Voilà quelques années désormais que Raphaël et moi nous nous connaissons. On a fait connaissance sur un site d’échange de photos, et Dieu a doté ce jeune mâle, à quelques choses près, de la même manière que moi. Un bon dix-neuf centimètres de long mais surtout d’une largeur incommensurable. Quelques choses qui dépassait l’entendement et même toutes mes espérances, quasiment sept centimètres ! Comprenez dès lors, que je devais absolument rencontrer Raphaël afin de comprendre ma douleur en réel. En plus de tout cela, le mental de Raphaël était identique au mien, bien qu’il était uniquement actif. On a donc convenu d’un plan où je lui appartiendrais en intégralité. Il pourrait me demander ce qui lui plait, absolument tout ce qui lui passe par la tête, pourrait m’humilier de toutes les sortes et au plus haut point. Il pourrait faire de moi sa soubrette, son esclave sexuel ou se servir de moi comme chiottes. Il pourrait très bien me demander de prendre tout son sexe en bouche des heures durant, de me faire nettoyer le sol ou encore me faire avaler sa pisse.
Quelques conditions émanaient tout de même de ce contrat. Il ne doit en aucun cas me faire passer pour un esclave auprès de mes proches, amis ou voisins. Enfin, il doit veiller à ce que je sois correctement nourri et que je sois en bonne santé physique. Il lui fut également interdit de laisser des marques indélébiles sur mon corps. Ça reste du sexe, et je ne souhaitais pas être marqué à vie par une partie de jambes en l’air, même si elle était la plus mémorable que j’eusse vécu. Il m’imposa juste de lui dire mes limites avant qu’on se voit, sur le coup j’ai dit que je n’avais aucune limite si ce n’est le SM violent. Après coup j’allais vite comprendre le sort qu’il me réservait et la larve que j’allais devenir sous ses ordres.
Le rendez-vous était alors pris chez lui, pour quelques heures de plaisirs garanti par le maître. J’avais pour ordre de l’appeler ainsi. Je me présentai chez lui, fringué comme d’habitude en été. Tongs aux pieds, petit short qui laissait deviner le jockstrap que je portais, et T-shirt bleu qui moulait bien mon torse. Et je laissai mes cheveux en bataille, j’aime que le mec qui me lime puisse avoir accès à mes cheveux pour me les tirer et me dresser vers lui.
Je sonnai à l’appart, il m’apparut en boxer large, les cheveux éparses, la barbe de quelques jours. On aurait cru que je le réveillais mais pas du tout, il l’était depuis quelques heures déjà. Et puis il était quinze heures. Il me fit entrer dans sa piaule d’étudiant. On était bien dans une chambre de mec, c’était clair vu comme ça refoulait le chacal.
Mais cela ne me dérangeait pas trop, j’étais plutôt habitué à ce genre d’odeurs, j’ai en effet eu un colocataire pendant deux années qui n’était pas très porté sur le parfum. Et puis, tout le monde sait qu’une bite, des couilles ou des pieds sont bien plus succulents lorsqu’ils ont leur odeur naturelle. Pas celle du savon dégueulasse.
On avait quelques heures, alors je pensai qu’il aurait aimé profiter de moi de suite. Ce ne fut pas vraiment le cas, il me proposa de quoi nous désaltérer, la chaleur étant caniculaire. Ayant répondu par la positive, il alla au frigo chercher deux bouteilles d’eau minérale d’un litre. L’une était encore scellée, le contenu était translucide, l’autre avait déjà été ouverte et avait plus une couleur jaunâtre. Il me tendit la bouteille de pisse, et en le fixant je l’ai ouverte et en ai bu la moitié du contenu. Il n’était même pas impressionné. Il me reprit la bouteille des mains, puis alla chercher très loin un mollard du tonnerre qu’il cracha à l’intérieur. Il remit le bouchon, mélangea et me la redonna à boire. J’en bus encore un quart lorsqu’il m’arrêta. Il me félicita et se mit à boire tout le contenu de sa bouteille pour se rafraichir. Je ne le lâchais toujours pas du regard. Ayant terminé sa bouteille, il reprit alors la mienne entre les mains. Et là, il prit une grande inspiration, se boucha une narine et se vida dedans. Il fit de même avec l’autre narine. Et j’étais au bord de la gerbe. Autant la pisse, ça passe. Les mollards, j’aime ça. Mais la morve, je n’avais jamais fait et ça ne m’attirait aucunement. Il reboucha la bouteille et mélangea ce cocktail qui était composé entièrement de lui.
