Crevure à jus

(« Crevure à jus » est l’une des histoires les plus sales et salaces que j’ai eu à lire dans ma vie. Je vous l’offre ici, si son auteur se reconnaît, qu’il me fasse signe…)

Un samedi matin vers 9h, j’émerge à peine de ma virée de la veille que le téléphone sonne. Mon maître est à l’autre bout du fil. Il me demande confirmation de ma dispo pour la semaine et si je suis bien en vacances comme prévu, ce à quoi je réponds par l’affirmative.

— Parfait connard! Reste près de ton tél, un pote à moi va t’appeler. Tu lui appartiendras, sans aucune limite, pour la semaine. Je te récupère dimanche soir. Ne me fais pas honte! Tu le paierais cher… Sac à jus!

Aussi sec, il raccroche.

Je fonce à la salle de bain. Je sais que dans un tel cas, je dois être nickel, prêt à l’utilisation. À peine 30 minutes plus tard, le tél sonne à nouveau et un mec, voix rocailleuse et directive, me demande si je suis bien la sous merde de Maître X. Je réponds par l’affirmative. Je suis à sa disposition dès à présent et jusqu’à ce qu’il me refile à mon maître, conformément aux ordres de ce dernier. Il me dit de préparer un sac avec mes papiers d’identité, mon portable et mes clefs, de m’habiller dans ma tenue habituelle de bâtard qui est une tenue skin. Je dois l’attendre porte ouverte chez moi, mes affaires prêtes ainsi qu’un café, à genoux, les mains derrière le dos, dans 15 minutes exactement… Il raccroche.

Je fonce mettre un café en route et préparer mes affaires. Je commence à m’habiller, je sers le café, pose le sucrier à côté ainsi qu’une cuillère. Je vais entrouvrir la porte et je commence à enfiler mes boots. Je termine à peine de mettre une boot que j’entends du bruit dans la cage d’escalier. Je me dépêche mais quand j’entends les pas s’approcher du salon, je ne suis pas prêt. Je me mets tout de même à genoux, mains derrière le dos. Les boots ne sont pas totalement lacés et mon fut n’est pas fermé.

Pas un mot. Je ne vois qu’un fut de cuir sur des boots à lacets blancs, et deux mains gantées de cuir. Un long silence. Le mec tourne autour de moi et soudain, je me prends un super coup de boots dans le dos. J’essaie de retenir un cri, mais celui-ci m’échappe tout de même. Le mec, toujours derrière moi, me relève la tête d’un coup en m’enfonçant trois doigts dans la gueule.

— Je ne veux pas entendre le son de ta voix, bâtard… Sauf pour répondre quand on te demande quelque chose ou pour remercier ton Maître.

Il s’installe dans le fauteuil et prends son café. J’entends le bruit de mon sac, il doit en vérifier le contenu.

— Termine de lacer tes boots, chiottard, avant que je te donne ton déjeuner. On est pressé, alors tu te magnes!
— Bien Maître.

Je lui tourne toujours le dos. Je termine de me préparer. Il fait quelque chose derrière moi mais je n’ose pas regarder. À peine ai-je terminé de mettre mes boots et de fermer mon fut que je me remets en position. D’une main, il me prend le menton et de l’autre, je le vois faire apparaître un bol face à moi. L’odeur âcre ne laisse aucun doute. Il a pissé dans le bol et me voilà servi pour le petit déjeuner… Je ne sais pas encore à ce moment là que ce sera l’une des seules boissons à laquelle j’aurai droit pour les huit jours à venir.

— Va laver ton bol, on se tire.

Je fonce à la cuisine. Lorsque je reviens, il a mon sac en mains avec les clefs. Je passe devant, il ferme à clefs et me fait avancer devant lui. Arrivé en bas de l’immeuble, il me fait mettre à genoux et me dit de l’attendre. À peine trois minutes après, une camionnette s’arrête devant moi, mon nouveau Maître en sort, ouvre la porte arrière et me fait signe de monter. Il y a là une moto sur le côté, une cage au fonds avec un clebs et une deuxième plus petite à l’avant qu’il me désigne. Il me tend une pilule, une bouteille d’eau.

— Avale ça et à tout à l heure. Profite en pour bien te reposer…

Il ferme la cage et fout une couverture dessus. J’entends la porte claquer et c’est parti. Doucement je me sens partir, à la fois un peu décollé et un peu assommé ; il n’a pas dû me filer que de la vitamine ! Je tombe dans un demi-sommeil.

Tout d’un coup, j’entends la porte qui s’ouvre. Il me sort de la cage, je suis un peu groggy. Il me fout un collier de cuir et je le suis. Nous sommes sur une aire d’autoroute, on s’enfonce dans une espèce de sous-bois. Quelques instants après, il me fait mettre à genoux et sors sa bite, un engin comme j’en avais rarement vu: longue, épaisse, très nervurée et surtout un gland dont je me demande si je pourrais l’engloutir! Je dois avoir l’air surpris pour qu’il me dise: — Ton proprio ne t’avait pas prévenu ! Et il éclate de rire.

— Elle va te travailler la gorge et le cul toute la semaine cette bite de cheval! Et t’en auras d’autres, crois-moi. Astique connard et applique toi !

Je n’ai pas le temps de m’appliquer qu’il me prend la tête à pleines mains et s’enfonce en fond de gorge d’un coup sec, et se met à me limer la gueule, telle une chatte. De temps en temps, il ralentit le rythme, j’en profite alors pour lécher le gland du mieux que je peux. Infatigable, ce manège dure un long moment. Deux mecs se sont approchés et matent le spectacle. Le Maître leur fait signe d’approcher, les mecs ne se font pas prier et arrivent en se caressant l’entrejambe et en sortant leur bites.

— Elle est à vous, une bonne gueule de pute. Amusez-vous les mecs !

À peine s’est-il retiré de ma gueule que les deux autres présentent en même temps leur bite. Je vais de l’une à l autre, en léchant au maximum leur gland, et en caressant leurs couilles. Rapidement, l’un des mecs s’enfonce d’un coup au fond de ma gueule et dans un râle qu’il essaie de contenir, se vide dans ma gueule. Il reste bien au fond pour être sûr que j’avale tout et ressort doucement afin que je lui nettoie la bite. Le deuxième ne se fait pas prier et se met à me baiser la gueule de plus belle. Quand il sent qu’il vient, il m’éloigne la gueule de sa bite afin de pouvoir se répandre sur mon visage. Il m’asperge de quatre gros jets de foutre qu’il étale copieusement avec son gland sur mes yeux, mon nez, mes cheveux, avant de me faire nettoyer son gland. Une fois propre, ils se tirent tous les deux. Je reste à genoux, mon maître qui matait la scène réapparait:
— Baisse ton fut et montre moi ton cul, sac à jus !

Je m’exécute. Il se fout derrière moi, me fait lécher un de ses doigts toujours ganté de cuir, j’essaie de le mouiller au max. Au bout de quelques secondes, ce doigt se retrouve sur ma raie et à peine le temps de me rendre compte que je suis quasi sec, mon maître m’enfourne son braquemard d’un seul coup au fond de mon cul. Je tente de hurler mais il me fait basculer la gueule au sol, écrasée dans la boue.

— T’es une bonne pute à jus. Après la gueule, on va te pourrir le cul!

Et sitôt dit, sitôt fait, je sens des jets de sperme puissants m’envahir le cul. Il ressort sa bite, je sens le foutre couler, il l étale sur mes fesses.

— Tu vas dans les chiottes bâtard. La première cabine porte ouverte, à genoux face vers le chiottard et fut baissé. Moi j’vais bouffer. Ne t’en bouge pas avant que j’arrive.

Il m’entraîne vers les chiottes et en passant devant, me pousse vers la petite bâtisse; lui se tire pour aller manger. J’ai encore le goût âpre et crémeux du jus des deux mecs dans la gueule. Quand deux motards arrivent, je ne sais plus quoi faire. Ils se marrent en me voyant et me matent en discutant à voix basse. Un premier sort sa bite, vient sur moi et commence à pisser. Il ne vise pas la gueule mais veux simplement me crader les fringues. Quand il a terminé, il se dirige vers la porte des chiottes pour la bloquer. Son pote me prend par le collier et violement me fout la gueule dans la pisse qui est au sol.

— Nettoie p’tit pédé, tu fous quoi ici, tu fais la pute?
— J’attends mon Maître qui m’a dit de l’attendre ici!
— Ton maître? T’es pute, t’es slave?! Cool alors, tu vas être chiottard aussi puisqu’il te fout ici ton mec !

Je n ai pas le temps de répondre qu’il m’écrase la gueule sur le sol, il baisse son fut et se fout sur le cabinet. À peine quelques secondes après, j’entends le bruit bien reconnaissable d’un bel étron qui tombe dans la cuvette, puis un deuxième. Le motard se relève, m’attrape par le collier et me dit :
— Nettoie-moi le cul avec ta gueule !

Je m’exécute, le cul est relativement propre mais très fort d’une odeur de mec qui a sué dans son cuir. Je lèche et sniffe autant que possible. D’un coup, il me prend par le collier et me fout la gueule dans la cuvette, je vois deux énormes merde flotter.

— Je veux te voir bouffer, je te lâche pas avant que la cuvette soit propre!

J’essaie d’attraper un premier étron qui m’échappe. Je recommence, je l’ai bien en gueule. Je relève la tête pour tenter de pouvoir l’avaler, les deux mecs matent en se tordant de rire, en m’insultant de chiottard, de bouffeur de merde, je ne veux pas leur donner le plaisir de ne pas être à la hauteur et je me force à avaler d’un seul coup la merde.

— Bien connard… mais y’en a une deuxième alors termine ton taf!

J’y retourne mais je ne parviens pas à l’attraper, au bout de quelques secondes, le mecs plonge sa main dans la cuvette, prend sa propre merde et me l’écrase sur la gueule, m’en foutant un max dans la bouche.

— Avale connard! Bouffe bien de la bonne merde de mec. On te donnera de la crème quand t’auras bien fini le plat de résistance.

Et il s’amuse à m’étaler le reste de merde sur le visage et les cheveux. Au bout de quelques minutes, j’ai avalé la totalité de la merde. Il me fout la gueule dans les chiottes et tire la chasse. À peine relevé, il m’enfourne sa bite de taille normale mais assez épaisse et crache son jus en à peine trois aller-retours.

— Content? Bien déjeuner?

Et il éclate de rire. L’autre s’approche se branle au-dessus de moi et m’enfourne d’un coup sa bite fine mais très longue direct en fond de gorge. Je sens le mec se vider de longs et épais jets, il ne devait pas s’être vidé depuis un moment ! Ils me laissent là comme ça, total cradé, les fringues pleines de pisse, la gueule et les cheveux merdeux et la gueule à nouveau dosée.

Un mec entre dans les chiottes, me matte, va pisser à la pissotière tout en me matant. Je suis rouge de honte, je ne sais absolument plus comment réagir. Finalement, il referme sa fermeture-éclair et se barre sans me quitter un instant du regard; je crois qu’il hallucinait un peu! Mon Maître arrive:
— Alors il paraît que tu as bien déjeuner bâtard ?
— Oui Maître.
— Qui t’a donné l’autorisation de bouffer ou de te faire utiliser sac à merde?
— Personne Maître, mais je pensais…
— Un bâtard ne pense pas, il obéit ! Je t’avais dit de m’attendre, pas de provoquer les mecs !
— Mais Maître, je…

Je n’ai pas le temps de finir ma phrase que je me prends un aller-retour qui m’assomme à moitié.

— Tu ne veux pas obéir, tu veux juste être un déchet ? Parfait, je vais faire de toi le pire déchet que l’humanité n’aie jamais produit !
— Je…
— Ta gueule! Ton maître m’a confié la tâche de te mater et t’éduquer, il ne va pas être déçu, je vais lui rapporter la pire crevure qu’il n’aura jamais possédée.

Je ne sais plus comment réagir, je me sens las, moins que rien, je n’ai plus le courage de réagir, je ne peux plus lui dire que:
— Bien Maître, je serai ce que vous souhaitez…
— Tu seras quoi?
— Je serai une crevure, Maître.
— Et?
— Je serai un déchet, un réceptacle à foutre, un urinoir, une chiotte, Maître.
— Bien bâtard, mais crois-moi, tu seras encore pire que tu n’ose l’imaginer. Rhabille-toi correctement et retourne dans ta cage!

