J’ai rencontré Dieu… Au Canada – Acte 04/04

Lorsque le premier coup est tombé, c’était sur mes reins et j’en eu presque le souffle coupé, et j’ai susurré « 69 ». À cet instant précis, je savais que j’allais souffrir. Surement comme je n’avais souffert dans la vie. Les coups pleuvaient et étaient bien répartis sur la surface de mon corps, de mes pieds à mes épaules, en passant par mes fesses, mon dos ou mes mollets. Les coups sont francs, nets et précis. Lorsque j’ai dit « 42 », c’était avec des sanglots. Je chiale ma race mais je ne lui demande pas d’arrêter. Je ne sais pas ce qu’il pourrait imaginer de plus à me faire. Donc je sanglote, je pleure à chaudes larmes et je subis. Il ne me demande pas de me retourner et je l’en remercie pleinement. Arrivé à « 0 », je fonds en larmes et j’ai l’impression que mon corps n’est plus que douleur et compote. Je me sens mou, affaibli, terriblement humilié. Et il ne m’a pas encore baisé.

Je le remercie chaudement, comme prévu, pour les efforts qu’il avait fournis. Son front était trempé, il était en sueurs, mais pas autant que moi. Il me demande de me lever, je viens me présenter devant lui et il me prend dans ses bras. Ce sera l’unique câlin de cette rencontre.

« Tu as été à la hauteur. Je n’en attendais pas moins de toi petit français. Maintenant, à quatre pattes. Je suis fatigué mais je veux quand même t’honorer. Que je te féconde et que tu repartes en France avec mon sperme dans le cul » me susurre-t-il à l’oreille. Alors j’ai souri bêtement. La douleur s’est effacée juste durant quelques instants. Lorsque je me suis retourné pour me mettre en position, tout mon corps me brulait et j’avais l’impression d’être à sang.

Après son ultime bédo, il est venu pointer son énorme queue qu’il branlait depuis quelques minutes pendant qu’il se baladait dans son appartement. La taille de ce monstre avait pris ses proportions les plus énormes et la préparation de mon cul que j’avais faite en son absence ne serait pas vaine. Alors il a pointé son gland à l’entrée de mon trou. Il a craché un bon mollard de manière bruyante et en a enduit sa queue. Et il s’est enfoncé. Doucement la première fois. Et puis il a commencé à me pilonner. Comme j’y avais pensé durant des années. Il était dur, sa queue colossale entrait et sortait de moi à un rythme effréné. Je savais, de ce que j’avais vécu en début d’après-midi, qu’il était endurant. Peut-être le mâle le plus endurant que j’ai rencontré. Il m’empoignait par les cheveux, par les aisselles ou pas la taille pour que je vienne m’encastrer durement sur sa queue.

Il me frappait le dos, chaque fois qu’il touchait une des plaies qu’il avait occasionnée quelques minutes plus tôt, je hurlais de douleur. Tout était mélangé dans ma tête : le bonheur, la satisfaction, la douleur, le fait d’être dominé, le fait d’être sa femelle à ce moment précis. Il me défonçait le cul, il y allait à cœur joie. Il m’a un moment demandé de me retourner et de me mettre sur le dos, qu’il voulait se finir ainsi en matant ma gueule. À vrai dire, c’était pour une tout autre utilité. Je me suis exécuté et puis il s’est remis dans mon cul pour reprendre ce va-et-vient juste fou.
Je pouvais voir Marc-André m’honorer, prendre du plaisir dans mon trou. Que ce moment était beau. Il m’a alors étranglé, a pu me coller des gifles d’une force assez incroyable. Les larmes coulaient le long de mes joues, et il les léchait goulûment. Je pense que ça l’excite de me voir pleurer. Que là encore, il se sent puissant. Dieu quoi. Les baffes se faisaient de plus en plus fortes tandis que son cheminement dans mon cul était de plus en plus puissant. Il prit aussi mes couilles en main, les frappant de son autre main libre. Sa queue ne lâchait pas mon cul que je pense désormais béant. Et puis j’ai vu son visage se transformer, ses yeux révulser et sa bouche se tordre. Dans un râle de plaisir puissant et bruyant, il a juté en moi. J’ai senti sa queue se durcir et ses boules se rétracter. Il lâchait des flots de jus dans mon cul. Des années que j’espérais cela.

