Je suis passé à l’acte – 3/3

Il sortit sa queue sale de son boxer. Bien qu’au repos, c’était un beau morceau qui, dans d’autres circonstances m’auraient donné envie de la gober. Je senti alors un court jet de pisse chaude arriver sur mon nez. S’en sont suivies de grosses rasades envoyées de façon saccadées au fond de ma gorge. Elle avait un gout acre et amer mais je m’efforçais de tout avaler au fur et à mesure, jusqu’à la dernière goutte.

– Tu vois que tu es capable de faire un truc correctement. Maintenant que ta langue est bien humide, profites-en pour venir nettoyer la merde ton connard de mec. Et fais ça bien !

Apeuré et dégouté, le ventre rempli de sa pisse chaude, je m’exécutais sans broncher. Ma langue passa de tous les côtés de cette grosse verge qui grossissait à mesure que je la rendais propre. J’avais interdiction de la mettre dans ma bouche, juste de racler la merde du bout de ma langue. Le gout était ignoble, je sentais à nouveau les larmes couler sur mon visage alors que lui semblait de plus en plus satisfait. Une fois mon travail fini, il déchaussa ses AF1 de ses pieds et me dit :

– Tes AF1 sont bien neuves, c’est parfait, c’est ma pointure. Tu peux leur dire au revoir !

Il enfila à ses pieds mes skets toutes neuves que j’avais acheté en pensant à lui, quand kiffeur40 me faisait fantasmer sur Instagram, quand je n’imaginais pas encore le voir en vrai un jour. Puis lorsque j’ai accepté ce rendez-vous on l’on devait juste essayer les skets de l’autre voire les sniffer un peu. Mais depuis maintenant plus de deux heures, je regrette de m’être adressé lui. J’ai peur, j’ai mal, je me sens souillé, il a presque violé mon mec, il a remis la cause la confiance que j’avais en lui. Je suis désormais convaincu qu’il est capable du pire… Je suis en plein cauchemar. Malheureusement, ce n’était pas encore la fin de mon calvaire, il en avait décidé ainsi. Après m’avoir balancé un grand coup de ses AF1 pouraves en pleine gueule pour me faire tomber au sol, il m’ordonna de me mettre à genoux. Je ne savais pas encore ce qui m’attendait.

Seb doit voir la terreur dans mes yeux, je ne sais pas si cela lui était fréquent mais cela semble l’indifférer complètement. Il est impassible, sérieux et ne semble pas réellement être un marrant. Je ne me risquerai absolument pas à un affront. Je le fixai, sans cesse, essayant de caresser une émotion chez lui mais rien ne passait.

– Je vais laisser tes mains attachées, et je vais te laisser la chance d’avoir la bouche vide. Je ne t’y fourrerai rien pour le moment. Ni cho7, ni merde puante. Estimes-toi heureux que je te traite ainsi. Alors tu vas bouger ton énorme cul et tu vas monter dans le coffre de cette voiture. Sans crier gare. Sans sourciller. Je peux profiter de toi jusqu’à demain 7h demain ou je te ramènerai devant ton hôtel. Tu auras le temps de te décrasser et de déjeuner. Même si tu vas pas mal bouffer cette nuit, sois en assuré.

Quand il m’a parlé du fait de ne rien avoir en bouche, je lui ai dit merci. En revanche, plus il avançait dans ses paroles, moins je faisais le fier. J’étais déconfit et je ne savais pas trop ou il voulait en venir. J’étais perdu dans mes pensées quand un coup de pieds dans mes couilles avec ses AF1 toutes neuves me firent comprendre que j’étais là pour le servir. Pour lui obéir. Pour être avili. Et que je devais me résoudre à cette tâche si je voulais m’en sortir sans séquelles. Je me mis alors debout.

Il m’ouvrit son coffre en grand et je pouvais m’y installer comme je pouvais. Je me suis contorsionné, j’ai une corpulence assez forte si bien que ce n’est pas une affaire simple. Heureusement pour moi, son coffre était plutôt spacieux. Il empoigna le haut du coffre et me fit un sourire. Le premier de la soirée. Mais ce sourire était glacial, il était pervers. Je crois qu’en réalité, c’est la peur qui me gouverne. Le coffre claqua. Je m’installai du mieux possible, j’espérais alors que le trajet ne serait pas trop long. Et puis, ou allais-je ? Pour quoi faire ?