Je lui ai alors dit que ce serait très difficile pour moi. « Vraiment ? » me dit-il. « Ce n’est pas un souci petite larve ! ». Et sans même m’en rendre compte il m’en décolla une à m’en faire tomber par terre, pour dire, j’en ai encore la marque à l’heure où j’écris ces lignes. Il m’a vite fait comprendre que j’étais sa chienne et m’écrasa ses pieds puants sur la gueule.
— Tu vas vite comprendre qui est le maître ici. Allé décrasse bien moi les pieds, ça fait 3 jours que je ne les ai pas nettoyés. La larme à l’œil j’ai exécuté ses ordres, je savais qu’il rompait notre contrat mais j’étais trop excité et je dois dire que Raphaël me faisait bander comme jamais. Ses pieds puaient vraiment la rage, à croire qu’il avait fait une randonnée juste avant que je vienne.
— Bon je pense que tu as compris maintenant, tu dis non, je t’en colle une et te donne la punition qui convient. Et vu que tu n’as imposé aucune limite, la seule chose que tu dois dire c’est « Oui Maître ». Bon, c’est l’heure de te foutre à poil ! Et n’oublie pas de bien faire ta salope !
J’étais soulagé. Sincèrement, je ne me voyais vraiment pas avaler ce mélange à vomir. Je me mis donc à me défeuiller peu à peu devant lui. De la manière la plus langoureuse qui soit. Je m’approchais de lui pour lui montrer mon cul qu’il ne tarda pas de claquer. Il me dit ensuite de m’approcher. Il prit quelque chose dans le tas de fringue puant qui trainait près de lui et me dit de garder ça en bouche sinon il devrait encore me punir. J’exécutai ses ordres, mais au moment où ce vêtement sale toucha mes lèvres, j’ai eu envie de gerber… J’ai compris qu’il cherchait à me dresser et que tout ça n’avait que pour but de me faire céder et d’être puni. Malgré tous mes efforts, je ne pus résister et recracha ce qui était une boule de boxer souillé par mon maitre et pas lavé depuis des mois, l’odeur était rance à en vomir.
— Je crois que tu n’as toujours pas compris où tu étais.
Il se leva et me retourna avec une force que je ne lui devinais pas, il avait certes une queue énorme mais restai plus maigre que moi. Pourtant il réussit à me retourner et je me retrouvai allongé sur le dos. Il commença alors par me claquer les couilles, ça m’a fait un mal de chien. Quand il s’arrêta j’étais soulagé me disant que ma punition était finie, mais je pensais trop vite. Il sorti un plug d’une bonne taille ! Et il me l’enfonça direct à sec. Malgré mes préparations, j’ai hurlé. Il sortit de la pièce et alla aux chiottes, il en ressortit 2 minutes après.
— Putain qu’est-ce que j’avais envie de chier ! Dommage que j’ai plus de PQ. J’ai vite compris en le regardant ce que je devais faire. Avec encore les larmes aux yeux du traitement que je venais de subir, je le regardai droit dans les yeux et lui tendit ma langue.
— Bonne pute va, tu commences à comprendre, allé vas-y nettoie et qu’il ne m’en reste pas une trace. » Je dois dire que j’étais écœuré à l’idée de faire ça, mais dès que je commençai à lui nettoyer la rondelle, j’étais comme en transe, en extase. « Bon ça à l’air propre, tout chienne a droit à sa récompense, fous toi à quatre pattes ! ».
