Mon prof, mon soumis (3/3)

Jérôme est devenu, en plus, de mon esclave sexuel, une source de revenus bienvenue dans ma vie d’étudiant. On avait convenu d’une rendez-vous hebdomadaire où je lui piquais du fric, cinquante balles au minimum à chaque fois. En général, je passais le jeudi en fin d’après-midi pour pouvoir bien picoler avec mes potes pour les soirées étudiantes avec le fric de mon prof. Et on se voyait au moins une fois par semaine pour que je le soumette de manière complète.
La première fois que j’ai enculé Jérôme fut mémorable. Nos rapports étaient assez similaires au début en tout cas. J’arrivais, je le frappais, les fesses ou les couilles, parfois même les deux et je me faisais pomper et bouffer le cul. Je lui jutais des tonnes de jus à la gueule et je partais. Et une fois, il m’avait parlé du fait, qu’il aimerait tester de prendre ma grosse queue dans son cul. Le soir en question, je lui ai bien faire rougir les fesses et puis je lui ai demandé de s’allonger sur le ventre à terre. J’ai pris ses fesses dans les mains et je lui ai offert un bouffage de cul bien en profondeur. Je l’ai rendu bien humide et surtout bien ouvert. J’ai glissé un doigt, puis deux qui ont fini ensuite dans sa bouche évidemment.

Et puis, après lui avoir demandé s’il était prêt, j’ai mollardé dans ma main, j’ai recouvert ma grosse bite de mollards bien gras. J’ai étalé. Et je me suis installé au niveau de son cul et je lui ai enfilé ma queue progressivement. Il hurlait comme un damné au contact de cette grosse masse qui lui rentrait dans le fion. De mon côté, j’étais tellement raide que rien n’aurait pu m’arrêter. Alors, j’ai poursuivi mon chemin dans le fondement de mon prof. Et une fois au fond de lui, je lui ai demandé s’il m’aimait. Il m’a répondu que oui. Et je l’ai sodomisé comme un malade. Je voulais lui coller des tonnes de spermatozoïdes au fond de son cul. Je l’ai brutalisé, ses fesses étaient encore rouges de mes assauts et j’allais rendre son fion inaccessible pour quelques jours.

J’ai accéléré le rythme mais je suis très endurant et il le savait. Il couinait comme un fou. Je l’ai fait prendre ma position préférée : la levrette, la plus humiliante à bien des égards. Une fois installé confortablement, je lui ai dit de bien poser sa gueule au sol, j’ai retiré ma chaussette de sport et je lui ai collé mon panard pointure 51 sur la gueule. A mon grand étonnement il s’est mis à le sniffer et à le lécher. Je n’avais encore jamais pensé à lui faire lécher mes panards. Pourtant, Jérôme a l’air de beaucoup aimé cela. Je me suis fini dans son cul en lâchant des tonnes de foutre dans un râle de plaisir venu du plus profond de mon être. Cette décharge a fait également juter Jérôme qui en a foutu plein le parquet. Je lui suis alors tombé sur lui, mon grand corps recouvrant le petit corps de Jérôme, ma grosse queue toujours plantée en lui.

« Ne bouge surtout pas » lui assenais-je. Il ne se doutait pas de ce qui allait arriver mais j’ai vidé ma vessie dans son cul. Quand il a compris, il était encore tout excité. J’avais bu pas mal de bières avant de venir chez lui et la quantité de pisse devait bien être d’au moins un litre. Et je me suis retiré de son cul. Ce dernier était bien béant après le passage de ma grosse bite. J’ai pris ma chaussette et je lui ai fourrée dans le cul, histoire de le rendre hermétique. Je me suis rassis sur son matelas et lui ai demandé de venir s’assoir devant moi. Il s’est relevé, avec grande difficulté, et s’est assis comme demandé. J’ai pris son visage et je l’ai embrassé. Je lui ai demandé de décrasser mon bitos qui était bien pendant et luisant après mon passage dans son cul. Je lui ai frapper à nouveau les couilles avant mon pied gauche et lui ai laissé mon autre chaussette, histoire qu’il me lave la paire. Je suis reparti chez moi ce soir-là avec un air satisfait. Je l’avais humilié comme rarement.

