Cette histoire s’est passée lorsque j’avais environ 17 ans. Je voyais mon cousin le weekend-end notamment. Il nous arrivait de se taper des queues ensemble devant un bon film porno ou les gonzesses se faisait défoncer la chatte par Rocco… Mais rien de plus… On jutait et c’était terminé, des trucs de cousins quoi ! Mais ce jour-là, ce ne fut la même.
On était les deux dans sa chambre, tout le monde dormait dans la baraque. Il était une ou deux heures de mat’ et après un bon film d’horreur, une branle s’imposait ! Alors on met un film de cul bien hard comme à chaque fois. J’avais déjà remarqué ses effluves de mâle, il n’était pas très pote avec la douche mais aujourd’hui, c’était encore pire que d’habitude. Un truc de malade, à vous faire réveiller un mort. On avait donc nos deux queues en main, il était bien monté, vingt centimètres, épaisse et bien poilue, comme j’aimais à l’époque et comme j’aime toujours. J’en avais peu goûté mais il était largement au-dessus du lot. Il portait tout le temps les mêmes chaussettes, on dirait qu’il ne les changeait jamais. Chaque fois que je le voyais, la semelle de ses chaussettes était brune voire noire de transpiration et de crasse.
Il se doutait sûrement que je kiffais les chums, mais jamais il n’aurait tenté quelque chose sur moi, par peur de ma réaction. Mais là moi, j’avais grave envie de sa queue, ses odeurs de mâle m’excitaient un max ! Tout me remontait au pif et j’étais grave en chien. Alors je m’décidai…
— Ça te dit que je te suce ?
Et là aucune réponse, il avait plutôt l’air surpris. Et d’un coup sec, il me choppa par les cheveux, on était encore allongés l’un contre l’autre, moi tenant ma queue à pleine main. Il plaça ma tête en dessous de son visage, au niveau de son ventre, et m’ordonna d’ouvrir la bouche. Je m’exécutais ! Et là, il va chercher au fond de sa gorge le mollard du siècle, un truc énorme qu’il me lâche en plein dans la bouche. Et il me dit, la bouche pleine :
— Commence par avaler ça !
Et là, c’est moi qui ai été surpris ! Le salaud, il avait décidé de me faire ma fête, depuis le temps que je l’attendais ! Après avoir avalé son mollard bien gras, il me laisse à peine le temps de reprendre mes esprits et me place la gueule contre le mur afin que je puisse le sucer pensais-je… Il se mit face à moi, à genoux sur le lit, et me colla une baffe monumentale. Ce qui me fit basculer sur le côté. J’étais ailleurs, comme sur une autre planète. Il empoigna encore une fois mes cheveux et me replaça contre le mur, face à lui. C’est là qu’il entreprit de me bourriner la gueule avec sa queue. Il plaça le bout de son gland juste devant mon visage. J’avais déjà la gueule grande ouverte.
Mais lui ne le voyait pas de cet œil. J’avoue que le goût de fruits de mer avariés dont certains parlent me sauta au nez. Il avait un long prépuce qu’il n’avait pas complètement décalotté jusqu’alors. Il le fit juste devant mes yeux, et là, je vois apparaître sur son gland une masse blanchâtre qui traînait une odeur forte. C’est à cet instant que j’ai regretté d’avoir ouvert ma gueule plus tôt… Il me regarda droit dans les yeux et me dit :
— Tu voulais un mec, suis dispo. Alors maintenant, tu ne vas pas faire ta pute et tu vas faire ce que je te dis ou sinon ça va mal aller pour toi !
Je ne pouvais alors plus rien faire ! J’étais obligé d’aller jusqu’au bout de cette expérience. J’ouvris donc à nouveau la bouche. Il prit de ses doigts un peu de fromton de sa queue et les enfonça le plus possible dans mon nez. Afin que je garde son odeur pestilentielle pendant tout l’acte. Et je me mis donc à le sucer. C’était assez étrange car je me suis mis à apprécier ce goût âpre, à kiffer cette odeur extrême de mâle. Il me laissa quelques secondes pour m’habituer à sa queue, mais cela ne dura pas. Il reprit vite les choses en main. Tenant sa queue dans une main, et appuyant ma tête contre le mur, il commença des va-et-vient d’un rythme effréné. Plus fort que le burinage de chatte de nos films favoris. Ma bouche ne suivait pas tant il était rapide et allait profond. Il me défonçait littéralement la gueule.