Je me relève, me remets au net tant bien que mal. Je vais pour me laver les mains quand mon Maître intervient:
— Tu fais quoi là connard?
— Je vais me nettoyer Maître.
— On n’use pas d’eau ou de savon pour un bâtard, tu restes dans l’état où tu t’es mis espèce de merde !
— Bien Maître.

Et je retourne me mettre en cage. La route reprend, j’entends à plusieurs reprises le maître discuter au téléphone, je comprends qu’il parle de moi et à chaque fois, la finalité est un rendez-vous vers 18h je ne sais pas où. Je comprends aisément que ça va être ma fête en fin d’après-midi! Nouvel arrêt, le maître me fait sortir, on est dans un petit village de campagne, personne dehors, mortel! Une fontaine. Il me fait foutre dans la fontaine, pantalon baissé. D’un sac qu’il devait avoir avec lui, il sort une poire à lavement et entreprend de me faire un lavement. J’ai le cul plutôt propre, vu le lavement du matin, et je n’ai eu que le foutre de mon Maître. Sorti de la fontaine, il me fait remonter dans le camion.

— Fous-toi à poil et mets ça!

Il me tend un treillis complètement déchiré et qui tiendrait debout tout seul tellement il est crade, et un harnais. Je m’exécute, remets mes boots, il me remet le collier, des bracelets de cuir avec chaînes aux pieds et aux poignets, et une cagoule uniquement ouverte au niveau de la bouche. Me voilà aveugle. Il m’attrape, me refout dans ma cage, me fait avaler une pilule et boire une boisson que je trouve très amère. Je suis à sa merci! Il me casse complètement, je comprends que je vais être à sa totale merci…

On est reparti. Au bout d’un moment que je ne saurais évaluer, la camionnette s’arrête, j’entends parler, crier, rire. Il y a l’air d’y avoir du monde mais je ne saisis pas du tout où je peux être, le nombre de personnes ou ce qui se passe réellement dehors. Je reste un long moment dans ma cage puis d’un coup, plus un bruit! J’entends la porte puis la cage qui s’ouvrent, et je suis pris violement par le collier et sorti. J’essaie de marcher mais je suis traîné avec force. Ils sont deux à me tenir.

Je suis jeté au sol, ça pue, j’ai été jeté dans une marre à purin ou de bouse, je ne sais pas. On m attrape les poignets, les chevilles, je sens qu’on m’accroche. Un mec me tire la tête et me vide un verre dans la gueule, c’est le même produit que tout à l’heure. Puis plus rien! Au bout de quelques minutes, j’entends la voix du maître contre mon oreille, doucement:
— On est ici pour 24h, des mecs sont venus de loin pour pouvoir t’utiliser. Tu es ici un objet, la moindre rébellion, le moindre faux pas et je te détruis, tu as bien compris sous race ? T’as le droit à une récompense tout de même… tu peux gueuler autant que tu pourras! Ici personne ne t’entendra, ça ne fera qu’exciter plus tes utilisateurs.

Et il me refout la gueule dans le purin.
— Les mecs, voilà la crevure promise. Elle est en formatage, vous avez tout droit sur elle. Ne vous retenez surtout pas, cette sous race est là uniquement pour votre plaisir, vos délires! Messieurs, 24h top chrono, il est à vous!
À peine a-t-il terminé de parler que mon abattage commence! En moins d’une minute, j’ai la gueule à fond sur un braquemard qui commence par pisser. Je sens un autre mec me limer direct le cul et quand un sort, un autre rentre immédiatement ! Jamais on ne m’avait utilisé comme ça, je n’ai même plus l’impression d’être un bâtard. Je ne suis même plus un trou, un slave, je suis simplement un objet qu’on utilise pour ses délires! Après je ne sais combien de bites, de litres de pisse, de doses de foutre dans le cul, la gueule, sur le corps, j’entends une cloche. Plus rien, plus personne ne me touche…

— C’est l’heure de bouffer, opération gavage!

On m’attrape et mes liens sont tendus au max. Je ne peux plus faire mouvement. Des mains m’ouvrent et me maintiennent la gueule ouverte et je sens qu’on m’enfonce quelque chose dans la gueule. La douleur est extrême et je n’arrive même plus à gueuler. Je comprends vite qu’on m’enfile un tuyau et que le gavage, c’est ma gueule!

— Les mecs, le chiotte est prêt !

Et rapidement, je sens le tuyau se remplir, la tête coincée entre les jambes d’un mec qui doit tasser la merde pour qu’elle entre bien. Et ça dure je ne peux dire combien de temps, mais à coup sûr, plus de deux heures. J’ai des douleurs atroces dans la gorges, je sens mon estomac se distendre, c’est le moment qu’un mec choisit pour me faire relever les jambes.

— Ma merde, je vais lui foutre directe au fond du cul!

Et sans préambule, je sens une main puis deux qui me travaille le cul, j’ai bien compris à la merde… On m’enfile deux tuyaux dans le nez et rapidement, je me sens total partir, je suis relié direct et sans possibilité de m’échapper à du poppers. Je sens mon cul se distendre, les mecs rigolent.

— J’ai plus de merde! File m’en que je le remplisse bien jusqu’au coude.
— Tiens, direct dans ta main mec, crade lui le cul avec ma merde !

Et ça délire autour de moi, je suis insulté de toute part, des dizaines de voix me traitent de tous les noms possibles. On m’enlève rapidement le tuyau que j’ai en gueule, j’ai mal mais je me sens libéré… Ça ne dure pas, le tuyau est de suite remplacé par un entonnoir. Après avoir été gavé par leur merde, je sens que je vais devoir prendre leur pisse…

— Apportez vos stock ! On va le pourrir définitif.

Mon Maître vient me parler à l’oreille:
— Tous les mecs présents ont apporté des stocks de foutre récupérés dans tous les bordels de leur régions. On va t’en gaver total et te pourrir avec de la bonne plombe. Je te fais une proposition: si tu veux une pause et manger un vrai repas, je te détache et tu bouffes par toi-même toute la plombe qu’on te présente comme un cadeau qui t’es offert par tes utilisateur en les remerciant un à un; ou on te gave à n’en plus finir de leur stock de plombe, de merde, de pisse et du lisier dans lequel tu patauges depuis hier soir!

Je comprends que ça fait déjà plusieurs heures que je suis là et j’ai un réel besoin de me reposer.

— Merci Maître, je boufferai la plombe de moi-même et remercierai mes utilisateurs.
— Messieurs! Détachez le sac à jus, vous allez pouvoir le nourrir.

En quelques instants, je suis détaché. On me retire la cagoule. Il fait nuit, je ne vois que des spots assez puissants pointés dans ma direction. On me fait asseoir à une table, les yeux reprennent peu à peu de leur utilité et je suis effaré du nombre de mecs présents. Ils sont au moins une bonne quarantaine! Tous les âges, toutes corpulences; un seul point commun: tous en cuir, la bite à l’air et bien crade. Le premier mec à se pointer est un mec qui ne m’est pas inconnu !

— Alors bâtard, je savais bien qu’un jour je t’aurais à ma botte ! Tu te souviens?
— Non Maître.
— Tu as refusé de me pomper dans mon bar il y a quelques temps sous prétexte que j’avais la bite dégueu ! Pourtant tout à l’heure, tu me l’as bien nettoyée! Depuis, j’ai récupéré toutes les capotes laissées par les clients…

Et il sort un sac énorme, rempli de capotes pleines!
— Y’a un mois et demi de capotes! Je veux te voir les bouffer une à une et m’en remercier, espèce de connard!
— Bien Maître.

Je commence par en prendre une, je n’arrive pas à retirer le nœud, on me donne un ciseau, je dois les couper et les bouffer ! Je vide la première, elle est bien pleine, je la retourne pour bien lécher tous le jus et n’en pas gâcher! Et je regarde le mec :
— Merci maître.
— À ce rythme-là, tu n’iras pas loin connard ! J’vais te les couper moi et tu les avales entières avec le préso!
— Mais…

Je n’ai pas le temps de finir ma phrase que mon Maître qui est derrière moi m’a filé un coup de batte.

— Bien Maître.

Et il prend plusieurs présos et me les donne. Je les avale un à un avec du mal, en remerciant à chaque fois. Il me fait accélérer le rythme de plus en plus, ça s’active autour de moi, les mecs ont décidé de travailler différemment. Ils prennent tous des verres et des bols et commencent à vider les capotes qu’ils ont apportées. Ça change de mec, il arrive avec un gros bol rempli quasi jusqu’au bord !

— Allez bâtard, tu as encore faim ? T’as envie de bonne dose de jus bien chargée? Déguste!
— Merci maître.

Et je m’exécute, j’avale le bol le plus vite possible. Je commence déjà à être dégouté alors que j’en suis qu’au deuxième mec ! Je repose le bol.
— C’est quoi ça connard? Nettoie bien le bol, pas de gâchis !

Et me voilà à lécher le bol, à ressuyer avec mes doigts la moindre trace de jus!
— Merci Maître.

Et j’enfile les bols, j’essaie de penser à autre chose, de bien respirer, l’envie de gerber est de plus en plus forte. Un mec se présente avec un bol bien rempli mais à l’allure vraiment rebutante ; le jus qui est dedans parait jaune, très épais, comme s’il était pourri, indéfinissable.
— Cadeau spécial connard! Du jus de mec fermenté !

Rien que l’odeur me donne un haut-le-cœur! Mon Maître s’en aperçoit.
— Tu avales ça, tu remercies et t’auras droit à une pause.
— Merci Maître.

Je prends le bol, ferme les yeux et d’un coup, j’avale la totalité du bol, le ressuis vite, me lèche les doigts mais j’ai vraiment l’envie de gerber ! Mon Maître prend un bâillon et me bâillonne la gueule fermée, même si ça remonte, ça ne pourra pas sortir de ma gueule et je serai obligé de ravaler.

— Messieurs, une pause de quelques minutes, la crevure n’est pas résistante, je m’en excuse.

Il vient me parler à l’oreille:
— Tu me fais honte! Tu vas la payer très cher ta pause!

Il m’entraîne dans la camionnette, me fout dans ma cage. Je croyais avoir droit à manger un vrai repas, avoir une vrai pause, je comprends très vite que le repas promis, c’étaient les bols de jus et que la vraie pause n’était qu’un rêve que je venais de caresser mais que j’allais payer très cher. Je me sens de plus en plus mal! J’ai envie de dégueuler, de chier, de pisser, mais je me retiens pour ne pas faire ça dans ma cage! Mais à un moment, je ne gère plus rien et malgré le bâillon, je me vide entièrement de tous les côtés, je chie des kilos de merde, celle dont j’avais été gavée, je dégueule du jus à n’en plus finir et vide ma vessie qui était prête à exploser. Me voilà vide mais baignant dans mes excréments et mon dégueulis. Mon Maître arrive à ce moment là, je suis total vaseux!

— C’est quoi cette poubelle? Va chercher une cuvette et nettoie-moi ça de suite connard, tu as dix minutes.

Je m’exécute, je mets dans une cuvette tout ce que j’ai évacué et passe une serpillère dans la cage et le camion. Je me présente à mon maître.

— Puisque t’es incapable de respecter tes maîtres, on va te refourguer aux chiens, peut-être que eux pourront s’amuser avec toi!

Je n’ai pas le temps de réagir que je vois une dizaine des mecs arriver avec leurs clebs ! Deux mecs m’installent sur un matelas posé au sol, m’accrochent les mains et me mettent en position afin que j’aie la croupe à hauteur pour les clebs et sans le moindre préambule, un clebs s’approche de moi, commence à me lécher le cul et d’un seul coup, grimpe sur moi. En quelques secondes, je sens sa bite se durcir dans mon cul et en mouvements rapides et saccadés, me limer comme une chienne et se vider dans mes entrailles! Rapidement, la bite ramollit et il ressort. Le mec suivant arrive avec son chien et le manège reprend ! Quand le dernier est passé, j’ai le dos labouré pars des griffures, le cul qui dégouline et pense que cela va s’arrêter mais à première vue, ce n’était que le début et les clebs ont la queue raide et c’est reparti pour une tournée. Finalement, chacun d’eux me passera trois fois dessus. Un mec vient chercher les clebs, reste les dix mecs autour de moi.

