(« Crevure à jus » est l’une des histoires les plus sales et salaces que j’ai eu à lire dans ma vie. Je vous l’offre ici, si son auteur se reconnaît, qu’il me fasse signe…)
Un samedi matin vers 9h, j’émerge à peine de ma virée de la veille que le téléphone sonne. Mon maître est à l’autre bout du fil. Il me demande confirmation de ma dispo pour la semaine et si je suis bien en vacances comme prévu, ce à quoi je réponds par l’affirmative.
— Parfait connard! Reste près de ton tél, un pote à moi va t’appeler. Tu lui appartiendras, sans aucune limite, pour la semaine. Je te récupère dimanche soir. Ne me fais pas honte! Tu le paierais cher… Sac à jus!
Aussi sec, il raccroche.
Je fonce à la salle de bain. Je sais que dans un tel cas, je dois être nickel, prêt à l’utilisation. À peine 30 minutes plus tard, le tél sonne à nouveau et un mec, voix rocailleuse et directive, me demande si je suis bien la sous merde de Maître X. Je réponds par l’affirmative. Je suis à sa disposition dès à présent et jusqu’à ce qu’il me refile à mon maître, conformément aux ordres de ce dernier. Il me dit de préparer un sac avec mes papiers d’identité, mon portable et mes clefs, de m’habiller dans ma tenue habituelle de bâtard qui est une tenue skin. Je dois l’attendre porte ouverte chez moi, mes affaires prêtes ainsi qu’un café, à genoux, les mains derrière le dos, dans 15 minutes exactement… Il raccroche.
Je fonce mettre un café en route et préparer mes affaires. Je commence à m’habiller, je sers le café, pose le sucrier à côté ainsi qu’une cuillère. Je vais entrouvrir la porte et je commence à enfiler mes boots. Je termine à peine de mettre une boot que j’entends du bruit dans la cage d’escalier. Je me dépêche mais quand j’entends les pas s’approcher du salon, je ne suis pas prêt. Je me mets tout de même à genoux, mains derrière le dos. Les boots ne sont pas totalement lacés et mon fut n’est pas fermé.
Pas un mot. Je ne vois qu’un fut de cuir sur des boots à lacets blancs, et deux mains gantées de cuir. Un long silence. Le mec tourne autour de moi et soudain, je me prends un super coup de boots dans le dos. J’essaie de retenir un cri, mais celui-ci m’échappe tout de même. Le mec, toujours derrière moi, me relève la tête d’un coup en m’enfonçant trois doigts dans la gueule.
— Je ne veux pas entendre le son de ta voix, bâtard… Sauf pour répondre quand on te demande quelque chose ou pour remercier ton Maître.
Il s’installe dans le fauteuil et prends son café. J’entends le bruit de mon sac, il doit en vérifier le contenu.
— Termine de lacer tes boots, chiottard, avant que je te donne ton déjeuner. On est pressé, alors tu te magnes!
— Bien Maître.
Je lui tourne toujours le dos. Je termine de me préparer. Il fait quelque chose derrière moi mais je n’ose pas regarder. À peine ai-je terminé de mettre mes boots et de fermer mon fut que je me remets en position. D’une main, il me prend le menton et de l’autre, je le vois faire apparaître un bol face à moi. L’odeur âcre ne laisse aucun doute. Il a pissé dans le bol et me voilà servi pour le petit déjeuner… Je ne sais pas encore à ce moment là que ce sera l’une des seules boissons à laquelle j’aurai droit pour les huit jours à venir.
— Va laver ton bol, on se tire.
Je fonce à la cuisine. Lorsque je reviens, il a mon sac en mains avec les clefs. Je passe devant, il ferme à clefs et me fait avancer devant lui. Arrivé en bas de l’immeuble, il me fait mettre à genoux et me dit de l’attendre. À peine trois minutes après, une camionnette s’arrête devant moi, mon nouveau Maître en sort, ouvre la porte arrière et me fait signe de monter. Il y a là une moto sur le côté, une cage au fonds avec un clebs et une deuxième plus petite à l’avant qu’il me désigne. Il me tend une pilule, une bouteille d’eau.
— Avale ça et à tout à l heure. Profite en pour bien te reposer…
Il ferme la cage et fout une couverture dessus. J’entends la porte claquer et c’est parti. Doucement je me sens partir, à la fois un peu décollé et un peu assommé ; il n’a pas dû me filer que de la vitamine ! Je tombe dans un demi-sommeil.
Tout d’un coup, j’entends la porte qui s’ouvre. Il me sort de la cage, je suis un peu groggy. Il me fout un collier de cuir et je le suis. Nous sommes sur une aire d’autoroute, on s’enfonce dans une espèce de sous-bois. Quelques instants après, il me fait mettre à genoux et sors sa bite, un engin comme j’en avais rarement vu: longue, épaisse, très nervurée et surtout un gland dont je me demande si je pourrais l’engloutir! Je dois avoir l’air surpris pour qu’il me dise: — Ton proprio ne t’avait pas prévenu ! Et il éclate de rire.
— Elle va te travailler la gorge et le cul toute la semaine cette bite de cheval! Et t’en auras d’autres, crois-moi. Astique connard et applique toi !
