mon prof qui était excité comme sûrement jamais il l’avait été. Je ne le lâchais pas du regard et après quelques minutes de branle acharnée, j’ai lâché mes dix jours de jus sur sa gueule et sur son corps. Il a pris des rasades énormes d’un sperme blanc et odorant sur la gueule, sur le torse et sur sa petite queue. Cette dernière a d’ailleurs craché aussi tout son sperme sans même que Jérôme n’eût à se toucher. J’ai secoué ma grosse queue, laissant les dernière gouttes de sperme tomber sur la gueule de Jérôme et j’ai remballé le matos.

« Je repasse bientôt te voir Jérôme » lui ai-je annoncé.

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