— On va bien tasser le jus de nos clebs maintenant, sale chienne!

Et les mecs m’enfilent chacun leur tour, me remplissant toujours et encore de leur jus qui se mêle à celui de leurs clebs ! Mais les autres mecs ne restent pas dans leur coins, eux aussi ont envie de me tasser. Mon Maître arrive, me fout son pieds sur la gueule et me l’écrase sur le matelas. Il a décidé que je serais un cul à remplir et rien d’autre pour le moment. En effet, j’ai le cul continuellement rempli par une bite, parfois deux, qui veulent se vider, se revider pour bien me pourrir le cul.

— Messieurs, il nous reste 4h, je vous invite à venir punir la lope pour ses désobéissances et ses manquements à votre égard. Ne me l’abimez pas trop, c’est tout ce que je vous demande. Il n’en et qu’à son premier jour et je dois encore le former sept jours!

Et il éclate de rire. Un premier mec arrive, c’est le dernier dont j’ai bouffé le bol de jus crade.

— Tu n’as pas apprécié mon jus connard, alors que pour une sous race comme toi, ça équivaut à du caviar ! Alors tu vas me bouffer ça!

Il me présente une assiette remplie de merde, de foutre, de purin. Il pisse dedans et me donne une cuillère à soupe.
— Bouffe et apprécie chiottard, je veux que l’assiette soit propre!

Sa ténacité et son jusqu’au-boutisme m’excite et je me surprends à prendre un réel plaisir à manger.
— Tu vois, ce n’est pas difficile !

Et mon Maître d’ajouter:
— Parfait, je sais de quoi te nourrir pour le reste de la semaine!

Un autre mec arrive :
— Je n’aime pas tes manières connard, tu ne te donnes pas à tes maîtres, tu les subis ! Alors puis que tu veux les subir, tu vas goûter à mes boots et celles de mes potes!

Et quatre autres mecs, skins rasés, lacets blancs (mais bien crade). M’attrapent et me jettent au sol et commencent une séance de coups de boots, de crachats. Je hurle tout ce que je peux, les coups pleuvent. Ils évitent soigneusement la gueule mais tout le reste du corps subit des coups de plus en plus violents. N’en pouvant plus, je regarde fixement mon Maître.

— Pitié Maître, pitié.
— Pas de pitié pour une sous race qui fait mal son taf. Paie ton tribut à tes maîtres!

Et les mecs de frapper encore plus fort ! Mon Maître arrive, les mecs se calment, mais c’est mon Maître qui me donne le coup de grâce en m’écrasant violement sa boots sur ma bite. Je hurle, un mec me met sa boots sur la gueule.
— Lève toi, me dit mon Maître.

J’essaie, j’ai mal partout, je n’arrive pas à me tenir debout.
— Attachez le au poteau puisqu’il ne peut pas tenir debout tout seul, ce connard.

Deux mecs m’attrapent, me passent une chaîne dans le collier et les menottes de poignets et m’attachent à un poteau électrique. J’entends des mecs gueuler :
— Lattez le, fouettez le, qu’il paie le fait d’être un bon à rien!

Et ça commence, je sens des fouets, des paddles s’acharner sur mon dos, mes jambes, mes cuisses, mes bras. Ce sont les chaînes qui me tiennent, je ne suis plus capable de la moindre réaction et cela dure et dure encore. Mon Maître met fin à la séance.

— Messieurs, apportez les restes!

Je vois réapparaître la bassine de merde, de pisse et de dégueulis que j’avais remplie tout à l’heure. Les mecs y rajoutent les capotes qui leur restaient et les vident. Et deux mecs entreprennent de m’enduire le corps de ce mélange. Une fois total cradé, je suis détaché.

— Bâtard, va remercier chacun de tes utilisateurs et rentre dans ta cage !

Je m’exécute. À genoux, je passe de l’un à l ‘autre, les remerciant. Certains ne prêtent pas attention, d’autres en profitent pour me pisser dessus, me jouir une dernière fois dans la gueule, me filer un dernier coup de boots. Mon Maître m’attend à la fin, il me tend trois gélules.

— Prends ça, ce sont des antidouleurs et un somnifère, t’en as besoin et ce soir, tu bosses!

J’avale et me dirige vers ma cage où je m’installe. Mon Maître ferme la porte et j’entends crier, rire, discuter un bon moment, et ça se calme. Les mecs doivent commencer à partir. Tout d’un coup, bruit de porte, démarrage. Mon Maître à décidé de partir! Je m’endors…

Je me réveille, je suis toujours dans ma cage et une forte odeur d’excréments et de pisse me prend le nez. Je suis toujours brinqueballé, ce qui signifie que nous roulons toujours. Je ne sais pas combien de temps j’ai dormi. Je reprends mes esprits, je sens mon cul endolori et mon corps courbaturé. Il me revient en tête que mon Maître m’a dit de me reposer car je devais bosser ce soir. Ça y est, je suis bien réveillé et tout me revient à l esprit. Je retombe dans mon état de larve et de sac à jus, sans même que mon Maître n’ait eu à intervenir. Je me souviens de ma nuit et autant excité qu’inquiet, je me demande ce qui m’attend, ce que comprenait mon Maître en me disant: «Ce soir, tu bosses!»
Ça fait une heure que je suis éveillé quand la camionnette stoppe. C’est le calme plat, je n’entends rien autour de moi, il y a peu de lumière. Au bout d’un long moment, la porte s’ouvre:

— Voilà votre pute, je vous l’ai fait préparé la nuit dernière.
— Ok, résistant? Obéissant?
— Aucun soucis, il est bien dans son rôle. Si il essaie d’en sortir, je vous laisse carte blanche pour le remettre en place, je serai là de toute façon.
— Ok, on va le foutre avec sa cage dans le monte charge et on descend au deuxième sous-sol. On a deux bonnes heures avant que la nuit commence et que les mecs arrivent…

D’un coup sec, on tire la cage dans laquelle je suis installé. Elle s’écrase au sol, je suis à moitié sonné par le choc. Mon Maître sort le chien, il sort du sac la cagoule et à travers les barreaux, me la met sans même me dire un mot. La cage est traînée, je sens le mouvement de l’ascenseur; c’est rapide. La porte s’ouvre, je sens de suite une odeur totalement nauséabonde. La cage est à nouveau traînée, j’entends des bruits de chaînes et rapidement, la cage se détache du sol, elle bouge dans tous les sens et s’immobilise.

— On va te nettoyer, connard, pour mieux te crader et que tu profites bien de ce que nous allons tous te donner cette nuit. Ça été du taf que d’organiser cette soirée, t’as intérêt à bien bosser sinon tu le paieras plus cher que tu ne peux même l’imaginer!

Je ne connais pas cette voix qui a un très fort accent rebeu, mais pas jeune de banlieue. Non, à l’ouïe, le mec doit bien avoir la quarantaine au minimum.

— Ton Maître t’offre à nous, tu vas bouffer, subir, avaler, te faire élargir, doser, plomber par un bon cheptel de bons mecs bien calibrés, aux couilles pleines. Prépare-toi chiottard…

J’entends un bruit d’eau et d’un seul coup, un jet puissant d’eau glaciale, on est en train de me laver au karcher. J’hurle tellement l’eau est froide et le jet douloureux. Mon Maître intervient:
— Qui t’a autorisé à parler connard? Foutez-lui le jet dans le cul, ça va le calmer !

Moins de deux secondes après, je sens le jet puissant me nettoyer le cul en profondeur. Je n’ose plus dire le moindre mot. Au bout de quelques minutes, plus un bruit. Je tremble de froid après ma douche mais je dois avouer que je me sens mieux qu’avec ce cataplasme de merde, de foutre et de dégueulis qui me servait de seconde peau depuis ce matin!
La porte de la cage s’ouvre, je sens une main qui m’attrape le crâne pour me faire sortir et me traîne sans ménagement.

On me retire ma cagoule et je me retrouve face à trois mecs, tenue de chantier intégrale avec casque et à la place de l’outillage, des godes, des chaînes, etc., accrochés à la ceinture. Leurs visages sont cachés par un simple masque en plastique blanc. Un des mecs me tend un sac et me dit:
— Habille toi, pétasse !

Je sors du sac des sous-vêtements féminins rouges en fausse dentelle, des bas noirs, un corset rouge en faux cuir, une perruque blonde, des pompes avec des talons d’au moins 15 cm, de longs gants noirs. Je m’exécute et me look en pute comme on m’en a donné l’ordre. Ces fringues ont déjà servis, vu leur état! J’avoue que la situation m’excite, je m’imagine dans quelles circonstances ils ont été cradés!
— À genoux!

Je viens me mettre à genoux devant mes loupeurs. On me met un collier, des bracelets cuir aux poignets et aux chevilles. Je sens que ça y est, leur fameuse «soirée» commence.

— Tu vas nous montrer de quoi t’es capable avant que les potes arrivent. Ouvre bien la gueule!

Les trois mecs sortent leur queues et se mettent face à moi.

— On va bien se vider et on ne veut rien au sol, chiottard !

Et les mecs commencent direct à pisser en visant ma gueule. J’essaie au maximum de boire ce qu’on me donne mais les trois jets s’entrecroisent et naturellement, la moitié de leur pisse coule sur moi et sur mes vêtements.

— On t’a dit de tout boire, espèce de dégueulasse! Nettoie le sol!

Et un mec m’écrase d’un seul coup de pompe sur le dos pour me foutre à plat-ventre et lécher le sol. L’un d’eux termine de se vider sur mon dos. On m’attache une chaîne à mon collier, l’autre bout est accroché à un anneau fixé dans le sol. J’ai un rayon de 60 centimètres pour bouger. Il y a un matelas posé au sol, un vieux fauteuil, une table et une vieille baignoire. Mon Maître vient devant moi, me retourne un aller-retour dans la gueule avant de me donner un coup de genoux dans le ventre.

— Ça ne fait pas deux heures que t’es là que les mecs se plaignent déjà de toi. Tu n’es même pas capable de boire leur pisse ! Si il y a la moindre plainte ce soir, c’est moi qui interviendrai et crois-moi, tu le regretteras. Fous-toi à genoux!

À moitié tordu de douleur, je m’exécute. Il me fout sa bite dans la gueule et se vide la vessie en jets puissants; j’ai à peine le temps de déglutir mais je sais que je ne dois en aucun cas laisser la moindre goutte couler. Quand il a terminé, il me retourne et m’encule d’un coup sec. Je sens son gland me déchirer le cul et me limer violement. J’ai envie de gueuler mais je me retiens. Très rapidement, il se vide en moi, se retire et me présente sa bite à nettoyer. La forte odeur de pisse et de jus m’excite plus encore que du poppers et je me délecte des restes de sperme sur le gland de mon Maître.

— Je vous l’ai lubrifié, il est à vous!
— Tu vas ouvrir les portes la haut, Momo?
— J’y vais et je passe au foyer prévenir tout le monde.

J’entends les portes claquer, un courant d’air frais, à la fois une sorte de calme et une sorte d’anxiété d’avant «je-ne-sais-quoi».

— Montre nous ton trou !
— Fous-toi à genoux et écarte bien ta boite à jus!

À peine en position qu’un des rebeu s’approche, me fout un doigt, puis deux. Il les remue, les écarte, les enfonce, les ressort et me les met dans la gueule.

— Elle est déjà bien lubrifié la pute, j’vais lui en rajouter. Ça sera pas de trop avant ce qu’elle va se prendre!

Il se fout derrière moi et me défonce d’un coup sec. L’autre rebeu vient me foutre sa bite dans la gueule et je vois mon Maître plus loin dans un canapé en train de mater tout en picolant une bière. Même gavé dans le cul et la gueule, l’ambiance me paraît faussement calme. Bizarrement, ce calme m’inquiète! Alors que les mouvements de va-et-vient se multiplient violemment dans ma gueule et mon cul, j’entends tout d’un coup une espèce de brouhaha. Je ne vois pas ce qui arrive mais j’entends le rebeu qui était allé ouvrir les portes.

