La grosse bite du pompier

C’était un soir de décembre. Je n’avais rien prévu et j’étais en train de me préparer à manger tranquillement. La sonnette retentit, je n’attendais personne pour le coup. Je regarde par le judas et voit un pompier, en tenue qui attend devant ma porte. J’ouvre et il me dit que c’est pour le calendrier de fin d’année. J’ai toujours donné pour les pompiers et ça n’allait pas changer cette année.

La porte s’est ouverte sur un daddy, la petite quarantaine, une barbe bien taillée, des yeux d’un bleu intense et un sourire magnifique.

« Enfin quelqu’un qui m’ouvre dans votre immeuble » dit le pompier.
« Mes voisins sont des vieux cons pour la plupart » lui dis-je. Ça l’a fait rire. « Entrez, vous voulez boire une bière ? »
« Avec grand plaisir, c’est gentil à vous. » me répond-t-il.

Il est entré chez moi et j’ai pu détailler son anatomie davantage. Ses chaussures de pompier, genre de bottines à lacets, étaient luisantes. On devinait une sacrée bosse à l’intérieur de son pantalon et des poils noirs dépassaient de son polo siglé « Sapeurs-Pompiers ». Il n’était pas très grand et un peu trapu. Je lui ai proposé de s’assoir à table, il a sorti un tas de calendriers et je suis allé chercher deux bières et un ouvre-bouteille. Il a détaillé mon appartement des yeux, il ne devait avoir plus aucun doute quant à ma sexualité.

Je suis allé chercher un billet de vingt balles dans mon portefeuille et je lui ai tendu. Il m’a donné en échange le calendrier tout en notant mon nom ainsi que la somme donnée. Il m’a remercié, et pour les thunes et pour la bière. J’ai pu remarquer, avec amertume, son alliance.

En prenant le calendrier, j’ai remarqué que les pompiers de Nancy avaient innover cette année. Plusieurs photos montraient des jeunes (et moins jeunes) pompiers dénudés, un peu dans l’esprit des Dieux du Stade. J’ai vu, au moins de juin, le pompier en face de moi torse nu, tenant une grosse lance à incendie dans ses bras. Ces derniers ont l’ai bien développé et la toison noire qui recouvre son torse semble hyper confortable. Il a dû voir mes yeux détailler son corps.

« On a innové un peu cette année. Ça semble vous plaire » me dit-il en finissant sa bière. Je n’ai pas le temps de répondre, je n’en ai d’ailleurs pas besoin. Cet échange de regard avec le beau pompier a très amplement suffit.

Il se lève, je me lève également pour le raccompagner. J’ai un début de gaule et vu la bosse énorme qu’il peine à cacher dans son pantalon, lui aussi. En passant la porte, je lui lâche :
« Vous repassez quand vous le souhaitez. »

« Je repasserai à vingt-trois heures tapantes » me dit-il en se retournant pour aller prendre l’ascenseur au bout du couloir. J’ai ri, pensant tout simplement à de l’humour. J’ai terminé de préparer mon repas, j’ai mangé et je me suis posé. À tout hasard, je me suis fait un lavement bien profond avant de me poser sur le canapé pour mater une énième daube à la TV. À 23 heures tapantes, j’entends toquer à la porte.

Les frissons ont parcouru mon corps tout entier, je me suis levé avec précipitation et me suis rué sur la porte d’entrée fermée à clé. J’ai ouvert et le beau pompier était dans la même tenue que tout à l’heure mais sa braguette était grande ouverte et laissait dépasser une queue absolument énorme.

« C’est ici l’incendie à éteindre ? » me dit-il. Nous avons tous les deux ri. Je l’ai fait entrer dans mon appartement et l’ai installé contre un mur. Je me suis alors mis à genoux pour prendre en bouche cette merveille de la nature qui pendait entre ses cuisses. Je l’ai pompé jusqu’à ce qu’il se raidisse complètement, sa queue faisait vingt-cinq centimètres et c’était un vrai bonheur à pomper. Au bout d’un bon moment de pompe, je me suis levé pour me déshabiller et laisser juste mon jock-strap. J’avais déjà bien bavé sur sa queue et lui avait offert les gorges les plus profondes possibles.

Il m’a demandé de le mettre nu également. Je me suis donc remis à genoux devant lui pour lui retirer les pompes que j’avais trouvé belles tout à l’heure, j’ai délacé et lui ai aussi retiré ses chaussettes de sport qui avaient bien macérées dans ses chaussures toute la journée. J’ai desserré son bouton de pantalon et ai fait glisser son pantalon et son boxer. Je me suis levé pour retrier son t-shirt et découvrir un torse musclé et vraiment poilu. Je me suis approché de ses aisselles pour les renifler : ni parfum, ni déo n’étaient présents : une pure merveille pour les narines. Je me suis bien shooté à ses aisselles daubantes.

« Tu veux la prendre dans le cul ? » me dit-il.
« Si tu me prépares et que tu y vas doucement, on peut tenter. Je vais aller chercher le poppers et du gel » lui dis-je en m’exécutant.

