(Point de vue de Farid)
Mathieu m’excite déjà beaucoup, il est au moins aussi pervers que moi. Et voilà qu’il m’offre sur un plateau d’argent le moyen de punir une première fois ce petit enfoiré de Jared. Il est devant moi, mains liées, bite et couilles offertes. Forcément, j’ai envie de taper dedans. Et Jared sait qu’il va se prendre des coups. Je lui ai d’ailleurs même promis les 1001 coups durant ce séjour, et j’espère bien atteindre cet objectif. Il ne me croit pas capable de lui faire autant de mal. Je vais chercher quatre dés dans mon sac que j’avais pris le soin d’apporter pour cette punition.
« Nos grosses queues, tu les auras en toi. Mais avant de pouvoir nous décrasser et étant donné cette première faute difficilement pardonnable, on va jouer à un jeu de dés. Rien de plus simple. Tu lances les dés une fois pour Mathieu et une fois pour moi. La multiplication des quatre chiffres te donne l’entière liberté sur nos queues. Après que ce nombre de coups dans tes couilles aura bien sûr été réalisé. Tu en penses quoi Mathieu ? » ai-je lancé. Je voyais la peur dans les yeux de Jared mais sa queue était toujours fièrement dressée.
« Ça me semble une juste punition » répond-il, alors que Jared a envie de chialer. Je lui confie les dés dans sa bouche pour le premier lancer pour Mathieu : 5-3-2-4, donc 120 coups. Le deuxième lancer sera pour moi, j’espère être plus chanceux que lui : 6-6-3-2, donc 216 coups. Je jubile. Ça fait des années que j’ai envie de lui coller des coups dans les burnes, depuis qu’il m’a parlé d’un mec qui lui avait imposé ça. Il va savoir comment je m’appelle. Et voir que toutes ces vidéos de ballbusting qu’il m’a envoyées ces dernières années m’ont donné de quoi savoir comment frapper.
« À chaque coup, c’est merci Maître. Et on veut du vous désormais. Que ce soit ici ou dans le resto chic que j’ai réservé pour demain soir. » dis-je en m’installant derrière lui pour lui maintenir la tête et le haut du corps en avant pour les coups à venir de Mathieu.
(Point de vue de Jared)
J’étais sûr que mon cul était bien hermétique, mais apparemment, je ne maîtrise pas encore assez ce plug et tout ce liquide dans mon fondement. Et je vais le payer, très cher. Quand Farid m’a mis les dés dans la bouche, j’étais au bord des larmes. Mais je savais très bien que mes couilles prendraient cher durant ce séjour. Et j’ai eu aussi une information capitale pour mon argent : un resto chic était réservé pour le lendemain soir. Je sais que ces deux-là ne vont pas me rater. Mais en attendant, ce sont mes couilles les cibles de mes deux beaux mâles.
Farid s’installe derrière moi, il prend ma touffe de cheveux et la tire violemment vers l’arrière, il met son autre main en haut de mon torse, pour me maintenir. Mathieu s’installe assis sur le canapé. Je vais me prendre des coups de pied, je sais qu’il n’est pas du tout habitué à cette pratique, donc je crains qu’il ne mesure pas tellement ses coups. Les premiers coups tombent et me donnent raison. Je compte et remercie à chaque coup, les derniers coups sont des supplices pour mes couilles, et Mathieu le ressent bien. Ces deux se gaussent comme des porcs de me voir autant me tortiller. Au tour de Farid qui me fait me mettre à quatre pattes sur la table. Il va y aller aux poings. Mathieu retire ses chaussettes qu’il me colle dans la bouche. C’est lui qui comptera pour moi. Les coups sont rapides, violents, Farid se déchaine sur mes couilles, Mathieu en face de moi a du mal à compter. Au bout des 216 coups, je geins, je chiale, mes couilles me font un mal de chien. Farid me retire le lien dans le dos ainsi que le plug. Il m’attrape par les cheveux et me tire en arrière si bien que je tombe de la table sur le dos. La pisse s’écoule sur le parquet. Je fonds en larmes.