— Voilà votre trou pour la nuit les mecs, elle fera tout ce que vous voulez. Vous pouvez la baiser, l’utiliser en chiotte, en slave, ne vous retenez pas et amusez vous! On l’a jusqu’à demain midi. Y’a un tél à votre dispo si vous voulez faire venir d’autres potes…

J’ai compris que je suis mis à l’abattage; je m’y attendais. Je ne vois toujours rien et suis toujours pris par les deux trous. Le rebeu qui me défonce le cul est de plus en plus violent dans ses mouvements, il râle, je sens qu’il va venir. Un mec s’approche, me saisit un téton qu’il tire violemment. Je veux hurler, ma gueule s’ouvre sur la bite que j’ai en bouche. Le mec en profite pour s’introduire totalement au fond de ma gorge et d’un coup, je me sens rempli en fond de gorge et au fond de mon cul. Les bites se suivent, toutes les formes, toutes les longueurs. La plupart que je prends en gueule ont un goût de de macération infernal, je sens le fromton sur le gland et les mecs me baisent la gueule, me remplissent de pisse et de jus sans s’interrompre. Mon cul en prend tout autant! Je suis quasi en totale roue libre quand je suis rappelé à l’ordre par une douleur infernale aux couilles. Une main énorme vient de me les empoignées et les écrase en tirant sur les bourses comme s’il voulait les arracher!

— C’est quoi cette femelle? À quoi ça lui sert ?
— À rien, répond une autre voix. Arrache-lui ça!

J’hurle un non à réveiller un mort! J’essaie de m’extirper de ce merdier. D’un seul coup, je me sens être redevenu moi-même. Les drogues, le jus, la pisse, la merde avalée sont oubliées. Je ne pense plus qu’à mon intégrité. Mon Maître arrive devant moi, je me prends un super coup de poing dans la gueule. Je tombe au sol, il me fout un coup de boots en plein dans les couilles, j’hurle.

— Faites le taire!

Un gros mec vient me foutre sa main sur la gueule, je peux à peine respirer!

— Apportez une corde et descendez la moto!

Mon maître me lève en me tenant les couilles puis me fait mettre à quatre pattes.

— Venez vous laver les mains dans son cul !

Il m’enfonce un tuyau dans le cul, je sens l’eau glaciale couler et de suite, une main entrer d un coup, puis une deuxième!

— Allez-y, c’est un lavabo!

Et il éclate de rire!

— J’veux que vous ayez les mains propres pour le latter!

Et les mains se suivent. Je peux à peine respirer, mon Maître me maintient la gueule sur sa cuisse. J’entends du bruit, ce doit être les mecs qui arrivent avec la moto. Alors que j’ai deux mains dans le cul, mon Maître me relève d’un coup. Je me tiens aussi droit que possible. Il attache la corde à mes couilles et ma bite, en faisant plusieurs tours et des nœuds bien serrés. Il file l’autre extrémité de la corde au mec près de la moto.

— Encore une connerie, la moto t’arrache les couilles!

Le moteur est mis en marche! On m’attrape les mains, on y passe une chaîne et on m’accroche au plafond.

— Vous avez envie de vous détendre? Alors allez-y, lattez aussi fort que vous souhaitez! Une fois que vous l’aurez bien attendri, vous pourrez vraiment en faire ce que vous voulez sans qu’elle vous fasse chier.

Et les coups pleuvent, je me mords la langue pour ne pas hurler. Les mecs frappent n’importe ou, n’importe comment, je sens des poings, des chaussures, des ceintures, j’en reçois dans la gueule, les couilles. Au bout d’un moment qui me paraît interminable, je perds pieds et ne suis même plus capable de me retenir à mes menottes. Je tombe uniquement retenues par celles-ci qui par la chute sont au bord de m’arracher les mains. Les coups se calment, on me détache, mais une fois au sol, le balai des bites reprends. Je suis pris de toute part, je sens qu’on me pisse à nouveau dessus.

— On l’a peut être trop attendri ta femelle. Elle réagit à peine, elle fait chier!

La phrase n’est pas terminée que je suis ramené à la réalité par mes couilles. La moto s’est mise en marche et m’a fait faire au moins 3m d’un coup!

— Elle est réveillée. Allez-y…

C’est la voix de mon Maître.

— Allez cherchez vos clebs, ça va la réveiller!

Et c’est le défilé des mecs et de leurs clebs, chacun me baisant la gueule pendant que leur chien me monte, où me tassant le jus que leur clebs vient de me larguer au fond du trou ! Je sens autant leur bites que leurs pattes qui m’arrachent la peau. Puis ça se calme tout d’un coup. Les mecs partent les uns après les autres. Au bout d’un moment, il ne reste que mon Maître et les deux arabes qui nous ont accueillis.

— Tiens, voilà la caisse! dit l’un des arabes.
— Ok comme promis, vous aurez 30%, 35 payants, plus nous, les maîtres-chiens, on les a invité.

Et puis silence, ça compte!

— Pas mal! dit l’arabe.
— Merdique tu veux dire! Si elle avait fait son boulot, y’aurait eu le triple. C’est qu’une bonne à rien, juste capable de se plaindre. Tenez voilà votre part. Je vais dormir quelques heures. J’vous le laisse, payez-vous en nature, j’veux pas savoir ce que vous lui faites. Foutez-le-moi dans la camionnette pour 9h. Bye !
— Merci mec! À tout à l’heure.

J’entends le bruit de la porte. Je suis seul avec les deux reubeus, toujours allongé au sol, à moitié prostré. Les deux reubeus s’approchent.
— Ça va la pute?
— Oui Maître!
— Parfait alors. Tu nettoies tout, tu finiras par nos bites!
— Oui Maître!

Et me voilà à faire le ménage alors que je tiens à peine debout! Une fois terminé, les mecs me remplissent une dernière fois la gueule de leur jus et me remontent, me foutent dans le camion. Je suis total crade et ne suis plus qu’une douleur, mais la fatigue l’emporte et je m’endors, malgré tout heureux de ma condition…

Petit Jules

(Histoire empruntée à mon cher ami Karyuma)

Si je devais choisir un qualificatif pour désigner mon petit frère, je choisirais probablement le mot « naïf ». Car en plus de l’être, il en a l’air. Comprenez que ça se voit sur sa figure, ça se lit dans son regard et ça transpire de ses attitudes. Que ce soient ses grands yeux bleus-gris au regard ingénu, ses quelques taches de rousseur parsemant son visage trop pâle aux traits enfantins, ou ses cheveux blonds et fins sagement alignés en un bol parfaitement défini, tout contribue à le faire passer pour plus jeune qu’il n’est. Ajoutez à cela le fait qu’il soit relativement petit pour son âge, et vraiment pas gros, on a vite fait de ne plus faire attention à lui ! C’est d’ailleurs pour ces raisons qu’on l’appelle, sans doute avec un soupçon de bienveillance, Petit Jules.

Et c’est un peu sa difficulté : imposer sa présence, et oser s’affirmer. Toujours soucieux de bien faire et de ne contrarier qui que ce soit, timide, foncièrement gentil et honnête, c’est un peu devenu le poupon dont je prends soin à ma façon. Qui plus est, Jules a toujours été un grand rêveur, trop empli de bonnes intentions pour savoir se confronter à la dure réalité du monde. Plutôt que de jouer au parc avec les autres enfants, il faisait partie de ceux qui, de derrière les grilles, enviaient les autres qui s’amusaient sans jamais risquer de s’approcher, trop prudent.

Il a toujours un peu vécu les choses comme elles venaient, à subir le meilleur comme le pire sans jamais vraiment donner son avis. Même si bien sûr il y avait plus malheureux et plus à plaindre, j’estime que mes parents auraient pu mieux s’y prendre : du fait que mon frère a une constitution jugée fragile, mon père et ma mère ont rapidement eu tendance à le surprotéger. Je ne parle pas par jalousie, car même s’il est vrai qu’à une époque, cela m’a fait me poser beaucoup de questions, leur délaissement à mon égard a fini par devenir plus une aubaine qu’un drame. Sans doute que l’adolescence et mon besoin d’indépendance ont bien aidé à ce que je ne leur tienne rancune.

Jules, lui, n’a jamais été très bien intégré dans les différentes écoles où il a été inscrit. C’est donc pour cette raison qu’il est scolarisé à la maison, et ce, depuis sa classe de 5ème. Deux fois par semaine, il va au conservatoire pour ses cours de piano. Car Jules semble avoir, depuis tout petit, des prédispositions pour cet instrument. C’est quasiment le seul biais par lequel il peut avoir un semblant de contact avec des jeunes de son âge. J’ai bien essayé d’en parler à nos parents, mais ils trouvent toujours tout un tas de raisons pour m’expliquer que, pour un enfant comme lui, les choses sont mieux ainsi. Jules, lui, ne dit rien. Je ne saurais même pas vous dire s’il a son propre avis sur la question. Du coup, je me suis en quelque sorte donné pour mission de faire le lien entre lui et le monde extérieur, en essayant de le « dégourdir » un peu, notre Petit Jules. Mission pour laquelle cela dit, je ne m’investis que lorsque mon emploi du temps le permet, et si je n’ai pas d’autres préoccupations plus personnelles à gérer. Non pas que je sois quelqu’un d’important ou surbooké, mais à mon âge, j’ai également grandement besoin de m’accorder du temps. Peut-être aussi qu’en dehors du contexte familial, j’ai une petite tendance à l’égocentrisme et à la superficialité. Je ne pense pas avoir été toujours comme ça, mais à partir de l’adolescence, ça a été une façon pour moi de me créer une forme de carapace, afin d’à la fois assumer qui j’étais, ce que j’étais, mais aussi pour ne plus être atteint par les moqueries et attaques des autres garçons de mon âge, pour qui je n’étais sans doute pas assez porté sur le sport, ou les filles.

Jules, finalement, c’est un peu celui que je serais devenu si je n’avais pas mis en place ces quelques mécanismes de défense afin de m’affirmer.

Je ressens beaucoup de tendresse envers mon petit frère, et ça a toujours été le cas. Non seulement ça, mais il me le rend bien. S’il y a bien au moins une chose que j’ai parfaitement réussie en tant qu’Homme jusqu’à présent (comprenez « ce que l’on attend d’un individu de sexe masculin »), c’est bien d’être un bon grand frère, prévenant et protecteur, lorsque les circonstances peuvent l’exiger. Et je dois dire que j’en suis fier, dans le sens où j’ai quelque part l’impression de lui apporter ce dont j’ai plus ou moins manqué lorsque j’avais son âge, bien que nous n’ayons que trois ans de différence. Nos rapports constituent une sorte de sécurité affective, invariable et désintéressée, qui marche dans les deux sens. Et finalement, n’est-ce pas cela, une relation fraternelle ?

Mais laissez-moi également me présenter : je m’appelle Viktor, et pour résumer les choses simplement, je suis, d’une certaine façon, l’antithèse de mon petit frère. Mince mais bien proportionné, pas très grand mais suffisamment, peau mate, regard sombre, sourcils épilés et fesses rebondies largement valorisées par une cambrure exagérément (et volontairement) marquée, attitudes aguicheuses et provocatrices, nous n’avons pas grands points communs en apparence.

D’autant que je ne suis pas du genre à me laisser marcher sur les pieds, et si toutefois mon oppresseur s’avère être un peu trop dominant ou menaçant, je n’ai aucun problème à retourner ma veste, quitte à lui offrir mon cul pour qu’il me foute la paix. Je ne m’encombre pas de la fierté dont certains peuvent faire preuve en pareilles situations. Et effectivement, on peut dire que mon désintérêt pour ce que peuvent bien penser les autres à mon égard ne fait pas l’unanimité, à plus forte raison auprès de mes parents qui n’aspirent qu’à vivre le plus discrètement possible dans cet environnement campagnard où tout finit par se dire et se savoir, et dans lequel nous sommes considérés comme de nouveaux arrivants, depuis déjà bien cinq ans. Je me demande souvent si certaines choses ont pu leur revenir aux oreilles à mon propos, mais j’avoue que je préfère ne pas le savoir. J’apprendrais que mes parents ont honte de moi, je n’en serais pas surpris.

