C’était un soir de décembre. Je n’avais rien prévu et j’étais en train de me préparer à manger tranquillement. La sonnette retentit, je n’attendais personne pour le coup. Je regarde par le judas et voit un pompier, en tenue qui attend devant ma porte. J’ouvre et il me dit que c’est pour le calendrier de fin d’année. J’ai toujours donné pour les pompiers et ça n’allait pas changer cette année.
La porte s’est ouverte sur un daddy, la petite quarantaine, une barbe bien taillée, des yeux d’un bleu intense et un sourire magnifique.
« Enfin quelqu’un qui m’ouvre dans votre immeuble » dit le pompier.
« Mes voisins sont des vieux cons pour la plupart » lui dis-je. Ça l’a fait rire. « Entrez, vous voulez boire une bière ? »
« Avec grand plaisir, c’est gentil à vous. » me répond-t-il.
Il est entré chez moi et j’ai pu détailler son anatomie davantage. Ses chaussures de pompier, genre de bottines à lacets, étaient luisantes. On devinait une sacrée bosse à l’intérieur de son pantalon et des poils noirs dépassaient de son polo siglé « Sapeurs-Pompiers ». Il n’était pas très grand et un peu trapu. Je lui ai proposé de s’assoir à table, il a sorti un tas de calendriers et je suis allé chercher deux bières et un ouvre-bouteille. Il a détaillé mon appartement des yeux, il ne devait avoir plus aucun doute quant à ma sexualité.
Je suis allé chercher un billet de vingt balles dans mon portefeuille et je lui ai tendu. Il m’a donné en échange le calendrier tout en notant mon nom ainsi que la somme donnée. Il m’a remercié, et pour les thunes et pour la bière. J’ai pu remarquer, avec amertume, son alliance.
En prenant le calendrier, j’ai remarqué que les pompiers de Nancy avaient innover cette année. Plusieurs photos montraient des jeunes (et moins jeunes) pompiers dénudés, un peu dans l’esprit des Dieux du Stade. J’ai vu, au moins de juin, le pompier en face de moi torse nu, tenant une grosse lance à incendie dans ses bras. Ces derniers ont l’ai bien développé et la toison noire qui recouvre son torse semble hyper confortable. Il a dû voir mes yeux détailler son corps.
« On a innové un peu cette année. Ça semble vous plaire » me dit-il en finissant sa bière. Je n’ai pas le temps de répondre, je n’en ai d’ailleurs pas besoin. Cet échange de regard avec le beau pompier a très amplement suffit.
Il se lève, je me lève également pour le raccompagner. J’ai un début de gaule et vu la bosse énorme qu’il peine à cacher dans son pantalon, lui aussi. En passant la porte, je lui lâche :
« Vous repassez quand vous le souhaitez. »
« Je repasserai à vingt-trois heures tapantes » me dit-il en se retournant pour aller prendre l’ascenseur au bout du couloir. J’ai ri, pensant tout simplement à de l’humour. J’ai terminé de préparer mon repas, j’ai mangé et je me suis posé. À tout hasard, je me suis fait un lavement bien profond avant de me poser sur le canapé pour mater une énième daube à la TV. À 23 heures tapantes, j’entends toquer à la porte.
Les frissons ont parcouru mon corps tout entier, je me suis levé avec précipitation et me suis rué sur la porte d’entrée fermée à clé. J’ai ouvert et le beau pompier était dans la même tenue que tout à l’heure mais sa braguette était grande ouverte et laissait dépasser une queue absolument énorme.
« C’est ici l’incendie à éteindre ? » me dit-il. Nous avons tous les deux ri. Je l’ai fait entrer dans mon appartement et l’ai installé contre un mur. Je me suis alors mis à genoux pour prendre en bouche cette merveille de la nature qui pendait entre ses cuisses. Je l’ai pompé jusqu’à ce qu’il se raidisse complètement, sa queue faisait vingt-cinq centimètres et c’était un vrai bonheur à pomper. Au bout d’un bon moment de pompe, je me suis levé pour me déshabiller et laisser juste mon jock-strap. J’avais déjà bien bavé sur sa queue et lui avait offert les gorges les plus profondes possibles.