Et puis il a lâché son corps sur le mien. J’étais totalement nu et lui totalement habillé. Je faisais des mouvements avec mes mains sur son corps. Mon visage était encore mouillé de mes larmes et une de mes mains s’est risquée à toucher ses cheveux vert fluo. J’ai pu en profiter quelques instants. Il s’est alors retiré de moi et m’a dit : « Tu as le canapé pour dormir, ne te gêne pas, il est bien confortable. Si tu veux prendre une douche, je t’y autorise, mais garde mon jus. Il est plus précieux que toi. Demain matin, je pars bosser. Claque la porte en partant. Pendant que je m’endors, je te laisse lécher ça. ». Il s’est allongé sur le lit, sur le dos et a retiré ses chaussettes. Je souffrais mais je me suis assis à terre pour lécher les pieds que Marc-André me proposait. Ses pieds aussi j’en ai rêvé des années. Mais une fois devant, c’était de suite moins attirant.

Ses pieds étaient sales, ses ongles étaient noirs, il les négligeait totalement. Je comprends pourquoi il conserve toujours ses chaussettes, l’odeur est pestilentielle. Je me suis donc mis à lécher les pieds de ce mâle puissant. J’en léchais toute la surface, entre les orteils. Lui commençait à respirer plus fort, ses yeux étaient fermés depuis un moment. L’action de ma langue a duré un moment, je savais qu’après ça, je ne pourrais plus converser avec lui et que je n’aurai sûrement plus accès à son corps. Alors qu’il dormait à point fermé, que son ronflement se faisait assez bruyant, j’ai quitté ses pieds et la pièce. J’ai éteint le néon dans le coin et ai repoussé la porte. Sur la pointe des pieds, j’ai rejoint la salle de bain pour prendre une douche salvatrice.

Je pus alors m’apercevoir des dégâts sur mon corps. Les traces dans mon dos et sur mes cuisses étaient rouge écarlate, mon visage avait plusieurs marques de doigt. Arrivé dans la douche, je ne pus m’empêcher de tout lâcher et de pleurer. J’étais heureux, libéré et purifié à la fois. Marc-André m’avait honoré, mais à quel prix ? Je trouvai une serviette suspecte pour me sécher et suis allé m’allonger sur le canapé. Je me suis fait une place pour dormir le plus correctement possible et je repensai à cette journée, à cette rencontre, à ce qu’il m’avait fait subir ce soir. Je sanglotais un peu aussi. Je souffrais. J’entendis alors la porte s’ouvrir et Marc-André s’est approché de moi pour me glisser les derniers mots du séjour.

« Je t’entends chouiner depuis tout à l’heure. Sache que pour moi, c’est terriblement excitant de savoir que j’ai fait pleurer une lope dans ton genre. Mais tu sais, tu es une merde, il va falloir t’habituer. Moi je suis de la race supérieure, ceux fait pour éduquer, pour prendre du plaisir, pour gouverner. Toi, tu es une larve. Quelque chose sans importance. Et plus vite tu comprendras, plus vite tu arrêteras de pleurer et vivra ta situation plus sereinement. Essaie de dormir, ton vol est à 11 heures demain. »

Je lui ai juste dit « Merci Monsieur ». Il est ensuite parti pisser me laissant là seul avec mes pensées. J’ai dormi durant cette nuit. Ou alors je n’ai fait que penser, que rêver, je ne sais plus trop. Alors que le soleil transperçait les fenêtres du salon et atteignaient doucement la chambre de Marc-André, je me disais que j’aurais tellement aimé une nuit dans son lit. À ses côtés. Qu’il me tienne dans ses bras, qu’il m’embrasse. Mais il avait raison, ce n’est pas ainsi que cela doit se passer. Je dois me résoudre à n’être qu’une sous-race.

Je l’ai entendu se lever, il s’est approché du canapé, a baissé son froc pour installer sa raie bien odorante sur ma face. Après avoir lâché quelques pets bien bruyants et puants, il m’a dit de ne rien oublier chez lui. Il s’est refroqué, il a bu un verre et est parti au taf. Sans se laver, sans se rechanger. Je me suis levé quelques minutes après, me suis préparé et j’ai vadrouillé une dernière fois dans son appartement pour y sentir encore son odeur, sa présence. Les traces sur mon corps ne s’étaient que peu estompées, les marques de ceinture étaient creusées, mon visage, lui, néanmoins avait repris son apparence normale. Ma valise prête, j’ai dit au revoir à cet appartement, j’ai claqué la porte et j’ai descendu les escaliers et me suis rendu à l’aéroport.