En même temps, c’est vrai que s’ils savaient tout me concernant, ils auraient certainement de véritables raisons de me renier totalement. Enfin, je suppose. Je suis homosexuel et je prépare un bac pro coiffure en lycée professionnel, ça ils le savent déjà. Et je pense que dans le petit village où l’on est venus s’installer, face à l’évidence flagrante lorsqu’on me voit, ça doit pas mal jaser dans mon dos, et par extension, celui de ma famille. Mais ce que mes parents ne soupçonnent probablement pas, tout du moins et a priori jusqu’à présent, c’est que cela fait plusieurs mois que deux à trois soirs par semaine, je fais le mur pour me rendre à vélo dans la ville voisine, Saint-Rémy. Là, je vais en général squatter les anciennes toilettes publiques, tout près de l’église et du presbytère, au fond du terrain de pétanque. Avec un seul et unique lampadaire dont la lueur orangée éclaire tout juste l’endroit, et une douzaine de vieux platanes en mal d’élagage, l’endroit est planqué, très sombre et assez fréquenté par les connaisseurs, l’idéal pour ce que moi et mes partenaires de circonstances avons à faire. Parfois je me fais payer, souvent je fais ça gratuitement, avec ou sans capote, même si ce n’est pas bien. Mais je ne dis jamais non. Jeunes, vieux, beaux gosses ou laiderons, timides, dominateurs, sportifs, handicapés, radins ou généreux, tant qu’on me demande d’être uniquement passif, il y a toujours moyen de s’arranger. Disons que mon physique plutôt avantageux me permet aussi d’être en position de force si la moindre négociation s’avère nécessaire, mais je sais également faire le mignon et minauder ostensiblement afin de gratter la moindre faveur ou mettre le feu à l’entrejambe d’un partenaire un peu trop hésitant ou réservé.

Malgré ma jeunesse, j’ai déjà vidé un bon nombre de paires de couilles. Il faut dire que je suis allé à bonne école car c’est Yacine qui m’a tout appris, un véritable mentor. Tous deux citadins d’origine, nous avons également le même âge et sommes dans la même classe. Mais lui a la chance d’avoir son petit appart’ à Saint-Rémy, car ses parents habitent un trou paumé où il n’y a même pas de ramassage scolaire à proximité. Sveltes, efféminés, ultra fashion autant que faire se peut, lui et moi sommes connus comme étant les deux salopes de notre école. Des filles faciles à dispo, mais on est des mecs. Et comme lui est de père marocain, il faut comprendre que cette touche d’exotisme débauché dans le paysage rural rencontre bien des amateurs, au moins tout autant que de détracteurs.

Le hasard avait plutôt bien fait les choses. Nous nous étions retrouvés assis à côté dès le premier jour de l’année dernière. Quelques semaines plus tard, il me présentait Boris, son « best plan » — un parmi d’autres —, rendez-vous pris avec lui par SMS quelques instants plus tôt pour l’interclasse de 11h dans les chiottes du préau. Un lourdaud quelconque de BEP mécanique, peu soigné et boutonneux, dont le QI ne devait pas excéder 80, peu apprécié à cause d’importants problèmes d’élocution qui semblaient être causés par une hypertrophie de sa langue, laquelle sortait souvent d’entre ses lèvres charnues surmontées d’un duvet laissé en jachère. Étonnamment, malgré sa position sociale peu reluisante au sein de l’établissement, il n’avait aucun mal à nous soumettre, tant sa considération pour les homos lui permettait de se sentir bien supérieur à nous. Si Yacine ne m’avait pas prévenu à l’avance, il est clair et net que jamais je ne me serais risqué à approcher un spécimen pareil. Mais voilà, l’individu possédait un argument de taille : une bite énorme comme on en rencontre peu, doublée d’être un juteur hors pair, un vrai canon à foutre ! Alors certes, j’avais déjà eu l’occasion d’avoir quelques petites expériences avant celle-ci, mais c’était bien la première fois que je partageais un partenaire avec une autre lope, et surtout que je me tapais un mec sur le seul critère de sa queue.

C’était peut-être encore un peu tôt pour moi, mais en lieu de traumatisme, je découvrais alors un plaisir nouveau, irraisonné, presque animal, celui de s’abaisser à accepter mon sort et ma fonction obscène sans aucune fierté, tout en ressentant une satisfaction extraordinairement décomplexée et immorale.

— Faut qu’je pisse, avait lancé Boris en pénétrant dans les toilettes, sans autre forme de présentation à mon égard.

Yacine s’était alors dévouée pour la lui tenir, tout en lui roulant une pelle profonde et langoureuse, ce qui, à ce moment-là, m’avait profondément dégoûté. Lorsque son érection ne lui permit plus d’uriner davantage, nous nous mîmes à genoux pour satisfaire son membre démesurément excitant. Un véritable moment de pure dépravation. Il gratifia nos efforts d’une décharge monumentale, aussi copieuse que surpuissante, sur nos visages souillés et dégoulinants du mélange de nos salives visqueuses. Nous avons ensuite passé le reste de la journée à puer le foutre, et à en rire… Ce qui nous avait permis de plutôt bien nous cerner mutuellement, et de prendre la mesure de nos intérêts communs.

Puis un jour, alors que Yacine était restée chez lui à cause d’une angine, je me suis mis en tête d’aller trouver Boris histoire de me l’accaparer ne serait-ce qu’une fois, pour moi tout seul. Désireux de marquer l’esprit de ce partenaire si avilissant, j’avais décidé de tout faire pour tenter de surpasser mon mentor. Je n’avais donc pas hésité, sitôt enfermés dans les chiottes et déjà la queue raide, à me mettre torse nu, pantalon et boxer sur les chevilles, et à expérimenter ce baiser profond qui m’avait tant écœuré la première fois. Tout en masturbant vigoureusement le membre lourd dont l’extrémité se couvrait progressivement d’un fluide légèrement bulleux, je laissais Gilbert me dilater la gorge avec sa grosse langue nerveuse et surprenante de viscosité, ses lèvres englobant les miennes comme des ventouses.

Je n’oublierai jamais, de ce moment-là, l’indécence de mon plaisir parfaitement contre-nature.

Du même temps, ses mains caressaient mes tétons avec fébrilité, avant qu’il n’entreprenne de les lécher et de les aspirer sans grande retenue, ce qui faillit me faire jouir. Mais je devais encore me livrer à l’essentiel, la fellation ! Je finis donc par me mettre à genoux, redoutant toutefois le menu qui allait m’être imposé. Je n’eus cependant pas à appréhender bien longtemps puisque Boris m’enfonça son gourdin dans le gosier sans prévenir, avec une autorité qui ne me laissa aucun choix. Je me retins de ne pas vomir, refluant quantité de bave qu’il m’étala ensuite sur le visage de sa verge massive. Commençant à me masturber d’une main tellement la puissance de mon érection me donnait mal aux couilles, je devins rapidement plus zélé, accélérant le rythme de mes va-et-vient gutturaux et pleinement dévoués. Et lorsqu’enfin il se mit à décharger, je me dégageai afin de prendre les premiers jets en faciale, avant de me réembrocher profondément et de déglutir tout le foutre qu’il lui restait encore en réserve.

À peine eut-il terminé de se vider qu’il s’en alla sans mot dire, m’abandonnant à genoux et à poil en train de m’astiquer la queue frénétiquement, le visage et le torse maculés de salive et de sperme. Les jambes tremblantes, je parvins à me redresser pour refermer le verrou derrière lui, puis je m’installai sur la lunette des chiottes, les cuisses complètement écartées. Une branlette de quelques secondes suffit à me faire gicler abondamment sur le torse, et même jusque sur le menton d’où pendait déjà un impressionnant amas gluant et translucide.

Comme c’était en toute fin de journée, je m’étais ensuite vite empressé, après un bref nettoyage au papier cul, d’aller visiter Yacine pour tout lui raconter dans les moindres détails, empli d’une fierté stupide autant qu’assumée. Je savais déjà qu’il ne serait pas jaloux, et devinais même sa satisfaction de me voir le suivre dans les sentiers tortueux de sa propre dépravation.

— Tu es même allé jusqu’à lui rouler une pelle, espèce de salope ! s’était-il étonné. Car il est vrai que cette option n’avait jamais été envisagée lors de nos plans suce habituels, et que j’aurais sans doute été bien trop gêné de m’y essayer en présence de Yacine.
— Ouep ! La prochaine fois, on le fera à trois … suggérai-je avec envie.
— Hummm, grave ! Tu as vu, c’est vraiment une expérience … particulière, hein ?
— C’est clair, j’ai eu l’impression, tu sais, d’être comme ces meufs qui se font violer par des tentacules dans les mangas !!
— Trop ! Boris est … Tentacules-man ! Haha ! plaisanta Yacine en riant avant de s’étouffer d’une quinte de toux.
— Ha haha ! On va l’appeler Poulpy, ce sera son nouveau surnom !
— Hihi, n’empêche, c’est dommage qu’il n’encule pas.
— Tu m’étonnes, acquiesçai-je volontiers avec toutefois une pointe d’effroi.

À partir de là, nous sommes plus ou moins entrés dans une sorte de concurrence complice, nous amenant très rapidement à devenir de véritables pétasses, chacune désireuse d’être toujours plus soumise et efficace que l’autre. Et c’est donc Yacine qui m’a parlé des chiottes publiques du village, et de l’argent que je pouvais m’y faire. Car même si je n’ai jamais été bien malheureux, je ne devais pas compter sur mes parents pour m’acheter tout ce qu’ils pouvaient trouver de superflu, en comparaison avec ce qu’ils avaient à l’époque où ils avaient eu mon âge. De toute façon, nous n’avons même pas internet à la maison, et le poste de télévision reste la plupart du temps sous clef pour éviter que Petit Jules n’en abuse. Ainsi, sur les conseils de mon pygmalion, je me suis trouvé un homme d’une cinquantaine d’année avec un bon gros calibre, qui me baise deux fois par semaine, en échange de quoi il me paye un smartphone avec un abonnement tout illimité. Étant donné qu’il a du fric, je pense même pouvoir négocier un ordinateur portable, avec lequel, pour faire comme Yacine, je voudrais notamment tenir un sexblog, où je posterais régulièrement des photos et autres vidéos de mes exploits les plus réussis, dans le but de me faire une petite publicité non négligeable. Quand je vois que certains hommes n’hésitent pas à contacter Yacine par ce biais pour prendre « rendez-vous », même si parfois le kilométrage pourrait en refroidir plus d’un, autant vous dire que j’ai hâte de pouvoir en faire autant !

— Plus ils sont vieux, plus ils sont prêts à payer. M’avait expliqué Yacine, avec force de pédagogie. Prends-en un avec une grosse queue, comme ça tu kiffes et tu sais pourquoi tu fais la pute. Tu fais gratuit la première fois, tu te donnes bien à fond, et le tour est joué ! Il pourra plus se passer de toi après !

Et effectivement, je n’eus aucun mal à appliquer à la lettre cette stratégie. C’est au moins un des avantages de la campagne : baiser un gay sera toujours plus agréable et moins dégradant que le cul d’un mouton ou d’une vache. Enfin, c’est ce qu’on se dit avec Yacine pour rigoler. Je vous épargnerai nos blagues sur la consanguinité, non pas que tous les hommes alentours soient des sauvages, mais vous savez, comme diraient mes parents, la plupart ne sont pas bien fins, comme le témoignent notamment les sensibilités politiques environnantes, ou encore ces familles traditionnelles marginales, exilées orbi afin d’échapper à la décadence qu’elles reprochent au monde urbain. Mais pour l’essentiel, nous avons de bons gros débiles bien racistes de tous âges, qui n’avaient sans doute jamais vu l’ombre d’un seul étranger avant Yacine, et qui n’hésitent pourtant pas à solliciter ses prestations, fort excités à l’idée d’aller « faire un attentat dans le cul de l’arabe » ; allez comprendre … Bref, tout ça pour dire que nous évoluons en milieu hostile, bien que chacun y trouve finalement son compte.