J’entendis le moteur vrombir et puis l’ouverture de la porte de garage. Nous avons roulé une petite demi-heure je dirais. J’avais perdu depuis le départ la notion du temps. Mon portable était en sa possession, je ne pouvais même pas l’observer, même pas regarder l’heure. Et sans cet appendice, je me sentais d’autant plus mal. La voiture s’est arrêtée après avoir parcourt un chemin tortueux que je ne saurais décrire. Je ne savais pas dans quel galère je me trouverais une fois le coffre ouvert.

Seb descendit de la voiture, je sentis la porte se claquer assez violemment puis des bruits de pas. Qui s’éloignaient à mon plus grand regret. Les pas s’éloignaient. Seb me laissait là. Dans un coffre de voiture, plié en quatre, sans le moindre moyen si ce n’est la voix. J’hésitais pendant un long moment à crier mais je me suis ravisé. Je ne savais quel pouvait être le prix pour de tels agissements. Alors j’ai attendu. Comme un chien attend son maître derrière la porte. Je ne suis plus rien. A cet instant précis, je ne suis plus rien. Et je ne sais comment réagir.

Là encore, je ne saurais estimer le temps qu’il m’a fait attendre, mais je pense une bonne demie heure. J’ai paniqué, je n’ai même pas pensé à m’endormir. J’entends enfin du bruit, des pas semblent se rapprocher, mais Seb ne semble pas seul. Il ne peut pas faire ce bruit à lui seul. Et puis j’entends surtout des fers sur le sol. Mon Dieu, à quoi vais-je avoir droit ? Le coffre s’ouvre et je vois Seb accompagné d’un jeune mec en cotte de travail et un étalon noir.

– Toi comme ton mec partagez votre goût pour les grosses queues. Ce soir, je vais réaliser ton plus grand fantasme : 40cm d’une queue bien noire et puante. Mais ne t’en fais pas, seule ta bouche servira. Je ne veux surtout pas t’abimer. Et puis il y aura sûrement une autre fois. Allé, descends de la bagnole gros tas de merde !

L’autre mec n’a rien dit tandis que Seb avait été clair. Ce soir, je devrai sucer une bonne bite de cheval. J’avoue y avoir déjà pensé. Et j’avoue avoir déjà mater des vidéos. Néanmoins, je n’étais jamais passé à l’acte et je ne voyais pas comment m’y prendre. Et puis, ce qui me faisait le plus fantasmé dans l’histoire, c’est la dose de jus gargantuesque qu’un étalon peut produire. Moi qui adore le jus.

Nous partîmes dont les trois et le cheval vers ce qui ressemble à une étable. C’est là que j’allais très sûrement sucer ma première queue d’étalon. C’était juste fou ce que je vivais.

Le mec bourru en cotte de travail dis alors à Kiffeur40 « Laissez-moi une dizaine de minutes avec le cheval dans l’étable, je dois le détendre pour éviter tout accident ». Seb me balança alors un énorme coup de pieds dans les couilles qui me fit encore une fois tomber au sol pendant que l’autre gars rentra dans l’étable avec l’étalon et ma dit doucement à l’oreille :
– On va profiter de ses quelques minutes pour te donner à lécher.

D’un grand coup d’AF1, il me fit tomber sur le dos, et se positionna au-dessus de moi, debout, fier de lui. Il mit ma chaussure droite sur ma langue. J’en étais un à stade de déchéance que je n’avais plus qu’une seule envie : faire plaisir à ce mec à qui, décidément, j’appartenais cette nuit-là. Je léchais sa sket qui avait déjà bien trainé dans la merde, le goût était absolument dégueulasse. Une fois bien propre, éclairé par les phares de sa voiture, il passa à l’autre chaussure. Même jeu.

Fort heureusement, la scène fut terminée avant que l’autre type vienne nous rechercher bien que j’eusse encore la bouche pleine de merde. Attaché par un collier et une laisse, je fus guidé dans l’étable par Seb qui tendit ma laisse à l’autre mec en lui disant « Vas-y, je te le prête, faut que cet étalon prenne du plaisir ». Ce bûcheron me conseilla alors de ne pas faire de mouvements brusques, de bien caresser sa queue en douceur et qu’elle va très vite durcir. Une fois dure, je pourrai bien la sucer et surtout la branler à deux mains en serrant bien fort pour le faire juter. C’est là que Kiffeur40 se baissa vers moi, planta son regard de tyran dans le mien et me dit :
– On ne bouge pas de là tant qu’il n’a pas juté et si ce n’est pas avec ta bouche, ce sera avec ton gros cul de vache ok ? Je filme tout, si tu t’avises un jour de parler de quoi que ce soit me concernant, ça deviendra public ta petite addiction pour les queues de bourrins. Allé, au boulot fils de pute !