A mon retour, il s’était installé sur le canapé, sa queue toujours tendue et je me suis remis à le pomper comme un bon soumis. Je n’ai jamais réussi à la gober tout entière. Il m’a ensuite fait me lever pour plonger son visage entre mes fesses. Il m’a alors dévoré le boule, comme rarement un mec me l’avait fait. Il faisait ça vraiment tellement bien que je me penchais au maximum pour le laisser exercer sa tâche avec le plus grand brio.

Une fois terminé, il m’a balancé une claque sur la fesse gauche et m’a dit : « Allé, à la casserole. ». Je me suis donc allongé sur le canapé lui laissant offert mon cul bien bouffé et donc bien ouvert. J’ai pris quelques bouffées de poppers alors qu’il aspergeait la plus grosse queue que je n’avais jamais prise avec du gel. Il a tartiné mon trou bien ouvert de gel également, me glissant un doigt puis deux, l’air de rien. Ça rentrait comme dans du beurre. Il s’est alors installé au-dessus de moi et a positionné son énorme teub à l’entrée de mon trou. Il a poussé, lentement mais sûrement jusqu’à son gros gland rentre en moi. A partir de cet instant, je ne me rappelle plus grand-chose si ce n’est le bonheur de se faire mettre.

Le pompier m’a défoncé avec son énorme lance comme rarement je l’avais été. Il tenait mes hanches si bien que j’étais presque à quatre pattes à hurler sous ses coups de rein puissants. Sa queue coulissait dans mon cul et la sueur gouttait sur mon dos, le pompier transpirait à fond pendant qu’il me défonçait. La gueule dans le canapé, je lui ai demandé si on pouvait changer de position, il s’est alors retiré d’un coup de mon cul et j’y ai senti comme un courant d’air.

Je me suis alors mis sur le dos afin de recevoir sa grosse teub et pouvoir le voir en même temps. A aucun moment il a tenté de m’embrasser ou d’avoir des gestes doux. Je savais que je baisais avec un hétéro, sûrement père de famille et que je ne devais pas en chercher plus. Il fallait profiter de l’instant et avec son énorme queue entre les cuisses, je ne pouvais en profiter encore davantage.

Je pouvais donc l’observer se démener à me casser littéralement le fion avec des va-et-vient incessants et profonds, j’hurlais de plaisir tandis que ses râles se faisaient de plus en plus haletants. Il s’est alors retiré de mon cul, je me suis mis à genoux pour prendre une superbe faciale. Son jus blanc est sorti par jets de son énorme queue et m’a bien recouvert la gueule. Je m’en léchais les babines alors qu’il reprenait ses esprits.

Une deuxième bière s’est imposée avant son départ. De mon côté, j’ai laissé le jus sur ma gueule alors que je discutais brièvement avec lui. Même si à son départ, il m’a dit « A l’année prochaine peut-être », je ne l’ai jamais revu. Mais quel souvenir impérissable il m’a laissé ce pompier avec son énorme bite.

La salope de la salle de sport

Il y a quelques années, je fréquentais une salle de sport. Michael, un de mes potes gay, que je croisais souvent en soirée, venait d’y être embauché en tant que coach sportif. Il était plutôt mignon, blond, cheveux courts et yeux bleus. On n’avait jamais rien fait ensemble mais à force de se voir plus régulièrement dans le cadre de la salle, ça nous a un peu rapproché et un soir qu’il me voyait clairement en chaleur, il me proposa qu’on baise ensemble. Il était grand, un corps mince, musclé sec, pas un poil sur le corps et une bite de taille honorable. Ce fut un plan cul tout à fait classique, même si assez sportif, intense et endurant. Il s’était assis sur le canapé, je l’avais longuement sucé, il m’avait pris ensuite dans toutes les positions. Je me souviens qu’à la fin, il m’avait fait me mettre debout, me pencher sur le dossier du canapé, pour me prendre et se finir dans mon cul.

Je me souviens encore de la quantité de liquide que la capote contenait à la fin de nos ébats. Je lui avais même fait remarquer et ça lui semblait tout à fait normal mais c’était un gros juteur et j’étais admiratif. Une fois qu’il fût parti, j’avais d’ailleurs joué avec cette capote pleine de jus que je m’étais répandu sur le corps tout en me branlant à nouveau et en repensant à lui. J’étais aussi fier de m’être tapé le coach de ma salle. Je ne suis pas un thon mais c’était tout de même assez réconfortant de se dire qu’on peut encore plaire passé trente ans.

Les jours suivants, nous évoquions quelques fantasmes l’un à l’autre, enfin surtout moi. À l’époque, j’étais encore dans l’exploration de mes désirs et j’aimais à découvrir de nouvelles pratiques et de nouveaux fétichismes. Nous en avions un peu parlé. J’avais déjà rencontré un jeune mâle dominant, il m’avait initié à la pisse, au contrôle de ma jouissance et un peu à l’humiliation. J’évoquais aussi mes penchants pour les skets, notamment les TN et mon gros kiff pour les beurs. Je parlais de tout ça à Michael. Il semblait intéressé, ou du moins pas choqué, il me dit qu’il avait remarqué lors de notre baise mon grand appétit sexuel, mon endurance et une certaine capacité à vouloir satisfaire les désirs de mon partenaire.

