Plombier en rut

Je m’appelle Farid, je suis apprenti plombier. Je suis encore très jeune et évidemment, je suis passionné par la bite. Comme tout jeune qui se respecte, je suis assez fan de skets, notamment les AF1 que j’arbore en quasi-permanence. Je kiffe les bonnes odeurs de panards et de queue, mais je ne le dis pas à tout le monde. Depuis quelques temps, mon patron a décidé de m’envoyer seul chez les gens afin que je puisse prendre plus d’assurance en moi-même. Bref, je vais vous raconter ma première visite chez un client un peu particulier.

Alors que la fin d’après-midi arrive, mon patron reçoit un coup de téléphone d’un client qui appelle pour une fuite dans sa salle de bain. Comme d’habitude il m’envoie gentiment là-bas. Arrivé sur place, je sonne et attends quelques minutes avant que la porte ne s’ouvre sur un mec plutôt jeune, grand et black. Il ne porte qu’un jogging qui laisse deviner une bosse déjà impressionnante et des Air Max qui ont déjà bien vécues.

Je rougis immédiatement, ce qui semble le faire sourire. Voyant ma gêne, il me dit d’entrer et me montre sa salle de bain. Il me laisse un moment pendant que je commence à regarder sa baignoire. Effectivement, il y a une petite fuite, mais rien de bien grave. Au bout de quelques minutes, je vois mon client revenir et engager la conversation. Je suis accroupi et lui debout, sa bosse venant me narguer presque au niveau de mon visage, ce qu’il semble apprécier. Pendant qu’il parle, il joue un peu avec sa bite en la déplaçant dans son jogging.

— Tu as quel âge ? Tu es jeune pour être déjà plombier.
— J’ai 18 ans, mais je ne suis encore qu’apprenti. C’est seulement la cinquième fois que l’on m’envoie seul chez un client.
— OK t’es encore un gamin… T’en as pour longtemps encore, le mioche ?
— Euh, je dirais encore trente minutes environ. Mais rien n’est jamais sûr avec ces tuyaux.
— Ah merde, faut absolument que je pisse, je ne tiens plus… Alors écoute, je vais pisser et tu n’as qu’à pas regarder. Tu crois que tu vas réussir ? me dit-il avec un sourire en coin.

Il me dépasse et s’installe devant ses chiottes. Et là, il sort sa queue qui est véritablement énorme ! Encore molle mais déjà très longue, d’un noir sombre, avec un long prépuce qui couvre un gland un peu moins épais que la base de sa queue. Il voit mon regard, se décalotte et commence à pisser devant moi. Un long jet de pisse s’échappe de son gland pour atterrir dans la cuvette. Je reste ébahi devant la taille de cette matraque. Lui continue de pisser comme si de rien n’était, avec un regard vicieux néanmoins.

Puis il s’arrête un instant :
— T’en as jamais vu d’aussi grosse, hein, petit pédé ?
— Euh non. Jamais non…
— Et ça t’impressionne ?
— Assez oui.
— Tu n’imagines pas comme je fais couiner les mecs quand je les défonce avec. Ils hurlent et pleurent leur mère.
— Euh… Je…
— Je suis sûr que t’es une petite pédale, toi !
— Comment tu sais ça ?
— Tu veux la toucher, ma grosse bite de black ?
— Euh, non non, merci. Franchement, je ne fais pas ça, pas pendant mon travail.
— Tu viens donc d’avouer, mec ! Tu dis que tu ne fais pas ça pendant ton travail, mais ça veut dire que tu le fais. Vas-y, touche, putain !

À cet instant, je me dis que je ne veux pas passer à côté d’une occasion pareille. J’approche doucement ma main et caresse cette énorme matraque noire. Il frotte alors sa queue sur ma main et des gouttes de pisse s’y déposent :
— Lèche, petite chienne. Tu verras, tu vas kiffer !
— Non, c’est dégueulasse ! T’es grave toi.

Violemment, il me prend par les cheveux d’une main, saisit ma main de l’autre et me fait lécher sa pisse. Elle a un goût âcre, mais cela ne me déplait pas. Il me tire ensuite jusqu’à sa baignoire, place ma tête au-dessus et me pisse dessus. Son jet frappe mon visage et j’en reçois même un peu dans la bouche. Mais cela m’excite et je décide d’ouvrir plus grand ma bouche. Je reçois alors le reste de sa pisse. Il m’insulte et me crache sur la gueule. Il finit de pisser et me positionne à genoux devant lui :
— Vas-y, nettoie ma bite maintenant, salope ! Je veux voir mon gland briller et ce à n’importe quel prix. Tu te démerdes !

J’obéis et lèche son gros gland humide qui commence à grossir. Il décide ensuite d’enfoncer son énorme bite dans ma petite bouche de tapette, comme il l’a répété. Il force le passage pour me l’enfoncer le plus loin et le plus profond possible. Je commence à étouffer et à baver.