J’approche alors ma bouche puante de la queue pendante de l’étalon. Cette dernière étant encore plus puante que je ne le pensais. D’une main, je l’avançai vers ma bouche et passa un premier coup de langue dessus sous le regard de mes deux bourreaux. Très vite, mes coups de langues furent de plus en plus assurés. Je bandais et je mouillais comme un ouf ! La queue est devenue raide et dure. Elle faisait bien plus de 40 cm, impossible de la prendre en bouche, le gland était démesuré mais je tentais à plusieurs reprises. Je me suis même surpris à lécher ses couilles gigantesques à plusieurs reprises. Sur les conseils de l’autre type, je branlais fort et à deux mains le cheval. Pendant de longues minutes, je me donnais à fond, comme si ma vie en dépendait car je savais que Kiffeur40 m’avait ordonné de faire juter ce canasson, coûte que coûte. Au moment où l’énorme gourdin du cheval était entièrement recouvert de ma bave, le cheval commença à s’agiter de plus en plus. Je mettais du cœur à l’ouvrage mais sa semence n’arrivait pas… C’est alors que le bucheron dit à Seb « Ça ne marchera pas juste en le branlant, c’est un jeune cheval, il a besoin de fourrer, désolé pour cette fois mec ».

Je fus enfin soulagé car j’avais vraiment mal aux zygomatiques et la bouche très sèche après avoir tenté de longues minutes de faire jouir ce cheval que je trouvais de plus en plus beau. Et j’étais surtout très fatigué, j’avais hâte qu’on me ramène enfin…

– Si tu veux, j’ai une bonne quantité de foutre de cheval que j’avais mis de côté ce matin. Au cas où. On a tout ce qui faut avec les séminations qu’on fait à la ferme lança le fermier.

J’ai pris peur. J’avais assez subi ce soir. Je me suis surpris mais je me suis mis à chialer. Comme une merde. Le mec revient avec un genre de gros biberon d’une contenance de 50cl environ. 50cl de foutre d’un canasson que j’avais essayé de sucer et de faire jouir, en vain…

– Tu avales ça et je te ramène à ton hôtel. Compris ?

J’ai regardé Kiffeur40 dans les yeux, essayant de l’implorer. J’ai essayé mais rien n’y a fait. Il est supérieur. Il est au-dessus de moi. Au-dessus de tout. J’ai alors ouvert le biberon, l’odeur était à la limite du supportable. Le sperme de canasson a une odeur vingt fois supérieur au sperme de mâle. Je voulais que ça se finisse au plus vite. J’ai pris le biberon, me suis bouché le nez de l’autre main et j’ai commencé à avaler ce putain de foutre. Ce putain demi-litre de foutre de canasson. Après la première gorgée, j’ai relâché le biberon et j’ai eu un haut-le-cœur de folie. C’était atroce. Kiffeur40 me regardait avec mépris. Je le décevais, je le sentais.

– Tu vas bouffer tout sinon je peux t’assurer que je vais vraiment me fâcher ! Bois ! Bois !

Il était énervé, ses yeux étaient révulsés. J’ai repris en main le biberon de jus, me suis bouché le nez, j’ai fermé les yeux et je n’ai pensé à rien d’autres qu’à mon mec. J’avais envie de lui, de ses bras, j’avais besoin d’un câlin énorme après toute cette nuit. J’ai avalé la totalité du biberon d’un trait, j’ai cru gerber toutes mes tripes. J’ai posé le biberon de manière forte sur la table afin de prouver ma légitimiser mon effort. J’étais effondré, j’avais juste envie de rentrer à l’hôtel et me repose.

– Bien lope. Je m’attendais à pire venait d’une baleine de ton espèce. Tu vas remonter dans la bagnole, il est 3h du mat’, je te ramène à ton hôtel. Tu pourras un peu te reposer.