De retour en France, avec le jet-lag, j’ai tellement peu dormi, il fallait absolument que je retranscrive tout ce que j’avais vécu à Montréal avec Marc-André. Et j’ai choisi de reprendre toute l’histoire depuis le début. Le jour où les souvenirs s’éteindront, j’aurais une trace dans ce journal de tout ce que j’ai vécu. Et personne ne pourrait nier ce que j’ai vécu. J’ai rencontré Dieu. Il habite au Canada.

J’ai rencontré Dieu… Au Canada – Acte 03/04

La queue de Marc-André avait largement perdue en volume et elle pendait à quelques centimètres de ma gueule. Il savait pertinemment de quoi j’avais envie. Quinze ans que j’ai envie de goûter à cette queue énorme et puante. Le gland était recouvert de jus, elle luisait. Après tous ses assauts, Marc-André devait être épuisé. Il prit la parole :
« Tu vois ce que tu as vu cet après-midi avec ce minet ? Ce n’est absolument rien par rapport à ce que je te ferai subir ce soir en revenant du taf. Mes couilles seront vidées et je tiendrai au moins le double de temps. Je pars dans quelques minutes et reviendrai vers vingt heures. Je veux que mon repas soit prêt. Un repas pour une personne. Toi tu auras autre chose. Ouvre la bouteille de vin. Je l’aurais amplement méritée. » me dit-il avant de ranger cette énorme queue à l’intérieur de son boxer et de son pantalon qu’il n’avait pas quitter. Il prit ses clés et referma la porte derrière lui. Je n’avais dit que peu de paroles et j’étais surtout nu sur son lit. Ahuri par ce que je venais de vivre.

Me voilà donc seul, livré à moi-même des heures durant dans l’appartement de Dieu. Je suis allé aux chiottes pour me branler et vider mes couilles. J’en pouvais plus. J’ai lâché des grands jets dans ses chiottes à l’aspect plus que douteux en criant le prénom de Marc-André tout en lâchant la purée. C’était trop bon. Je me suis ensuite rhabillé et ai pu faire le tour de l’appartement et regarder tout ce que je pouvais y trouver.

Marc-André vivait dans 45m², plutôt bien agencés, mais l’appartement était vraiment en bordel. Une grand pièce à vivre avec un canapé recouvert d’immondices, idem pour la table du salon. Un coin salle à manger avec une grande table, des affaires dessus et un piano dans le coin gauche. Il y avait dans la même pièce une cuisine qui devait peu lui servir, si ce n’est pour réchauffer des trucs, une petite salle de bain avec une douche, des chiottes et sa chambre dans laquelle j’avais passé le plus de temps.

J’ai erré, me suis un peu perdu sur le net, j’ai appelé des amis avant son retour. A 18h30, je me suis attelé à lui préparer un repas. Le frigo était presque vide mais je me suis débrouillé pour lui faire un truc potable. En ouvrant le placard au-dessus de la plaque de cuisson, je suis tombé sur une bouteille plus que suspecte. J’ai observé avec plus d’attention, une eau grisâtre y gisait et une cho7 que je devinais portée des mois, voire des années, y trônait. Je ne sais pas depuis combien de temps ce jus macère, j’ai ouvert la bouteille et l’odeur était âcre. Et pourtant, je sais que cela sera la base de mon repas de ce soir… Marc-André est réellement imprévisible. Il allait m’humilier comme jamais.

19h50, son repas est prêt. J’ai mis la table, j’ai ouvert la bouteille et je n’attends plus que Marc-André. J’ai mis un jock et je l’attends à genoux devant sa table. Je n’avais qu’une hâte : passer la meilleure soirée et nuit de ma vie. A 20h02, j’entends la clé tourner dans la serrure de l’appartement et Marc-André se pointe après cette dure après-midi de service. Il fut surpris de me voir presque nu à côté de la table. Il avait pris une grosse miche de pain et semblait d’une humeur joueuse. Il s’est approché de moi et m’a lâché un « Bon toutou » qui me ravissait. Il a pris une casserole pour la mettre sur une plaque chauffante et s’est saisie de la bouteille mystère, il en a versé le contenu qu’il a mis à chauffer. Il a déboutonné sa braguette, a sorti sa grosse queue et s’est mis à pisser dans la casserole. Une quantité phénoménale de pisse sortait de sa queue. C’était presque impensable.