— Stop, arrête, c’est beaucoup trop gros pour la prendre en fond de gorge !
— Ta gueule, sale pute, et suce-moi la bite, putain ! Je t’ai demandé de dire quelque chose ? Non, alors ferme-la !

Il me lime alors la bouche en rythme en me tenant par les cheveux et en m’insultant de tous les synonymes de pédé qui existent dans la langue française. « Allez, petite pute, suce à fond, ouais ! », « T’aimes ça, les grosses bites de black, hein ? », « Allez, pompe comme une chienne, ouais ! ». Ces grosses boules cognent contre mon menton plein de salive. Je dégouline réellement de partout, je me trouve dégueulasse.

De temps en temps, il ressort sa queue et me frappe le visage avec, en me mollardant et en étalant les mollards avec sa bite qui, maintenant, dégouline de bave. Puis il me dit de sucer tout seul, d’intégrer son rythme sans qu’il ait à me tirer par mes cheveux qu’il finirait par m’arracher, à force. Je fais alors de longs va-et-vient sur sa bite. Il grogne de plaisir, et moi je couine comme une pute, même si je me trouve sali et humilié. Au bout de quelques minutes de va-et-vient, il reprend ma tête et accélère le mouvement en grognant de plus en plus :
— Vas-y, salope ! Putain, je vais te remplir ta gueule de foutre ! Tu vas en bouffer du jus de black, sale pute ! T’en auras jamais vu autant, je vais te noyer sous ma dèche !

Il me fait ouvrir la bouche et me jute sur la langue tendue un jus épais et abondant. Je me remets ensuite à le sucer avec son jus en bouche. Sa grosse queue baigne dedans mais ne diminue pas de volume, ni de taille. Il me force à avaler son jus épais. Comme sa pisse, il a un goût âcre mais pas déplaisant. Il ressort sa bite et me fait nettoyer les dernières traces de jus en ne le lâchant pas du regard.

Pendant tout le plan, j’ai pas mal lorgné sur ses skets si bien qu’à la fin, il me lâche :
_ Elles te plaisent mes Air max ? Un 47. Un jour tu les lécheras, tu verras.

Je finis sa réparation, je lui dis que c’est gratuit s’il me file son numéro. Je m’arrangerai avec mon boss. Il prend un feutre, m’écrit son numéro sur le bras. Et je repars de chez lui. Avec le goût de son sperme de black en bouche.

Raphaël et moi

Voilà quelques années désormais que Raphaël et moi nous nous connaissons. On a fait connaissance sur un site d’échange de photos, et Dieu a doté ce jeune mâle, à quelques choses près, de la même manière que moi. Un bon dix-neuf centimètres de long mais surtout d’une largeur incommensurable. Quelques choses qui dépassait l’entendement et même toutes mes espérances, quasiment sept centimètres ! Comprenez dès lors, que je devais absolument rencontrer Raphaël afin de comprendre ma douleur en réel. En plus de tout cela, le mental de Raphaël était identique au mien, bien qu’il était uniquement actif. On a donc convenu d’un plan où je lui appartiendrais en intégralité. Il pourrait me demander ce qui lui plait, absolument tout ce qui lui passe par la tête, pourrait m’humilier de toutes les sortes et au plus haut point. Il pourrait faire de moi sa soubrette, son esclave sexuel ou se servir de moi comme chiottes. Il pourrait très bien me demander de prendre tout son sexe en bouche des heures durant, de me faire nettoyer le sol ou encore me faire avaler sa pisse.

Quelques conditions émanaient tout de même de ce contrat. Il ne doit en aucun cas me faire passer pour un esclave auprès de mes proches, amis ou voisins. Enfin, il doit veiller à ce que je sois correctement nourri et que je sois en bonne santé physique. Il lui fut également interdit de laisser des marques indélébiles sur mon corps. Ça reste du sexe, et je ne souhaitais pas être marqué à vie par une partie de jambes en l’air, même si elle était la plus mémorable que j’eusse vécu. Il m’imposa juste de lui dire mes limites avant qu’on se voit, sur le coup j’ai dit que je n’avais aucune limite si ce n’est le SM violent. Après coup j’allais vite comprendre le sort qu’il me réservait et la larve que j’allais devenir sous ses ordres.

Le rendez-vous était alors pris chez lui, pour quelques heures de plaisirs garanti par le maître. J’avais pour ordre de l’appeler ainsi. Je me présentai chez lui, fringué comme d’habitude en été. Tongs aux pieds, petit short qui laissait deviner le jockstrap que je portais, et T-shirt bleu qui moulait bien mon torse. Et je laissai mes cheveux en bataille, j’aime que le mec qui me lime puisse avoir accès à mes cheveux pour me les tirer et me dresser vers lui.