Je me dirigeai vers le coffre de la voiture, Seb m’a dit que je pouvais m’assoir sur le siège passager pour le retour. On a pas mal parlé durant les vingt minutes de voiture qui nous séparaient de la ferme de son pote, presque resté muet durant tout le plan, Seb s’est un peu plus confié sur ses intentions envers moi et mon couple. J’étais pétrifié. Il me tenait par les couilles. Je savais qu’il en profiterait à l’avenir.

Arrivé à mon hôtel, Seb m’a glissé : « A bientôt ». Je suis remonté dans ma chambre d’hôtel, j’ai gerbé comme un fou, un bon litre de gerbe gluante à souhait. J’ai pris une douche salvatrice puis me suis couché dans mon King size. Il était alors 4h00, je me levais quelques heures plus tard et pourtant je n’ai pas pu trouver le sommeil cette nuit-là. Je pensais à Kiffeur40, à sa gueule d’ange, à son esprit pervers et à ce que ma vie allait devenir maintenant que je suis passé à l’acte.

Je suis passé à l’acte – 2/3

Je n’ai pas eu le temps de finir de me poser ces questions que les deux se mirent assis dans le canapé. Et là, un des plus gros chocs de ma vie. Seb était en train de galocher et de tripoter… David, mon mec ! Bien que la bouche encombrée de ses cho7 puantes, je poussais un énorme cri d’horreur. Mon mec, dont je n’avais aucun doute sur sa fidélité, dont j’étais fier qui ne succombe pas aux avances de kiffeur40, je le vois là, devant mes yeux en train de me tromper. Les larmes coulaient sur mes joues froides, la bave devait également couler sur mon menton. Mais je n’étais pas au comble de l’horreur. David était actif, il m’a toujours dit qu’il ne se faisait jamais prendre le cul, qu’il n’était pas un réel PD de ce point de vue. Il n’aime même pas sucer. Je l’acceptais, j’aimais ça, c’était son côté « mâle » qui me plaisait en plus. Kiffeur40 n’était pas passif non plus. Que faisaient-ils ensemble ce soir ? David déteste les mecs qui font des plans skets. Il ne comprend pas l’intérêt me répétait-il souvent. Mais après de longues pelles qu’ils avaient l’air d’apprécier l’un et l’autre, je vis Seb retirer une ses AF1 pourraves, celle-là même dans laquelle j’avais le pif avant dans la ruelle et la coller sur le nez mon amour. Je ne comprenais plus. C’était un cauchemar horrible et j’allais me réveiller.

Voilà que David se met à quatre pattes devant le canapé ou était bien installé Seb, le froc baissé, David avait toujours la AF1 collée sur la gueule, forcé par Seb jusqu’au moment où je le vis la jeter au sol. Les mouvements de tête de mon mec devant le bassin de Seb trahissaient bien l’impensable : mon mec pompe la queue de ce type ! La séance de de pipe dura une éternité à mes yeux. J’avais envie d’hurler, je chialais tant que je pouvais. Même si je savais qu’au fond, cela ne servait à rien. Je ne sentais plus mes poignets tellement j’étais en rage. Dans que guet-apens m’étais-je fourré ? Je vis alors la main de kiffeur40 s’approcher du cul de David à découvert dans son jock strap (Mais depuis quand mon mec a acheté et porte un putain de jock-strap ?). Un doigt glissa alors dans son fion, il tenta de le retirer mais se pris une grande baffe par le mec qui, de toute évidence, était en train de le dominer. Inconcevable à mes yeux, pourtant, ce spectacle m’était donné en direct. Et je ne pouvais rien y faire ; je subissais l’insupportable à mon esprit.

Les larmes coulaient, je gémissais comme une truie assis dans un garage fin pourrave avec les cho7 sales d’un mec que je viens de rencontrer, ce même mec qui était en train de dominer le mien. Le spectacle était juste impensable. Après s’être pris une bonne baffe dans la gueule, Seb continua son doigtage en règle du cul de mon mec, je voyais le trou s’écarter, il était en plein en face de la caméra. Seb était en effet, tel un pacha, sur son canapé, David juste devant lui donc cul offert à la caméra et donc à moi. Seb fixait très souvent l’objectif comme pour m’humilier encore davantage. N’était-ce pas assez encore ?

Heureusement, je ne pouvais rien entendre, je n’avais que l’image et c’était déjà pas mal. Il l’a ensuite retourné et j’ai vu David qui se mettait à quatre pattes sur le canapé. J’étais presque horrifié, j’essayais de détacher mes liens.