Je m’installai sur le lit, cul tendu vers le haut. Il avait alors entièrement accès à mon cul. Lui était toujours en caleçon, je n’avais toujours pas vu sa si grosse et si belle queue, mais je voyais une bosse qui devenait de plus en plus imposante.
— Il vaudrait mieux pour toi, petite chienne, que le lavement que tu as du te faire avant de venir fut bien complet sinon je n’aimerais pas être à ta place ! me lança-t-il.
Bien sûr que j’avais fait un lavement en profondeur, avec un tel sadique, je n’allais pas prendre le risque de me retrouver face à sa queue pleine de ma merde à sucer. Et il retira le plug qu’il me fourra en bouche, il commença alors à me lécher le cul. Je ne pensais même pas prendre un pied comme ça avec juste sa langue dans mon cul.
Il se saisit alors d’un entonnoir, et reprit la fameuse bouteille. Il versa alors le contenu du reste de la bouteille dans mon fondement. La sensation était vraiment super étrange. Il retira l’entonnoir une fois tout le contenu vide et me demanda alors de me mettre un doigt dans le cul, il m’aida à me relever. Il plaça alors l’entonnoir sur la bouteille en plastique qu’il tenait fermement, je dus me placer au-dessus et vider tout le contenu de mon cul à l’intérieur. Le liquide à l’intérieur n’avais ni changé de couleur ni changé d’aspect. J’étais déjà rassuré. Il prit la bouteille, la referma et alla se placer sur le lit. Moi je restai accroupi au centre de la pièce. Il me dit alors de me rapprocher à quatre pattes et me fit signe de m’arrêter à environ un mètre cinquante de lui. Il retira lentement l’ample caleçon d’où il ne pouvait plus cacher son érection.
J’aperçus alors un réel monstre de la nature. Je me suis demandé où il pouvait cacher ça dans son caleçon. M’enfin, j’avais la même, mais ça me paraissait pas du tout pareil.
Accroupi à quelques centimètres de l’objet de mes désirs, j’étais impatient d’y gouter. Mais il ne le voyait pas de cet œil. Je devais d’abord le mériter. Il me tendit la bouteille et je compris que si je voulais avoir accès à sa queue, je devais boire l’infâme cocktail. Je mis cinq bonnes minutes à osciller du regard entre sa grosse queue est ses couilles qui semblaient m’appeler, son regard imposant d’autorité ainsi que cette bouteille totalement pourrave. Et puis, je me bouchai le nez, approchai la bouteille de mes lèvres, et y versai tout le contenu. Je bus tout d’un seul trait.
— Voilà ce que j’attendais ! Bravo Jared ! C’est ce que j’appelle de la bonne salope… Comme récompense je te laisse me sucer à ton rythme, profite.
Je profitai donc de ce cadeau du ciel qui était offert à moi. Je commençai par prendre en bouche son gland, qui était moins épais que la base de sa queue. Je me suis alors demandé si j’arriverais à tout prendre en bouche, comme je lui avais promis. Sept centimètres de large, c’est vraiment quelques choses d’énorme. J’oscillai entre ses couilles de mammouth et sa belle verge que j’avais déjà hâte de prendre dans mon cul. La pipe continua une bonne vingtaine de minutes. Lui était allongé sur le lit, et me laissai faire ce que je voulais de sa bite. Il semblait très détendu, il se relaxait de ce que je lui faisais.