Je sonnai à l’appart, il m’apparut en boxer large, les cheveux éparses, la barbe de quelques jours. On aurait cru que je le réveillais mais pas du tout, il l’était depuis quelques heures déjà. Et puis il était quinze heures. Il me fit entrer dans sa piaule d’étudiant. On était bien dans une chambre de mec, c’était clair vu comme ça refoulait le chacal.

Mais cela ne me dérangeait pas trop, j’étais plutôt habitué à ce genre d’odeurs, j’ai en effet eu un colocataire pendant deux années qui n’était pas très porté sur le parfum. Et puis, tout le monde sait qu’une bite, des couilles ou des pieds sont bien plus succulents lorsqu’ils ont leur odeur naturelle. Pas celle du savon dégueulasse.

On avait quelques heures, alors je pensai qu’il aurait aimé profiter de moi de suite. Ce ne fut pas vraiment le cas, il me proposa de quoi nous désaltérer, la chaleur étant caniculaire. Ayant répondu par la positive, il alla au frigo chercher deux bouteilles d’eau minérale d’un litre. L’une était encore scellée, le contenu était translucide, l’autre avait déjà été ouverte et avait plus une couleur jaunâtre. Il me tendit la bouteille de pisse, et en le fixant je l’ai ouverte et en ai bu la moitié du contenu. Il n’était même pas impressionné. Il me reprit la bouteille des mains, puis alla chercher très loin un mollard du tonnerre qu’il cracha à l’intérieur. Il remit le bouchon, mélangea et me la redonna à boire. J’en bus encore un quart lorsqu’il m’arrêta. Il me félicita et se mit à boire tout le contenu de sa bouteille pour se rafraichir. Je ne le lâchais toujours pas du regard. Ayant terminé sa bouteille, il reprit alors la mienne entre les mains. Et là, il prit une grande inspiration, se boucha une narine et se vida dedans. Il fit de même avec l’autre narine. Et j’étais au bord de la gerbe. Autant la pisse, ça passe. Les mollards, j’aime ça. Mais la morve, je n’avais jamais fait et ça ne m’attirait aucunement. Il reboucha la bouteille et mélangea ce cocktail qui était composé entièrement de lui.

Je lui ai alors dit que ce serait très difficile pour moi. « Vraiment ? » me dit-il. « Ce n’est pas un souci petite larve ! ». Et sans même m’en rendre compte il m’en décolla une à m’en faire tomber par terre, pour dire, j’en ai encore la marque à l’heure où j’écris ces lignes. Il m’a vite fait comprendre que j’étais sa chienne et m’écrasa ses pieds puants sur la gueule.

— Tu vas vite comprendre qui est le maître ici. Allé décrasse bien moi les pieds, ça fait 3 jours que je ne les ai pas nettoyés. La larme à l’œil j’ai exécuté ses ordres, je savais qu’il rompait notre contrat mais j’étais trop excité et je dois dire que Raphaël me faisait bander comme jamais. Ses pieds puaient vraiment la rage, à croire qu’il avait fait une randonnée juste avant que je vienne.

— Bon je pense que tu as compris maintenant, tu dis non, je t’en colle une et te donne la punition qui convient. Et vu que tu n’as imposé aucune limite, la seule chose que tu dois dire c’est « Oui Maître ». Bon, c’est l’heure de te foutre à poil ! Et n’oublie pas de bien faire ta salope !

J’étais soulagé. Sincèrement, je ne me voyais vraiment pas avaler ce mélange à vomir. Je me mis donc à me défeuiller peu à peu devant lui. De la manière la plus langoureuse qui soit. Je m’approchais de lui pour lui montrer mon cul qu’il ne tarda pas de claquer. Il me dit ensuite de m’approcher. Il prit quelque chose dans le tas de fringue puant qui trainait près de lui et me dit de garder ça en bouche sinon il devrait encore me punir. J’exécutai ses ordres, mais au moment où ce vêtement sale toucha mes lèvres, j’ai eu envie de gerber… J’ai compris qu’il cherchait à me dresser et que tout ça n’avait que pour but de me faire céder et d’être puni. Malgré tous mes efforts, je ne pus résister et recracha ce qui était une boule de boxer souillé par mon maitre et pas lavé depuis des mois, l’odeur était rance à en vomir.

— Je crois que tu n’as toujours pas compris où tu étais.

Il se leva et me retourna avec une force que je ne lui devinais pas, il avait certes une queue énorme mais restai plus maigre que moi. Pourtant il réussit à me retourner et je me retrouvai allongé sur le dos. Il commença alors par me claquer les couilles, ça m’a fait un mal de chien. Quand il s’arrêta j’étais soulagé me disant que ma punition était finie, mais je pensais trop vite. Il sorti un plug d’une bonne taille ! Et il me l’enfonça direct à sec. Malgré mes préparations, j’ai hurlé. Il sortit de la pièce et alla aux chiottes, il en ressortit 2 minutes après.