Enfin, quand-bien même j’arriverai à me détacher, je ne sais même pas quel étage ou quel appart il possède. Donc je me concentrai sur l’image et puis je vis Seb sortir un tube de gel, s’en foutre plein la queue, et plein le cul de mon mec. Il allait le baiser, là, sous mes yeux sans que je puisse agir. Il fixait la caméra tandis que David avait la tronche plantée dans les oreillers droits du canapé. Il voulait très sûrement retenir ses cris, voire ses larmes.

Adossé derrière mon mec, il lui murmure quelque chose à l’oreille. Et puis Seb s’est enfoncé peu à peu. Lentement pour commencer. Mais très vite, il est bien planté dans le fondement de David. Il tient la position quelques secondes avant de commencer un pilonnage intensif de sa grosse queue épaisse, c’est violent à l’image. David avait la gueule plantée dans les oreillers mais il semblait ne pas détester cela. Je pense même qu’il y prenait du plaisir. Je n’y aurais jamais pensé. Passé la stupéfaction et en plein sentiment de rage, je me dis alors : mais la capote ?? A aucun moment je n’ai vu Kiffeur40 mettre une capote sur sa grosse queue épaisse, juste du lubrifiant. J’ai peine à croire que le bareback était entendu entre eux mais force est de constater que le mec avec qui je partage ma vie se prendre une queue dans le cul sans capote !

Après dix minutes (étant planté dans l’écran d’un ordinateur, je peux voir le temps qui passe lentement), Seb retourna David pour lui coller une faciale à travers la gueule. Jamais mon mec aurait dit oui à cela avec moi. Et pourtant, il était là, langue tirée, deux ou trois doigts dans son cul à attendre le foutre bien épais de Seb. Il lui cracha à la gueule un sperme bien dense et abondant pendant que David se branlait, l’autre main dans son fion. Le spectacle était rageant mais aussi terriblement excitant. Je ne savais plus si je devais chialer ou juter. Une chose est sûre, je moullais grave dans mon boxer.

La jouissance ayant eu lieu, je vis Seb se rhabiller, je pense qu’il a demandé à David d’en faire de même. Le pauvre, il n’avait même pas juté… Je suis vraiment tombé sur un pervers. Qu’allait-il prévoir après cet épisode des plus humiliant ? J’allais bientôt le savoir. David pris congé après avoir serré la main de Seb qui passa vers la caméra en me faisant un clin d’œil.

Deux minutes plus tard, j’entendis du bruit approchant. Puis une serrure dans le garage. Le plan était redevenu fixe dans l’appartement ; plus rien ne bougeait. Il restait encore un boxer sur le côté du canapé et des traces de sueur sur ce dernier. La sueur du cul de mon mec qui venait de se prendre la queue de mon tortionnaire.

Seb entra à nouveau, il s’est largement foutu de ma gueule, j’avais de la morve et des larmes qui coulaient sur mon visage après le spectacle qu’il venait de m’offrir. Je ne pouvais toujours pas parler, il n’a pas parlé non plus. Il est arrivé, s’est positionné devant moi et m’a tendu ses doigts à sniffer.

– Sens moi un peu ça. Ton mec est une vraie chienne. Mais pour pouvoir s’en servir, il faut être un vrai mec, pas une sous-merde comme tu es Karim.

Ses doigts sentaient le cul, le cul de mon homme, l’odeur était dégueulasse. A tel point que j’ai dû tourner la tête brusquement pour me retirer. Quelle erreur ! Une volée de deux énormes claques dans la gueule m’assourdissait aussitôt accompagnées de ces mots :
– Ce n’est quand même pas de ma faute si ton mec est un gros porc au cul merdeux, d’ailleurs, je vais te montrer l’état de ma queue.

Kiffeur40 déballa alors sa queue à 5 centimètres de ma face. De toute évidente, il n’avait pas du tout pris soin de la nettoyer. Les traces brunâtres témoignaient d’une sodomie bien violente. Il la remballa dans son survêt en me disant qu’on verrait plus tard comment on allait nettoyer les dégâts causés par mon mec. Il se mit assis sur une chaise face à moi et planta son regard déterminé dans le mien sanglotant et me dit :
– Tu veux savoir ce que j’ai murmuré à ton PD de mec avant de lui péter la rondelle ? Je lui ai dit que s’il ne me laissait pas le baiser, je t’informerai aussitôt de sa venue chez moi, preuve à l’appui. Ton mec pensait venir se faire sucer sans que tu n’en saches rien. Il s’est amusé à se refuser à moi des semaines durant, il en a payé le prix fort. Et cette grosse salope a fini par couiner comme une connasse pour venir se prendre mon jus royal au fond de sa gorge et…