Je n’ai pas le temps de m’appliquer qu’il me prend la tête à pleines mains et s’enfonce en fond de gorge d’un coup sec, et se met à me limer la gueule, telle une chatte. De temps en temps, il ralentit le rythme, j’en profite alors pour lécher le gland du mieux que je peux. Infatigable, ce manège dure un long moment. Deux mecs se sont approchés et matent le spectacle. Le Maître leur fait signe d’approcher, les mecs ne se font pas prier et arrivent en se caressant l’entrejambe et en sortant leur bites.
— Elle est à vous, une bonne gueule de pute. Amusez-vous les mecs !
À peine s’est-il retiré de ma gueule que les deux autres présentent en même temps leur bite. Je vais de l’une à l autre, en léchant au maximum leur gland, et en caressant leurs couilles. Rapidement, l’un des mecs s’enfonce d’un coup au fond de ma gueule et dans un râle qu’il essaie de contenir, se vide dans ma gueule. Il reste bien au fond pour être sûr que j’avale tout et ressort doucement afin que je lui nettoie la bite. Le deuxième ne se fait pas prier et se met à me baiser la gueule de plus belle. Quand il sent qu’il vient, il m’éloigne la gueule de sa bite afin de pouvoir se répandre sur mon visage. Il m’asperge de quatre gros jets de foutre qu’il étale copieusement avec son gland sur mes yeux, mon nez, mes cheveux, avant de me faire nettoyer son gland. Une fois propre, ils se tirent tous les deux. Je reste à genoux, mon maître qui matait la scène réapparait:
— Baisse ton fut et montre moi ton cul, sac à jus !
Je m’exécute. Il se fout derrière moi, me fait lécher un de ses doigts toujours ganté de cuir, j’essaie de le mouiller au max. Au bout de quelques secondes, ce doigt se retrouve sur ma raie et à peine le temps de me rendre compte que je suis quasi sec, mon maître m’enfourne son braquemard d’un seul coup au fond de mon cul. Je tente de hurler mais il me fait basculer la gueule au sol, écrasée dans la boue.
— T’es une bonne pute à jus. Après la gueule, on va te pourrir le cul!
Et sitôt dit, sitôt fait, je sens des jets de sperme puissants m’envahir le cul. Il ressort sa bite, je sens le foutre couler, il l étale sur mes fesses.
— Tu vas dans les chiottes bâtard. La première cabine porte ouverte, à genoux face vers le chiottard et fut baissé. Moi j’vais bouffer. Ne t’en bouge pas avant que j’arrive.
Il m’entraîne vers les chiottes et en passant devant, me pousse vers la petite bâtisse; lui se tire pour aller manger. J’ai encore le goût âpre et crémeux du jus des deux mecs dans la gueule. Quand deux motards arrivent, je ne sais plus quoi faire. Ils se marrent en me voyant et me matent en discutant à voix basse. Un premier sort sa bite, vient sur moi et commence à pisser. Il ne vise pas la gueule mais veux simplement me crader les fringues. Quand il a terminé, il se dirige vers la porte des chiottes pour la bloquer. Son pote me prend par le collier et violement me fout la gueule dans la pisse qui est au sol.
— Nettoie p’tit pédé, tu fous quoi ici, tu fais la pute?
— J’attends mon Maître qui m’a dit de l’attendre ici!
— Ton maître? T’es pute, t’es slave?! Cool alors, tu vas être chiottard aussi puisqu’il te fout ici ton mec !
Je n ai pas le temps de répondre qu’il m’écrase la gueule sur le sol, il baisse son fut et se fout sur le cabinet. À peine quelques secondes après, j’entends le bruit bien reconnaissable d’un bel étron qui tombe dans la cuvette, puis un deuxième. Le motard se relève, m’attrape par le collier et me dit :
— Nettoie-moi le cul avec ta gueule !
Je m’exécute, le cul est relativement propre mais très fort d’une odeur de mec qui a sué dans son cuir. Je lèche et sniffe autant que possible. D’un coup, il me prend par le collier et me fout la gueule dans la cuvette, je vois deux énormes merde flotter.
— Je veux te voir bouffer, je te lâche pas avant que la cuvette soit propre!
J’essaie d’attraper un premier étron qui m’échappe. Je recommence, je l’ai bien en gueule. Je relève la tête pour tenter de pouvoir l’avaler, les deux mecs matent en se tordant de rire, en m’insultant de chiottard, de bouffeur de merde, je ne veux pas leur donner le plaisir de ne pas être à la hauteur et je me force à avaler d’un seul coup la merde.
— Bien connard… mais y’en a une deuxième alors termine ton taf!
J’y retourne mais je ne parviens pas à l’attraper, au bout de quelques secondes, le mecs plonge sa main dans la cuvette, prend sa propre merde et me l’écrase sur la gueule, m’en foutant un max dans la bouche.
— Avale connard! Bouffe bien de la bonne merde de mec. On te donnera de la crème quand t’auras bien fini le plat de résistance.
Et il s’amuse à m’étaler le reste de merde sur le visage et les cheveux. Au bout de quelques minutes, j’ai avalé la totalité de la merde. Il me fout la gueule dans les chiottes et tire la chasse. À peine relevé, il m’enfourne sa bite de taille normale mais assez épaisse et crache son jus en à peine trois aller-retours.
— Content? Bien déjeuner?
Et il éclate de rire. L’autre s’approche se branle au-dessus de moi et m’enfourne d’un coup sa bite fine mais très longue direct en fond de gorge. Je sens le mec se vider de longs et épais jets, il ne devait pas s’être vidé depuis un moment ! Ils me laissent là comme ça, total cradé, les fringues pleines de pisse, la gueule et les cheveux merdeux et la gueule à nouveau dosée.