Parfois, souvent même je dirais, s’échappaient de sa bouche des petits gémissements super excitants. J’avais également droit à des « Ouais, c’est bien ma salope » ou « Continue ma chienne », « J’adore comme tu t’y prends, tu suces vraiment comme un Dieu ». J’étais plutôt satisfait de moi. Et j’ai même réussi à prendre le tout en bouche. Il se redressa alors. Il me dit que je l’avais si bien sucé qu’on allait directement passer à la baise, la vraie. Je redoutais un peut tout ça, étant donné qu’aucune queue de cette largeur s’était déjà agitée dans mon derrière. Pour débuter tranquillement, il ne changea pas de position, et me fit m’assoir sur sa queue bien dressée, bien dure, bien grosse. Je m’enfonçai alors royalement jusqu’à sentir ses deux grosses couilles toucher mes fesses. Signe que tout ce monstre était entré en moi sans grande difficulté. Et j’entendis un râle de plaisir de sa part qui me satisfait encore plus. Je restai alors là, ma queue était dressée comme jamais, bien enfoncé par la sienne.
Je voulais m’habituer à ce calibre hors norme.
Il prit alors les choses en main, commençant à secouer le bassin pour imprimer un mouvement sec mais intense. Il continua son va et vient prestement dans mon cul puis me fit prendre des dizaines de positions toutes plus avilissantes les unes que les autres. Il me prit même en positionnant son pied sur ma gueule ! Tout en me faisant en mettre avec fougue, je léchais ses orteils suintants. On fit alors une pause, il ne voulait pas jouir trop vite. Pendant ce temps, il me fit récurer tout son corps, lécher son corps des pieds à la tête comme il aimait le dire. Ca incluait de passer ma langue entre tous ses orteils, sous ses pieds qui n’étaient pas vraiment un modèle de propreté, ses cuisses poilues, son trou du cul transpirant, ses tétons ou encore ses aisselles poilues bien puantes.
Bien sûr ensuite, ne perdant pas le nord, il reprit mon cul là où il l’avait laissé, et m’encula encore de longues minutes avant de jouir bien au fond. Il en sorti, et me dit de venir le sucer afin de rendre sa bite impeccable de propreté, il était alors debout au milieu de la pièce, je vins en rampant tout en le fixant du regard et me positionnai à genoux devant cette grosse bite qui désenflait peu à peu. Je me mis à le sucer si bien que sa queue reprit vite sa plus belle vigueur. J’étais alors étonné de le revoir rebander si vite.
— Tu vas bien me vider une dernière fois ma salope. Et après, tu te casses !
Alors je me suis attelé à vider ses burnes pour la deuxième fois en quelques minutes. Je m’appliquai à lui offrir une bonne pipe, il m’attrapai les cheveux et me fit le sucer à son rythme. Jusqu’à lâcher toute sa crème bien au fond de ma gorge. J’avalais alors tout. Etant en position accroupie, un peu de son sperme qu’il m’avait injectée dans le cul coula.
— Bah alors ma salope, on a des fuites ? Tu vas me nettoyer tout ça ! Et plus vite que ça !
Il accompagna la dernière phrase d’un coup de poing bien placé dans le ventre qui eut pour conséquence de couper ma respiration. Mais je me plaçai tout de même juste au-dessus des gouttes de sperme qui étaient passées par mon rectum. Je les gobai avec délectation. Il me fit, afin de me faire jouir, allonger sur le dos toujours à terre, il prit alors ma queue en bouche et plaçai son cul juste au niveau de ma bouche. Il m’ordonna alors de le lécher, de le bouffer, d’y mettre ma langue au plus profond… Il lâcha quelques caisses, là, posé, tranquille. Je gobai ça avec dégout mais je n’avais pas trop le choix. Tout son poids reposant sur moi. Je mis peu de temps à jouir dans sa bouche, il prit alors ma dose assez énorme dans la bouche. Il vint alors se placer juste au-dessus de la mienne et recracha tout son contenu. J’avalai et il m’embrassa goulument.
Après ça, il me balança mes fringues et me dit de rentrer chez moi. Mais je garde un souvenir totalement mémorable de notre première fois. D’ailleurs, je dois le revoir ce soir…