Ce que je ne savais pas c’est qu’il était du genre la langue bien pendue, qu’il aimait jacasser avec les autres gays de la salle, et qu’il aimait un peu se vanter. Comme il était bogosse, il faisait envie à pas mal de mecs et de nanas. J’avais cette satisfaction d’avoir couché avec, même si je le gardais pour moi, secrètement. Ce ne fut pas son cas, je le découvris plus tard.

Un soir qu’il me croisa sur un site de rencontres, je lui demandais si on pouvait remettre ça. Il me répondit qu’il aurait bien aimé mais que ce soir-là il ne pouvait pas. J’étais un peu déçu mais il me proposa de me mettre en relation avec un de ses amis. Il me dit que je devais peut-être le connaître puisqu’il était lui aussi à la salle. Mais son nom ne m’évoquait rien, parce qu’on ne venait pas aux mêmes horaires. Je n’ai pas eu le temps de lui dire oui ou non que son ami, Cédric, me contactait déjà. Michael me dit de bien m’amuser, que je ne serai pas déçu mais que j’avais intérêt à assurer. Je lui demandais pourquoi, il me répondit : tu verras. Il voulait un debrief complet à la fin.

Cédric entra en contact avec moi en me disant qu’il était donc ami avec Michael. Il me dit qu’on s’était sûrement vus à la salle. En tout cas, il semblait un peu me connaître, ou m’avoir déjà vu. J’étais bien embêté car, dit comme ça, il ne m’évoquait rien. Comme c’était un pote de Michael, je n’étais pas effrayé, j’étais même un peu excité de ne pas l’avoir encore vu. Il me donna une brève description de lui : grand, brun, les yeux clairs et précisait qu’il avait un joujou assez énorme pour ma bouche et mon cul. Cette dernière indication fit que je lui donnai tout de suite rendez-vous chez moi. Il arriva assez rapidement à la maison en pleine nuit. Je me trouvais face à un mec que je n’avais jamais vu, très grand, 1m90 au minimum, brun, les yeux clairs. Jusque-là la description était exacte. Il n’était pas vraiment beau : en tout cas si on s’était croisé à la salle, je ne m’étais surement pas retourné sur lui. J’avais la dalle et j’avais en tête cette phrase de Michael me disant que je ne serai pas déçu et que je devais assurer. Je me dis qu’il devait alors avoir des talents cachés. Il m’avoua qu’il venait directement de l’appartement de Michael, qu’ils étaient ensemble quand je l’ai sollicité. Je le compris plus tard, Michael m’avait en fait mis à disposition de son pote sans que je le sache.

Cédric était entreprenant et visiblement je lui plaisais. On commença à se chauffer. Il me dit que Michael lui avait dit du bien de moi sur mes prouesses. En bonne salope, j’étais flatté et ça m’a excité. Je commençais à tâter son paquet à travers son jean. Je constatais qu’il était effectivement bien garni, Cédric sourit en me disant que je n’avais encore rien vu. On se déshabilla. J’étais déjà nu, je baissai son caleçon. Je me trouvais face à une queue encore un peu molle mais déjà de grande dimension, elle faisait 23 cm, très large et dotée d’une paire de couilles tout aussi imposantes, pendantes comme j’aime.

Je me trouvais face à un étalon, et malgré sa tête pas terrible je me sentais terriblement affamé par sa grosse bite pendante. Il fit de moi ce qu’il voulait. À mon étonnement, il ne rencontra aucune difficulté à entrer en moi, jusqu’à la garde. Moi à quatre pattes, lui entièrement en moi, ses couilles claquant contre mon cul : en regardant en direction de ma bite, pour la première fois de ma vie je me vis avec une vraie paire de couilles au cul, les miennes n’étant ni grosses, ni pendantes, je découvrais ce que cela pouvait être de vivre avec ça et de se sentir mec. Il profita de ma position pour me faire cambrer un peu plus en repoussant ma tête contre le lit, puis à ma grande surprise, posa son pied sur ma tête pour me bloquer.

Cette position m’excita terriblement, alors qu’il était déjà profondément en moi, j’eu l’impression qu’il s’enfonçait encore plus, et avoir son immense pied pointure 48 sur la gueule m’humilia et en même temps me rendit encore plus salope. J’en profitais pour assouvir ce nouveau fantasme des pieds que j’avais en le reniflant (l’odeur de transpi était douce) et en lui léchant du bout de la langue. Il avait l’air de s’en ficher un peu, tellement occupé à faire des allers retours de plus en plus violents, de plus en plus profonds, à une cadence soutenue. Je sentais sa transpiration goutter sur mon corps, l’effort était intense. Je prenais un plaisir monstrueux.