Quand il était bien à fond dans ma gorge, il restait quelques secondes en poussant des cris bestiaux. Ça le faisait kiffer de me voir souffrir. Mais moi j’adorais ça. Je m’appliquais du mieux possible. Il alternait en me faisant bouffer ses grosses couilles poilues. Ça le faisait triper que je les prenne les 2 en bouche en même temps. Il pouvait se branler bien tranquille sur ma gueule pendant que ses burnes étaient bien au chaud dans ma bouche de pute. Cela a duré une bonne vingtaine de minutes. Vingt minutes de pilonnage intensif. Mais il n’avait pas envie que cela se termine de si tôt. Alors il me dit :
— Bon grosse salope de cousin, ça fait six jours que je n’ai pas juté, et j’ai envie que ça dure pour pouvoir te noyer dans mon sperme.
L’expression était exagérée mais ça m’excitait grave rien que d’y penser. Il s’alluma alors une clope et me dit de venir à côté de lui. On parla un peu, lui racontant ce que je kiffe chez les mecs et lui me disant que c’est sa première expérience. Qu’il aimerait faire ça avec sa meuf mais qu’elle ne veut pas se soumettre à lui.
Il m’a alors demandé ce que je pensais de ses panards et de ses cho7, je lui ai dit que j’étais plutôt attiré par le fait de lécher des panards mais que les siens avaient l’air d’une intense puanteur. Mais il insistait me disant qu’il avait toujours voulu qu’on lui lèche les panards, que jamais aucune gonzesse n’avait accepté ça et que c’était un bon moyen de tester de nouvelles expériences. Je me suis résolu : je lui ai dit oui !
Il s’est rallongé sur le pieu, laissant en dehors du lit ses immenses panards (mon cousin chausse du 47, pas facile à l’époque de trouver des skets à sa taille…) et jusqu’alors ses cho7. J’attendais qu’il les retire mais il m’a dit de commencer ainsi. Je n’ai pas peur de lui, mais vu les baffes dans la gueule qu’il m’a foutu tout à l’heure, je ne faisais pas le fier. Donc je me suis mis à sniffer puis à lécher ses immondes chaussettes, l’odeur n’était pas si désagréable, je me suis même surpris à aimer ça. Ça sent la transpi et l’emmental. Je les ai donc bien léchés et une fois suffisamment gluantes à son goût, il les a retirés.
Je suis donc passé à ses pieds à récurer en long, en large et en travers. Et avec un 47, il y a matière à user de la salive. Il lâchait des « Trop bon » et des « Putain » à tout bout de champ. Il kiffait ça et moi je m’étais trouvé une nouvelle passion ; lécher et bouffer des panards de mâle. J’avais 17 ans et je savais que dans ma vie, ce ne serait pas les derniers panards que je lécherais. Peut-être les plus grands, sûrement les plus grands. Sûrement les plus puants également. Mon cousin avait le même âge que moi et était plutôt un flémard dans la vie. Il me conforta dans mon opinion avec son idée suivante.
— Maintenant que tu as bouffer mes panards, plus rien ne va t’arrêter ! Si tu veux goûter à mon jus, va falloir faire ce que je te dis. Je n’ai pas envie de me lever pour aller me moucher alors tu vas sagement bouffer tout ce qui sortira de mon nez.
Je refuse catégoriquement et lui dit que je ne fais pas des trucs dégueu comme ça ! Il m’en colla une, je protestai en criant. Il me dit de fermer ma gueule et que je ne devais pas réveiller ses parents. Il insistait. Je dus me résoudre.
Alors il souffla très fort dans sa main gauche, après quelques instants, elle était maculée de morve bien gluante. Je lui léchai avidement les mains, sans manquer de gerber à plusieurs reprises. J’avais envie de sa queue. Encore. Et de sa dose énorme de jus. Une fois bien léchée, sa main alla chercher quelques crottes bien incrustées, il me demanda de lui présenter ma main, il m’en colla quelques-uns que je dus évidemment avaler goulûment. Pour lui. Je le faisais pour lui. Les panards, les chaussettes, j’ai kiffé, mais là, j’avoue que non. Mais j’appréciais grandement le fait qu’il puisse aller si loin.