« Nos bites sont à toi » me dit Farid. Ils retirent alors leurs boxers. Leurs queues énormes sortent et ils commencent à se tâter alors que je me tiens les couilles au sol. Je m’approche d’eux, ils me sourient, ils savent au fond d’eux qu’ils sont allés loin, j’en suis persuadé. Je respire donc ces grosses queues avant d’y passer la langue. La teub de Mathieu est pleine de from que je me fais un plaisir de bouffer. Je passe de la queue black à la queue blanche et vice versa. Ma gorge commence à en prendre pour son grade, ils m’appuient bien sur la nuque pour que j’avale leurs grosses queues en gorge profonde.
(Point de vue de Mathieu)
Putain, que c’est bon ! J’avais presque oublié à quel point Jared était une bonne décrasseuse et une bonne suceuse. C’est presque aussi bon que la fois où j’avais fait nettoyer ma tige par le clebs d’un pote. Jared s’applique, ne craint pas d’engloutir ma bite, puis celle de Farid, à tour de rôle, en gorge profonde ! Avec la queue interminable de Farid, il manque de s’étouffer mais il y va, le bâtard ! Farid et moi on bande comme des dingues et toute cette activité nous fait transpirer, ça sent bon le mâle dans la pièce. La pression commence à monter mais on se retient de jouir avec Farid, il faut prolonger le plaisir ! Je retire ma queue, biffle violemment Jared, lui lâche un gros mollard dans la gueule et m’affale dans le canapé et je lâche : « Ce n’est pas tout ça, mais je commence à avoir faim moi, pas toi Farid ? Tu nous as préparé quoi de bon, petite lope ? » Farid, qui avait pris le relais pour limer la bouche de Jared, ressort son chibre humide, biffle encore plus fort Jared et s’affale à mes côtés. « Ouais c’est vrai, petit larbin ! tu nous as préparé quoi ? On n’a pas prévu de se faire inviter au resto ce soir, la flemme de se bouger après cette journée ! ».
Jared se relève et part dans la cuisine sans rien dire, la bouche luisante de bave et de mouille, et le cul humide de pisse. Il revient avec assiettes et couverts et commence à mettre la table. Je jubile et lui lâche : « Bah qu’est-ce que tu fous ? C’est pour qui la troisième assiette ? T’as vraiment cru que t’allais manger avec nous ?! Attends ! » Je pars chercher mon sac et lui lance une gamelle et un tablier de soubrette.
« Tu mangeras là-dedans, par terre ! c’est la gamelle du chat de ma voisine, t’inquiètes, je ne l’ai surtout pas nettoyée… et puis habille-toi pour nous servir. Je te laisse la note sur la table, bien sûr ! Tu seras gentil de nous apporter quelques olives pour l’apéro aussi ! »
J’ai surpris le regard dégoûté de Jared, mais il s’exécute (« Oui maître, bien sûr maître »), et je vois que ça fait bander Farid ! Avant même que Jared ne soit reparti en cuisine, j’attrape la grosse bite de mon camarade tortionnaire et commence à le pomper. Très vite on se retrouve à même le sol plein de pisse, en bonne suce et lèche mutuelle. C’est bon aussi de se faire plaisir et de montrer à Jared que nos bites ne sont pas que pour lui. Après un petit moment, Jared revient avec une vingtaine d’olives. Je lui demande de se mettre à quatre pattes et je lui colle une par une dans le cul. « Et tâche de les garder intactes ! On les comptera avant de se coucher ! » Farid a l’air d’aimer l’idée, on se comprend bien tous les deux ! Je commence à croire que ce mec ne débande jamais.
(Point de vue de Farid)
Je ne m’attendais pas à ce que Matthieu soit aussi salace. Mais j’adore ça et ma queue est super dure. Après avoir pris les vingt olives dans le cul, il repart à la cuisine préparer à manger. On continue à se palucher entre mâles et à pomper nos grosses teubs. Je dévie rapidement sur le trou de Matthieu déjà bien ouvert. J’y plonge ma langue bien profond, il râle de plaisir ce porc. J’y mets ensuite un doigt, puis deux. Je vois qu’on s’est bien trouvé. Il bave sur ma queue et j’ai envie de la mettre un peu plus au chaud. Matthieu me comprend rapidement et se positionne sur le dos, cul à dispo. Je lâche quelques mollards sur ma grosse queue et je commence à lui enfiler. Il râle alors de plaisir. J’en connais un dans sa cuisine qui doit vraiment l’avoir mauvaise.