Il m’a avoué quelques jours après que jamais on ne lui avait fait subir de telles humiliations mais qu’il avait adoré le fait de se prendre mon jus et ma pisse dans le cul. Il avait surtout beaucoup aimé devoir recracher toute cette pisse dans les chiottes, comme une bonne femelle soumise. Il m’a d’ailleurs avoué qu’il aimerait beaucoup avaler ma pisse, même conservée.

Dès lors, avant nos rendez-vous, je lui réservais deux bouteilles de ma pisse. J’arrivais parfois avec deux litres de pisse que je faisais boire à Jérôme, il se faisait à cette idée de devoir avaler ma pisse, même conservée. Ce que je ne lui ai jamais avoué, c’est qu’à plusieurs reprises, la pisse appartenait à mon coloc. Je lui avais expliqué la situation et je trouvais ça excitant que Jérôme avale la pisse de plusieurs de ses étudiants. Je n’avais pas raconté à mon coloc qui était mon soumis mais que j’en avais un. Et que c’était une sacrée larve.

Pour mon anniversaire, il m’a proposé de m’inviter au restaurant, je ne pouvais pas refuser cette gentille attention. Mais je lui ai dit que je ne méritais pas un vulgaire fast-food ou restaurants bas-de-gamme. « Toi, tu mérites une étoile au moins » m’a-t-il dit. C’est donc ainsi que je me suis retrouvé dans un restaurant étoilé, que Jérôme semblait fréquenter de temps à autres étant donné qu’il y connait plusieurs serveurs. De mon côté, je faisais le fier mais jamais de ma vie je n’avais mis les pieds dans ce type de restaurant. Le parc était magnifique, il faisait bon sur cette terrasse et j’ai bien humilié Jérôme en commandant du champagne et du vin hors de prix ce soir-là. Il m’avait dit que je le méritais.

En rentrant chez lui ce soir-là, je devais le remercier. Il a déjà bu toute ma pisse composée de dizaines d’euros qu’il avait dépensé en alcool pour moi le soir-même. Et puis j’ai été davantage doux avec lui, je lui ai fait l’amour avec passion mais aussi avec hargne. Mes coups de butoir étaient tellement puissants dans son cul que cela l’a fait jouir très rapidement. Mais je me suis évidemment fini, et Jérôme n’en eût pas voulu autrement. Je me rappelle de ce vingtième anniversaire comme si c’était hier.

Durant cette année scolaire, j’ai fait subir à Jérôme des choses totalement folles. Je dois mettre en avant ce cours de janvier où j’avais demandé à Jérôme de porter un plug télécommandé dans le cul. Du fond de la salle, j’avais la télécommande en main et je jouais à changer des programmes durant son cours. Des sursauts se faisaient sentir en lui, des hésitations dans le voix se faisaient entendre et surtout une humiliation totale pour lui qui se faisait démonter le fion à distance par l’un de ces étudiants au fond de la classe et ce, en plein cours. J’ai pris un pied monstrueux à lui imposer cela mais il m’a dit, à la suite de cette séance, que nous avions atteint la limite à ne pas franchir pour ne pas déborder sur sa vie professionnelle. J’ai acquiescé et j’ai compris son point de vue.

Ce qui m’excitait, dès lors, davantage, était de lui faire porter des sous-vêtements de style jockstraps ou string sous ses jeans durant ses cours. Lui, comme moi, trouvions cela très kiffant. Il a été mon prof durant toute cette deuxième année. J’ai eu une très belle moyenne dans son module aux partiels, mais ce n’était pas dû au fait qu’il se prenait ma queue partout chez lui, c’était, je voulais le croire, dû au fait que j’ai progressé avec ce bon prof qu’était Jérôme.

Au-delà de notre relation, je reconnais que c’était quelqu’un qui se donnait complètement à son travail. Mais il m’a avoué assez tôt qu’il ne resterait pas à Nancy l’année suivante étant donné qu’il voulait partir en Allemagne afin d’y découvrir une autre culture, se ressourcer et peut-être écrire des livres.