Un mec entre dans les chiottes, me matte, va pisser à la pissotière tout en me matant. Je suis rouge de honte, je ne sais absolument plus comment réagir. Finalement, il referme sa fermeture-éclair et se barre sans me quitter un instant du regard; je crois qu’il hallucinait un peu! Mon Maître arrive:
— Alors il paraît que tu as bien déjeuner bâtard ?
— Oui Maître.
— Qui t’a donné l’autorisation de bouffer ou de te faire utiliser sac à merde?
— Personne Maître, mais je pensais…
— Un bâtard ne pense pas, il obéit ! Je t’avais dit de m’attendre, pas de provoquer les mecs !
— Mais Maître, je…
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase que je me prends un aller-retour qui m’assomme à moitié.
— Tu ne veux pas obéir, tu veux juste être un déchet ? Parfait, je vais faire de toi le pire déchet que l’humanité n’aie jamais produit !
— Je…
— Ta gueule! Ton maître m’a confié la tâche de te mater et t’éduquer, il ne va pas être déçu, je vais lui rapporter la pire crevure qu’il n’aura jamais possédée.
Je ne sais plus comment réagir, je me sens las, moins que rien, je n’ai plus le courage de réagir, je ne peux plus lui dire que:
— Bien Maître, je serai ce que vous souhaitez…
— Tu seras quoi?
— Je serai une crevure, Maître.
— Et?
— Je serai un déchet, un réceptacle à foutre, un urinoir, une chiotte, Maître.
— Bien bâtard, mais crois-moi, tu seras encore pire que tu n’ose l’imaginer. Rhabille-toi correctement et retourne dans ta cage!
Je me relève, me remets au net tant bien que mal. Je vais pour me laver les mains quand mon Maître intervient:
— Tu fais quoi là connard?
— Je vais me nettoyer Maître.
— On n’use pas d’eau ou de savon pour un bâtard, tu restes dans l’état où tu t’es mis espèce de merde !
— Bien Maître.
Et je retourne me mettre en cage. La route reprend, j’entends à plusieurs reprises le maître discuter au téléphone, je comprends qu’il parle de moi et à chaque fois, la finalité est un rendez-vous vers 18h je ne sais pas où. Je comprends aisément que ça va être ma fête en fin d’après-midi! Nouvel arrêt, le maître me fait sortir, on est dans un petit village de campagne, personne dehors, mortel! Une fontaine. Il me fait foutre dans la fontaine, pantalon baissé. D’un sac qu’il devait avoir avec lui, il sort une poire à lavement et entreprend de me faire un lavement. J’ai le cul plutôt propre, vu le lavement du matin, et je n’ai eu que le foutre de mon Maître. Sorti de la fontaine, il me fait remonter dans le camion.
— Fous-toi à poil et mets ça!
Il me tend un treillis complètement déchiré et qui tiendrait debout tout seul tellement il est crade, et un harnais. Je m’exécute, remets mes boots, il me remet le collier, des bracelets de cuir avec chaînes aux pieds et aux poignets, et une cagoule uniquement ouverte au niveau de la bouche. Me voilà aveugle. Il m’attrape, me refout dans ma cage, me fait avaler une pilule et boire une boisson que je trouve très amère. Je suis à sa merci! Il me casse complètement, je comprends que je vais être à sa totale merci…
On est reparti. Au bout d’un moment que je ne saurais évaluer, la camionnette s’arrête, j’entends parler, crier, rire. Il y a l’air d’y avoir du monde mais je ne saisis pas du tout où je peux être, le nombre de personnes ou ce qui se passe réellement dehors. Je reste un long moment dans ma cage puis d’un coup, plus un bruit! J’entends la porte puis la cage qui s’ouvrent, et je suis pris violement par le collier et sorti. J’essaie de marcher mais je suis traîné avec force. Ils sont deux à me tenir.
Je suis jeté au sol, ça pue, j’ai été jeté dans une marre à purin ou de bouse, je ne sais pas. On m attrape les poignets, les chevilles, je sens qu’on m’accroche. Un mec me tire la tête et me vide un verre dans la gueule, c’est le même produit que tout à l’heure. Puis plus rien! Au bout de quelques minutes, j’entends la voix du maître contre mon oreille, doucement:
— On est ici pour 24h, des mecs sont venus de loin pour pouvoir t’utiliser. Tu es ici un objet, la moindre rébellion, le moindre faux pas et je te détruis, tu as bien compris sous race ? T’as le droit à une récompense tout de même… tu peux gueuler autant que tu pourras! Ici personne ne t’entendra, ça ne fera qu’exciter plus tes utilisateurs.
Et il me refout la gueule dans le purin.
— Les mecs, voilà la crevure promise. Elle est en formatage, vous avez tout droit sur elle. Ne vous retenez surtout pas, cette sous race est là uniquement pour votre plaisir, vos délires! Messieurs, 24h top chrono, il est à vous!
À peine a-t-il terminé de parler que mon abattage commence! En moins d’une minute, j’ai la gueule à fond sur un braquemard qui commence par pisser. Je sens un autre mec me limer direct le cul et quand un sort, un autre rentre immédiatement ! Jamais on ne m’avait utilisé comme ça, je n’ai même plus l’impression d’être un bâtard. Je ne suis même plus un trou, un slave, je suis simplement un objet qu’on utilise pour ses délires! Après je ne sais combien de bites, de litres de pisse, de doses de foutre dans le cul, la gueule, sur le corps, j’entends une cloche. Plus rien, plus personne ne me touche…
— C’est l’heure de bouffer, opération gavage!