— Et ça fait longtemps que t’as envie de ma queue ?
— Ben ouais, ça fait déjà pas mal de temps que tu me donnes envie. Avec toutes nos branles et tout. Mais là, ce qui m’a plu c’était ce gland fromageux, comment tu fais ça ?
— Je t’expliquerai plus tard comment faut faire mais pour le moment, tu vas aller dans la baignoire et m’attendre bien gentiment !
— Mais je ne vais pas sortir à poil, traverser le couloir alors que les parents et ton frère dorment juste à c…
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase qu’il m’a déjà collé un coup de poing dans les couilles, me pliant en deux.
— Tu fais ce que je te dis et c’est tout !
Je m’exécutai avec précaution tout de même et allai jusqu’à la salle de bain qui était de l’autre côté du couloir. J’étais à poil. Je savais ce qui m’attendrait là bas, il avait envie de m’arroser de sa pisse bien chaude et peut être même m’en faire avaler. Le rêve… Je laissai la lumière éteinte. Au bout de quelques minutes, j’entendais une porte s’ouvrir ! Enfin, mon cousin va continuer mon larvage ! Mais je fus très surpris ! C’était le petit frère de 16 ans qui entrait dans la pièce.
— J’ai tout entendu ce que vous faîtes, et vu que ça m’a donné la gaule, tu vas me servir de vide-couilles.
Il sortit alors sa queue. Il était déjà bien pourvu pour son âge mais ne puait pas autant que son frère, dommage ! Je m’exécutai à sucer cette queue, il est venu en deux minutes à peine, et a juté bien au fond ma gorge. Il n’avait pas autant de poigne que son aîné mais il était plaisant ! Il repartit vite fait dans sa chambre en me lançant un petit « Merci C’zin ! »
J’entendis alors mon autre cousin sortir de sa chambre. Il vint directement devant moi, il ne bandait plus mais que sa queue était épaisse et lourde au repos ! Il m’ordonna alors de prendre sa queue entière dans ma bouche, je le fis. Il me promit une pluie de mandales si je n’avalais pas tout. Il se concentra et commença à m’inonder la bouche de sa pisse fumante et puante, je m’attelai à tout boire ce précieux liquide. Quelques gouttes tombèrent tout de même dans la baignoire, il me les fit laper. Il me dit ensuite de m’allonger sur le dos dans la baignoire, que j’allais devoir lui décrasser son trou qui d’après lui était bien gras et que j’aimerais ça. En effet, j’ai aimé décrasser son cul. Je n’avais jamais fait ça, mais j’ai adoré cette odeur particulière. Putain, je prenais cher ce soir ! Incroyable. Et quelles découvertes !
— Et t’aimes aussi te faire enculer comme une chienne ?
— J’ai juste été baisé par deux mecs, tu sais, je n’ai pas beaucoup d’expérience… J’ai le même âge que toi et les pédés, ça ne court pas les rues.
— T’inquiète, je comprends. Je me renseignais juste pour savoir si je vais te dépuceler ou non.
On retourna alors dans sa chambre pour qu’il donne une raclée à mon petit cul ! Et il n’y alla pas de main morte ! Il me fit mettre à 4 pattes, mollarda une ou deux fois sur mon cul enfonçant son index au plus profond. Et lorsqu’il décida que mon cul était prêt, il posa son gland sur ma chatte de pute et d’un coup sec, entra son dard bien au fond de mon fondement. Au plus profond de mes entrailles. Je poussai alors un hurlement. Il m’engueula de plus belle et décida de chopper ses chaussettes et de m’en coller une bien au fond de la gueule pour que mes hurlements soient retenus. Au moins pour ceux qui dorment. Bien que le frère doive être en train de se branler en nous écoutant. Il pilonna alors mon cul pendant une dizaine de minutes. J’avais le derrière en feu, jamais on ne m’avait enculé aussi fort ! Et encore moins avec une grosse pine. Il se retira et vint se placer devant moi, je me mis alors au niveau de sa queue, il me frappa sur la tête et me dit :
— Lèche-moi les pieds. Après tu auras mon jus !