La nuit des motards – 2/2

Ma chienne était maintenant rassasiée, prostrée au pied de mon lit auquel elle était attachée. Les nuits d’été sont belles en général et la lune dessine sur les montagnes la silhouette des grands arbres centenaires. Le parc qui entoure ma propriété pouvait être le lieu idéal d’un second round où se mêleraient grands espaces, brise légère, retour aux sources et un je-ne-sais-quoi d’inconnu pour mon bâtard à qui je décidais de faire prendre l’air.

Nu comme un ver, la bite humide encore, épaisse et bien pendante, j’entraînais ma salope à l’extérieur en ayant pris soin préalablement de lui passer une cagoule destinée à lui faire perdre totalement le sens de l’orientation.

J’entassais dans un sac de sport quelques instruments de torture sexuelle. Sa laisse en main, je lui fis faire le tour du parc sans lui dévoiler mes intentions.

— Tu bouges maintenant, et je te préviens que tu vas connaitre le plaisir des nuits d’angoisse en pleine nature, lui dis-je.

Il eut pour unique réponse :
— Mais Maître, vous serez là, vous restez à mes côtés ?
— Silence petite chienne, plus un mot ou ce sera ton dernier ! Tu peux gémir, pleurer mais tu ne parles que si j’exige une réponse à une question précise.

Le silence se fit aussitôt, juste le bruit de nos pas dans l’herbe fraîche, le cri des buses, et des renards qui semblaient observer ce curieux manège.

Mon choix se porta sur un arbre massif au fond du parc, juste à l’entrée de la forêt qui bordait l’extrémité sud du parc. Je poussais fermement ma lope et l’adossais contre le tronc rugueux à l’écorce saillante. Un premier gémissement me fit entrevoir que ce contact n’était pas sans douleur. Je sortais du sac quelques mètres de cordage et entrepris de le ligoter. Une corde autour du cou qui faisait le tour complet de l’arbre, idem pour le bassin et les jambes.

— Adieu petite lope, ce fût une belle expérience, lui lançais-je.

Je m’éloignais de ma proie ainsi ficelée et la laissai seule, au milieu de nulle part. J’avais un point d’observation, de la fenêtre même de ma chambre. À dire vrai, c’était terriblement bandant de voir ce grand garçon, seul, nu, aveuglé, planté là, laissé pour compte.

Une bonne demi-heure passa, le temps pour moi de griller trois ou quatre clopes, de vider quelques canettes de bière et pour ma lope d’être totalement angoissée. Je revenais à ses côtés, en passant par la forêt sans dire un mot et sans laisser entrevoir qu’il était question de son Maître. Des bruits de pas provenant des sous-bois, quelques coups portés sur les arbres voisins, des grognements aussi. Je m’approchais de ma chienne en panique et pouvais voir perler des gouttes de transpirations à l’intersection de la cagoule et de son cou entravé.

— Ohhhhhh Maître, Maître, je ne dois rien dire, Maître, Maître… Mais c’est vous Maître s’il vous plaît…

Brusquement et sans rien dire j’enfonçais un foulard dans le gueule de ma lope que je fixais avec du ruban adhésif. Je collais ma bouche à son oreille et lui murmurais en tentant de changer de voix :
— Ton Maître t’a vendu, tu es à nous maintenant… Tu seras docile sans quoi tu ne verras plus jamais le jour se lever… Fais un signe si tu as compris ce qui est en train de se jouer là !

Des gémissements, des pleurs et l’accord tacite de ma chienne par un hochement de tête.

Je commençais alors à disposer méthodiquement une cinquantaine de pinces à linge sur les tétons, les couilles et la queue de mon bâtard qui se tordait de douleur. Je dus lui administrer une baffe monumentale pour lui rappeler ce qui était en train de lui arriver. J’entrepris ensuite de l’étrangler par tranche d’une minute, pour le faire suffoquer, mais pas trop, juste afin de faire monter la tension. Ce petit jeu sadique dura en tout et pour tout une trentaine de minutes. Je libérais ensuite cette grosse chienne des pressions en tous genre et le détachais du tronc massif. Un soulagement total pour ma lope qui devait penser que le tour était joué et qu’en fin de compte le plus dur était derrière elle.

En un sens elle avait raison la petite salope. Le plus dur était bien derrière elle. Ma grosse bite gorgée de sang et la vessie pleine de bière, je jetais au sol mon prisonnier et j’enfonçais d’un seul coup brutal ma grosse bite dans son cul que je limais sauvagement et qu’en quelques minutes j’avais inondé de ma pisse la plus jaunâtre. Un lavement de circonstance qui me soulagea et mit ma chienne dans tous ses états. La petite salope était en train de bander et tentait de s’astiquer. Je lui attachais les mains dans le dos. J’entrepris ensuite d’essuyer mes baskets couvertes de boue sur le corps entravé de ma lope, allongée sur un tapis de feuilles et d’herbes en tous genres, et d’exercer de solides pressions sur sa queue raide et imposante que je piétinais sans ménagement.

Je remis ma chienne sur pieds et l’entraînais vers le potager, situé à quelques mètres de là. Toujours sans un mot, je la jetais à terre, face contre le sol et lui expliquais dans un timbre d’outre-tombe que j’allais fertiliser son cul en le gavant des légumes du jardin. J’arrachais quelques carottes en terre et entrepris de lui gaver le cul. Les cinq premières tiges passèrent assez facilement, mais au total une dizaine devaient trouver leur place dans son cul de salope. Un beau défi dont je suis fier et après tout, ma chienne aurait pu aussi s’en glorifier. J’exigeais ensuite qu’elle fertilise mon potager, et les carottes au cul, j’entrepris de la branler sévèrement pour irriguer les sillons désormais orphelins de quelques carottes. Une fabuleuse giclée de sperme me donna entière satisfaction. J’aspergeais à mon tour cette connasse de foutre son visage laissé enfin à l’air libre.