On m’attrape et mes liens sont tendus au max. Je ne peux plus faire mouvement. Des mains m’ouvrent et me maintiennent la gueule ouverte et je sens qu’on m’enfonce quelque chose dans la gueule. La douleur est extrême et je n’arrive même plus à gueuler. Je comprends vite qu’on m’enfile un tuyau et que le gavage, c’est ma gueule!
— Les mecs, le chiotte est prêt !
Et rapidement, je sens le tuyau se remplir, la tête coincée entre les jambes d’un mec qui doit tasser la merde pour qu’elle entre bien. Et ça dure je ne peux dire combien de temps, mais à coup sûr, plus de deux heures. J’ai des douleurs atroces dans la gorges, je sens mon estomac se distendre, c’est le moment qu’un mec choisit pour me faire relever les jambes.
— Ma merde, je vais lui foutre directe au fond du cul!
Et sans préambule, je sens une main puis deux qui me travaille le cul, j’ai bien compris à la merde… On m’enfile deux tuyaux dans le nez et rapidement, je me sens total partir, je suis relié direct et sans possibilité de m’échapper à du poppers. Je sens mon cul se distendre, les mecs rigolent.
— J’ai plus de merde! File m’en que je le remplisse bien jusqu’au coude.
— Tiens, direct dans ta main mec, crade lui le cul avec ma merde !
Et ça délire autour de moi, je suis insulté de toute part, des dizaines de voix me traitent de tous les noms possibles. On m’enlève rapidement le tuyau que j’ai en gueule, j’ai mal mais je me sens libéré… Ça ne dure pas, le tuyau est de suite remplacé par un entonnoir. Après avoir été gavé par leur merde, je sens que je vais devoir prendre leur pisse…
— Apportez vos stock ! On va le pourrir définitif.
Mon Maître vient me parler à l’oreille:
— Tous les mecs présents ont apporté des stocks de foutre récupérés dans tous les bordels de leur régions. On va t’en gaver total et te pourrir avec de la bonne plombe. Je te fais une proposition: si tu veux une pause et manger un vrai repas, je te détache et tu bouffes par toi-même toute la plombe qu’on te présente comme un cadeau qui t’es offert par tes utilisateur en les remerciant un à un; ou on te gave à n’en plus finir de leur stock de plombe, de merde, de pisse et du lisier dans lequel tu patauges depuis hier soir!
Je comprends que ça fait déjà plusieurs heures que je suis là et j’ai un réel besoin de me reposer.
— Merci Maître, je boufferai la plombe de moi-même et remercierai mes utilisateurs.
— Messieurs! Détachez le sac à jus, vous allez pouvoir le nourrir.
En quelques instants, je suis détaché. On me retire la cagoule. Il fait nuit, je ne vois que des spots assez puissants pointés dans ma direction. On me fait asseoir à une table, les yeux reprennent peu à peu de leur utilité et je suis effaré du nombre de mecs présents. Ils sont au moins une bonne quarantaine! Tous les âges, toutes corpulences; un seul point commun: tous en cuir, la bite à l’air et bien crade. Le premier mec à se pointer est un mec qui ne m’est pas inconnu !
— Alors bâtard, je savais bien qu’un jour je t’aurais à ma botte ! Tu te souviens?
— Non Maître.
— Tu as refusé de me pomper dans mon bar il y a quelques temps sous prétexte que j’avais la bite dégueu ! Pourtant tout à l’heure, tu me l’as bien nettoyée! Depuis, j’ai récupéré toutes les capotes laissées par les clients…
Et il sort un sac énorme, rempli de capotes pleines!
— Y’a un mois et demi de capotes! Je veux te voir les bouffer une à une et m’en remercier, espèce de connard!
— Bien Maître.
Je commence par en prendre une, je n’arrive pas à retirer le nœud, on me donne un ciseau, je dois les couper et les bouffer ! Je vide la première, elle est bien pleine, je la retourne pour bien lécher tous le jus et n’en pas gâcher! Et je regarde le mec :
— Merci maître.
— À ce rythme-là, tu n’iras pas loin connard ! J’vais te les couper moi et tu les avales entières avec le préso!
— Mais…
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase que mon Maître qui est derrière moi m’a filé un coup de batte.
— Bien Maître.
Et il prend plusieurs présos et me les donne. Je les avale un à un avec du mal, en remerciant à chaque fois. Il me fait accélérer le rythme de plus en plus, ça s’active autour de moi, les mecs ont décidé de travailler différemment. Ils prennent tous des verres et des bols et commencent à vider les capotes qu’ils ont apportées. Ça change de mec, il arrive avec un gros bol rempli quasi jusqu’au bord !
— Allez bâtard, tu as encore faim ? T’as envie de bonne dose de jus bien chargée? Déguste!
— Merci maître.
Et je m’exécute, j’avale le bol le plus vite possible. Je commence déjà à être dégouté alors que j’en suis qu’au deuxième mec ! Je repose le bol.
— C’est quoi ça connard? Nettoie bien le bol, pas de gâchis !
Et me voilà à lécher le bol, à ressuyer avec mes doigts la moindre trace de jus!