« Tu vois, dans ce genre d’exercice, ce qui est intéressant, c’est la quantité. Faire bouffer à une lope un verre de pisse ou de mollards, c’est humiliant. Clairement. Mais je connais les lopes dans ton genre, cette idée est des plus excitantes pour vous sous-espèce. En revanche, ce qu’il y a d’intéressant dans le fait de jouer avec des quantités importantes, c’est qu’au début, il y a du plaisir mais naît très vite le dégoût. Et c’est cela que je viens chercher avec toi. Je te laisse réchauffer le mélange et y mettre la quantité de pain que tu souhaites à l’intérieur. Une fois réchauffé, viens t’installer devant moi, avec la casserole encore chaude » me lança Marc-André.

Alors, mes craintes se sont justifiées. J’allais devoir avaler le mélange de jus macéré à la chaussette pourrie et sa pisse. À y regarder de plus près, il devait y avoir entre deux et trois litres de soupe malodorante et grisâtre. J’y mis le plus de pain possible afin que l’ensemble soit le plus digeste, s’il peut l’être. Marc-André s’est installé à la table et s’est mis à manger le repas que je lui ai préparé. Il m’a sifflé de lui servir du vin dans un joli verre trouvé dans un de ses placards que j’avais pris l’initiative de nettoyer. Je lui servi le Château Margaux et le vît humer et boire ce nectar. Il semblait l’apprécier et c’était le but recherché.

Ma gamelle chaude, j’ai arrêté le feu et suis allé m’installer devant lui, à ses pieds avec ma casserole et mes yeux de chien battu. « Allé à 4 pattes et tu lapes » me dit-il. Alors je me suis mis à 4 pattes et ai commencé à laper ce breuvage en essayant d’éviter de me brûler avec les bords de la gamelle. Les premières bouchées n’étaient pas si dégoutantes que je l’aurais pensé. Et puis je mourrais de faim. Mais plus je semblais en manger, plus il semblait y en avoir dans ce récipient… Lorsque Marc-André eut terminé son repas et m’eût fait lui servir à nouveau deux verres de vin, il me demanda d’approcher de lui, il me saisit par les cheveux, approcha mon visage à quelques centimètres du sien et me lâcha un putain de gros rot odorant à la gueule.

Il me laisse retourner à mon breuvage en me parlant un peu d’art et d’une exposition qu’il a vu le week-end précèdent. En fait, j’ai l’impression que pour lui, la situation est juste normale et peut se prêter à la discussion sérieuse. Je suis à quatre pattes devant lui en train d’avaler le jus d’une chaussette qu’il a dû porter des mois à l’intérieur comme à l’extérieur et toute sa pisse de la journée et il me parle d’art, tranquillement. Au bout d’un long moment, j’entends un bruit qui fit frétiller ma queue : sa braguette. Il me fait à nouveau signe de me rapprocher et me regarde, sa demi-molle dépassant du pantalon.

« Prends en soin, d’abord avec ton odorat. Et ensuite avec ta langue. Profite de ce don du ciel que je t’offre sur un plateau. Et remercie-moi » dit Marc-André.

Je pose mes mains sur les hanches de Marc-André et en le regardant droit dans les yeux, je lui dis : « Merci Monsieur pour ce cadeau, merci de m’accueillir, merci de m’offrir ce repas. J’ai rêvé durant des années de ce moment. Votre queue énorme à portée de ma bouche. Votre… »

« Oh ta gueule et pompe » coupa Marc-André.

Alors j’ai approché mon nez de la touffe de poils dépassant et de la queue de Marc-André. L’odeur était terrible, je n’avais jamais senti une queue pareille. Mais c’était somptueux. Marc-André m’offrait sa queue massive. Je reniflais un long moment avant de commencer à lécher ses 22 centimètres veineux de pur mâle. Je m’attardais aussi sur ses couilles charnues et poilues. Même en ayant lécher un bon moment sa queue, l’odeur était encore présente. Et alors j’ai commencé à sucer Marc-André. Pour de vrai. En le regardant dans les yeux. On m’a toujours dit que je pompais bien et j’imagine que Marc-André y prenait du plaisir. Il n’avait presque aucune réaction. Je lui offrais, autant que faire ce peu, la profondeur de ma gorge en restant de longs instants, son énorme queue plantée bien au fond.