Il enchaîna avec une fellation, je voulais m’appliquer à aller le plus loin possible dans ma gorge comme il avait été profondément dans mon cul. J’avais la bouche explosée. Il me positionna la tête renversée pour me limer la gueule et faciliter l’entrée de sa grosse teub dans ma gorge. Quelle plaisir d’être au plus près de cette paire de couilles, sous mes yeux, frappant ma gueule, au service de sa queue. Finalement, il arrosa mon corps de son jus, je me masturbais pour jouir de mon côté. Il me dit, satisfait, que Michael ne lui avait pas menti et que j’étais un bon coup. Je lui demandais s’ils avaient parlé de moi, il répondit en riant que oui, que Michael était un bon ami et qu’ils aimaient partager ce genre de choses. « Michael est très bavard tu sais » me dit-il. Et lui n’était pas mieux. Je fis mon rapport à Michael, qui était de toute façon déjà au courant de tout ce qui s’était passé. Je lui avais écrit un long message, l’excitation étant encore à son comble lorsque le lui écris ces lignes.

Michael ne me baisait plus, sans que je comprenne pourquoi. Mais étrangement, à cette époque-là, le nombre de mes plans cul fréquentant cette salle de sport était en augmentation. Je ne me doutais pas que c’était l’œuvre de Michael, il avait fait de moi la traînée de la salle, la salope testée et approuvée par lui. Son aura et son avis étaient importants parmi les mecs de la salle, il avait sa cour. J’appris plus tard qu’il me recommandait à des mecs, qu’il leur disait comment entrer en contact avec moi, et qu’ils discutaient de moi après, entre ‘hommes’. Cette découverte fut très humiliante pour moi, mais je me suis tapé de super beaux mecs à cette époque, et naïvement parfois je disais à Michael combien j’étais fier d’avoir sucé tel ou tel gars. Il en riait. Un soir, il me dit de passer chez lui après la fermeture de la salle, qu’il serait seul et qu’il avait envie de moi. Cela faisait des mois que lui et moi n’avions rien fait.

J’étais content de me rendre chez Michael, c’était la première fois que j’allais chez lui, il n’habitait pas très loin de la salle et pas très loin de chez moi. La salle fermait vers 22h, j’avais donc rendez-vous chez lui vers 22h15. Il était là souriant, dans sa tenue de sport, TN aux pieds. Il me dit tout de suite que c’était sa tenue au boulot aujourd’hui et qu’il ne s’était ni douché ni changé. « Ça te dérange ? » me demanda-t-il, je répondis que non bien évidemment. Ni une ni deux, il me roule un pelle et m’ordonne de me mettre au sol : « Apparemment, tu aimes faire la lope, alors tu vas être ma lope ce soir ! » Il posa son pied sur mon dos pour me plaquer au sol et présenta son autre pied devant ma bouche : « Maintenant tu lèches ! Et je t’ai préparé plusieurs paires ».

Je ne me fis pas prier pour m’exécuter, il était bien différent de la première fois que nous avions baisé : autoritaire, méprisant, avilissant. J’eus le droit de respirer ses baskets chaudes, humides de la transpiration de sa journée de travail, ses chaussettes blanches Sk8erboy étaient tout aussi bonnes, ses pieds si doux frottant ma gueule.

Il avait préparé quelques paires qu’il me fit également lécher, je vivais pour la première fois un vrai plan skets, tant de fois rêvé, et c’était avec mon beau coach sportif. Je pus passer ma langue sur ses trois paires de TN, lui assis sur une chaise, me tendant les chaussures à lécher.

Il me fit également lécher ses aisselles, le goût salé de sa transpiration m’excitait terriblement, puis ses couilles et enfin son cul. Toutes ces parties de son corps portaient l’odeur du mâle qui a transpiré, qui a fourni des efforts.

J’ai dû rester ainsi deux bonnes heures à son service, à poil par terre chez lui. Je n’eus pas le droit de le sucer, il ne me prit pas le cul. Cependant, il expulsa une dose importante de jus sur ma gueule. Le plan était fini, je n’avais pas le droit de me branler, ni de jouir à mon tour, j’ai cru exploser. C’était cruel. Il enchaîna directement avec une de nos discussions anodines, histoire de me faire redescendre en tension. On reparla des mecs de la salle, forcément.

J’en profitais pour le questionner sur un jeune gars brun de style italien, très carré, très musclé fréquentant la salle depuis peu de temps. Il semblait être le parfait hétéro. Sa carrure, son look, son aisance naturelle m’avaient tout de suite attiré. « Ah le beau Marco ! » dit-il. Rapidement il me confirma qu’il était bien hétéro, que je ne devais pas me faire d’illusion, que celui-là, je ne l’aurai pas dans mon lit contrairement à tous ceux qui y avaient défilé ces derniers mois. Il se mit à rire à nouveau. J’avais bien le droit de fantasmer. Les jours suivants, je croisais à la salle ce mec à qui je pouvais désormais donner un prénom. Il venait parfois avec son père, ce qui ne m’empêchait pas de le mater. J’étais inexistant à ses yeux, je ne devais pas me faire d’illusion, c’était bien un pur hétéro.