C’est alors qu’une sonnerie de SMS retentit de la poche de mon survêt. Il s’empara aussitôt de mon iPhone et me dit :
– Ta grosse salope de mec a quitté mon canapé il n’y a même pas dix minutes, il a encore le gout de mon sperme dans la gueule qu’il t’envoie un petit message pour te dire qu’il a passé la soirée devant sa console de jeux mais qu’il est déjà au lit car il très fatigué. Beaux mensonges dans votre couple si droit et fidèle dont vous me parliez sans cesse bande de petits merdeux ! Veux-tu que je lui réponde ?

Malgré les deux cho7 puantes qui m’en empêchaient, je tentais de crier, de me révolter. Au point de tomber sur le flanc, toujours solidement accroché à ma chaise. Je l’entendis alors prendre une photo de moi avec mon téléphone et me dire en ricanant :
– Je peux peut-être le rassurer en lui disant que tu dors bien, toi aussi. C’est ce qui arrivera si j’entends une seule fois le son de ta voix ou si tu te rebelles, sommes-nous d’accord ? Il sera ravi de savoir que tu n’es pas en réunion à Strasbourg pauvre fils de chien. Je vais maintenant retirer mes cho7 de ta gueule de pute, t’a pas intérêt à broncher, t’es prévenu, j’ai ton iPhone dans ma poche avec la clef qui te tient enfermé dans ce garage.

Il accompagna cet avertissement d’un grand coup de pied dans mes couilles avec ses AF1. Je l’ai bien senti passer et je compris alors que je n’avais pas du tout intérêt à me rebiffer. Il me détacha de la chaise sur laquelle jetais attaché maintenant depuis plus d’une heure. Mes poignets étaient bleus, je ne les sentais plus. J’eus le droit de répondre à David pour lui souhaiter bonne nuit et lui dire que je l’aime. J’ai ensuite reçu ordre de cet être maléfique de me mettre à genoux et d’ouvrir ma bouche le plus grand possible pour entendre :
– Tu dois avoir la bouche bien sèche avec mes cho7 puantes dans la gueule depuis un moment. Je suis gentil, je vais m’occuper de toi tu vois. Mais attention, une goutte sur le sol de mon garage et tu vas regretter d’être né gros tas de graisse répugnant.

Je suis passé à l’acte – 1/3

Je m’appelle Karim et j’ai 38 ans. Je suis en couple avec David depuis presqu’un an. Nous vivons une belle histoire, heureux et fidèles l’un à l’autre dans une petite ville provinciale. Un jour, sur Insta, je suis tombé sur un profil : Kiffeur40. Sur son profil, que des photos de skets et de cho7 bien crades. David ne le sait pas mais plus jeune, j’étais fan des plans crades, cho7 et skets. Ce kiffeur40 m’a rappelé bien des souvenirs de trips que j’avais à l’époque. C’est déjà loin en fait. Après plusieurs jours à aller visiter son profil, mater ses photos sans jamais oser les liker pour ne pas être découvert, je lui ai envoyé un message pour lui dire que je kiffais ses photos.

Très vite, je me rends compte que Seb habite la même ville que moi (je m’en doutais un peu vu le numéro sur son nom de profil…) et il a 29 ans. Pendant nos discussions, je lui dis bien que je ne cherche rien, je suis fidèle et je compte le rester. J’ai juste trouvé son profil sympa. Il m’a quand même envoyé des photos de lui. Je le trouve mignon. Je ne sais rien de lui, mais il voit tout de ma vie sur mon compte Insta qui je dois bien l’avouer montre mes amis, mon mec, mon taf, ma vie. Je sais que je joue à un jeu dangereux. Il peut parler à mon mec s’il le veut. Mais il m’attire, je sens vite que dans une autre vie, j’aurais pu être soumis à lui. Une dizaine d’années auparavant. Et j’aurais aimé lui être totalement soumis, à être chaque soir pendant qu’il se mate un film le nez sur ses cho7 daubantes. Il commence à avoir une certaine emprise psychologique sur moi et je refuse de lui faire ressentir. Un jour, il s’est décidé à me faire chier en pariant avec moi qu’il pourrait se taper mon mec. Ce jeu dura plusieurs semaines, je commençais à flipper grave le jour où il est allé voir mon mec qui bossait dans une boulangerie de la ville.