Il se leva au bout d’un certain moment pour y prendre, à ma surprise, la casserole encore à moitié remplie. Il la plaça en dessous de sa chaise, au même niveau que ma queue pendante. « Fini de jouer à touche pipi. Je vais goûter ta gorge. Le fond de ta gorge. À toi de bien jouer » me dit Marc-André. Joignant la parole aux faits, il se saisit de mes cheveux et se mit à défoncer ma gorge avec son énorme pieu. Je ne résistai pas très longtemps et des flots de soupe jaillissaient de ma bouche pour aller impitoyablement s’écraser dans le reste du plat. La défonce de ma bouche a duré un très long moment. Il est impitoyable. Sa queue est dure comme du béton. Mais je n’apprenais rien. Il choisit d’arrêter au bout d’un moment ses impitoyables coups de rein au fond de ma gorge. J’avais gerbé comme jamais j’avais gerbé auparavant. Le pire peut-être est que je n’avais pas détesté l’acte. En revanche, ce qui allait arriver si…

« Tu prends ta gamelle et tu viens t’installer vers mon piano. J’ai besoin de jouer un peu. Je lance le chronomètre, chaque minute passée sans avoir terminer la boisson des Dieux que tu as sous les yeux sera un coup de plus donné avant que je te défonce. Si tu veux rejoindre la France sans boiter ou entier, prends garde à ne pas dépasser l’heure. » dit paisiblement Marc-André.

J’ai regardé l’état de la gamelle qui semble encore plus remplie qu’au tout début de l’opération. C’était filandreux et gluant, la quantité était inhumaine. Je me suis mis à chialer et à supplier Marc-André de me faire grâce, il s’est approché de moi pour me coller des aller-retour dans la gueule implacables. « Tu vas faire ce que je te dis, sinon je te fous comme ça sur le trottoir toute la nuit et te fais tourner par des vieux crasseux qui, vu ton état, te chieront tous au fond de la gorge. Ton choix ? ». Mes yeux allèrent alors rejoindre la gamelle. Je n’avais pas le choix. Marc-André voulait que je me dépasse et j’ai fait la pire chose que j’ai faite dans ma vie. Je me suis accroupi et j’ai lapé tout le contenu. J’ai cru gerber à nouveau des dizaines de fois. J’ai énormément pleuré aussi… Le piano et le talent de Marc-André accompagnaient mon geste dégradant. Je n’en pouvais plus, mais j’avais terminé le plat. Mon plat de vomis.

« 69 minutes. Tu l’as fait exprès salope ? Tu vas morfler. Mais je suis fier de toi. Je t’offre un verre de vin, tu veux ? » me dit Marc-André. Je réponds bien évidemment par la positive. Je sais que ma nuit est loin d’être terminée. Il me laisse prendre un verre et me servir. Je verse la fin de la bouteille dans son verre. Je le dévisage. Il est beau. Il m’impressionne. Nous discutons un long moment, je sais que ce sera la dernier moment où je pourrai discuter avec lui. Il se fume un bédo et nous refaisons le monde avec ce Château Margaux. Je n’ai jamais bu quelque chose de si bon dans ma vie. Au bout d’une petite heure passée avec le plus beau des hommes, il s’approche de moi en me lance « Place à la défonce. »

Il m’attrape par les cheveux et me conduit dans sa chambre ou des restes de Tom trônaient encore. Tout comme l’odeur de sexe que nous avions partagé tout à l’heure. Il me dit de me mettre à quatre pattes sur le lit, défait sa ceinture cloutée et me demande de compter à l’envers, de commencer par 69 jusqu’à 0. Je devrais aussi le remercier à la fin, d’avoir fait l’effort de me frapper, de transpirer pour moi. Je ne sais pas encore dans quel état je serai… Mais je devais assumer d’avoir mis du temps à bouffer le mélange.

J’ai rencontré Dieu… Au Canada – Acte 02/04

Le dimanche 2 décembre, mes bagages sont dans la soute, l’aéroport Charles de Gaulle est bondé et je sens que le voyage va être très long. Je vois des personnes avec des enfants pas loin de moi, ce qui m’évoque de mauvais présentiments. Je pars avec une de mes collègues qui sera ma binôme durant toute la semaine d’interrogation, elle rentrera directement après cette semaine, je lui explique que je reste une nuit de plus pour visiter. À vrai dire, c’est plutôt pour me faire visiter par le Canada. Et quel Canada ! Marc-André quoi !

