Un week-end avec les plus gros pervers (1/3)

(Point de vue de Jared)
À l’aube de mes trente ans, j’ai bien vécu ma vie, j’ai profité, j’ai tenté des tonnes d’expériences et je ne suis pas mécontent de ce que je suis devenu. Un concours de circonstances a fait que les deux mecs avec qui je me suis le plus éclaté au lit étaient disponibles le même week-end et m’avaient demandé si je pouvais les héberger chez moi à Lyon pour ce week-end de juin où la chaleur allait à coup sûr encore frapper cette belle ville.
Ils ne se connaissent pas. Mais les deux connaissent mon corps par cœur, ils l’ont testé et maltraité. Ils ont distendu les deux mon trou du cul avec leurs bites énormes, ils m’ont imposé des choses qui m’étaient jusqu’alors impensables. Et pourtant, j’ai tout assumé et ces deux mecs ont réellement été les meilleurs coups de ma vie. Ce sont des souvenirs impérissables. Le destin fait que je vais me soumettre à nouveau mais à ces deux mecs en même temps. Ils adorent le principe d’être deux à pouvoir profiter de moi. Surtout que leurs esprits pervers réunis vont donner un mélange proche de l’enfer, ou du paradis, c’est selon.
Mathieu habite Paris, il a la queue la plus large que je me suis prise dans ma vie. Il a la quarantaine, il est beau et il me plait. Il a ce sourire et ce regard pervers auquel je ne peux résister. Farid a fait ses études en métropole avant de rejoindre les îles, mais il revient de temps en temps faire le tour de France métropolitaine des culs. Ce beau black a la queue la plus longue que j’ai vu de ma vie : il atteint presque les vingt-quatre centimètres, et j’ai réussi à me la prendre plusieurs fois en fond de gorge. Farid est peut-être davantage porté sur la violence que l’est Mathieu, et je sens donc que mes couilles vont être mises à rude épreuve durant ce séjour.
Le week-end est arrivé finalement assez rapidement, j’impatientais de recevoir mes deux beaux mâles. Ils arrivent à quelques minutes d’intervalle à Part-Dieu, l’un du Sud, l’autre du Nord, je les attends tranquillement au milieu de cette immense gare. En réalité, je ne suis pas si tranquille que cela. On avait créé un groupe WhatsApp pour détailler les besoins et les envies de chacun. Je sais qu’ils se sont parlé hors du groupe et qu’ils ont prévu des trucs de folie pour ce week-end. Ils n’avaient pas de limites sur moi sauf celle de n’inviter personne d’autres. C’était Mathieu, Farid et moi pour le séjour entier. C’était moi soumis durant ce week-end au deux plus gros pervers que je connaisse. Je leur avais préparé le repas pour ce premier soir, j’imagine que les autres repas se passeraient au resto, je les connais. Seule certitude : ils partaient en milieu de matinée le dimanche, les deux à Paris.

(Point de vue de Mathieu)
Quelle fournaise dans ce train sans clim ! Ça fait trois heures que je transpire à grosses gouttes dans mon short… Je sens que mon boxer est trempé, j’ai la raie humide de sueur, les couilles collées et j’imagine l’état sous mon prépuce, avec en plus la mouille qui monte au même rythme que monte mon excitation à l’approche de Lyon. Quant à mes pieds, ils baignent dans un jus de chaussettes dont l’odeur commence à titiller mes narines… J’en connais un qui va se faire plaisir en enlevant mes chaussures tout à l’heure. Ça fait un moment que je pense à ce week-end… En plus, Farid m’a bien chauffé par téléphone, on a plein d’idées pour ce pauvre Jared qui ne sait pas encore à quoi s’attendre. Je me touche sans m’en rendre compte en y pensant, et je me rends compte que le passager d’en face, un petit mec qui a embrassé goulument sa copine au départ du train en la quittant, est en arrêt devant la bosse que fait ma tige bien raide sous le short moulant. Il évite mon regard mais je vois bien qu’il regrette que je ne prenne pas les devants pour entamer une discussion… Mais aujourd’hui, mon chibre est réservé. Quatre jours que je le préserve de l’eau au cours de mes douches sommaires… Ça sera mon petit cadeau à cette petite salope de Jared avant son voyage en enfer : un parfum d’homme comme il aime tant !
Bon, le train ralentit, nous sommes presque à Lyon. Le passager me lance des œillades avec insistance. Je me lève, je récupère mes affaires en l’ignorant, passant mon paquet pas loin de son visage comme par accident. Je fais mine de partir, avance dans le couloir, en profite pour glisser ma main sous mes couilles et me coller un doigt dans la raie… Puis je me retourne, attends qu’il sorte à son tour, le fixe et lui fourre ma main sous le nez. Il est rouge de honte, mais je vois bien que ça l’a excité. Peut-être une future salope comme celle que je vais rejoindre dans quelques instants !
Je descends du train, Jared est au bout du quai, je vois qu’il est déjà en bonne compagnie, aux côtés de Farid qui me regarde en souriant, son regard de pervers est exactement comme je l’imaginais. Jared, lui, oscille entre bonheur et crainte, ça se voit sur son visage. Je reconnais ce même rictus qu’il avait le jour où je l’ai menacé de le laisser toute une journée attaché comme un chien pendant que j’allais bosser… J’avance lentement et les salue. L’aventure ne fait que commencer.