Quelques semaines plus tard, c’était un samedi après-midi, j’étais venu à la salle ne sachant pas quoi faire à la maison. J’aimais bien venir à ce moment-là de la semaine car il n’y avait en général pas grand monde. Michael ne bossait pas : je lui avais posé la question avant, en lui proposant de le sucer dans les vestiaires au cas où. Il y avait deux autres mecs dans la salle : un quinqua et, par chance, le beau Marco. Je faisais mon parcours habituel : cardio puis des séries successives sur les machines de musculation, quand je venais le samedi j’en profitais pour finir par quelques longueurs dans la piscine du club.

Marco avait un peu d’avance sur moi, cela faisait un moment qu’il devait être là tout transpirant qu’il était. Je ne pouvais m’empêcher de le mater, tellement il était beau. Il était tout en noir : débardeur noir, short noir large style basketteur, des TN noires aux pieds. Avec son teint mat il était magnifique. Il dut remarquer mon manège car il me fit quelques sourires, pour la première fois. Je ressentis alors une forte chaleur dans mon corps, j’étais sous son charme.

Il finissait sa séance et se dirigea vers le vestiaire. Dans ma tête, j’avais envie de le suivre histoire de le voir peut-être à poil. Je savais qu’il était du genre à prendre sa douche sur place, mais je n’avais jamais réussi à le capter à poil ou dénudé dans le vestiaire. J’hésitais.

L’envie était trop forte, l’occasion trop belle, mais je ne voulais pas me faire capter, je n’étais pas arrivé depuis longtemps. Néanmoins, après réflexion, je pris ma serviette, ma bouteille d’eau et je pris moi aussi le chemin du vestiaire. Qui ne tente rien n’a rien. Je vis sur mon trajet qu’il était à la piscine. Je ne vais pas l’y suivre, ce serait vraiment trop gros et puis je crains de bander devant lui. J’arrive quand même dans le vestiaire, vide. Et là, comme un cadeau des dieux, je vois qu’il a laissé ses baskets, son short et son boxer en évidence sur le banc, et qu’il ne les a pas rangés avec le reste de ses affaires dans son casier.

Avec le cœur battant à cent à l’heure, attentif au moindre bruit, je plonge mon nez dans ses baskets, l’odeur est celle du jeune mâle sportif bourré de testostérone, humide de transpiration. Je vis à cet instant un véritable moment d’extase. Son boxer est là devant moi, je jette un œil à droite, à gauche et je le plaque sur mon nez, je prends une grande inspiration : ça sent la transpiration, la bite d’homme. Ne l’ayant jamais vu à poil, je ne fais qu’imaginer ce qu’il peut y avoir dans ce boxer. Je passe un coup de langue sur les parties en contact avec ses couilles et sa queue. Je repose le tout, je prends mes affaires et je me sauve.

Honteux, je n’en parle pas de suite à Michael. Il me demanda pourtant si j’étais bien allé à la salle, je lui confirmai mais n’entre pas dans les détails. Ce n’est qu’au bout de plusieurs semaines que je lui avoue mon forfait. Comme d’habitude il éclate de rire en me disant : « Tu es une vrai salope toi ! Il va être content quand je vais lui dire ça ! ». Je le supplie de ne rien lui dire, il me répond : « T’inquiètes, il est déjà au courant. Ce n’était pas un hasard tout ça, c’était pour toi, mais n’espère jamais plus de lui. Tu n’es qu’un petit PD qui a eu beaucoup de chance ». Et je redevins pour quelques temps encore la lope de la salle de sport, mais je n’eus jamais l’occasion de revoir Marco le samedi, j’avais bien fait de saisir ma chance.

Le vide couilles de ma promo

Je suis étudiant en 3ème année de Droit à la faculté de Montpellier, je suis gay, pas exubérant, mais je pense que tout le monde dans ma promo, est au courant que je préfère les queues aux chattes ! On doit être cent-quarante cette année dans la promo, dont la grosse moitié sont des mecs. Pour la plupart des fils à papa, bien sapés, belles gueules en général. Avec le fric, on peut tout avoir. Moi j’ai ramé pour en arriver là, mes parents ne sont pas des bourges mais je m’en sors quand même.

Ça a commencé un jeudi soir, lors d’une soirée étudiante dans un bar, au Barberousse. Il était tard, on avait tous un peu bu, et puis les conversations se dirigeaient comme bien souvent sur du cul, de la bite et à mon grand désespoir de la chatte ! Malgré tout, j’aimais beaucoup ça, parce que mes potes parlaient de la manière dont ils baisaient leurs meufs, et à chaque fois je riais intérieurement. Ils étaient fiers de tenir cinq minutes, mais bordel ! Elles doivent se faire chier leurs nanas ! Et ce soir-là, le sujet principal était la pipe… Je ne sais pas si c’est vrai mais il parait que les meufs ne raffolent pas de ça. En tout cas pas les leurs. Et je n’ai pas pu m’empêcher de rire à cet instant là parce que pour nous pédés, bah la pipe, c’est un peu la base de tout. Personnellement, je ne pourrais pas vivre sans sucer ou me faire sucer ! Ce serait terriblement emmerdant ! Alors, j’ai ri. Et tout le monde, c’est à dire une dizaine de mecs de ma promo, m’ont demandé pourquoi je riais comme un tordu.