Le voyage se passe finalement bien, j’informe Marc-André que je suis à mon hôtel et que je ne suis finalement qu’à quelques kilomètres de lui. Là où je n’avais pas encore été. J’essayais d’en savoir plus sur le sort qu’il me réservait. Sur ce que j’allais subir, mais il restait toujours assez évasif, c’était plus que frustrant. Le vendredi matin, il m’a envoyé son adresse, ce n’était finalement pas loin du Lycée Français de Montréal où j’avais interrogé toute la semaine des élèves de bonne famille, bien éduqués, instruits et extrêmement intéressants. J’y ai noté une spectaculaire différence avec mes élèves français, si peu respectueux du système et des adultes en général. Et si Marc-André en avait baisé un ou deux parmi ceux que j’ai eu à l’oral ? Cela ne m’étonnerait guerre.

Mes valises remballées, mon corps purifié, ma bouteille en main, je me rendus à l’adresse indiquée par Marc-André par message. J’arrivai devant un petit bâtiment. Je m’attendais à plus crado, les appartements ont l’air assez classes. Je monte au 2ème étage, appartement de gauche. Je sonne à la porte. Mon cœur était prêt à exploser. J’ai revu ces quinze années passées à imaginer Marc-André. À me branler sur ses photos. La porte s’ouvre et je vois un minot affublé d’une laisse en cuir ouvrir la porte. Je suis confus et m’excuse de ne pas être au bon endroit. « Tu es Jared ? » me dit-il. J’acquiesce et il me fait entrer.

D’emblée, j’étais chamboulé par la situation et je ne comprenais pas trop ce qui se passait. J’entrais dans l’appartement et fut pris au nez par une odeur que je trouvais excitante à souhait, mélange d’odeurs de pisse, de pieds et surtout de foutre. C’était prenant et je pense que la plupart des habitants de la Terre en seraient dégoûtés mais moi cela m’excitait. J’avançais dans un couloir et je suivais Tom et son cul affriolant, sa laisse autour du cou. Nul doute que ce minot de 16 ou 17 ans servait de réceptacle à foutre au grand Marc-André.

Le salon, beaucoup plus lumineux, s’ouvrait à moi et Marc-André était là, accoudé à son canapé, un bédo à la main qu’il amenait de manière douce et sexy à sa bouche. « Alors, c’est ça un français » me dit-il en me faisant signe de m’approcher. J’avais posé ma valise, ma veste et mon écharpe dans l’entrée, si bien qu’il ne me restait que son présent à la main. Je m’approchai de lui pour la lui offrir et ne savait pas trop si je devais lui faire la bise ou lui serrer la main ou ne rien faire. Je ne connais pas les us et coutumes des Canadiens. Alors je m’approche de Marc-André. Très près, je lui tends la bouteille et lui dit que c’est un souvenir de France. Il regarde avec attention la bouteille et me dit qu’il en fera excellent usage.

« À poil et à genoux devant moi ! » fut la troisième tirade de Marc-André. À ce moment-là, j’étais tétanisé. Son charisme, son autoritarisme et sa froideur m’avaient clairement glacé le sang. Aucune étreinte, peu de reconnaissance quant au cadeau que je lui offre, j’avais peur de ce qui allait se passer moi. J’étais effrayé mais aussi terriblement excité. Je me mis donc, selon sa volonté, totalement à poil, faisant glisser mes vêtements sur le canapé, mon futur lit que j’ignorais alors, entre deux boites de pizzas et des dizaines de bouteilles de bière. J’étais alors nu et suis allé me positionner devant Marc-André.

« Des années que nous parlons… Combien de fois as-tu imaginé cela ? » « Des centaines de fois Monsieur… »
« À quel point as-tu envie de moi ? » « A un point dont il n’est humainement pas possible d’avoir envie Monsieur »
« Dis-moi pourquoi je devrais accéder à ta requête. » « Parce que je mérite d’être soumis, humilié, dégradé par votre grandeur. J’estime qu’après toutes ces années d’attente, vous pouvez enfin me montrer ce qu’est un homme. Un vrai. Je n’ai jamais rencontré quelqu’un d’aussi puissant que vous. Il n’y a personne au-dessus de vous Monsieur. Vous êtes Dieu »

« Excellente réponse. Mais nous allons voir si tu me mérites petit individu sans utilité aucune » termina-t-il par dire. En réalité, ce sont des dizaines de questions auxquelles j’ai dû répondre, j’en ai sélectionné seulement quelques-unes, celles qui me semblent les plus importantes. Il était impassible, droit. Et moi j’étais à genoux devant lui. Sans oser le regarder alors que lui me dévisageais depuis mon entrée. Très sûrement pour se rendre compte de la peur et de l’envie dans mes yeux.