(Point de vue de Farid)
Mon séjour à Marseille m’a épuisé, j’étais avec un couple de potes qui a profité de ma queue comme jamais. Ils l’ont sucé, léché, pris dans le cul pendant ces trois derniers jours non-stop. Durant ces mêmes trois jours, je n’ai même pas approché la douche, une langue parcourait bien souvent mes pieds, mon cul, mes aisselles ou mes couilles. Donc aucun besoin d’hydrater davantage. Mon short de bain fait limite sortir ma queue alors que je suis assis dans le train en face d’un quadra plutôt bien foutu pour son âge. Il ne faut pas trop que je pense au week-end qui m’attend sinon ça va dépasser. Et la petite vieille à quelques mètres va vraiment comprendre que les blacks à grosses queues, ce n’est pas une légende urbaine. Je m’endors à plusieurs reprises, piquant du nez. À un moment, je me réveille et vois que le mec en face de moi a une gaule monumentale. Il roupille mais j’imagine qu’il pense à des trucs bien salaces. Ça me fait trop marrer. La vieille à côté s’en est aperçu et cache les yeux de son petit-fils à côté d’elle. Comme s’il comprenait… Elle me regarde et je ne peux m’empêcher de lui faire un clin d’œil.
J’approche de Part-Dieu, je prends mon sac sur les genoux, j’en sors le plug Bluetooth vibrant que j’ai acheté pour Jared. Enfin, acheté, jusqu’à ce qu’il me rembourse. Je lui avais dit qu’il aurait une facture dès mon arrivée à Lyon. J’ai acheté quelques trucs à Marseille pour bien le soumettre pendant ce week-end. Le train s’arrête et je descends, je repère assez rapidement Jared que je somme d’aller directement aux chiottes. Il s’exécute même s’il me fait déjà chier en disant que Mathieu arrivait dans dix minutes. On arrive dans les chiottes ou cinq pissotières trônent, je lui tends le plug et lui dis d’aller se l’enfiler dans la cabine. Il s’exécute, non sans pousser un petit cri de fiotte. De mon côté, je remplis de pisse la bouteille de jus de pomme que je n’avais pas encore finie. On ressort des chiottes pour aller attendre Mathieu au milieu de cette gare.
Je lui demande de boire la bouteille et de pas faire d’histoire. Pendant ses premières gorgées, j’actionne la télécommande qui lui fait avoir ses premières sensations anales du week-end. Ça le faire rire et s’étouffer un peu avec ma bouteille de pisse. Je fais défiler quelques niveaux avec la télécommande, certains font s’échapper de Jared des petits couinements hyper excitants. La bouteille est terminée, il est fier de lui. S’il savait à quoi on a prévu de le nourrir ce week-end… Je lui dis que ça fera 120 balles pour le sexshop, il me dit qu’il retirera des thunes le lendemain pour mes dépenses. Mathieu arrive, il me serre la main et lâche un mollard sur Jared. Je lui file la télécommande.

(Point de vue de Jared)
Une fois ces deux beaux mâles réunis, on a pris le métro juste derrière la gare. Aucun d’eux n’avait déjà vu mon appartement. J’ai dû porter le sac de Farid et la petite valise de Mathieu, comme un bon larbin. Je leur avais pris un ticket de métro chacun pour tout le week-end. Arrivés à Guillotière, on est descendus pour rejoindre mon appartement. Dans mon cul, c’était la fête ! Le plug battait à des rythmes variés au bon vouloir de mes bourreaux qui prenaient plaisir en se marrant comme des baleines.
J’ouvre la porte de mon appartement et je dépose leurs bagages, on fait rapidement le tour de mon quarante-deux mètres carrés, au troisième étage d’un bâtiment presque neuf. Mathieu me demande d’aller directement m’installer dans la douche. Et de me mettre à poil : ma condition physique pour ce week-end. Je m’exécute, il me retire le plug qui était à l’arrêt depuis mon arrivée dans l’appartement. Il déballe alors sa queue, une odeur me monte au nez mais je reste calme. Il place son gland à l’entrée de mon cul encore ouvert par le travail du plug. Il me remplit par une bonne quantité de pisse que je peux apercevoir bien jaune foncée. Il me remet alors le plug. « Pas une goutte par terre sinon je te détruis » me dit Mathieu. Il sort de la pièce, j’en profite pour pisser un coup, en maintenant le plug enfoncé dans mon cul, je ne veux pas faire de bêtise.
Je les ai ensuite rejoints, ils étaient posés côte à côte dans le salon, sur mon canapé. Ils ne portaient que leurs chaussettes et leurs boxer. Farid, peau ébène, et Mathieu, peau translucide, j’avais devant moi un magnifique spectacle. Je me suis approché, mi-intimidé, mi-excité, j’avais envie de prendre soin de leurs belles odeurs qu’ils m’avaient réservées. Ça sentait le mâle à plein nez et j’allais bientôt m’en prendre plein le pif. Je me suis assis devant eux, j’ai soulevé une jambe de chacun que j’ai posé sur mes propres cuisses, d’une main, j’ai tâté leurs paquets plus que généreux. J’ai alors commencé un jeu tranquille de reniflade de mes mâles : leurs chaussettes maculées de transpiration, leurs boxers qui n’étaient pas en reste, le spectacle était beau, vraiment. J’ai léché leurs chaussettes, j’ai léché leurs boxers, leurs queues prenaient alors des proportions énormes et ma queue n’était pas en reste, je ne pouvais pas la branler, j’avais trop à m’occuper. J’ai sorti leurs deux queues pour les branler, les deux souriaient, leurs corps étaient luisants de chaleur.
Je me suis levé pour allumer le ventilo, histoire de ne pas les fait mourir de chaud. Je leur ai aussi ramené deux grands verres de thé glacé maison. Ils m’ont remercié en me traitant de soubrette.
« C’est quoi ça ? » me dit Mathieu en désignant du doigt une tâche sur le tapis où j’étais assis. « Je t’avais prévenu, si tu perds ma précieuse pisse, tu le paies, tu es prêt à ça ? ».