Sentant qu’il pourrait prendre le pouvoir, je décide d’inverser la vapeur : j’allais prendre le dessus et le soumettre à moi. Très vite, ça fonctionnait. Nos conversations étaient faites d’humiliation de moi à lui. Il voulait me voir et être à mes pieds. Il avait totalement oublié l’idée de se taper mon mec et ne pensait plus qu’à être ma lope. On parlait ensemble tous les jours mais je refusais cependant de passer à l’acte. Ce serait tromper mon mec et ce n’est pas ce dont j’ai envie. Je suis bien dans ma peau et bien dans ma vie, je n’ai pas envie que cela change jusqu’alors.

Mais Seb s’est lassé du jeu virtuel et commença à moins me parler, ne me contactait presque plus. Ou alors uniquement quand je prenais de ses nouvelles, comme par simple politesse. Je me posais de trop nombreuses questions.

Cela me manquait trop, j’étais accro à ce jeu. Je décidais alors de le reconquérir en me soumettant à nouveau. Mais il devint très vite insistant en me disant qu’il fallait qu’on passe à l’action vite sinon, on couperait le contact. Il ne voulait pas attendre et je pouvais comprendre que ce beau mec devait avoir des tonnes de mecs à ses pieds. Et d’un claquement de doigt, il pouvait avoir qui il voulait dans son pieu. Mais je sais que moi je lui offrirais autre chose. Si jamais j’osais…

J’y ai réfléchis tout un week-end, et le dimanche soir, j’acceptais un rendez-vous en lui disant bien qu’il ne se passerait rien de sexuel. Juste qu’on pourrait essayer les skets de l’autre, juste pour le kiff… Rendez-vous été donc pris : un lundi de décembre à 21H30 en bas de son immeuble (enfin, ce que je pensais être son immeuble). J’étais fébrile, j’avais dit à David que je ne rentrerai pas dormir car j’avais une réunion dans une autre ville. En réalité, j’avais pris un petit hôtel dans ma ville car je ne savais pas à quelle heure j’allais rentrer.

Me voilà donc là, devant le 38 impasse de Saumur, dans le froid, une ruelle déserte, avec mes skets aux pieds, attendant que Seb descende pour donner suite à mon SMS. Et puis je l’ai vu arriver, un sweat à capuche sur la tête, ses fameuses AF1 aux pieds. Il avançait d’un pas tranquille dans ma direction, il m’a tendu la main pour que je la lui serre ais-je pensé. Mais ses premières paroles furent :
– A genoux et tu embrasses ma main !

Je me suis exécuté telle la larve que je suis. Il n’y avait alors plus aucun doute. Je serai le soumis de l’histoire, la lope soumise aux moindres désirs du maître. J’ai embrassé sa main qui était d’une douceur folle, on sentait rapidement que le mec ne travaillait pas dans le manuel. Et je me suis relevé. La rue était déserte. Il s’est adossé au mur en s’allumant une clope. Il retira sa sket gauche et laissa son pied recouvert d’une cho7 bien crade adossée au mur. Il m’a dit de la sniffer, je me suis baissé pour la ramasser. Erreur numéro deux.

– Les chiennes dans ton genre, ça ne monte pas la sket au nez. C’est le nez qui va à la sket. Je me suis bien fait comprendre sous-espèce ?

J’acquiesçai de la tête avant de faire un 360 degrés pour voir si bien personne ne promenait son chien ou autre.

Personne à l’horizon, je me mets à quatre pattes afin de plonger mon nez dans la sket de Kiffeur40. Ces skets me font bander un max depuis des mois et j’attendais ce moment depuis des lustres. Comme prévu, les skets puaient la mort, leur état était lamentable. Et j’adorais ça. Pendant que je me gazais, il lâchait ses cendres sur moi et me balançait aussi mollards et insultes. Je n’osais pas me relever. J’étais tétanisé et excité à la fois. Il y avait une sensation étrange en moi. Cela faisait des années que je n’avais pas ressenti ça et je pense que cela me manquait.

Je ne savais pas ce que lui pensais du spectacle, je pense qu’il aimait ça.

– Relève la tête et tends-moi ta main droite.