— Merci Maître.
Et j’enfile les bols, j’essaie de penser à autre chose, de bien respirer, l’envie de gerber est de plus en plus forte. Un mec se présente avec un bol bien rempli mais à l’allure vraiment rebutante ; le jus qui est dedans parait jaune, très épais, comme s’il était pourri, indéfinissable.
— Cadeau spécial connard! Du jus de mec fermenté !
Rien que l’odeur me donne un haut-le-cœur! Mon Maître s’en aperçoit.
— Tu avales ça, tu remercies et t’auras droit à une pause.
— Merci Maître.
Je prends le bol, ferme les yeux et d’un coup, j’avale la totalité du bol, le ressuis vite, me lèche les doigts mais j’ai vraiment l’envie de gerber ! Mon Maître prend un bâillon et me bâillonne la gueule fermée, même si ça remonte, ça ne pourra pas sortir de ma gueule et je serai obligé de ravaler.
— Messieurs, une pause de quelques minutes, la crevure n’est pas résistante, je m’en excuse.
Il vient me parler à l’oreille:
— Tu me fais honte! Tu vas la payer très cher ta pause!
Il m’entraîne dans la camionnette, me fout dans ma cage. Je croyais avoir droit à manger un vrai repas, avoir une vrai pause, je comprends très vite que le repas promis, c’étaient les bols de jus et que la vraie pause n’était qu’un rêve que je venais de caresser mais que j’allais payer très cher. Je me sens de plus en plus mal! J’ai envie de dégueuler, de chier, de pisser, mais je me retiens pour ne pas faire ça dans ma cage! Mais à un moment, je ne gère plus rien et malgré le bâillon, je me vide entièrement de tous les côtés, je chie des kilos de merde, celle dont j’avais été gavée, je dégueule du jus à n’en plus finir et vide ma vessie qui était prête à exploser. Me voilà vide mais baignant dans mes excréments et mon dégueulis. Mon Maître arrive à ce moment là, je suis total vaseux!
— C’est quoi cette poubelle? Va chercher une cuvette et nettoie-moi ça de suite connard, tu as dix minutes.
Je m’exécute, je mets dans une cuvette tout ce que j’ai évacué et passe une serpillère dans la cage et le camion. Je me présente à mon maître.
— Puisque t’es incapable de respecter tes maîtres, on va te refourguer aux chiens, peut-être que eux pourront s’amuser avec toi!
Je n’ai pas le temps de réagir que je vois une dizaine des mecs arriver avec leurs clebs ! Deux mecs m’installent sur un matelas posé au sol, m’accrochent les mains et me mettent en position afin que j’aie la croupe à hauteur pour les clebs et sans le moindre préambule, un clebs s’approche de moi, commence à me lécher le cul et d’un seul coup, grimpe sur moi. En quelques secondes, je sens sa bite se durcir dans mon cul et en mouvements rapides et saccadés, me limer comme une chienne et se vider dans mes entrailles! Rapidement, la bite ramollit et il ressort. Le mec suivant arrive avec son chien et le manège reprend ! Quand le dernier est passé, j’ai le dos labouré pars des griffures, le cul qui dégouline et pense que cela va s’arrêter mais à première vue, ce n’était que le début et les clebs ont la queue raide et c’est reparti pour une tournée. Finalement, chacun d’eux me passera trois fois dessus. Un mec vient chercher les clebs, reste les dix mecs autour de moi.
— On va bien tasser le jus de nos clebs maintenant, sale chienne!
Et les mecs m’enfilent chacun leur tour, me remplissant toujours et encore de leur jus qui se mêle à celui de leurs clebs ! Mais les autres mecs ne restent pas dans leur coins, eux aussi ont envie de me tasser. Mon Maître arrive, me fout son pieds sur la gueule et me l’écrase sur le matelas. Il a décidé que je serais un cul à remplir et rien d’autre pour le moment. En effet, j’ai le cul continuellement rempli par une bite, parfois deux, qui veulent se vider, se revider pour bien me pourrir le cul.
— Messieurs, il nous reste 4h, je vous invite à venir punir la lope pour ses désobéissances et ses manquements à votre égard. Ne me l’abimez pas trop, c’est tout ce que je vous demande. Il n’en et qu’à son premier jour et je dois encore le former sept jours!
Et il éclate de rire. Un premier mec arrive, c’est le dernier dont j’ai bouffé le bol de jus crade.
— Tu n’as pas apprécié mon jus connard, alors que pour une sous race comme toi, ça équivaut à du caviar ! Alors tu vas me bouffer ça!
Il me présente une assiette remplie de merde, de foutre, de purin. Il pisse dedans et me donne une cuillère à soupe.
— Bouffe et apprécie chiottard, je veux que l’assiette soit propre!
Sa ténacité et son jusqu’au-boutisme m’excite et je me surprends à prendre un réel plaisir à manger.
— Tu vois, ce n’est pas difficile !
Et mon Maître d’ajouter:
— Parfait, je sais de quoi te nourrir pour le reste de la semaine!
Un autre mec arrive :
— Je n’aime pas tes manières connard, tu ne te donnes pas à tes maîtres, tu les subis ! Alors puis que tu veux les subir, tu vas goûter à mes boots et celles de mes potes!
Et quatre autres mecs, skins rasés, lacets blancs (mais bien crade). M’attrapent et me jettent au sol et commencent une séance de coups de boots, de crachats. Je hurle tout ce que je peux, les coups pleuvent. Ils évitent soigneusement la gueule mais tout le reste du corps subit des coups de plus en plus violents. N’en pouvant plus, je regarde fixement mon Maître.