Cette petite routine assez particulière fut un jour troublée par un événement que je n’avais certainement pas vu venir, et que je n’aurais encore moins pu imaginer. Ce matin de la début août ensoleillé, je rentrais à la maison après avoir passé la soirée chez Yacine. Je n’avais donc pas encore dormi, et quelques restes de coke prise en début de soirée me laissaient comprendre que je n’étais pas encore prêt d’aller au lit. Tant mieux, car vu l’heure, il aurait été dommage que je démarre ma nuit alors que mes parents devaient rentrer de leurs vacances dans la matinée, amenant du même temps le grand-père passer la semaine. Ce qui était toutefois bien regrettable, tant Jules et moi avions apprécié cette parenthèse de liberté sans avoir à supporter la présence des adultes au quotidien. Quelle n’avait pas été ma surprise lorsqu’une semaine plus tôt, mes parents m’avaient annoncé la mission qu’ils me confiaient, à savoir m’occuper de mon petit frère durant leur absence. C’était bien la première fois qu’ils me faisaient confiance et me laissaient un minimum d’autonomie vis-à-vis de Jules. Et pour le coup, on ne peut pas dire que j’aie été bien sévère à son égard. Car pour être tranquille, je n’avais pas hésité à le coller devant la télé lors de mes escapades aussi bien diurnes que nocturnes. Ainsi, je pouvais être certain qu’il n’y aurait aucun problème, puisque lorsqu’on place Jules devant un écran, on le retrouve toujours à l’endroit où on l’a laissé, un peu comme un bibelot qu’on aurait posé là. Mais ça ne m’avait pas empêché non plus de passer du temps avec lui…

La campagne environnante défilait sous mes coups de pédales, me faisant dépasser champs d’avoine, pâturages et petits bois. Il faisait déjà tellement chaud que j’avais dû enlever mon t-shirt, noué autour d’un petit short en jean blanc, push-up aussi bien à l’arrière que devant, qui me moulait parfaitement hanches et fessier sans qu’il y ait eu besoin que je porte un quelconque sous-vêtement. Et puis bon, ça faisait salope, et tout ce qui me conforte dans cette vision que je veux avoir de moi-même est appliqué sans autre forme d’hésitation. Mais c’était toutefois avec un sentiment de frustration que je rentrais ce matin-là, puisque la soirée avait été bien plus chaste que ce nous escomptions avec Yacine. Vers minuit, nous étions allés faire un tour aux chiottes publiques mais nous n’y avions trouvé personne. Au bout d’une demi-heure d’attente et de roulages de pelles sensuels entre nous, un vieux pilier de comptoir sortant du PMU avait bien tenté une approche, mais Yacine l’avait renvoyé chier, peu disposé à donner gratuitement dans le troisième âge à ce moment-là. J’étais alors resté en retrait dans l’ombre, trop gêné d’avouer que je me l’étais déjà tapé plusieurs fois, et que ça m’avait très bien satisfait même s’il ne payait pas. Pourtant, ce n’était certainement pas Yacine qui m’aurait jugé là-dessus, mais peut-être que mon silence avait été la conséquence d’un mélange de honte liée à l’âge avancé du personnage, autant qu’une forme de possessivité qui me garantissait l’exclusivité auprès de cette grosse queue bien raide. Car je dois bien avouer avoir une forme d’attirance plus ou moins perverse pour les hommes âgés, me donnant cette délicieuse impression d’être capable de me taper n’importe qui.

Face à la situation qui visiblement ne promettait rien de bien intéressant, nous sommes alors vite rentrés, et avons fini par nous gouiner devant la webcam en dessous féminins, autre moyen que nous avions trouvé pour nous faire, de temps en temps, un supplément d’argent de poche. Toujours est-il que cette veillée n’avait pas tenu toutes ses promesses.

Tandis que, sur mon vélo, écouteurs vissés dans les oreilles, je ressassais les détails de cette soirée, un faisan s’envola du bas-côté à mon passage. Même si ça n’a rien d’exceptionnel par ici, j’en fus tellement surpris que je finisse ma course dans le fossé d’en face ! J’eus à peine le temps de reprendre mes esprits et de comprendre ce qu’il s’était passé qu’un bruit de moteur finit de me ramener à la réalité. C’était le voisin dans sa vieille 4L, un producteur laitier dont l’exploitation jouxte notre grand jardin avec piscine qui s’étend derrière la maison, rendant le vis-à-vis relativement important entre lui et nous. L’homme en lui-même, je l’avais déjà repéré depuis quelques temps. Baraqué, barbu et dégarni, il avait tout de ces masters mûrs et sévères qu’on voit humilier quelques minets libertins dans des vidéos porno sur internet. Mais à cause de la proximité avec la demeure familiale, et l’importance que j’accorde à bien cloisonner les différents aspects de ma vie, je n’avais encore jamais osé envoyer à cet homme le moindre signal. Pire encore, cela m’intimidait, comme si, finalement, la réalité et la normalité me rattrapaient dès lors qu’il pouvait y avoir le moindre lien possible avec ma famille, comprenez le moindre risque qu’on puisse savoir à quelles débauches je pouvais bien m’adonner. Qui plus est, mon père était allé pêcher avec lui à plusieurs reprises ces derniers mois, ce qui en faisait, à chaque fois davantage, une sorte d’ami de la famille …

La voiture cala à ma hauteur. Alors que je tentais d’extraire mon vélo des ronces après avoir peiné à me relever, la portière claqua puis l’homme en bleu de travail s’approcha. Ben alors mon gars, tu veux t’y un coup d’main ?

— Ça devrait aller, balbutiai-je en rechaussant mes tongs, autant gêné de la situation et de ma tenue légère que par cette présence intimidante en face de moi.
— Laisse-moi au moins te r’mett’e le dérailleux, sinon t’ira pô ben loin com’ça !

Je baissai les yeux vers mon vélo pour me rendre compte qu’effectivement, il avait déraillé. Je savais très bien le remettre tout seul mais face à la proposition, je n’eus pas vraiment la possibilité –ni l’envie d’ailleurs– de refuser.

Je m’écartai un peu et il extirpa le bicycle d’une poigne puissante des fourrés desquelles la roue avant était devenue captive. Alors qu’il était occupé à sa tâche, agenouillé de dos juste devant moi, j’en profitai alors pour rassembler mes esprits, et bien rapidement trouver la scène relativement ambiguë. Car finalement, il n’avait pas hésité à voler à mon secours avec diligence, moi le jeune citadin efféminé, torse nu en petit short moulant. Peut-être avait-il eu vent de ma réputation de salope, qui sait ? Et alors que je scrutais les ravages de sa calvitie, je me pris à m’imaginer, quelques minutes plus tard, assis à côté de lui dans sa voiture, à sortir sa grosse bite au travers de la braguette de sa combinaison, puis à le masturber avec lenteur avant de me pencher pour… L’excitation montant, je sentis mon sexe gonfler pour former une grosse bosse extrêmement voyante. Car j’enroulais toujours ma verge plutôt courte mais épaisse, de façon que, lorsque je bande, tout le volume de l’érection se retrouve à pousser vers l’avant. J’hésitai un instant à dissimuler cette réaction mais l’occasion était trop tentante. De plus, les relents de drogue me poussèrent à oser tout ce qui me passait par la tête à ce moment-là. Je passai furtivement mon avant-bras sur mon torse afin d’exciter mes mamelons, et m’appuyai, en prenant une pose aguicheuse, contre le coffre de la voiture. Lorsque mon sauveur, quelques secondes plus tard, se redressa pour me faire face, c’est en rougissant, bien cambré et tétons pointant, braguette prête à exploser, que je le reluquai timidement en me mordillant la lèvre inférieure. Il marqua un temps, arrêtant son regard sur mon buste tendu, parfaitement glabre, moite et bronzé, puis me tendis le guidon :
— D’vrait rouler mieux com’ça !
— Je ne sais vraiment pas comment vous remercier, M’sieur, répondis-je en exagérant une attitude ostensiblement séductrice, comme enfiévré par la chaleur du soleil et affichant une expression comme si j’étais à la limite de l’orgasme.

Mais à peine avais-je terminé ma phrase que mon smartphone vibra dans ma poche arrière. Par réflexe, je le consultai et me rappelai alors avoir mis un réveil à 9h00 au cas où je me serais endormi chez Yacine. Mes parents n’allaient pas tarder donc je devais impérativement rentrer et vérifier que tout soit en ordre. Ce petit rappel aux contraintes de la réalité m’obligea à couper court à la situation.

— Il faut que j’y aille, mes parents vont bientôt rentrer, minaudai-je avec un soupçon de provocation espiègle, comme si le fait d’évoquer l’existence de mes parents ajoutait une dimension perverse à la situation.

Je repartis à pied en tenant mon vélo par le guidon, faisant chalouper mon bassin et exhibant le dos de mes jambes lisses ainsi que mes fines chevilles. Au bout de quelques mètres, je me retournai en me remettant en selle, sous le regard de l’homme qui ne m’avait sans doute pas encore quitté des yeux, à ma grande satisfaction. Mais je n’avais plus le temps de deviner si mon petit numéro de charme avait fonctionné. À présent, mon seul souci était de rentrer à la maison et de faire en sorte que tout soit nickel pour le retour des parents… avec le grand-père !

— C’est moi ! Annonçai-je en franchissant le seuil.

C’était le test pour savoir si Petit Jules était levé ou non. Aucune réponse. Je fis un tour par la cuisine, puis le salon dans lequel je remis le poste de télévision sous clef. Rien ne traînait, parfait. Je montai à l’étage, appréciant les derniers instants de calme absolu dans la vaste demeure encore fraîche, et après avoir vérifié l’état de la salle de bain commune, je me dirigeai vers le chambre que mon petit frère et moi partagions depuis notre emménagement ici.

C’était une grande pièce lumineuse, avec, pour l’essentiel, un vieux parquet point de Hongrie, une immense armoire à glaces aux battants grinçants, une petite porte ancienne menant à une salle de bain privative, deux bureaux modernes et bons marchés en bois blanc, et, de facture similaire, un lit superposé dont j’occupais l’étage supérieur. J’avais proposé plusieurs fois à Jules que l’on échange, ce qui m’aurait rendu l’espace plus accessible lors de mes escapades interdites, mais visiblement, le fait de dormir en hauteur l’inquiétait. J’avais donc fini par ne plus insister sur cette question.

J’entrai donc dans la chambre, comme d’habitude sans m’annoncer mais en essayant de ne pas faire de bruit. Et c’est, comment dire, une envolée de draps qui me répondit dans la pièce plongée dans la pénombre, les rayons du soleil filtrant à travers les interstices des vieux volets restés fermés. Comme si d’un coup, Jules était parti se cacher au fin fond de son lit à mon arrivée. Il n’en fallut pas plus pour titiller ma fibre espiègle, et je me jetai tout contre lui, le rendant prisonnier de ma présence et de celle du mur de l’autre côté.

— Ben alors ? Tu crois que je ne te vois pas ? Me moquai-je gentiment.

Une main apparut, puis une seconde, puis une touffe de cheveux humides, et enfin son regard décontenancé, mais pas davantage. Il ne répondit pas, car probablement, il ne savait pas quoi dire.

— Mais ! Tu sors de la douche ? Tu es tout mouillé !

Tandis que je m’étonnais, je passai la main sur son front puis dans sa chevelure afin de m’assurer qu’il n’avait pas de fièvre. Je fus autant rassuré qu’étonné en devinant son peignoir en passant au niveau de la nuque.

— Mais qu’est-ce que tu fais en peignoir dans ce lit !?
— Mais, allez !!! geignit-il en renvoyant mollement ma main balader, laisse-moi tranquille !

Je pris la mouche l’espace d’une seconde face à tel accueil mais ne lâcha pas l’affaire pour autant. Je décidai alors de prendre une mine peinée, exprès pour le faire réagir.

— Ok… C’est comme ça que tu me dis bonjour ?

Ses yeux s’emplirent d’embarras, alors qu’il restait obstinément fagoté dans la literie.

— Grand frère … larmoya-t-il en rougissant, comme à chaque fois qu’il prenait une quelconque parole pour un reproche.
Afin de désamorcer la situation, je savais ce qu’il me restait à faire. D’un seul coup, je me jetai sur lui en criant :
— Gare aux chatouilles !!!
— Ahah ! Arrête ! Protesta-t-il en se recroquevillant pour me tourner le dos.

Mais très vite, j’arrivai moi aussi à me glisser sous le drap, et il ne tarda pas à se débattre en riant autant qu’en pestant. Mon avant-bras heurta quelque chose, et c’est alors qu’il me sembla comprendre. Je lui accordai un court répit pour lui demander, après que nous eûmes repris un peu de souffle, plein de curiosité et de suspicions, redoutant qu’il s’agisse de quelque chose m’appartenant :
— Qu’est-ce que tu caches là-dessous ?