— Putain qu’est-ce que j’avais envie de chier ! Dommage que j’ai plus de PQ. J’ai vite compris en le regardant ce que je devais faire. Avec encore les larmes aux yeux du traitement que je venais de subir, je le regardai droit dans les yeux et lui tendit ma langue.

— Bonne pute va, tu commences à comprendre, allé vas-y nettoie et qu’il ne m’en reste pas une trace. » Je dois dire que j’étais écœuré à l’idée de faire ça, mais dès que je commençai à lui nettoyer la rondelle, j’étais comme en transe, en extase. « Bon ça à l’air propre, tout chienne a droit à sa récompense, fous toi à quatre pattes ! ».

Je m’installai sur le lit, cul tendu vers le haut. Il avait alors entièrement accès à mon cul. Lui était toujours en caleçon, je n’avais toujours pas vu sa si grosse et si belle queue, mais je voyais une bosse qui devenait de plus en plus imposante.

— Il vaudrait mieux pour toi, petite chienne, que le lavement que tu as du te faire avant de venir fut bien complet sinon je n’aimerais pas être à ta place ! me lança-t-il.

Bien sûr que j’avais fait un lavement en profondeur, avec un tel sadique, je n’allais pas prendre le risque de me retrouver face à sa queue pleine de ma merde à sucer. Et il retira le plug qu’il me fourra en bouche, il commença alors à me lécher le cul. Je ne pensais même pas prendre un pied comme ça avec juste sa langue dans mon cul.

Il se saisit alors d’un entonnoir, et reprit la fameuse bouteille. Il versa alors le contenu du reste de la bouteille dans mon fondement. La sensation était vraiment super étrange. Il retira l’entonnoir une fois tout le contenu vide et me demanda alors de me mettre un doigt dans le cul, il m’aida à me relever. Il plaça alors l’entonnoir sur la bouteille en plastique qu’il tenait fermement, je dus me placer au-dessus et vider tout le contenu de mon cul à l’intérieur. Le liquide à l’intérieur n’avais ni changé de couleur ni changé d’aspect. J’étais déjà rassuré. Il prit la bouteille, la referma et alla se placer sur le lit. Moi je restai accroupi au centre de la pièce. Il me dit alors de me rapprocher à quatre pattes et me fit signe de m’arrêter à environ un mètre cinquante de lui. Il retira lentement l’ample caleçon d’où il ne pouvait plus cacher son érection.

J’aperçus alors un réel monstre de la nature. Je me suis demandé où il pouvait cacher ça dans son caleçon. M’enfin, j’avais la même, mais ça me paraissait pas du tout pareil.

Accroupi à quelques centimètres de l’objet de mes désirs, j’étais impatient d’y gouter. Mais il ne le voyait pas de cet œil. Je devais d’abord le mériter. Il me tendit la bouteille et je compris que si je voulais avoir accès à sa queue, je devais boire l’infâme cocktail. Je mis cinq bonnes minutes à osciller du regard entre sa grosse queue est ses couilles qui semblaient m’appeler, son regard imposant d’autorité ainsi que cette bouteille totalement pourrave. Et puis, je me bouchai le nez, approchai la bouteille de mes lèvres, et y versai tout le contenu. Je bus tout d’un seul trait.

— Voilà ce que j’attendais ! Bravo Jared ! C’est ce que j’appelle de la bonne salope… Comme récompense je te laisse me sucer à ton rythme, profite.

Je profitai donc de ce cadeau du ciel qui était offert à moi. Je commençai par prendre en bouche son gland, qui était moins épais que la base de sa queue. Je me suis alors demandé si j’arriverais à tout prendre en bouche, comme je lui avais promis. Sept centimètres de large, c’est vraiment quelques choses d’énorme. J’oscillai entre ses couilles de mammouth et sa belle verge que j’avais déjà hâte de prendre dans mon cul. La pipe continua une bonne vingtaine de minutes. Lui était allongé sur le lit, et me laissai faire ce que je voulais de sa bite. Il semblait très détendu, il se relaxait de ce que je lui faisais.

Parfois, souvent même je dirais, s’échappaient de sa bouche des petits gémissements super excitants. J’avais également droit à des « Ouais, c’est bien ma salope » ou « Continue ma chienne », « J’adore comme tu t’y prends, tu suces vraiment comme un Dieu ». J’étais plutôt satisfait de moi. Et j’ai même réussi à prendre le tout en bouche. Il se redressa alors. Il me dit que je l’avais si bien sucé qu’on allait directement passer à la baise, la vraie. Je redoutais un peut tout ça, étant donné qu’aucune queue de cette largeur s’était déjà agitée dans mon derrière. Pour débuter tranquillement, il ne changea pas de position, et me fit m’assoir sur sa queue bien dressée, bien dure, bien grosse. Je m’enfonçai alors royalement jusqu’à sentir ses deux grosses couilles toucher mes fesses. Signe que tout ce monstre était entré en moi sans grande difficulté. Et j’entendis un râle de plaisir de sa part qui me satisfait encore plus. Je restai alors là, ma queue était dressée comme jamais, bien enfoncé par la sienne.