Je leur ai répondu que je croyais que c’était une grosse blague. Mais je me suis aperçu avec ce silence que les mecs étaient sincères et ne racontaient pas des conneries. Ils m’ont alors pris à partie et demandé comment ça se passait chez les gays. Je leur ai donc expliqué ce que je faisais et mes capacités buccales, leur disant que j’étais un expert en gorges profondes (ce qui n’est pas faux et vérifiable) et que j’aimais beaucoup le jus. J’ai vu leurs yeux pétiller, c’était peut-être l’alcool, je ne sais pas… Mais je pense qu’ils aimaient simplement le fait que je leur parle de ça et aussi ils devaient imaginer leur nana avec leur tête bien empalée sur leur teub. Je kiffais les faire fantasmer de la sorte ! En général, ce genre de discussion s’arrêtait là, mais je sentais que ce soir, ils voulaient en savoir plus sur moi, et sur ma sexualité. Je leur ai donc parlé de mes penchants pour la soumission et les choses de ce genre. Et à la fin de la conversation, Théo me dit qu’il me croit pas du tout pour la fellation, et me demande combien j’ai déjà pris en gorge bien à fond. Et sans me défiler, je lui balance « Oh au moins le double de la tienne ! ». Les autres mecs l’ont alors hué, pour une fois que le gay faisait la loi ! C’est assez rare pour être souligné. Et après ces intéressantes paroles, la soirée a repris comme si de rien n’était, et les discussions partaient et volaient dans tous les sens.

A un moment alors que j’avais déjà pas mal bu, j’avais une envie de pisser du tonnerre, je rentrai donc dans les chiottes au fond du bar. J’entrai dans une cabine fermée, et me soulageai rapidement. Pas si rapidement que ça, puisqu’au bout de dix secondes, on toquait à la porte, et j’entendis « Alors petit pédé, tu me montres comment tu suces ? ». C’était la voix grave de Théo. Et puis là, le doute s’installa. J’en profite, je n’en profite pas ? J’étais bourré, lui bien pété aussi, je me suis demandé ce que j’avais à perdre. La réponse n’était rien. Alors j’ai ouvert la porte tout doucement, puis lui ai balancé « Prêt petit éjaculateur précoce ? ». Il me répondit tout en déboutonnant son jean Levis « On va voir ça ! ».

Il portait un boxer blanc imbibé de tâches jaunes, quel porc ai-je pensé ! Tout propre à l’extérieur mais dès qu’on déballe, on voit la vraie personnalité du mec. Je commence donc à passer ma main sur son ventre pendant qu’il finit de se débrailler pour sortir l’engin du désir ! Erreur ! Je me suis pris une de ces baffes. « Hé Hé ! Je ne suis pas gay moi, tu me suces et c’est tout, compris ? ». Tu ne pouvais pas être plus clair cher Théo, je te suce et basta ! Je n’ai pas été très finaud sur le coup, ce n’est pas mon mec quoi, juste un pote que je suce dans les chiottes pouraves de notre bar étudiant. Mais l’alcool fait faire beaucoup de choses… Regardez Théo ! Adulé par toutes les nanas du campus, un corps de rêve et qui est-ce qui le suce dans les chiottes ? C’est Jared !

Trêve de plaisanterie, passons aux choses sérieuses : sa teub ! Je suis assis sur les chiottes pendant qu’il déballe sa marchandise juste à hauteur de mon visage ! Quel spectacle. Il me sort une demi molle, pas très longue mais avec une putain de paire de couilles totalement impressionnante. Jamais vu deux aussi beaux œufs sous une bite, pourtant j’en ai croisé quelques-unes déjà. Je commence donc par lui lécher ce qui m’a attiré du regard, ces deux belles couilles que je pris chacune en bouche puis les deux à la fois. D’une main je tenais sa teub qui prenait peu à peu du volume, avec l’autre main, je n’osais pas titiller son trou, il aurait juté trop vite ! Et je me serais pris une autre mandale aussi. Après ce bon léchage de couilles, totalement rasées au passage, je m’attaquai à son sexe dressé vers le haut et légèrement courbé vers le bas qui avait atteint pour sa pleine érection un bon dix-huit centimètres, je n’étais pas déçu ! Je m’empressai alors de lui téter la queue. D’abord lentement, lui léchant du bout de la langue le gland et toute la longueur de la bite. Puis je commençais à le sucer réellement, c’est à partir de cet instant que des petits couinements vinrent à mes oreilles. Je faisais des va-et-vient avec une fréquence variable. Tantôt vite, tantôt lentement, il aimait ça. Et puis comme promis, je pris tout en bouche, pour lui montrer à quel point je suis bon suceur et que je ne mens jamais ! La forme de sa bite est parfaite pour les gorges profondes, je m’en donnai donc à cœur joie et restai parfois une dizaine de secondes bien empalé sur sa teub de jeune petit fils à papa.