Pas de réponse. Et il était hors de question que je sache Petit Jules avoir des secrets auxquels je sois étranger, autant que de le laisser jouer avec je ne sais quel objet auquel je tiendrais. Avec l’autorité d’un grand frère dans son bon droit, et comme pour faire comprendre que la rigolade était terminée, j’envoyai d’un coup le drap voler vers nos pieds et plongeai les deux mains entre les pans de son peignoir pour me saisir de l’objet de tout ce mystère.

— Noooooon ! Tenta-t-il d’objecter au travers de ses rires et gloussements.
— Fais voir ! M’exclamai-je en atteignant mon but, étonné cependant de ne rien reconnaître au toucher, excepté une imposante masse raide et tiède.

À ce moment-là, Jules abandonna enfin toute résistance, puis se tourna vers moi, les larmes aux yeux. Lorsque mon regard descendit jusqu’à mes mains, je me rendis compte qu’en réalité, c’était un énorme sexe en érection que je serais entre mes doigts. Mais il me fallut un certain temps avant de tout comprendre, car non seulement je ne m’attendais pas à ça, mais je dois dire que jamais de ma vie je n’avais vu un organe aussi démesuré, dans tous les sens du terme, autant disproportionné qu’étrangement dissymétrique. Jamais, Ô grand jamais, de toute ma vie je n’aurais pu imaginer une bite pareille, que ça ait été d’ailleurs sur mon petit frère, ou n’importe qui d’autre, pour vous dire ! Un monstre bien veineux et palpitant, aux dimensions irréelles. J’en restai bouche bée, ne comprenant même pas quel rapport il pouvait bien y avoir entre mon Petit Jules, le petit frère séraphique que j’avais toujours connu, et cette chose pulsante aux allures bestiales qui semblait plutôt appartenir à un mâle alpha d’expérience. Mon regard sceptique s’enquit du sien, au moins dans le but d’être bien certain qu’il s’agissait du petit frère à l’autre bout. Et effectivement, c’était bien lui, et tout rouge, comme une tomate, nu comme un ver, perdu dans son peignoir qui semblait fuir l’incommodité de la scène. Face à ma stupeur, l’inquiétude sembla l’envahir. Il cacha son visage derrière ses mains, laissant d’évidents espaces entre ses doigts pour me dévisager.

— Grand frère …
— Mais … Jules … Elle est énorme !
— Tu ne diras rien hein ?

J’eus peine à ravaler ma salive, oubliant instantanément de prêter attention à la question. Désarçonné, je m’accoudai pour me donner un peu de recul et me replacer à hauteur de Jules, sans pour autant lâcher prise de l’autre main.

J’avais le sentiment d’être hypnotisé par ce membre éléphantesque, serrant légèrement la base pour en faire saillir davantage les nombreux reliefs. C’est à ce moment-là que toutes mes frustrations refirent surface, et que la situation commença à m’échapper.

— Grand frère ! Tu jures que tu ne diras rien, hein ?

Des sanglots commençaient à faire trembloter sa voix. Je me tournai vers lui pour lui adresser le sourire indulgent qui arrange toujours tout avec lui.

— Ben ! À qui voudrais-tu que j’en parle ? Et puis avec une bite comme ça, tu peux être fier !
— Mais non ! Elle est moche et elle est trop grosse…

Je pense que si je n’avais pas eu d’autres pensées en tête à ce moment précis, j’aurais moi aussi eu les larmes aux yeux face à un désarroi aussi profond et sincère. Et dieu sait à quel point je détestais savoir mon petit frère dans un tel état. Il me fallait donc agir. Mais en tant que grand frère, que pouvais-je bien faire ? Étais-ce vraiment en tant que frère que je pouvais lui apporter une réponse satisfaisante ? Je pris conscience à cet instant que je bandais aussi, et que ça se voyait par l’entrebâillement de mon short.

— Crois-moi Jules, il y a plein de personnes pour qui ta bite est juste parfaite.

Je marquai un silence durant lequel je resserrai davantage mes doigts, tout en amorçant une légère pression vers le bas pour lentement décalotter son gland mouillé et violacé, dirigé vers nos visages.

— Je garderai ton secret si tu gardes le mien, répliquai-je alors sur un ton de défi complice.
— Quel secret ? Demanda-t-il avec une toute petite voix.
— Celui-là.

Sans autre forme de tergiversation, je me penchai pour apposer mes lèvres sur l’extrémité à présent totalement dégagée, parfaitement lisse et chaude de son sexe qui s’était incroyablement raidi, pour y déposer un baiser appuyé et volontairement sonore. Mais malgré toute la bonne volonté et toute la prudence avec laquelle je gérais cette affaire, je ne pus réprimer un immense frisson alors que ma bouche s’écrasait lascivement et s’entrouvrait tout autour de cette énorme sucette palpitante que je commençai à masturber avec lenteur et amplitude. La mâchoire écartelée comme si je voulais crier à plein poumons, le diamètre était tel que j’eus la délicieuse impression que ce chibre m’ordonnait : « Ferme ta gueule et suce. »

— Mmmmmmh…
— Grand frère ! Aaah… Qu’est-ce que tu…

Après quelques va-et-vient langoureux durant lesquels les mains de Jules vinrent se crisper dans ma chevelure sans pour autant m’empêcher, je m’enroulai alors comme un serpent possessif autour de son pommier, me donnant alors vue sur l’avant de son gland, joufflu et bifide, légèrement aplati, ce qui en accentuait le côté massif et autoritaire, partagé par un frein que j’aurais pu facilement pincer entre mes lèvres tant il était charnu.

— Tu vois, moi je la kiffe vraiment ta queue…
— Moui…

Mon visage alla s’enfouir entre ses deux énormes couilles que je me mis à lécher goulûment, puis je remontai lentement en écrasant ma langue le long de sa verge solide et enflée, que je redressai à la verticale pour bien en prendre toute la mesure. C’était proprement incroyable. Comment avais-je pu passer à côté d’une chose pareille jusqu’à présent ? Je me rendais bien compte que j’étais sérieusement en train de merder quelque chose, mais l’envie de bite avait une fois de plus été plus forte que la raison ou qu’une quelconque barrière morale. Je m’attardai sur son frein, moment durant lequel j’en profitai pour jauger les ressentis de mon petit frère. Il respirait profondément, bouche entrouverte, le regard impressionné, fixé sur ce qui semblait être la ligne de séparation entre mes lèvres et son gland. Visiblement, il n’avait pas l’air de détester, bien au contraire, comme en témoignaient les afflux abondants de mouille transparente auxquels se mélangeait ma salive filante qui commençait à pendre sous mon menton. J’hésitai un instant à adopter la même attitude obscène qu’avec mes partenaires habituels, mais la tentation était trop forte. En me servant de son gros gland difforme, je récupérai toute cette bave visqueuse pour me l’étaler comme un voile élastique sur mon visage, qui se déchire immédiatement en coulant le long de mes joues ou pour former des attaches gluantes entre mon arcade sourcilière et mes pommettes. Et comme je le branlais en même temps, j’étais bien placé pour me rendre compte que Jules bandait intensément. La taille de son engin était véritablement devenue ahurissante, ce qui attisa ma curiosité un brin dévoyée :
— Tu te la suces quelquefois ?

Je n’attendis pas la réponse pour reprendre l’énorme sexe en bouche et tenter de forcer vigoureusement ma gorge à flatter ce visiteur d’exception, et ce fut davantage de salive qui reflua et barbouilla ma figure, sans doute déjà méconnaissable et affichant une expression pleine de stupre.

— Urgl urgl urgl … bruitait mon gosier.
— Aaaah, grand frère ! … Oui, j’ai déjà essayé, confessa alors Jules, avec un air où se mêlaient la honte de son aveu et le plaisir de ma fellation intense.

Cette révélation piqua au vif ma soif d’obscénité.

— Vas-y, on te suce ensemble !

Et joignant le geste à la parole sans laisser d’autre option possible, je vins coller ma joue baveuse contre la sienne et calai ma main au niveau de sa nuque pour l’aider à se pencher vers l’avant, bien que ça n’eut pas été absolument nécessaire, tant la distance entre sa bouche et sa queue était incroyablement réduite. De l’autre main, j’empoignai fermement la base de sa queue afin de la diriger plus facilement vers nos visages.

— Grand frère… gémit-il tout en soulevant son bassin et en pliant son ventre afin d’optimiser sa position pour ce que nous nous apprêtions à faire.

Il n’eut pas le temps d’en dire davantage puisque déjà, je pressai derrière sa tête pour faire pénétrer l’engin viril entre ses propres lèvres.

— Je vais t’aider, ajoutai-je avec malice afin de contrecarrer au possible toute gêne inutile.
— …ran fr’mmmmh…

Jules en eut alors plein la bouche. Et comment n’aurais-je pu être choqué en voyant ce pavé massif déformer à ce point le visage si familier de mon innocent petit frère ? Comment un garçon aussi gentil et naïf avait-il pu se retrouver en pareille situation ? Quand je vis sa langue tourner péniblement tout autour de la surface turgescente et sensible, je me dis que finalement, nous n’étions pas frères pour rien. Mais le temps nous étant compté, je n’attendis pas davantage pour venir faire glisser mes lèvres sur le côté de son épaisse massue, remontant lentement jusqu’à l’extrémité. Je dirigeai la tête de Jules sur le côté pour avoir moi aussi droit à ma part du butin, et nos succions baveuses se retrouvèrent de part et d’autre à envelopper son gland toujours aussi juteux. Nos langues agiles et remuantes se frôlèrent dans un concert de gémissements étouffés et d’aspirations avides.

Soudain, le claquement de la porte du bas retentit dans toute la maison et s’en suivit un :
— Les jeunes ! Nous voilà !

Jules et moi sursautons. Il relâcha sa position mais je n’avais pas l’intention d’en rester là. Tout en continuant à le masturber énergiquement, je lui fis signe de ne faire aucun bruit, et je criai :
— On arrive !

La bouche, le menton et le haut du torse de mon petit frère étaient couverts de salive. Je lus l’inquiétude dans son regard mais pas autant que le plaisir qu’il ressentait alors. Ses jambes disposées en losange semblaient aussi tendues que tout le reste de son corps, ses cuisses tressautaient à intervalles de plus en plus rapprochés et il avait du mal à ne pas laisser échapper de petits soupirs étonnamment lascifs.

— Ça va bientôt sortir ! Gémit-il tant bien que mal, animé de spasmes de plus en plus puissants.

Enfin, j’allais toucher au but. Après autant d’efforts, il aurait été inacceptable de ne pas faire gicler cette queue monstrueuse. Et la curiosité de voir mon petit Jules nous éjaculer dessus était trop forte. Mais alors que j’intensifiais mes efforts, partageant presque avec mon petit frère son plaisir par procuration et sentant mon bras se tétaniser face à un effort si conséquent, quelqu’un s’engagea dans l’escalier menant à l’étage, où la porte de notre chambre était restée entrouverte. La queue de Jules se raidit alors incroyablement, et je vis le reste de mon petit frère s’animer de soubresauts impressionnants. J’eus, à ce moment-là, réellement peur d’être allé trop loin. Nos regards emplis de détresse se croisèrent l’espace d’un instant, mais celui de Jules fut immédiatement censuré d’un voile de foutre expulsé avec force sur l’innocence contrite de son visage.

— Aaah ! Laissa-t-il échapper péniblement, alors qu’une nouvelle giclée lui entrait dans la bouche comme pour lui commander de se taire.

Et dans un silence forcé empreint de plaisir incestueux, ce fut une succession de décharges puissantes qui s’ensuivirent, maculant nos torses et visages paniqués du liquide chaud et visqueux. Du fait de la masturbation intense que j’exerçais, de nombreuses projections se retrouvèrent propulsées dans toutes les directions. Ce fut une véritable éruption, un arrosage sous pression échappant à tout contrôle. J’eus limite peur que mon frère me clamse entre les doigts ! Du sperme vint s’écraser sur le mur derrière nous, par terre sur le parquet, sur le poster d’une célèbre pianiste classique à côté de nous, sur les cadres photo disposés sur la table de nuit, ou encore sur les lattes du lit au-dessus de nous ! Jamais de ma vie je n’avais encore expérimenté un tel sentiment d’indécence, et n’avais eu l’impression d’avoir été aussi choqué. Lorsqu’enfin, Jules eut terminé de se vider, je sautai hors du lit en l’entraînant avec moi dans la salle de bain attenante. J’eus tout juste le temps de donner un tour de clef derrière moi. Se fit alors entendre le grincement de la porte de la chambre.