Je voulais m’habituer à ce calibre hors norme.

Il prit alors les choses en main, commençant à secouer le bassin pour imprimer un mouvement sec mais intense. Il continua son va et vient prestement dans mon cul puis me fit prendre des dizaines de positions toutes plus avilissantes les unes que les autres. Il me prit même en positionnant son pied sur ma gueule ! Tout en me faisant en mettre avec fougue, je léchais ses orteils suintants. On fit alors une pause, il ne voulait pas jouir trop vite. Pendant ce temps, il me fit récurer tout son corps, lécher son corps des pieds à la tête comme il aimait le dire. Ca incluait de passer ma langue entre tous ses orteils, sous ses pieds qui n’étaient pas vraiment un modèle de propreté, ses cuisses poilues, son trou du cul transpirant, ses tétons ou encore ses aisselles poilues bien puantes.

Bien sûr ensuite, ne perdant pas le nord, il reprit mon cul là où il l’avait laissé, et m’encula encore de longues minutes avant de jouir bien au fond. Il en sorti, et me dit de venir le sucer afin de rendre sa bite impeccable de propreté, il était alors debout au milieu de la pièce, je vins en rampant tout en le fixant du regard et me positionnai à genoux devant cette grosse bite qui désenflait peu à peu. Je me mis à le sucer si bien que sa queue reprit vite sa plus belle vigueur. J’étais alors étonné de le revoir rebander si vite.

— Tu vas bien me vider une dernière fois ma salope. Et après, tu te casses !

Alors je me suis attelé à vider ses burnes pour la deuxième fois en quelques minutes. Je m’appliquai à lui offrir une bonne pipe, il m’attrapai les cheveux et me fit le sucer à son rythme. Jusqu’à lâcher toute sa crème bien au fond de ma gorge. J’avalais alors tout. Etant en position accroupie, un peu de son sperme qu’il m’avait injectée dans le cul coula.

— Bah alors ma salope, on a des fuites ? Tu vas me nettoyer tout ça ! Et plus vite que ça !

Il accompagna la dernière phrase d’un coup de poing bien placé dans le ventre qui eut pour conséquence de couper ma respiration. Mais je me plaçai tout de même juste au-dessus des gouttes de sperme qui étaient passées par mon rectum. Je les gobai avec délectation. Il me fit, afin de me faire jouir, allonger sur le dos toujours à terre, il prit alors ma queue en bouche et plaçai son cul juste au niveau de ma bouche. Il m’ordonna alors de le lécher, de le bouffer, d’y mettre ma langue au plus profond… Il lâcha quelques caisses, là, posé, tranquille. Je gobai ça avec dégout mais je n’avais pas trop le choix. Tout son poids reposant sur moi. Je mis peu de temps à jouir dans sa bouche, il prit alors ma dose assez énorme dans la bouche. Il vint alors se placer juste au-dessus de la mienne et recracha tout son contenu. J’avalai et il m’embrassa goulument.

Après ça, il me balança mes fringues et me dit de rentrer chez moi. Mais je garde un souvenir totalement mémorable de notre première fois. D’ailleurs, je dois le revoir ce soir…

De la bonne pisse

Rémy n’en menait pas large. Il avait un rendez-vous ce soir avec ce mec qui lui promettait la lune depuis déjà plusieurs mois. Ces mois ont consisté à faire connaissance, en profondeur, entre deux mecs qui n’ont rien de commun à la base. Rémy, jeune homme chétif, dépassant à peine les 1m60, et totalement introverti aimait se laisser faire. Il était d’un naturel gentil, ce qui le mena très facilement à la soumission sexuelle. Depuis qu’il avait découvert le sexe gay, avec un de ses camarades de classe, il était uniquement passif. Soumis aux désirs des autres. Répondant aux besoins des grands.

D’un autre côté, Arnaud, côtoyant les deux mètres, était le presque opposé de Rémy. Il est sûr de lui, posé et sait totalement ce qu’il veut. Du fait de sa grandeur, voire de son immensité, Arnaud avait eu du mal avec sa sexualité. Hétéro forcé pendant des années, il ne put se résoudre à vivre toute sa vie sans être ce qu’il est réellement. Il a donc commencé à goûter au sexe gay et en fut de suite transi. Évidemment, il dominait et était uniquement actif. Aucune bite ne rentrerait un jour dans son cul immense et poilu. On lui avait déjà bouffé au plus profond son fion mais jamais plus. Il s’en refusait. Lui est là pour gouverner. Ce n’est aucunement négociable. Quel que soit le mec.