Il était affublé des mêmes fringues que sur les plupart des photos des années précédentes qu’il m’avait envoyées. Proche de lui, je sentais que les fringues n’avaient jamais été lavés, je sentais son odeur, je sentais sa présence. Tous les mots du monde ne suffiraient à décrire ce à qui j’avais à faire à ce moment précis de ma vie. Et pourtant, Marc-André était là, il s’est mis assis sur le canapé, son bédo presque entièrement consumé, il m’a demandé d’ouvrir la bouche et y a écrasé son mégot avant de l’y laisser. Il m’a demandé d’avaler avant de râcler sa gorge et d’y mettre un énorme mollard bien glaireux. J’ai avalé. C’est le nectar des Dieux.

Tom était à la cuisine, il n’avait pas beaucoup bougé depuis mon arrivée et semblait attendre la suite des évènements. Je me demandais d’ailleurs pourquoi il y avait un autre mec, affublé d’un collier de clebs dans son appartement. Il m’avait parlé de ce collier et je savais qu’il était cher à Marc-André. Cela était une preuve de soumission infaillible. Marc-André nous a demandé de le suivre dans sa chambre. Je découvrais alors cette pièce, assez sombre. Des trucs y trainaient absolument partout, pour un être aussi ordonné que moi, c’était difficile, mais c’était exactement ce à quoi je m’attendais à découvrir.

« Tom, tu t’allonges sur le pieu, tête en dehors comme d’hab. » lança Marc-André. Le petit s’exécutai sans broncher. « Jared, on va jouer à un jeu un peu spécial. Je vais te faire languir. Tu n’as pas encore le droit de goûter à mon corps mais je vais te faire un cadeau. Je vais défoncer la gorge de Tom, la démonter comme ce n’est pas permis. Tu vas venir te positionner juste en dessous de son visage en enfilant cet écarteur de mâchoire. Ainsi tu avaleras toute la salive de Tom, salive souillée par la crasse de mes couilles, par l’odeur de mon gland et par le travail de ma queue tellement massive dans sa petite bouche. Et tu ne broncheras pas. L’exercice peut durer longtemps »

J’ai enfilé l’écarteur de mâchoire et me suis installé comme voulu. Il positionna ses deux pieds autour de mon visage avant de s’accroupir. Le matelas était presque à même le sol et commença. Il déboutonna son jean et sortit sa queue. Immense. Puante. Impressionnante. Et il ne bandait pas encore. Il n’avait menti sur rien au niveau des odeurs. Cela prenait au nez, et c’était exactement ce que j’avais espéré et imaginé durant toutes ces années ou je me branlais en pensant à lui. Il glisse sa queue dans la bouche de Tom qui l’a pris allègrement, il devait avoir l’habitude de cela. Et puis Marc-André ne bandait pas encore.

Les difficultés arrivèrent assez vite puisque Marc-André commença à bander comme un taureau. J’étais aux premières loges de ce spectacle impressionnant et l’énormité de sa queue me laissait réellement béat. Il put alors commencer des va-et-vient dans la bouche de Tom qui prenait comme il le pouvait cette queue magistrale. Les premiers haut-le-cœur apparurent et la salive commençait à couler abondamment sur le visage de Tom. Quelques secondes après, les premiers relents arrivèrent dans ma bouche. Tom bavait énormément et Marc-André s’en donnait à cœur joie pour lui éclater littéralement la gueule.

A la fin de l’opération, je ne sais combien de décalitres de salive, de mouille et de souillures de queue de Marc-André j’avais avalé. Je ne pourrai pas dire que c’était ce dont j’avais rêvé mais c’était impressionnant. Humiliant. Extrêmement dégradant. Au bout d’un temps assez long, Marc-André cessait de bourriner la gueule de Tom qui en plus de saliver un max laissait couler des larmes sur ses joues qui se sont aussi retrouvées dans ma bouche. Si l’on m’avait dit un jour que j’avalerais goulûment les larmes d’un minet, je ne l’aurai pas cru. Tom, alors rouge comme une pivoine avait la permission de prendre quelques secondes de pause en se relevant.

