Le lendemain matin, je l’ai attendu devant chez lui avec des croissants. J’avais besoin de lui parler et de revenir sur ce qui s’était passé la veille. Il devait comprendre que si j’avais mis la main sur lui, ce n’était pas pour la lâcher de sitôt. Il a été très surpris de me voir devant son immeuble mais nous avons fait la route, les dix minutes séparant son appartement de la fac, ensemble. Je lui ai parlé de mes kinks, de ce que j’attendais d’un soumis, malgré sa petite queue, je voyais qu’une belle bosse régnait dans son boxer. Il était excité et a été capable de dire oui à tout ce que je lui proposais. J’ai peu de tabous, si ce n’est le sang et la merde. Je suis, en revanche, très porté sur la violence physique et mentale ainsi que les humiliations.
« Très bien, lors de ton cours demain. Je vais compter combien de fois tu dis le mot « & » et chacun de ces mots te fera mériter une fessée le soir-même chez toi. » lui ai-je dit.
« Tu n’oseras jamais ! Et puis tu sais, je n’ai pas la peau qui marque facilement alors si ton souhait est de me marquer, tu n’es pas tombé sur la bonne personne » me répond Jérôme.
« Continue à me provoquer ! Les fessées, c’est un truc soft. Tu feras beaucoup moins le fier lorsque le nombre annoncé consistera à te buster les petites couilles que tu as entre les jambes » dis-je.
« A me buster ? » répond-t-il interloqué.
« Je te montrerai demain. » lui dis-je.
Lorsque nous étions à deux rues de l’Université, je lui expliquais que je le laissai, ne voulant pas déborder sur son travail. Mon objectif n’était surtout pas de nuire à sa réputation. La journée s’est passée tranquillement même si j’ai énormément réfléchi à tout ce que je pourrai imposer à Jérôme.
Et puis le cours de Jérôme est arrivé le lendemain. Ça durait deux heures et je suis certain qu’il m’a provoqué. Je suis sûr qu’il a fait exprès de gonfler le nombre de « & » et il avait parfois ce sourire en ma direction qui en disait long. A la fin du cours, je suis allé déposer un papier sur son bureau avec le nombre suivant : 187. Je lui ai juste conseillé de bien se préparer.
Le soir-même, je suis arrivé chez Jérôme, nous avions convenu de nous voir à 21h. Je lui ai imposé de désormais m’accueillir nu, ce qu’il fera dés lors. Son petit cul nu était d’un blanc immaculé. J’en partirai avec la satisfaction de l’avoir rendu rouge écarlate. Je lui ai dit de se mettre allonger sur mes genoux, de telle manière à ce que j’ai son cul à disposition pour le frapper… Je lui ai demandé de compter à voix haute.
J’ai levé ma main et le coup est tombé sur ses fesses : franc, direct et impitoyable. J’ai eu droit à un petit cri de Jérôme. C’était de la satisfaction, de la surprise mais aussi sûrement de la douleur. Plus les coups tombaient sur sa croupe et plus il semblait en chier. De mon côté, ma grosse bite avait pris toute sa vigueur et frottait contre le ventre impeccablement plat de Jérôme. Mes mains continuaient ce rituel presque ancestral de frapper les fesses d’un petit homme désobéissant. Mais dans cette situation embarrassante, c’est moi l’élève et lui le prof.
Il comptait et réprimait clairement des sanglots. Ses fesses avaient changé de couleur et j’en était totalement satisfait. Après les 187 coups tombés, j’ai laissé le corps de Jérôme s’avachir sur le sol. Il a subi sans trop de difficulté finalement. Il s’est mis à genoux devant moi tandis que j’étais resté assis sur son double matelas.
« Sèches tes larmes, je déteste les soumis qui pleurent » lui dis-je alors que des larmes coulaient le long de ses joues. J’ai empoigné son visage avec mes deux mains et lui ai embrassé les lèvres. Le couinement qu’il a lâché à ce moment précis voulait dire beaucoup de choses. De mon côté, jamais je ne laisserai transparaitre mes sentiments. Je l’ai alors baffé, plusieurs fois, sans mesurer ma force. Et puis je l’embrassais à nouveau.
« Donc le busting, ce n’est pas compliqué. C’est le fait de frapper tes couilles. Avec des claques, avec des coups de poing, de pieds. De la même manière que pour les fessées, le but est de donner le plus de coups possibles. » lui dis-je. « Et toi, as-tu d’autres kinks ? Des fantasmes ? »
« J’en ai bien un mais il est totalement honteux » dit Jérôme.
« Je t’écoute. Tu n’as pas à être gêné » lui dis-je.
« J’aimerais raquer pour mon Maître. Que tu viennes parfois chez moi pour me racketter. Du style, tu rentres chez moi, tu me fais me mettre à genoux, tu me baffes la gueule, tu me mollardes dessus et tu me prends les 50 balles que j’ai dans ma poche arrière. » me dit-il.
Ma queue veinée était dure comme du bêton à l’énoncé de ses paroles. Si en plus d’un soumis, je trouve de quoi me faire du fric, tout est parfait. « Je ferai au mieux pour te satisfaire ma salope de Jérôme » lui dis-je en l’embrassant à pleine bouche. « Allé, déballe ma queue, sens-là et bouffe-là. J’ai besoin de me vider. »
Jérôme s’est mis assis devant moi, il a ouvert mon bouton de jean, a fait descendre lentement ma braguette et a plongé son visage dans mon boxer qui était déjà bien odorant. En général, je garde mes sous-vêtements une bonne semaine.