Ces deux-là s’étaient rencontrés sur Recon : Rémy avait un penchant pour la soumission, peu importe la forme choisie. Mais son goût allait pour les hommes grands afin de sentir son infériorité, et surtout que ceux-là l’humilient. Avec quelques limites néanmoins. Il avait une passion pour les pieds également. Les plus grands possibles. Très sûrement parce que ce sont eux qui soutiennent le corps, qui sont le plus bas et qui par conséquent sont le semblable de Rémy.

Celui qui est petit, qui aime se sentir larve et qui aime être une sous-merde. Arnaud, quant à lui, n’avait aucunement besoin d’un petit soumis mais d’un soumis tout court. Arnaud avait une passion assez répandue : celle de la pisse. Il aimait tout ce qui tournait autour des pratiques uro. Mais il avait un fantasme ultime, trouver un mec qui soit son véritable chiottes à pisse. Sans concession. Toute pisse qui pouvait sortir de sa grosse teub veineuse finirait dans l’estomac de ce soumis. Il avait trouvé au fil des années de jeunes soumis prêts à se faire pisser dessus, avaler un peu mais jamais rien de plus. Il était frustré de ne pas tomber sur l’urinoir dévoué à sa queue.

Recon aura finalement su réunir ces deux êtres que tout semblait opposer, si ce n’est leur sexualité quelque peu débridée. Ils avaient un peu parlé au départ, sans se rendre compte que finalement ils étaient complémentaires. Rémy avait été surpris par la taille immense d’Arnaud, son mètre 99, sa pointure 49, son goût pervers pour la soumission mais il ne pensait pas qu’il eut pu intéresser un tant soit peu ce grand gaillard. Arnaud, quant à lui, recevait des tonnes de messages mais si peu avaient une importance ne serait-ce que minime. Il voulait sa cuve à pisse. Et puis Rémy y alla franco avec Arnaud en lui disant qu’il aimerait trouver un vrai mâle puissant afin que celui-ci le soumette à son corps immense, à sa grandeur, à son envie irrépressible d’être avili. Arnaud eu alors une irrémédiable envie de développer son envie. De manière entière. Les deux convinrent alors d’un rendez-vous. Un premier rendez-vous, afin de voir ou ils en sont. Le rendez-vous s’est fait à l’appartement de Rémy, en plein centre de Paris. Un appartement lumineux, décoré de façon plutôt luxuriante. L’hôte du jour a prévu son coup. Il a rempli une pleine bouteille de sa pisse jaune et fumante du matin dans une bouteille de Vittel. Il veut voir de quoi ce minus est capable.

Lorsque la sonnette retentit, Arnaud était en train se gratter les burnes assis sur son canapé. C’était une de ses activités favorites ; se toucher les burnes. Ses grosses burnes, aussi grosses que des œufs, étaient souvent moites. Il avait pris pour habitude de renifler ses doigts juste après. Son odeur de mâle le saisissait et le rendait à coup sûr excité comme un fou. Il se leva pour rejoindre la porte et y trouva derrière un Rémy, minuscule, l’air apeuré mais terriblement mignon. Cheveux courts, yeux bleu clair, un sourire de coin, de belles dents. Arnaud était plutôt surpris de le trouver si beau.

Quand Arnaud ouvrit la porte, Rémy compris tout de suite à qui il avait à faire : un vrai homme. Un géant qui le surpassait de 40cm. L’homme dont il rêvait depuis l’adolescence où, à l’internat, il se branlait frénétiquement sous les couvertures pour que personne ne l’entende. Il pensait à cet instant-là à trouver l’homme grand, beau, dominateur et qui le considèrerait à tout point de vue comme un larbin, un soumis, un sous-homme. Arnaud était là, grand, en long caleçon, chaussettes blanches, quoique plus très blanches, et robe de chambre, à l’attendre.

« Bah vas-y entre ! Faut pas te gêner ici, je suis un mec sympa malgré ma carrure » lança Arnaud, plutôt jovial malgré ce qu’il avait en tête. Rémy s’avança alors à petits pas, il ne pouvait faire autrement, dans l’appartement d’Arnaud. Hier soir, pensa-t-il, il avait dû branler sa grosse queue en lui parlant sur le canapé dans le salon qui s’offrait à lui. Cela étant, juste après, il avait dû lâcher une pisse énorme au fond des chiottes qu’il apercevait également au bout de l’appartement. Il ne pensait pas avoir développé une si grande attirance durant ces quelques mois où ils avaient parlé.