À peine cinq minutes de suce auront suffi à lui faire monter le jus. Ses gémissements s’accéléraient tout comme son souffle, je continuai alors la fréquence du mouvement de suce, qui était assez rapide, puis vînt poser délicatement son gland turgescent entre mes lèvres. Je plantai alors mon regard dans le sien. Il était totalement groggy. A tomber ce petit mec ! Puis continuant à gémir comme un fou, je commençais à recevoir plusieurs rasades de foutre dans la bouche, ça dura quelques secondes tant sa jouissance était forte et importante. Je ralentis alors le mouvement de branle, et vînt serrer le bout de sa queue afin de faire tomber les dernières gouttes du précieux liquide qu’il m’avait offert.

J’avais donc en bouche ce merveilleux jus, mon regard toujours planté dans le sien et ma main sur sa queue qui commençait à se ramollir. Il ne savait pas quoi dire, il était encore sous le choc de la jouissance. Ne le lâchant pas des yeux, je lui montrai tout le contenu de ma bouche puis l’avalai. Pour ensuite lui montrer à nouveau le contenu vide de son sperme de ma bouche. Il a juste lâché un « Waouh ! ». Puis reprit ses esprits. Le choc après le coït. Il avait joui, tout était redescendu, il a alors repris sa queue pour la remettre dans son pantalon, l’a reboutonné et est sorti de la cabine sans plus un mot. J’aurais aimé qu’il me donne ses impressions avant de partir ou qu’il me dise que cette histoire reste entre nous. Mais non. Il n’en fut rien.

Personne ne s’était apparemment rendu compte de ce manège, et nos deux absences qui ne pouvaient que paraitre louches. Mais bon, c’est mieux ainsi. J’ai donc rejoint la table de mes amis, les affaires de Théo avaient disparu, on m’a dit ensuite qu’il était parti, il ne se sentait pas super bien… Pfff, ces hétéros ! Incapables d’assumer quoique ce soit ! Je m’en foutais, il n’était pas super tard, et la soirée continuait de plus belle. Mais dans ma tête, je ne pouvais pas m’empêcher de penser à Théo et à ce départ précipité.

Je rentrai chez moi à 3h30 du matin, la tête complètement éclatée et le gout de sperme dans la gorge ! Ce fut une bonne soirée finalement ! Pour une fois que je peux mêler fête étudiante et sexe, c’est génial ! Je prends mon IPhone en arrivant chez moi… Rien d’exceptionnel mise à part un message d’un certain Théo sur mon Facebook. Ni une, ni deux, je m’empressai d’aller l’ouvrir pour voir ce que nous dit l’hétéro déchu.

« Salut Jared ! Désolé pour ce qui s’est passé tout à l’heure. J’étais plus tout à fait moi, j’avais bu et tu as parlé de cul et vu qu’en ce moment, ce n’est pas l’éclate avec ma meuf, j’ai succombé ! Je suis parti juste après mais ce n’est pas ta faute, je me sentais juste coupable. À demain petite salope à queues. »

Qu’est-ce que j’en ai à foutre de ses problèmes. Il se prend bien la tête pour pas grand-chose, je l’ai sucé, c’était bon. Si ça se reproduit, je ne dirais pas non et si ce n’est pas le cas, tant pis ! Mais, au passage j’avais cru comprendre qu’il en avait plein les burnes ! Vu la dose qu’il m’a mise !

Je file me pieuter, réveil à 9h00 demain matin, ça va être dur je pense. La nuit passe, je me rends à mon cours le matin dans l’amphi 418, plusieurs de mes amis de promo sont là, je vois Théo qui est là aussi. Je salue donc tout le monde, rien n’est anormal, donc je pense que Théo n’a rien dit de ce qu’il s’est passé tard dans la nuit. Je m’installe donc lorsque Théo me pris par le bras, il avait quelque chose à me dire « en privé », je le suivis donc à l’extérieur de l’amphi. « Je ne vais pas y aller par quatre chemins, les autres sont tous au courant pour hier soir et maintenant, ils veulent vérifier ce que tu leur as dit, et ce que je leur ai confirmé. Alors on a élaboré un emploi du temps de pute pour toi ce matin, douze mecs collaborent, entre 10h00 et 12h00, tu vas attendre les mecs dans les deuxièmes chiottes là-haut, et tu les videras tous comme tu as fait hier soir. Ne t’inquiète pas pour tes cours, je te prends tout ce qu’il faut ». J’étais abasourdi, il a débité ça en une tirade ! Je ne savais que faire et quoi lui répondre. Je lui ai donc dit que je ne pouvais pas sécher les cours. Il me prit alors par le cou et me rétorqua « T’ai-je demandé ton avis petite pute à jus ? Tu obéis, tu es une salope, notre salope, et tu vas désormais nous obéir sans broncher ! ».