— Il y a quelqu’un ? Demanda mon père.
— On finit de se laver et on arrive ! Répondis-je immédiatement en croisant les doigts pour qu’il ne remarque pas les nombreuses traces laissées derrière nous, tout en observant la trompe gluante pendant entre les jambes de mon petit frère, apeuré d’une telle prise de risques.

À voix basse, je récupérai toute son attention :
— Putain, la giclée que tu nous as mise ! Tu imagines si papa nous avait surpris ?

La douche à l’italienne fut le témoin de mon excès de zèle car je ne pus m’empêcher de prendre en bouche cette énorme masse encore maculée de sperme. Au bout de quelques instants, je conclus mon nettoyage en léchant ses grosses couilles naturellement imberbes, tout en me branlant à mon tour, sa verge molle mais au demeurant lourde et imposante posée en travers de mon visage. Il ne me fallut pas longtemps pour jouir, coupablement fier de mon exploit et d’avoir expérimenté une telle déchéance avec mon propre frère.

Une fois nettoyé et apprêté, Jules descendit les escaliers quatre à quatre pour aller accueillir nos parents et le papy, avec son habituel entrain lorsqu’il s’agit de retrouver les jupons de maman. De mon côté, il me fallut d’abord faire disparaître toutes les traces de nos bêtises. Sur la table de nuit, une photo de famille datant d’il y a dix ans dégoulinait de foutre …

Je réussis tant bien que mal à tenir jusqu’au soir sans dormir, mais je ne fus pas fâché d’enfin retrouver mon lit, même s’il n’était qu’à peine 22h. En dessous, Jules était également venu se coucher tôt, visiblement disposé à lire avant d’éteindre. Mais alors que j’allais embrasser de tout mon être les bras de Morphée, il m’interpella :
— Grand frère ?
— Mmmm… Quoi ?
— Tu viens me dire bonne nuit ?

La question, tellement inhabituelle, me tira hors de mon endormissement. Je commençai alors à avoir un étrange pressentiment.

— Grand frère, tu viens ?

Face à son insistance, je penchai la tête par-dessus le garde-corps de mon lit. Jules était par-dessus ses draps, en pyjama. Entre deux des boutons de sa veste, à hauteur du milieu de son torse, surgissait son gros gland humide, qu’il se mit à lentement décalotter sous mon regard médusé. Il n’en fallut pas davantage pour me faire bander et me convaincre d’intervenir, bien décidé cette fois à terminer les choses correctement. Moi qui ne pensais être qu’une salope doublée d’une pute, il semblerait que je sois en réalité bien pire que ça. À croire qu’en terme de mœurs, j’avais parfaitement réussi à me fondre dans le paysage local…

— J’arrive, Petit Jules…

Les blacks

C’était une nuit froide de janvier, je revenais de la fac, quand j’aperçus, sur le trottoir en face de moi, deux blacks qui me regardèrent de la tête aux pieds. Je n’avais pas l’allure d’un petit PD, mais plutôt d’un étudiant pressé qui revenait d’une journée de cours harassante.

Les deux blacks, plutôt bien foutus vus de loin, j’ai dû les mater un peu trop, tant et si bien qu’ils se retournèrent et l’un d’eux, derrière moi m’a mis la main sur l’épaule et me dit : » Dis-moi gars, tu as maté mon copain un peu trop toi… Tu ne serais pas un peu un PD en chaleur par hasard ? Tu les veux nos grosses queue de blacks ?  » Je restai estomaqué devant tellement d’audace, et j’eus soudain la trouille de ma faire violer en pleine rue, ce qui allait arriver…

Ils m’entourèrent et me poussèrent sous une porte cochère et sortirent leur bite. L’un bien monté, environ 20cm, bien large me parut bonne, mais l’autre mandrin me fit peur, plus de 25cm, longue et bien épaisse… Un vrai gourdin que je me mis à sucer tout de suite, car poussé par son copain, j’avalais le gland qui me fit tousser tellement il était gros… Une main sur le cul, le jeans défait, l’autre se mit à fouiller mon cul d’un doigt d’abord, me sentant serré… J’étais pris au piège sous une porte cochère avec deux blacks à bites énormes, une queue dans la bouche et le gland de l’autre sur mon trou haletant.

Me voyant dans une bonne disposition, celui de derrière commença à me lécher le cul avec sa langue râpeuse et le deuxième me défonçait la gueule… Un bruit à proximité de là où nous nous trouvions, les firent se lever, ils se rhabillèrent et m’embarquèrent dans le couloir de l’immeuble, nous étions chez eux. On descendit alors quelques marches et on se retrouva dans les caves de l’immeuble. Ils ouvrirent la porte d’une cave, me poussèrent à l’intérieur et fermèrent la porte à clé, me laissant seul à l’intérieur. Je commençais à flipper. Au bout de trente minutes, ils revinrent avec deux autres mecs, deux blacks aussi, plutôt balaises physiquement… Cela me fit penser que j’allais servir de vide-couilles à quatre blacks… je me sentais défaillir, quand l’un d’eux, me prit la gueule et m’enfonça son mastard dans la bouche… Les autres se déshabillèrent et celui que j’avais en bouche se déshabilla également.

Les deux autres étaient bien monté également, et me dirent : »Tu vas nous servir de vide-couilles mec, on a envie que tu nous pompes et ensuite on t’encule… » Me voilà prévenu. À poil sur un matelas crade, une bite dans la bouche, deux d’entre eux commencèrent à me pisser dessus pendant que le quatrième me léchait la rondelle, il recevait de la pisse sur lui… ça ne semblait pas davantage le déranger.

Soudain, après avoir fini de me pisser dessus, ils sortirent une bouteille de poppers et me gazèrent avec pendant une petite minute, et je me mis à décoller, offrant mes deux trous à leurs jeux pervers. Ils se succédèrent alors dans ma bouche et mon cul offert et dilaté par le poppers et la salive du grand black.

Durant plus de trois heures, je subis leurs assauts virils, me sodomisant et me trouant la bouche de leurs grosses queues odorantes… Sans capote, je fus limé et dosé plusieurs fois, de mon trou s’échappait leur sperme, qu’ils tassaient chacun leur tour, graissé par leur foutre, ils pouvaient me limer plus facilement. Ils me faisaient ensuite nettoyer leur grosse queue par et lâchaient leurs restes de pisse… Totalement souillé, ils me laissèrent repartir finalement.

À la porte de la cave, avant de partir, chacun me cracha sur la gueule, le glaviot dégoulinant sur mes joues et les cheveux souillés de pisse et de sperme. Je rentrais chez moi tant bien que mal, le trou explosé, des crachats sur la gueule que j’essuyais avec mon t-shirt et du sperme dégoulinant de mon cul, cela me faisait une auréole sur mon jeans. Mon boxer avait été déchiré par le bouffeur de fion.

Il était tard quand je rentrais chez moi, je n’habitais pas tout près de là où je fus sodomisé et la route me parut interminable. Soudain, une voiture s’arrêta à ma hauteur et je reconnus au volant un des blacks qui avait abusé de moi dans la cave. Il ouvrit sa vitre et me demanda où j’allais. Il avait sans doute attendu que je parte pour me suivre et voulait sans doute recommencer une autre partie de baise…

Il me demanda : « Tu vas où mec ? Je peux te conduire chez toi si tu veux, j’ai encore envie de ton cul de blanc… » Quoi dire à une telle demande : rien, je me laissais faire par mes hormones et mon désir d’être une chienne à blacks, je montais donc en voiture et on démarra. Il était grand, fortement charpenté par de la musculation et bien monté avec une bite d’au-moins 23cm.

Dans la cave, il m’avait d’abord pissé dessus et envoyé sa purée dans ma bouche avant de me défoncer le cul dans toutes les positions. Ce mec savait y faire pour faire couiner une pute. Il me regarda monter en voiture et compris mon désir d’être une pute à blacks. Il m’observa d’un air entendu, et mit aussitôt sa main sur ma cuisse. Je voyais la bosse se former sous son jeans, et il me prit la tête pour me faire courber sur cette bosse afin de humer la bonne odeur de foutre et de pisse que je lui avais fait sortir quelques minutes plus tôt. Il voulait continuer le plaisir seul avec moi encore quelques temps. Il me dit : « Tu sais mec, tu es une bonne pute, j’ai envie de te faire le trottoir mec et de me servir de toi pour mes besoins personnels de sexe. Je recherche un cul blanc comme le tien pour mes potes aussi et servir de vide-couilles. » Il me dit cela coincé sur sa bosse par sa main, et je pus répondre à son offre et me contentant de grogner, il me dit : « De toute façon tu n’as pas vraiment le choix, mec ! »

Et il me laissa respirer un peu, je le regardais et lui demandais : « Mais je ne vais pas être une pute à blacks toute ma vie, j’ai mes études à faire… » Je commençais à avoir peur… Il me regarda alors et me prit la gorge avec sa main et me dit : « Tu es à nous maintenant mec, tu n’as plus rien à dire, on va faire de toi ce que l’on veut, mais t’inquiète pas, tu continueras à faire ta vie de ton côté mais côté cul, tu es notre pute et à notre merci. Quand on aura besoin de toi pour nous vider les couilles, tu seras obligé de venir nous les vider, c’est clair, petite pute ? » C’était très clair pour moi maintenant, j’allais servir de vide-couilles à des blacks superbement montés et cela me faisait bander, il le vit et me dit : « Tu vois, tu bandes déjà salope, tu aimes l’idée d’être offert à des mâles et d’être troué et souillé »

On s’arrêta devant chez moi après mes indications sur le lieu, il coupa le contact et on descendit. On monta les deux étages pour arriver devant le porte de mon studio, il me mit la main au cul de suite devant la porte et me fit mettre à genoux devant lui avant d’ouvrir. Il sortit alors sa queue et me la mit en bouche. Je sentais son sexe grossir dans ma bouche et le fait d’être sur le palier et qu’un voisin pouvait me voir ainsi à la merci d’un beau black me faisait bander. Il me prit les clés des mains, ouvrit la porte et me fit entrer dans mon appart. J’allumais et vit mieux mon black et désormais maître. Il avait environ la trentaine, 1m85 pour 90kg environ. C’était un beau mec et je me dis à cet instant que j’avais beaucoup de chance.

Il s’avança vers moi, m’enleva mon blouson, mon t-shirt taché et mon jeans. Il me fit me mettre à genoux devant sa queue et me la rentra de nouveau dans la bouche, me l’enfonçant dans la gorge. J’étouffais, mais voulant faire plaisir à mon nouveau maître, je me mis à saliver dessus pour le faire glisser profondément dans ma gueule de lope et je m’attaquais au gland volumineux qui laisser couler une quantité impressionnante de mouille.

Il était proche de l’éjaculation quand il me prit la tête de ses deux mains et m’enfonça son sexe à fond et se mit à décharger une coulée de foutre, avec laquelle je m’étouffais. J’eus des haut-le-coeur, mais repris aussitôt la queue en bouche pour avaler le reste de sa décharge. Six gros jets plus tard au fond du gosier, il me dit que j’étais à lui maintenant, que j’étais sa femelle et que quand il aurait besoin de moi, il m’appellera à n’importe quelle heure et que je devrais obéir à ses ordres.

Il me dit son nom : il s’appelait Mohamed, et habitait la cité chaude de la ville où je faisais mes études. Il essuya son sexe sur mon visage, me cracha un dernier glaviot dans la bouche et je nettoyais sa queue avec. Il rangea sa bite dans son jeans, et me flatta la tête, en me disant avoir la chance de baiser une bonne pute qui avale tout et d’en faire une bonne chienne à blacks.

« Je te rappelle mec, très bientôt, j’ai des potes du Cameroun qui arrivent bientôt et ils voudront sans doute un peu de sexe pour se vider les couilles du voyage, tu seras bien docile avec eux… Je te rappelle, bâtard… »