Marc-André s’est approché de moi et a retiré l’écarteur de mâchoire qui était encore tout gluant de la bave de Tom. Il me l’a fait lécher et l’a déposé sur la table de nuit. Il m’a dit « Maintenant tu vas t’allonger à la place de Tom, tu vas lui bouffer le cul et je vais le niquer. Tu vas voir un peu ce que c’est de se faire baiser. » me dit Marc-André.

Alors je me suis exécuté, me suis allongé, Tom est venu se mettre juste au-dessus de moi, je bandais à fond, le grand Marc-André l’a autorisé à me pomper. Entre sous-merde, il parait que c’est possible. Je lui ai bouffé le cul, déjà bien ouvert. Marc-André, après être allé boire un coup, est revenu dans la pièce, sa queue massive et dure dans la main pour baiser le cul de Tom. J’étais aux premières loges et le spectacle était le plus beau du Monde. Marc-André s’est glissé dans le cul de Tom. Sans aucun ménagement, ce qui l’a fait hurler de plaisir. Ou de douleur. Je ne sais pas trop. Je pouvais voir de très près les couilles bien massives de Marc-André qui venaient frapper contre ce corps d’adolescent encore frêle. C’était beau.

Le rythme était soutenu et je plaignais le minet qui prenait des coups de butoirs presque inhumains. Il était trimballé telle une marionnette s’enfonçant le plus profondément possible sur l’une des plus grosses bites que je rencontrais dans ma vie. Mais il semblait être habitué à ce traitement étant donné que ma queue était, entre deux plaintes sonores, engouffrée dans sa bouche. Le minet avait des capacités assez incroyables. Néanmoins, au bout d’un long temps, il semblait souffrir et ses cris se faisaient davantage plaintes qu’autre chose. Marc-André était violent, il le frappait sans ménagement. Des bons coups de poing aux flancs, des énormes baffes dans la gueule. Le sexe se devait d’être violent pour ce mâle hors-norme. Il le tirait par les cheveux, par la laisse. Le minet n’était plus qu’objet. Un simple trou pour l’Homme.

Je sentais que le minet était à bout de force et il commençait à chouiner comme un bébé, ce qui n’arrêtait aucunement Marc-André qui continuait à l’utiliser comme un vide-couilles et à le violenter comme jamais. Ses couilles semblaient énormes et sa queue était sublime. J’avais tellement envie de la sucer, de la prendre en bouche pour la faire gicler.
Mais je n’osais même pas la toucher tellement j’appréhendais la réaction de Marc-André. Celui-ci après un temps que je qualifierais d’interminable, s’est mis à attraper fermement les fesses de Tom et à accélérer encore son action. Comme si c’était possible. Je voyais sa queue devenir plus massive et alors qu’il commençait à gueuler comme un roi, il déchargeait tout son foutre dans le cul de Tom. Il me sembla que ça durait un très long moment tant ses couilles devaient être pleines. Je venais d’assister à la reproduction de Marc-André. Il avait malmené ce minet et j’avais pu assister à tout ce spectacle. Le minet m’avait bien pompé mais à la fin, il avait lâché ma queue, la douleur ayant laissé place au plaisir. Je n’avais pas juté et ma queue bandait encore très fort. À m’en faire mal. Marc-André a laissé sa puissante queue dans le fondement du petit et chacun reprenait lentement ses esprits. Marc-André s’est retiré. Lentement. Laissant pendre sa queue désormais ramollie.

« Tom, tu prends tes affaires et tu te casses. Tu as mon jus au fond de toi. Sois en fier. Maintenant, je veux plus voir ta gueule. Je te donne deux minutes. Et viens là que je te retire ton collier. ». Marc-André avait été clair, net et précis. Ses paroles invitaient à filer droit. Et à ne surtout pas aller contre ses pensées. Le minet s’est relevé, il a essuyé ses larmes. Je pouvais voir les marques sévères dans son dos tout endolori des assauts de Marc-André. Son cul était béant, rempli à ras bord de foutre. Tandis qu’il se levait, Marc-André était encore au-dessus de moi. Je regardais le minet, défoncé, quitter la pièce pour entendre quelques instants plus tard la porte claquer. Il était parti. Comme ça.