— Pitié Maître, pitié.
— Pas de pitié pour une sous race qui fait mal son taf. Paie ton tribut à tes maîtres!
Et les mecs de frapper encore plus fort ! Mon Maître arrive, les mecs se calment, mais c’est mon Maître qui me donne le coup de grâce en m’écrasant violement sa boots sur ma bite. Je hurle, un mec me met sa boots sur la gueule.
— Lève toi, me dit mon Maître.
J’essaie, j’ai mal partout, je n’arrive pas à me tenir debout.
— Attachez le au poteau puisqu’il ne peut pas tenir debout tout seul, ce connard.
Deux mecs m’attrapent, me passent une chaîne dans le collier et les menottes de poignets et m’attachent à un poteau électrique. J’entends des mecs gueuler :
— Lattez le, fouettez le, qu’il paie le fait d’être un bon à rien!
Et ça commence, je sens des fouets, des paddles s’acharner sur mon dos, mes jambes, mes cuisses, mes bras. Ce sont les chaînes qui me tiennent, je ne suis plus capable de la moindre réaction et cela dure et dure encore. Mon Maître met fin à la séance.
— Messieurs, apportez les restes!
Je vois réapparaître la bassine de merde, de pisse et de dégueulis que j’avais remplie tout à l’heure. Les mecs y rajoutent les capotes qui leur restaient et les vident. Et deux mecs entreprennent de m’enduire le corps de ce mélange. Une fois total cradé, je suis détaché.
— Bâtard, va remercier chacun de tes utilisateurs et rentre dans ta cage !
Je m’exécute. À genoux, je passe de l’un à l ‘autre, les remerciant. Certains ne prêtent pas attention, d’autres en profitent pour me pisser dessus, me jouir une dernière fois dans la gueule, me filer un dernier coup de boots. Mon Maître m’attend à la fin, il me tend trois gélules.
— Prends ça, ce sont des antidouleurs et un somnifère, t’en as besoin et ce soir, tu bosses!
J’avale et me dirige vers ma cage où je m’installe. Mon Maître ferme la porte et j’entends crier, rire, discuter un bon moment, et ça se calme. Les mecs doivent commencer à partir. Tout d’un coup, bruit de porte, démarrage. Mon Maître à décidé de partir! Je m’endors…
Je me réveille, je suis toujours dans ma cage et une forte odeur d’excréments et de pisse me prend le nez. Je suis toujours brinqueballé, ce qui signifie que nous roulons toujours. Je ne sais pas combien de temps j’ai dormi. Je reprends mes esprits, je sens mon cul endolori et mon corps courbaturé. Il me revient en tête que mon Maître m’a dit de me reposer car je devais bosser ce soir. Ça y est, je suis bien réveillé et tout me revient à l esprit. Je retombe dans mon état de larve et de sac à jus, sans même que mon Maître n’ait eu à intervenir. Je me souviens de ma nuit et autant excité qu’inquiet, je me demande ce qui m’attend, ce que comprenait mon Maître en me disant: «Ce soir, tu bosses!»
Ça fait une heure que je suis éveillé quand la camionnette stoppe. C’est le calme plat, je n’entends rien autour de moi, il y a peu de lumière. Au bout d’un long moment, la porte s’ouvre:
— Voilà votre pute, je vous l’ai fait préparé la nuit dernière.
— Ok, résistant? Obéissant?
— Aucun soucis, il est bien dans son rôle. Si il essaie d’en sortir, je vous laisse carte blanche pour le remettre en place, je serai là de toute façon.
— Ok, on va le foutre avec sa cage dans le monte charge et on descend au deuxième sous-sol. On a deux bonnes heures avant que la nuit commence et que les mecs arrivent…
D’un coup sec, on tire la cage dans laquelle je suis installé. Elle s’écrase au sol, je suis à moitié sonné par le choc. Mon Maître sort le chien, il sort du sac la cagoule et à travers les barreaux, me la met sans même me dire un mot. La cage est traînée, je sens le mouvement de l’ascenseur; c’est rapide. La porte s’ouvre, je sens de suite une odeur totalement nauséabonde. La cage est à nouveau traînée, j’entends des bruits de chaînes et rapidement, la cage se détache du sol, elle bouge dans tous les sens et s’immobilise.
— On va te nettoyer, connard, pour mieux te crader et que tu profites bien de ce que nous allons tous te donner cette nuit. Ça été du taf que d’organiser cette soirée, t’as intérêt à bien bosser sinon tu le paieras plus cher que tu ne peux même l’imaginer!
Je ne connais pas cette voix qui a un très fort accent rebeu, mais pas jeune de banlieue. Non, à l’ouïe, le mec doit bien avoir la quarantaine au minimum.
— Ton Maître t’offre à nous, tu vas bouffer, subir, avaler, te faire élargir, doser, plomber par un bon cheptel de bons mecs bien calibrés, aux couilles pleines. Prépare-toi chiottard…
J’entends un bruit d’eau et d’un seul coup, un jet puissant d’eau glaciale, on est en train de me laver au karcher. J’hurle tellement l’eau est froide et le jet douloureux. Mon Maître intervient:
— Qui t’a autorisé à parler connard? Foutez-lui le jet dans le cul, ça va le calmer !