Il m’a demandé de le mettre nu également. Je me suis donc remis à genoux devant lui pour lui retirer les pompes que j’avais trouvé belles tout à l’heure, j’ai délacé et lui ai aussi retiré ses chaussettes de sport qui avaient bien macérées dans ses chaussures toute la journée. J’ai desserré son bouton de pantalon et ai fait glisser son pantalon et son boxer. Je me suis levé pour retrier son t-shirt et découvrir un torse musclé et vraiment poilu. Je me suis approché de ses aisselles pour les renifler : ni parfum, ni déo n’étaient présents : une pure merveille pour les narines. Je me suis bien shooté à ses aisselles daubantes.
« Tu veux la prendre dans le cul ? » me dit-il.
« Si tu me prépares et que tu y vas doucement, on peut tenter. Je vais aller chercher le poppers et du gel » lui dis-je en m’exécutant.
A mon retour, il s’était installé sur le canapé, sa queue toujours tendue et je me suis remis à le pomper comme un bon soumis. Je n’ai jamais réussi à la gober tout entière. Il m’a ensuite fait me lever pour plonger son visage entre mes fesses. Il m’a alors dévoré le boule, comme rarement un mec me l’avait fait. Il faisait ça vraiment tellement bien que je me penchais au maximum pour le laisser exercer sa tâche avec le plus grand brio.
Une fois terminé, il m’a balancé une claque sur la fesse gauche et m’a dit : « Allé, à la casserole. ». Je me suis donc allongé sur le canapé lui laissant offert mon cul bien bouffé et donc bien ouvert. J’ai pris quelques bouffées de poppers alors qu’il aspergeait la plus grosse queue que je n’avais jamais prise avec du gel. Il a tartiné mon trou bien ouvert de gel également, me glissant un doigt puis deux, l’air de rien. Ça rentrait comme dans du beurre. Il s’est alors installé au-dessus de moi et a positionné son énorme teub à l’entrée de mon trou. Il a poussé, lentement mais sûrement jusqu’à son gros gland rentre en moi. A partir de cet instant, je ne me rappelle plus grand-chose si ce n’est le bonheur de se faire mettre.
Le pompier m’a défoncé avec son énorme lance comme rarement je l’avais été. Il tenait mes hanches si bien que j’étais presque à quatre pattes à hurler sous ses coups de rein puissants. Sa queue coulissait dans mon cul et la sueur gouttait sur mon dos, le pompier transpirait à fond pendant qu’il me défonçait. La gueule dans le canapé, je lui ai demandé si on pouvait changer de position, il s’est alors retiré d’un coup de mon cul et j’y ai senti comme un courant d’air.
Je me suis alors mis sur le dos afin de recevoir sa grosse teub et pouvoir le voir en même temps. A aucun moment il a tenté de m’embrasser ou d’avoir des gestes doux. Je savais que je baisais avec un hétéro, sûrement père de famille et que je ne devais pas en chercher plus. Il fallait profiter de l’instant et avec son énorme queue entre les cuisses, je ne pouvais en profiter encore davantage.
Je pouvais donc l’observer se démener à me casser littéralement le fion avec des va-et-vient incessants et profonds, j’hurlais de plaisir tandis que ses râles se faisaient de plus en plus haletants. Il s’est alors retiré de mon cul, je me suis mis à genoux pour prendre une superbe faciale. Son jus blanc est sorti par jets de son énorme queue et m’a bien recouvert la gueule. Je m’en léchais les babines alors qu’il reprenait ses esprits.
Une deuxième bière s’est imposée avant son départ. De mon côté, j’ai laissé le jus sur ma gueule alors que je discutais brièvement avec lui. Même si à son départ, il m’a dit « A l’année prochaine peut-être », je ne l’ai jamais revu. Mais quel souvenir impérissable il m’a laissé ce pompier avec son énorme bite.