Arnaud s’aperçut rapidement que Rémy avait les yeux écarquillés et semblait les poser dans chaque recoins de son appartement. « Il te plait mon appart’ ?» dit Arnaud. « Oui, il est sympa, il a l’air immense, c’est cool. » Rémy vivait dans un studio étudiant, qui ne dépassait pas les 20m², Arnaud y serait à l’étroit au bout de deux heures. Alors forcément, le grand appartement de l’architecte lui parût immense et décoré avec goût.

« Tu veux boire quelque chose ? » dit l’hôte du jour, Rémy répondit par l’affirmative. « Je t’amène ça de suite. Mais n’en prends pas l’habitude. Si l’on se revoit, c’est toi qui me serviras et moi qui t’avilirai. » Le stratagème d’Arnaud allait prendre forme. Il sortit deux formidables verres à bière d’un litre chacun. Il versa dans la sienne une bonne quantité de Troubadour Magma, la bière qu’il avait en adoration et dans l’autre la bouteille de pisse bien jaune et puante qu’il avait éjectée le matin. Il revint dans le salon les verres à la main. Rémy avait pris ses aises dans le canapé, ce qui ne gênait absolument pas Arnaud qui prit place dans le fauteuil juste en face de lui. Il posa les bières sur la table en verre.

« Ceci est un premier test. J’ai besoin de voir de quoi tu es capable pour moi. On ne se connait pas encore beaucoup, mais j’ai détecté en toi une soumission potentielle assez incroyable. Alors, tu vas boire ce verre. Tu vas boire ce verre en entier. Il contient ma pisse de ce matin. Ma bonne pisse du matin, bien jaune, bien crade, bien puante. Si tu y parviens avant que j’aie terminé ma bière, tu auras obtenu ton pass d’entrée pour jouer avec mon corps. » dit Arnaud d’un air calme mais déterminé.

La queue dans le caleçon de Rémy s’est dressée comme jamais elle n’avait été dure. Un homme ne lui avait jamais parlé ainsi et n’avait jamais exigé autant de lui. Il n’avait encore rien vu. Il prit le bock qui lui parut tellement énorme qu’il l’attrapa à deux mains et le porta à ses lèvres. La tâche n’allait pas être mince étant donné l’odeur qu’il put humer à l’approche de son nez. Il commença par prendre quelques petites gorgées, comme un moineau qui picore un peu de pain. Timidement. Arnaud se délectait de la scène si bien qu’il plongea très vite sa main dans son large caleçon pour éveiller sa bite qui commençait à gonfler et à prendre les proportions énormes qu’on lui connaissait.

« Chaud ! » lui dit Rémy, un peu désarçonné par la quantité énorme de pisse qu’il aurait à ingurgiter. « Mon corps se mérite. Ne l’oublie jamais. » Arnaud sirotait tranquillement sa bière, se caressant la bite de l’autre main et ne lâchant pas du regard le petit Rémy qui boit son infâme pisse. Il avait déjà bu la moitié de sa bière tandis que Rémy en était à peu près au quart avalé. Il en attendait peut-être trop de ce mec et une pointe de déception commençait à se ressentir dans son regard et dans sa tête. Il avait mis beaucoup d’espoir en cette future relation potentielle.

« Tu es en retard, sous-homme ! Il va falloir avaler davantage de ma pisse si tu veux que je te montre à quoi ressemble mon corps. Si tu veux lécher deux mètres d’un corps suintant, je te conseille de boire. » dit Arnaud, moins calme qu’au début du plan. Rémy se résolut à accélérer la cadence et pris de grandes gorgées de cette pisse âcre. L’odeur était peut-être pire que le goût finalement. Le fait qu’elle soit fraîche n’aidait pas les choses non plus. Rémy avait déjà eu droit à des douches de pisse, même à en avaler un peu mais jamais de la pisse stockée et froide. Il ne voulait pas décevoir Arnaud. Il s’enquérait donc à terminer ce grand verre de pisse. Il connaissait la récompense et savait pertinemment qu’après ce difficile moment où il ne fallait pas déglutir, il baiserait avec Arnaud.

Le verre complètement terminé, Arnaud lança un « Bravo salope ! Enfin un mec à ma hauteur. Enfin, si on peut dire… ». A ces mots, Rémy eut un ouf de soulagement en se disant que l’épreuve était passée et que désormais il allait pouvoir se soumettre à ce grand mâle qui le fait tant rêver. Arnaud fit lever Rémy du canapé et se mit debout face à lui. Il attrapa ses cheveux pour le tirer en arrière avant d’aller lui rouler une grosse pelle. Un baiser langoureux et puissant qui fit presque tourner de l’œil Rémy par son intensité. Le plan allait réellement commencer. Arnaud posa son corps immense sur le canapé de tout son long. Il avait fait tomber son peignoir et il ne lui restait que ses chaussettes Sk8erboy et son caleçon.