Je commence alors des va-et-vient dans le cul de Mathieu. Il est bien large mais ma queue l’est encore plus. Je prends un gros plaisir. Je sue de partout, mes aisselles sont trempées. Jared se pointe dans la pièce avec les plats pour le repas du soir.
« Tiens, commence par bouffer ma queue » que je lui sors.
« Ne t’en fais pas, il doit y avoir du relief, je suis plein » lâche Matthieu.
Je ne m’attendais pas à ça. Pour moi, le scat, c’est clairement une limite et ma queue ressort avec de jolies traces de merde. Ce n’est pas non plus énorme, mais ce n’est pas clean. Jared s’approche de ma grosse bite qui sort du fion de son autre maître. Il prend sa mine dégoûtée. Je le comprends mais je lui colle une bonne mandale dans la gueule.
« Bouffe ! » qu’on lui hurle à deux.
Alors il s’exécute et il récure ma queue. Ce n’est qu’un avant-goût de tous les trucs salaces qu’on va lui faire ce week-end, mais je pense qu’il s’en doute déjà. Il m’a bien bouffé la queue, Matthieu s’est torché le cul avec le boxer de Jared et va s’installer à table. A poil. C’est beau à voir. Au menu du soir : Jared a préparé deux bonnes grosses saucisses de Morteau et des frites. Je rejoins Mathieu à table, je m’assois juste en face de lui. Jared se met à genoux, juste devant nous. Et sa gamelle.
Mathieu se saisit d’une saucisse, il la découpe tranquillement, se sert grassement de frites. Il prend la gamelle du chat et se fout plein de nourriture dans la bouche. Il mâche bruyamment et vulgairement, il en a plein la bouche. Il recrache alors tout dans la gamelle, mollardant à plusieurs reprises pour ne rien oublier dans sa bouche.
« Vas-y frère, fais comme moi » me lance-t-il. Je me mets donc à l’imiter et à prémâcher la bouffe que Jared va avoir ce soir à bouffer. Je kiffe l’idée.
(Point de vue de Jared)
Je vois la gamelle du chat se remplir de matières gluantes et visqueuses. On reconnait à peine les frites et la saucisse que j’ai préparé avec amour pour mes deux beaux maîtres. Une fois mon auge dégueulant, ils m’autorisent à commencer à manger. Je plonge alors la bouche dans cette gamelle qui pue les croquettes pour chat. Ce n’est pas une partie de plaisir, mais ça pourrait être pire. Mes deux mâles se parlent tranquillement de leur taf, des lopes qu’ils baisent régulièrement, de leur vie. Ils dégustent. Et moi aussi. Au bout d’un moment, Mathieu me demande d’approcher de lui et de placer mon cul vers ses jambes. Il descend alors de sa chaise et place sa queue à hauteur de mon cul.
Il prend la mayonnaise, il s’en fout plein la queue, m’en bourre dans le cul et me colle sa grosse queue. Les olives vont être surprises. Jusqu’à la garde : j’en râle de plaisir. « Ta gueule et bouffe » entends-je, sans distinguer si ça vient du maître blanc ou du maître noir. Mais je colle à nouveau ma tronche dans la gamelle alors que Mathieu me déglingue le fion bien profond. Il continue tranquillement à manger, et même à discuter avec Farid. Comme si de rien n’était. Après un moment que je trouve assez long, ils échangent. Et là, je vais sentir ma douleur : les presque vingt-quatre centimètres de Farid vont me ravager la rondelle et me niquer les boyaux.
Et ce que je pensais fut le cas. Il m’a défoncé comme une grosse chienne alors que ma gamelle était presque vide. Je prenais un plaisir monstre à me faire défoncer par Farid. Ça faisait un moment que je ne l’avais pas vu et sa grosse queue m’avait manqué. Farid me déglinguait en finissant de manger, j’avais désormais la tête totalement sous la table et Mathieu en a profité pour mettre sa grosse bite dans ma bouche. Une bonne grosse queue saveur mayonnaise et olives. Alors, j’ai bouffé sa queue, je lui ai donné du plaisir avec ma gorge déjà bien surmenée.
Les deux compères n’ont pas dû se donner le mot et pourtant ils ont giclé les deux au même moment : Mathieu au fond de ma gorge et Farid au fond de mon cul. Je suis rempli par les deux bouts : totalement rassasié de leur jus. Mathieu m’a semblé juter des litres de foutre.