C’était clair, je pense que je n’avais plus le choix. Je devais me faire à cette idée de faire la pute et la vide couille pour les mecs de ma promo. Tout au fond de moi, j’avais ce sentiment que ce n’était pas bien de faire ça, mais finalement, j’ai toujours rêvé d’être un esclave sexuel, c’est l’occasion ! Être la pute de toute une ribambelle de mecs prétentieux et machos, quoi de mieux ?

Théo rentra dans la salle pour me chercher mes affaires, puis me les rapporta, le cours allait commencer, j’allais donc me positionner ou l’on m’avait dit pour servir de vides couilles ! Ils arrivèrent un par un, et à chaque fois c’était le même manège, je ne devais pas toucher leurs torses ou quoique ce soit ! Ils ne sont pas pédés ! Laissez-moi donc rire ! J’en vis donc, cette matinée, de toutes les formes, de toutes les couleurs et de toutes les odeurs. Certains se vidaient en quelques secondes tandis que d’autres duraient plus de temps ! Je ne sais pas quel manège ils avaient inventé pour pouvoir sortir du cours tour à tour mais je m’en foutais ! Pendant deux heures, j’avais des queues à sucer et des paires de couilles à vider ! Le premier m’avait prévenu qu’il avait deux semaines de jus dans ses bourses, imaginez un peu la dose de foutre, il gicla sur le mur derrière moi, et m’en collai même dans les cheveux ! La pression de son éjac était purement énorme !

Ils étaient tous peu bavards, je pense qu’ils avaient un peu honte, moi ça me faisait plutôt marrer. Je retiens notamment la sixième queue, celle d’Abdoul, je pense qu’elle faisait bien 23cm, mais j’ai réussi à la gober en entier, j’en reçu même ses félicitations. Un autre pote, tout petit, il doit faire 1m68, m’a sorti un zob d’une épaisseur très imposante, un peu moins de 6cm de large, c’est l’unique que je n’aie pas pu prendre à fond dans ma gorge, mais je lui ai assuré que dans d’autres positions, ce serait possible !

12h00 arriva péniblement, je peux vous dire qu’au bout de dix queue, j’en avais un peu marre, les crampes à la mâchoire commençaient à se faire sentir, et la salive à manquer ! Mais je m’appliquais à bien sucer, pour leur montrer que les gays, ils en ont dans le slip ! Cela faisait cinq minutes que plus personne ne poussait la porte des chiottes, je m’apprêtai à sortir lorsque Théo entra. Il me balança « Tu vas où comme ça ? Tu ne crois pas t’en sortir si vite ? Et ma queue elle ne mérite pas quelque chose pour t’avoir régalé toute la matinée ». Je lui répondu par la positive bien que ma bouche réclamât du repos, j’ai alors repris ma place sur les chiottes et ai pompé comme une petite chienne mon nouveau maitre. J’entendis un raclement de gorge, et vis tomber un mollard entre ses poils de bite et ma bouche. « Ça manque de salive tout ça ! Tu ne trouves pas ? ». Je ne détestais pas l’idée, je m’exécutai encore plus vite sur sa queue afin de le vider, mais je sentais que ça ne lui convenait pas ! « Ça manque d’entrain tout ça Jared, ce n’est pas comme hier soir ! Moi qui pensais avoir une bonne petite larve à moi, je me suis trompé. Lève-toi, déboutonne ton pantalon et montre-moi ton cul » me lâche-t-il.

Je crois qu’à cet instant, j’ai remercié le ciel et ai pensé « Oui ! Vas-y prends mon cul tant que tu veux ! » et pendant ces réflexions internes, de grandes claques s’abattaient sur mes fesses jusqu’à la pénétration sans gel, sans préparation, et sans capote ! D’un coup, d’un seul il m’avait embroché, j’avais beau crier, ça ne l’arrêtait pas une seconde. La pénétration dura quelques minutes avant qu’il ne répande son sperme brûlant dans mes entrailles. Et il me laissa là. La gueule recouverte de jus des potes et son jus bien au fond de mon fondement. C’était le weekend heureusement ! Je pus me reposer, et c’est à partir de cet instant que je suis vraiment devenu leur pute. Ce rituel s’est reproduit plusieurs fois durant les dernières semaines de cours qu’il restait. Ils m’invitaient parfois chez eux pour des soirées entre amis qui se terminaient toujours mon cul et ma bouche occupés par leurs grosses bites ! On a même fait des plans dans des lieux publics genre bowlings, restaurants. J’étais une pute et j’aimais ça.

Aujourd’hui, l’année scolaire est terminée et je subis tant bien que mal mon stage de fin de cycle. Je repense souvent à tout ce qu’ils m’ont fait faire cette année, toutes les humiliations que j’ai subies, toutes les queues que j’ai sucées. Mais surtout aux litres de foutre que j’ai avalés ces derniers mois. Vivement l’an prochain, ou l’année de master n’aura jamais si bien portée son nom…