« Il est temps de passer à la phase lèche. Avec tout ce que tu as bu, tu n’auras pas la langue sèche, j’en suis assuré. » dit Arnaud. « Du bas vers le haut ». Le petit Rémy se plaça donc à genoux devant les pieds immenses d’Arnaud qui dépassaient du canapé. Il sentit d’abord ses chaussettes, à pleines bouffées, histoire de bien prendre en considération les odeurs de cet homme qui allait devenir le sien quelques mois après. Il sniffait puis y mettait également la langue, pour bien humidifier ces chaussettes Sk8erboy qui ont dû être blanches un jour. La crasse et sûrement les branles essuyées les avaient rendus presque noires. C’en était que davantage délectable pour Rémy qui semblait prendre un plaisir énorme.

Arnaud était posé, tranquille, à jeter parfois le regard sur Rémy qui lui faisait du bien. Il retira ses chaussettes pour permettre au soumis de goûter à ses pieds, bien odorants. Ce qu’il fit très rapidement, sans se faire prier. Il empoigna de ses deux mains minuscules les pieds immenses d’Arnaud. Il était ridicule derrière eux. Une fois la langue passée et repassée dans chaque recoins de ses orteils et de la plante de ses pieds, Rémy remontait vers les mollets puis les cuisses d’Arnaud. Ce dernier ne lui avait aucunement envoyé de photos de sa queue, pour garder un peu de mystère. Dans son caleçon semblait flotter une bonne grosse paire de couilles mais surtout une queue d’une belle largeur. Il ne dut attendre que quelques minutes pour obtenir ce qu’il convoitait depuis un moment : la queue d’Arnaud ! Il avait descendu son caleçon et Rémy se trouvait alors assis entre les cuisses d’Arnaud qui s’était mis assis au milieu de son canapé.

Sa grosse queue pendait devant la petite bouche de Rémy qui ne savait que faire d’un tel mandrin. Il se disait qu’il lui serait totalement impossible de tout prendre en bouche, que jamais il ne pourrait prendre en gorge profonde cette grosse bite. Arnaud lui dit de lécher son torse et ensuite ses aisselles. Ces dernières étaient bien fournies, bien noires et surtout bien puantes. Arnaud ne connaissait pas le déo, il détestait devoir se parfumer pour son taf. Ses odeurs étaient là, avec lui, que cela plaise ou non. Le numéro de Rémy, si petit, sous les aisselles énormes et touffues excitaient au plus haut point Arnaud, si bien que perlait une mouille abondante sur son gland. Il n’aurait jamais pensé que ce rapport de force entre un homme si petit et lui si grand l’exciterait à ce point.

Une fois léché au complet, il prit le visage de Rémy en main, celui-ci paraissait si petit et il l’embrassa encore à pleine bouche. C’était plus tendre que la première fois, plus sauvage aussi. Il goûtait alors à sa propre odeur d’aisselles, de pied mais pas encore de queue. « Allé, suce-moi un peu et je te défonce après. J’ai envie de te niquer » glissa Arnaud à l’oreille de Rémy. Ce dernier était en extase. Il n’attendait que ça.

Rémy passa donc à l’action en léchant d’abord les couilles d’Arnaud, grosses comme des œufs, en les prenant une à une bouche. Il remonte ensuite sur sa queue, pour lécher ce bâton déjà dur comme du fer. Il prenait en bouche son gros gland avec le plus grand plaisir. Il se touchait le fion de l’autre main pour ne pas trop souffrir pendant la baise qui s’annonçait. Arnaud se leva et pris Rémy par la taille pour le retourner. Ce dernier avait accès à la grosse queue de son hôte tandis que Arnaud avait le visage dans la cul du petit. Il le dévorait à pleine bouche tandis que l’autre s’appliquait à bien lustrer sa queue.

Après quelques instants, Arnaud lâcha « Maintenant, je te défonce, mets-toi à 4 pattes, la gueule dans les coussins ». Ces deux-là étaient totalement surexcités et la baise s’annonçait rapide mais intense. Arnaud glissa un doigt dans le fion de Rémy qui émis un petit gémissement. Il y mit ensuite sa grosse queue, lentement mais profondément. Rémy lâcha très vite un cri de bonheur non dissimulé. « Vas-y maintenant démonte moi ! J’en ai besoin ! » dit Rémy. Arnaud lui défonça donc durement son cul, le trimbalant vers sa queue, lui marquant les fesses par sa poigne possessive, par ses fessées collées à Rémy tout en l’insultant copieusement. Il finit par jouir en quelques minutes dans ce petit cul avant de se laisser tomber totalement sur Rémy. Celui-ci accusait le coup et était sous une centaine de kilos de viande.

Écrasé mais comblé. Comme il l’avait toujours espéré.

Les amants se sont alors douchés ensemble, puis se sont promis de se revoir très vite. Mais ça, c’est une autre histoire…