Moins de deux secondes après, je sens le jet puissant me nettoyer le cul en profondeur. Je n’ose plus dire le moindre mot. Au bout de quelques minutes, plus un bruit. Je tremble de froid après ma douche mais je dois avouer que je me sens mieux qu’avec ce cataplasme de merde, de foutre et de dégueulis qui me servait de seconde peau depuis ce matin!
La porte de la cage s’ouvre, je sens une main qui m’attrape le crâne pour me faire sortir et me traîne sans ménagement.
On me retire ma cagoule et je me retrouve face à trois mecs, tenue de chantier intégrale avec casque et à la place de l’outillage, des godes, des chaînes, etc., accrochés à la ceinture. Leurs visages sont cachés par un simple masque en plastique blanc. Un des mecs me tend un sac et me dit:
— Habille toi, pétasse !
Je sors du sac des sous-vêtements féminins rouges en fausse dentelle, des bas noirs, un corset rouge en faux cuir, une perruque blonde, des pompes avec des talons d’au moins 15 cm, de longs gants noirs. Je m’exécute et me look en pute comme on m’en a donné l’ordre. Ces fringues ont déjà servis, vu leur état! J’avoue que la situation m’excite, je m’imagine dans quelles circonstances ils ont été cradés!
— À genoux!
Je viens me mettre à genoux devant mes loupeurs. On me met un collier, des bracelets cuir aux poignets et aux chevilles. Je sens que ça y est, leur fameuse «soirée» commence.
— Tu vas nous montrer de quoi t’es capable avant que les potes arrivent. Ouvre bien la gueule!
Les trois mecs sortent leur queues et se mettent face à moi.
— On va bien se vider et on ne veut rien au sol, chiottard !
Et les mecs commencent direct à pisser en visant ma gueule. J’essaie au maximum de boire ce qu’on me donne mais les trois jets s’entrecroisent et naturellement, la moitié de leur pisse coule sur moi et sur mes vêtements.
— On t’a dit de tout boire, espèce de dégueulasse! Nettoie le sol!
Et un mec m’écrase d’un seul coup de pompe sur le dos pour me foutre à plat-ventre et lécher le sol. L’un d’eux termine de se vider sur mon dos. On m’attache une chaîne à mon collier, l’autre bout est accroché à un anneau fixé dans le sol. J’ai un rayon de 60 centimètres pour bouger. Il y a un matelas posé au sol, un vieux fauteuil, une table et une vieille baignoire. Mon Maître vient devant moi, me retourne un aller-retour dans la gueule avant de me donner un coup de genoux dans le ventre.
— Ça ne fait pas deux heures que t’es là que les mecs se plaignent déjà de toi. Tu n’es même pas capable de boire leur pisse ! Si il y a la moindre plainte ce soir, c’est moi qui interviendrai et crois-moi, tu le regretteras. Fous-toi à genoux!
À moitié tordu de douleur, je m’exécute. Il me fout sa bite dans la gueule et se vide la vessie en jets puissants; j’ai à peine le temps de déglutir mais je sais que je ne dois en aucun cas laisser la moindre goutte couler. Quand il a terminé, il me retourne et m’encule d’un coup sec. Je sens son gland me déchirer le cul et me limer violement. J’ai envie de gueuler mais je me retiens. Très rapidement, il se vide en moi, se retire et me présente sa bite à nettoyer. La forte odeur de pisse et de jus m’excite plus encore que du poppers et je me délecte des restes de sperme sur le gland de mon Maître.
— Je vous l’ai lubrifié, il est à vous!
— Tu vas ouvrir les portes la haut, Momo?
— J’y vais et je passe au foyer prévenir tout le monde.
J’entends les portes claquer, un courant d’air frais, à la fois une sorte de calme et une sorte d’anxiété d’avant «je-ne-sais-quoi».
— Montre nous ton trou !
— Fous-toi à genoux et écarte bien ta boite à jus!
À peine en position qu’un des rebeu s’approche, me fout un doigt, puis deux. Il les remue, les écarte, les enfonce, les ressort et me les met dans la gueule.
— Elle est déjà bien lubrifié la pute, j’vais lui en rajouter. Ça sera pas de trop avant ce qu’elle va se prendre!
Il se fout derrière moi et me défonce d’un coup sec. L’autre rebeu vient me foutre sa bite dans la gueule et je vois mon Maître plus loin dans un canapé en train de mater tout en picolant une bière. Même gavé dans le cul et la gueule, l’ambiance me paraît faussement calme. Bizarrement, ce calme m’inquiète! Alors que les mouvements de va-et-vient se multiplient violemment dans ma gueule et mon cul, j’entends tout d’un coup une espèce de brouhaha. Je ne vois pas ce qui arrive mais j’entends le rebeu qui était allé ouvrir les portes.