« Ton dessert va bientôt arriver Jared » me dit Mathieu. Il apporte son assiette vide, il la dépose à terre.
« Tu fais ressortir tout ce que tu as pris dans le cul. Ça va faire un sacré mélange. Mais il y a une chose que nous t’avons tue jusqu’alors. On t’a dit de mettre du fric de côté pour ce séjour : le sort va se jouer ici. Chaque olive vaut 100 euros. Tu en as vingt dans le cul, tu es bon en maths Jared, combien peut-être le budget de ce séjour ? » dit Mathieu.
« Deux mille euros Maître » bredouillais-je.
« A toi de bien gérer les olives » dit Mathieu.
Il était une heure du matin et je m’accroupis au-dessus d’une assiette pour lâcher ce que j’ai dans le cul devant mes deux plus grands fantasmes.
(Point de vue de Mathieu)
Qu’est-ce qu’il a l’air pitoyable dans cette position ! Il est rouge et apeuré, on voit qu’il se concentre mais honnêtement, il y a peu de chances pour qu’il s’en sorte. Farid me fait signe « Deux fois dix » avec les mains. J’acquiesce. On se met au sol, au niveau du cul de notre pute préférée, qui est encore bien ouvert après une telle défonce. Son anus se dilate encore un peu et lâche un premier filet discret de jus mélangé à la mayonnaise. Je ne résiste pas à goûter, mais c’est décevant, le goût de la mayonnaise est trop fort. « Faudra que tu me files une dose, direct en bouche mon grand » je lâche à Farid. Clin d’œil complice de Farid, qui me fait signe de mater la rondelle dilatée de Jared qui se met à lâcher… Une première olive engluée dans la mayonnaise au jus, puis deux, puis trois… Et le reste de pisse fait le reste ! Très vite, l’assiette déborde et au milieu flottent vingt belles olives.
« Jared, tu n’as pas assuré sur ce coup-là ! Vingt olives, ça fait donc deux mille boules ! » dis-je. Il blêmit, j’ai l’impression qu’il est au bord de l’évanouissement.
« Mais si tu nous supplies comme il se doit, nous pourrons peut-être t’accorder une indulgence… » ais-je ajouté. Je lis une lueur d’espoir dans son regard.
« Si tu nous supplies, Farid et moi, on va se foutre chacun dix olives dans le cul. On va ensuite les chier et la même règle s’appliquera… Mais tu devras les manger pour qu’elles vaillent quelque chose. Perso j’ai le cul plutôt plein et à mon avis que Farid aussi… »
Farid arbore un large sourire… mes calculs semblent bons. « Ah ! Et bien sûr, comme elles ont déjà servi, les olives ne valent plus que 50 euros. Donc si tu avales tout, tu réduis de moitié le budget. »
Jared est abattu. Mais il s’exécute rapidement, s’agenouille à nos pieds, nous implore, nous supplie, tout en nous abreuvant de superlatifs et de flatteries. Nous décidons d’être cléments avec lui. Je prends 10 olives, je les donne à Farid.
« Mets les moi et surtout tasse bien avec ta tige, j’ai bien aimé l’avant-goût tout à l’heure » lui dis-je.
Je me mets à quatre pattes, cul tendu. Farid bande à nouveau comme un taureau. Il prend bien soin de me glisser les olives une à une dans mon trou sous le nez de Jared qui tremble. Puis il crache sur son énorme chibre et me monte sans ménagement. Je sens que ça se tasse au fond. Et ça me fait bander comme un dingue. Je lui demande d’arrêter, un peu à contre-cœur. Mais il faut bien continuer le jeu pour Jared. Farid se met à son tour à quatre pattes et je commence à lui lécher la rondelle… Il a bien transpiré le salaud, l’odeur de son cul est parfaite… Il happe les olives, puis je lui bouffe à nouveau le fion. Son petit anus commence à bien s’agiter et se détendre. Alors je lui colle ma queue pleine de mouille, doucement au début, puis de plus en plus fort. Je sens les olives contre mon gland, puis juste une masse chaude au fur et à mesure que j’enfonce ma queue plus profond. Il encaisse bien le salaud… Et je pense qu’il est bien plein lui aussi.