Jérôme semble y prendre un grand plaisir. Ma queue était vraiment très dure et je me suis levé pour me débarrasser de mon jean et de mon boxer. Je les ai fait glisser lentement avant de reposer ma raie poilue sur le lit de fortune de mon soumis. Ses yeux étaient ébahis devant ma grosse queue qui pointait vers sa bouche.
Il l’a prise en main, comme il y a quelques jours et son étonnement était incroyablement excitant. Il l’a branlée mais n’a pas dégagé complètement mon long prépuce. Je lui ai demandé de sniffer et j’ai repris ma queue en main. J’ai approché mon gros gland du nez de Jérôme et j’ai décalotté. Une bonne couche de fromton blanc est apparue aux yeux de Jérôme dont la queue était déjà au bord de l’explosion. Je lui ai demandé de s’en imprégner et d’ensuite le bouffer. Il devrait tout avaler. Il a donc pris son temps pour la renifler et pour ensuite lécher le from qui parsemait ma grosse queue. Il a aussi pris son temps avec sa langue pour bien décrasser. J’avais trouvé un décrasseur de queue et Jérôme était très beau avec une queue dans sa bouche.
Et puis, il a commencé à me pomper. C’était d’abord hésitant et puis il a pris les choses en main de manière beaucoup plus sérieuse. Son expérience se faisait voir et sa technique de suce était vraiment excellente. Il avait au minimum mon gland en bouche et descendait et remontait sa bouche tandis que sa main droite remontait et descendait sur ma verge dans l’autre sens : une technique imparable ! Je l’ai laissé faire un moment avant de prendre à mon tour les choses en main lui empoignant l’arrière de la tête pour lui bourriner la gueule. J’ai enfoncé ma grosse queue veineuse au plus profond de sa gorge. Je sentais que ça butait sa glotte mais je sais que j’arriverai à lui faire avaler en entier dans d’autres positions.
Le balai continuait et je n’étais pas très loin du point de non-retour. Il branlait sa petite queue et je me suis rappelé alors mes paroles de la veille. Je lui ai demandé de s’assoir et d’arrêter de se branler et accessoirement de me sucer. J’ai pris sa petite paire de couilles en main. Je suis certain que ses deux couilles ne font même pas la taille d’une des miennes. J’ai commencé à serrer son sac de boules pour le faire grimacer. J’ai relâché la pression et lui ai assené une ou deux baffes. Il a couiné encore. Sa queue était dure comme de la pierre.
« C’est ça buster les couilles » lui dis-je. « Et on dirait que ça te plait petite pute ».
Il me répondit par un « oui » mémorable de soumission. J’ai saisi ma queue et lui ai demandé de me finir. Il a donc continué de me sucer avec avidité. Je lui ai demandé de se positionner allongé à terre. J’aime me faire décrasser le fion aussi. Je me suis assis sur son visage pour qu’il bouffe ma raie poilue et surtout rentre sa langue dans mon trou. Il a bien joué le jeu et a dévoré avec gourmandise mon trou poilu. J’ai continué à me branler bien assis sur le visage de mon prof de lettres classiques. Il se branlait avec vigueur avant que je lui saisisse la main pour l’arrêter. J’ai repris les claques sur ses couilles et je voyais qu’il adorait ça tant dans sa gaule d’une rigidité folle que dans ses cris de plaisir qui retentissaient dans mon fondement.
Au bout d’une dizaine de minutes de bouffage de trou, je me suis décalé vers l’arrière pour lui recouvrir le visage et sa bouche grande ouverte de mon jus. Et quand je parle de recouvrir, ce n’est pas une image, j’ai juté dans sa bouche en grande quantité et ai rempli de mon jus visqueux son œil gauche, ses narines et ses joues désormais dégoulinantes. J’ai repris mes esprits après plusieurs spasmes habituels pour moi. Je me suis assis à côté de lui et ai continué à maltraiter ses couilles. Je lui donnais des claques alors que le plaisir continuait à montrer en lui. Je sentais que son jus n’était pas loin et c’est alors que Jérôme a juté de grands jets de foutre sans même se toucher, à la seule puissance de mes claques assenées sur sa petite paire de burnes. Je l’ai laissé reprendre ses esprits tranquillement, tandis que je reprenais les miens aussi après une telle jouissance.
J’ai saisi son boxer pour essuyer le jus sur son visage et son torse et lui ai ordonné de se rhabiller. J’en ai fait de même.
« Tu prends ta CB, on va au distributeur et je rentre chez moi » lui dis-je.
Il a esquissé un sourire et nous sommes descendu place Saint-Epvre pour trouver un distributeur d’argent. Il a mis sa carte, fait son code et je lui ai juste dit « 50 ». Il a retiré l’argent et s’est mis à genoux devant moi. Il était tard et personne ne zonait et pouvait nous voir devant cette banque. Il m’a donné les billets et je lui ai lâché un mollard entre les deux yeux.
« A bientôt Jérôme »
« A bientôt mon Beau Maître »