La dernière fois que j’ai vu Jérôme, c’était en juin. On est allé boire un verre en ville, je lui ai fait retirer du fric et nous sommes allé chez moi. Mon coloc était déjà parti en vacances et j’avais l’appartement pour moi tout seul. C’était la première fois qu’il voyait mon appartement et donc ma chambre où de nombreux livres recouvraient les étagères, un nombre beaucoup plus limité que chez lui certes. Il y avait aussi nombre de carnets griffonnés, avec des ébauches de scénarii, des débuts de romans. Je ne lui ai pas fait lire. Mais je lui ai juré que si un jour, je deviens quelqu’un, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour le retrouver. Et peut-être même continuer ce que l’on a débuter cette année.

Je l’ai pris dans mes bras et je l’ai soumis une dernière fois. Tout y est passé. Je lui ai fait lécher toutes les parties de mon corps : j’avais pris soin de ne pas approcher la douche depuis presque trois jours et Jérôme s’est donné un malin plaisir à décrasser mon grand corps : mes grands panards puants, mes aisselles poilues et daubantes, mon torse, mes cuisses. Et évidemment, il a décrassé mon fion en profondeur en y lâchant, comme toujours, des râles de pucelle. Et il a terminé par ma grosse bite pleine de fromage daubant dont il s’est fait plaisir de la prendre en gorge profonde. Il avait largement progressé cette année. Comme moi dans son cours. Nous sommes, tous deux, de bons professeurs. Dans des matières bien différentes.

Et forcément, je lui ai demandé son cul. Je lui ai bouffé, j’ai pris le lubrifiant dans mon tiroir, je m’en suis aspergé la queue et je l’ai défoncé comme rarement je l’avais défoncé. Ses cris étaient tellement forts et mes râles tellement puissants. La sueur coulait le long de mon torse et l’odeur que je dégageais me montait aux narines et m’excitait encore davantage. Je faisais claquer son cul alors que ma queue lui démontait littéralement l’anus. Je me suis arrêté, je suis sorti de son cul pour lui faire lécher ma queue luisante. Il l’a bouffée comme un malade. Je me suis assis sur son visage et je lui ai frappé les couilles, peut-être de la manière la plus violente que je ne l’avais jamais fait. Au bout d’une petite centaine de coups, et sans se toucher, il a juté des litres de foutre qui sont même venus arroser ma queue en pleine érection. J’ai récupéré le précieux nectar et j’en ai enduit ma queue.

Je me suis alors positionné devant lui, il était toujours allongé sur le dos. J’ai levé ses jambes et j’ai remis ma queue bien au chaud dans son cul. Je l’ai à nouveau défoncé et ce pour la dernière fois. J’ai pris mon temps, si bien qu’il s’est mis à bander à nouveau et à se branler. Je traitais Jérôme comme un sac à foutre que j’allais remplir rapidement du mien. La sève a monté et je me suis retiré de son cul pour lui offrir une faciale. Je l’ai recouvert de mon jus chaud et gluant et il a joui une deuxième fois alors qu’il avait sa langue coincée entre mon prépuce et mon gland turgescent. Je me suis assis à terre pour reprendre mes esprits. Jérôme avait pris mon pied droit pour le lécher.

Il en voulait encore. Et je me suis alors saisi d’un gros gode dans mon tiroir pour lui défoncer son cul encore largement ouvert par le passage de ma queue. J’ai fait des va-et-vient tout en frappant ses couilles. Il a juté après quelques minutes de ce traitement quelques gouttes de sperme. Il était luisant de sueur et de sperme et était désormais rassasié.

Cette nuit, nous avons dormi ensemble. Et au matin, à mon réveil, Jérôme était parti. Je ne l’ai plus jamais revu. Mon dernier roman, je lui ai dédié. Il a été important dans ma vie et il ne passe pas une journée où je ne pense pas à lui. Si jamais il se reconnait dans cet écrit…