(Point de vue de Mathieu)
Décidément, ce week-end va être bien sympa. Avec Farid, ça a accroché direct. On n’a pas vraiment besoin de se parler pour se comprendre sur les sévices à faire subir à notre petit Jared… Afin de faire un peu plus connaissance, après avoir laissé Jared dans la douche le cul plein de pisse, je suis retourné m’installer auprès de Farid qui s’était déjà mis à l’aise. J’en ai vite fait autant, j’avais tellement envie de pisser en arrivant que je n’ai pas pris le temps de me déshabiller avant de remplir le cul de notre petite pute. J’ai bien vu que Farid se marrait en me voyant tout habillé avec mes baskets dans la douche. Une fois installés dans le canapé, on a commencé à se toucher et à se sniffer un peu forcément, c’était trop tentant. À coup sûr, Jared allait aimer, on lui avait travaillé de bonnes odeurs de mâle.
Confirmation quelques minutes plus tard, il s’est bien lâché sur nos pieds, nos couilles et tout le reste, s’attardant sur les endroits les plus odorants, ne sachant où donner de la tête entre nos deux corps de mâles transpirants. Et là, première erreur de Jared : il se lève sans qu’on lui ait demandé et prend une initiative. Bon, c’est pour nous servir un thé, comme un bon larbin… Mais j’en profite pour pisser quelques gouttes sur le tapis sans qu’il s’en aperçoive. Farid me lance un regard complice et se marre doucement. Et quand Jared revient, le piège se referme, je lui montre la tâche et le rappelle à l’ordre. Persuadé qu’il a commis une erreur, il se met à rougir et la peur se lit dans son regard… Je l’attrape par les cheveux, lui colle le visage contre le tapis sans ménagement et lui redemande : « Qu’est-ce que je t’avais dit sur la pisse qui est dans ton cul, petit bâtard ? Qu’est-ce que tu n’as pas compris ? » Il essaie de bafouiller des excuses, mais je lui appuie le visage encore plus fort contre le tapis.
« Et tu ne réponds pas ! Tu écoutes et tu obéis ! Je t’avais prévenu ! Lèche le tapis ! ». Farid se marre toujours discrètement pendant que Jared commence à lécher le tapis avec dégoût. « Putain, t’en as même laissé couler en dessous », je lui lâche sévèrement. Et je soulève le tapis, et lui ordonne de lécher dessous. Apparemment il avait oublié de faire la poussière à cet endroit… C’est fait ! Il lèche comme un bon soumis et se met à tousser. « Tu vas t’étouffer ! Arrête et bois ! » Je lui attrape les cheveux, lui colle deux baffes et lui enfourne ma bite dans la bouche, et je finis de me vider la vessie à nouveau, mais cette fois-ci dans sa gorge… Une pisse bien forte. En un clin d’œil, Farid a la bite collée à la mienne et ne laisse pas de répit à Jared quand j’ai fini de pisser. Il lui ouvre le bec, et lâche un bon jet jaune foncé. Jared avale tant bien que mal, mais il en fout la moitié sur le tapis. On s’en fout, ça lui fera un souvenir de notre passage. De toute façon, des traces y’en aura bien d’autres !
Une fois le gavage fini, Farid lui recolle la joue contre le tapis mouillé et écrase son visage avec le pied tout en l’insultant et en lui rappelant ce qu’il est : notre larbin à tous les deux ! J’en profite pour attraper une de mes skets, puis j’enlève le lacet, lui colle la grolle puante sur le nez et la bouche, et lui attache les mains dans le dos avec le lacet. Je serre tellement qu’il geint. Alors je serre plus fort en lui ordonnant de se calmer ! Farid bande comme un dingue.