Je m’exécutais naturellement et lui tendis la paume de ma main droite, il alla chercher un bon gros mollard glaireux pour le cracher en plein centre. Il écrasa alors sa clope au centre de ma main. Il m’ordonna ensuite d’avaler ce qu’il avait dans la main. Qu’en aucun cas il tolèrerait que son mollard et son mégot rejoignent la terre. Ils devaient tout deux passer par mon corps au moins une fois avant de rejoindre la rejoindre. Je refusais très nettement. Sans réfléchir encore une fois. Je le regretterai plus tard, assurément.

– Très bien. Ce fut un plaisir. Bonne continuation à toi lâcha-t-il en enfilant sa sket laissée fumante jusqu’alors.
– Non, excuse-moi, je…
– Tu quoi ? Hurla-t-il. C’est le troisième ordre que je te donne et j’ai déjà droit à un non. Comment dois-je interpréter cela ? Tu n’as pas réellement envie de moi. Tu n’es pas à la hauteur. Tu n’es qu’un gros tas de graisse incapable d’avaler un mégot alors qu’on lui a déjà fait avaler de la merde par le passé ?

Il était froid et cinglant. Il me faisait peur. Je pris une bonne bouffée d’oxygène et plongeai ma bouche au-dessus de ce mollard-mégot afin de l’aspirer. J’avalai alors. En ne le lâchant pas du regard. Il semblait satisfait.

– Très bien. Je préfère cela. Lève ton cul maintenant et on va rejoindre mon garage, j’ai aménagé quelques trucs là-bas.

Il envoya également plusieurs messages, j’essayai de voir à qui ou pour quoi. Je n’ai rien vu malheureusement. Nous rejoignîmes son garage qui était aménagé, il me dit de m’assoir sur une chaise qui trônait au milieu de la pièce. Il passa derrière moi et j’entendis des bruits métalliques, il m’attacha alors fermement les mains dans le dos à l’aide de menottes, je n’hurlai pas, je savais que la sentence serait d’une sévérité sans pareille. Je l’ai regardé, et dans mon regard, il a dû voir un truc du genre « Mais qu’est-ce que tu me fais ? On n’a jamais parlé de ça. ». Il m’a dit d’ouvrir grand la bouche pour y glisser une cho7 bien crade. Puis la deuxième. Ma bouche n’était plus qu’un gouffre à crasse et à odeurs. Et je ne pouvais plus aucunement piper mots. Il posa devant moi un PC avec ce qui semble être une vidéo en plein écran qui donne sur un appartement. Tout est inanimé.

– Très bien. Je vais fermer le garage et t’y enfermer. Tu vas rester sagement là, sans rien dire. Tu peux chialer si tu veux, je n’y vois aucun inconvénient. Je serai de retour dans une heure ou deux. J’ai besoin de te casser. Réellement. Durement.

Son portable sonna alors et je n’eu pas d’autres mots que ceux-là. Il dit à son interlocuteur qu’il arrivait dans la minute. Il éteint la lumière de son garage puis me laissa là dans son garage. Avec cet écran qui était figé sur une pièce encore vide…

J’étais là. Perdu. Dix minutes passèrent alors. Je tremblais, je ne savais plus si c’était la peur ou le froid. Les menottes étaient trop serrées et me faisaient un mal de chien aux poignets et aux chevilles. Je fixais cet écran ou rien ne se passait, un canapé à l’image mais personne ne bouge. Jusqu’au moment où je vis le bas d’un corps passer et installer une serviette sur le canapé. La cam était installée de façon à ce que je vois bien le canapé mais pas plus haut. J’ai reconnu le survêt de Seb. Il quitte l’écran et revient trente secondes plus tard avec quelqu’un d’autre. Que voulait-il ? J’avoue que je ne comprenais pas bien la manœuvre. Que je le regarde baiser ? Les deux corps étaient face à face. Je compris alors qu’ils étaient en train de s’embrasser, je voyais juste leurs mains se toucher le cul et frotter leur queue sur leurs pantalons. Malgré la peur, je commençais à bander. Ce mec était tordu, pervers de me faire ça mais voir deux mecs niquer, ça ne me laissait pas indifférent. Quel mec cela laisserait indifférent ?

Malgré tout, mes pensées raisonnaient dans ma tête : une fois qu’il aura baisé avec ce mec, que va-t-il faire de moi ? Dans combien de temps va-t-il me libérer ? Et pourquoi me faire assister à cela ?