— Voilà votre trou pour la nuit les mecs, elle fera tout ce que vous voulez. Vous pouvez la baiser, l’utiliser en chiotte, en slave, ne vous retenez pas et amusez vous! On l’a jusqu’à demain midi. Y’a un tél à votre dispo si vous voulez faire venir d’autres potes…
J’ai compris que je suis mis à l’abattage; je m’y attendais. Je ne vois toujours rien et suis toujours pris par les deux trous. Le rebeu qui me défonce le cul est de plus en plus violent dans ses mouvements, il râle, je sens qu’il va venir. Un mec s’approche, me saisit un téton qu’il tire violemment. Je veux hurler, ma gueule s’ouvre sur la bite que j’ai en bouche. Le mec en profite pour s’introduire totalement au fond de ma gorge et d’un coup, je me sens rempli en fond de gorge et au fond de mon cul. Les bites se suivent, toutes les formes, toutes les longueurs. La plupart que je prends en gueule ont un goût de de macération infernal, je sens le fromton sur le gland et les mecs me baisent la gueule, me remplissent de pisse et de jus sans s’interrompre. Mon cul en prend tout autant! Je suis quasi en totale roue libre quand je suis rappelé à l’ordre par une douleur infernale aux couilles. Une main énorme vient de me les empoignées et les écrase en tirant sur les bourses comme s’il voulait les arracher!
— C’est quoi cette femelle? À quoi ça lui sert ?
— À rien, répond une autre voix. Arrache-lui ça!
J’hurle un non à réveiller un mort! J’essaie de m’extirper de ce merdier. D’un seul coup, je me sens être redevenu moi-même. Les drogues, le jus, la pisse, la merde avalée sont oubliées. Je ne pense plus qu’à mon intégrité. Mon Maître arrive devant moi, je me prends un super coup de poing dans la gueule. Je tombe au sol, il me fout un coup de boots en plein dans les couilles, j’hurle.
— Faites le taire!
Un gros mec vient me foutre sa main sur la gueule, je peux à peine respirer!
— Apportez une corde et descendez la moto!
Mon maître me lève en me tenant les couilles puis me fait mettre à quatre pattes.
— Venez vous laver les mains dans son cul !
Il m’enfonce un tuyau dans le cul, je sens l’eau glaciale couler et de suite, une main entrer d un coup, puis une deuxième!
— Allez-y, c’est un lavabo!
Et il éclate de rire!
— J’veux que vous ayez les mains propres pour le latter!
Et les mains se suivent. Je peux à peine respirer, mon Maître me maintient la gueule sur sa cuisse. J’entends du bruit, ce doit être les mecs qui arrivent avec la moto. Alors que j’ai deux mains dans le cul, mon Maître me relève d’un coup. Je me tiens aussi droit que possible. Il attache la corde à mes couilles et ma bite, en faisant plusieurs tours et des nœuds bien serrés. Il file l’autre extrémité de la corde au mec près de la moto.
— Encore une connerie, la moto t’arrache les couilles!
Le moteur est mis en marche! On m’attrape les mains, on y passe une chaîne et on m’accroche au plafond.
— Vous avez envie de vous détendre? Alors allez-y, lattez aussi fort que vous souhaitez! Une fois que vous l’aurez bien attendri, vous pourrez vraiment en faire ce que vous voulez sans qu’elle vous fasse chier.
Et les coups pleuvent, je me mords la langue pour ne pas hurler. Les mecs frappent n’importe ou, n’importe comment, je sens des poings, des chaussures, des ceintures, j’en reçois dans la gueule, les couilles. Au bout d’un moment qui me paraît interminable, je perds pieds et ne suis même plus capable de me retenir à mes menottes. Je tombe uniquement retenues par celles-ci qui par la chute sont au bord de m’arracher les mains. Les coups se calment, on me détache, mais une fois au sol, le balai des bites reprends. Je suis pris de toute part, je sens qu’on me pisse à nouveau dessus.
— On l’a peut être trop attendri ta femelle. Elle réagit à peine, elle fait chier!
La phrase n’est pas terminée que je suis ramené à la réalité par mes couilles. La moto s’est mise en marche et m’a fait faire au moins 3m d’un coup!
— Elle est réveillée. Allez-y…
C’est la voix de mon Maître.
— Allez cherchez vos clebs, ça va la réveiller!
Et c’est le défilé des mecs et de leurs clebs, chacun me baisant la gueule pendant que leur chien me monte, où me tassant le jus que leur clebs vient de me larguer au fond du trou ! Je sens autant leur bites que leurs pattes qui m’arrachent la peau. Puis ça se calme tout d’un coup. Les mecs partent les uns après les autres. Au bout d’un moment, il ne reste que mon Maître et les deux arabes qui nous ont accueillis.
— Tiens, voilà la caisse! dit l’un des arabes.
— Ok comme promis, vous aurez 30%, 35 payants, plus nous, les maîtres-chiens, on les a invité.
Et puis silence, ça compte!
— Pas mal! dit l’arabe.
— Merdique tu veux dire! Si elle avait fait son boulot, y’aurait eu le triple. C’est qu’une bonne à rien, juste capable de se plaindre. Tenez voilà votre part. Je vais dormir quelques heures. J’vous le laisse, payez-vous en nature, j’veux pas savoir ce que vous lui faites. Foutez-le-moi dans la camionnette pour 9h. Bye !
— Merci mec! À tout à l’heure.
J’entends le bruit de la porte. Je suis seul avec les deux reubeus, toujours allongé au sol, à moitié prostré. Les deux reubeus s’approchent.
— Ça va la pute?
— Oui Maître!
— Parfait alors. Tu nettoies tout, tu finiras par nos bites!
— Oui Maître!
Et me voilà à faire le ménage alors que je tiens à peine debout! Une fois terminé, les mecs me remplissent une dernière fois la gueule de leur jus et me remontent, me foutent dans le camion. Je suis total crade et ne suis plus qu’une douleur, mais la fatigue l’emporte et je m’endors, malgré tout heureux de ma condition…