Il fut terriblement humilié de constater qu’il était question de son Maître et que toute cette angoisse était en fin de compte parfaitement maîtrisée. La dernière humiliation fut de taille. À l’image du retour à la maison, ma chienne en laisse, carottes plantées dans le cul, les feuilles à l’air donnaient à ma lope des allures de Bugs Bunny. Le second round était salé, mais tellement bandant. En nous rapprochant de la maison, nous entendîmes au loin des bruit des motos. Je me retourne vers ma lope et lui réplique :
— Tiens voilà ton dessert qui arrive.

Effectivement deux minutes plus tard quatre motos se garent dans le jardin. Je mets ma lope à quatre pattes, l’attache au pied de la table de jardin et je vais accueillir mes potes. Ce sont des mecs de cité qui font de la motocross et du stunt. Ils sont hétéros, mais dans le milieu cross stunt, la pudeur n’existe pas vraiment.

Le premier, Fred, 18 ans, grand et d’une maigreur affolante est totalement imberbe avec une queue courte, environ seize centimètres mais d’une largeur impressionnante qui lui a valu le surnom d’ouvreur. Il passe toujours en premier pour préparer les trous. Le deuxième, Joe, 24 ans, mince avec une musculature joliment dessinée et une queue de dix-huit centimètres circoncise avec un gland massif. Le troisième, Ben, 20 ans est plutôt trapu. Une vraie montagne de muscles.

Dix-huit centimètres avec un prépuce d’une longueur inimaginable ! Même en pleine érection le prépuce continue à pendre comme une queue au repos et pourtant il décalotte super bien. Et pour finir le quatrième, Seb, 19 ans est petit et mince, un vrai corps d’Apollon version miniature. On pourrait écrire un roman sur sa queue. Seize centimètres et très épais… Mais au repos ! En érection, on est plutôt à vingt-trois bons centimètres. Je vous laisse imaginer les proportions démesurées sur un corps aussi petit et fin ! Il est obligé de porter des baggy pour pouvoir ranger son arme redoutable. Mais je suis certain que ma petite lope Jared, friand des queues les plus massives, adorera Seb !

Je laisse donc la pouffiasse attachée à la table de jardin et nous entrons dans la maison pour rafler quelques canettes de bière. Le grand sec me demande alors :
— C’est quoi la chose que tu as attachée dans ton jardin ?

Je lui réponds :
— Une petite lope qui a besoin de se faire doser par des chacals. Je l’ai déjà labourée, humiliée et je lui ai même planté des carottes dans le cul. Mais il lui faut toujours plus ! Je sais que vous êtes ‘hétéros’ mais je sais aussi que vous êtes toujours en rut. Donc c’est l’occasion pour vous de vous défouler et d’explorer les zones les plus sombres de vos fantasmes refoulés. À part nous, personne ne saura jamais ce qu’on aura fait à cette sale chienne. Les mecs se regardent entre eux, gênés, ne sachant que répondre. Je sens que j’ai touché un point sensible et ils hésitent.

Je rajoute :
— Hey les baltringues. Vous faites les durs, votre devise « No Fear », vous en faites quoi ? Vous vous dégonflez ? Je vous ai déjà tous vus à poil, je vous ai déjà vu vous branler voire plus. Vous le faites sans pudeur et là vous faites vos tarlouzes à fourailler un trou avec vos queues. Alors vous attendez quoi ? Putain vous êtes vraiment des lopes tout comme elle, vous mériteriez que je vous traite comme la chienne qui est attachée à ma table de jardin. Vous me décevez, la prochaine fois que j’ai envie de pisser je vous appelle vous me servirez d’urinoir. Vous êtes juste bon à ça !

Je savais que la provocation allait réveiller les maîtres qui dorment en eux. Je ressens leur gêne, ils n’osent même plus se regarder. On dirait quatre adolescents puceaux en train de regarder ensemble leur premier film de cul. Je regarde le plus petit, il est manifestement gêné mais on voit pertinemment que son baggy est gonflé. Je me rapproche de lui, palpe sa bite à travers son froc.

— Mais tu bandes comme un porc mon salaud ! Ça t’a excité !

Je dégrafe son pantalon et sort son énorme engin. Putain c’est un manche de pioche, c’est monstrueux et gonflé à bloc. Je regarde les autres et leur dit :
— Allez montrez-moi les vôtres bande de fiottes !

Les mecs s’exécutent et, surprise ils bandent tous. Je me baisse et goûte à cette énorme queue que j’ai en main. Le petit mec frémit et n’arrive pas à contenir un gémissement de plaisir. Je me relève et leur dit :
— Bon les mecs, vous avez une lopette à rassasier en bas et lui faites pas de cadeau. Vous commencez par cueillir les carottes que j’ai plantées dans son derche puis vous me la finissez. Je vous avertis les mecs, je vous surveille. S’il y en a un qui se dégonfle où qui n’est pas à la hauteur, il prendra la place de la lope et j’aurai l’honneur de le fourrer sans ménagement en premier.

Et voilà que mes quatre petits motards descendent finir ma lope. Je suis surpris, ça a été plus simple que je le pensais de les engrener. Tu me diras, avec tout ce qu’ils ont ingurgité dans la soirée ; deux bouteilles de whisky et cinq pack de bière, ils peuvent être prêts…

Je regarde par la fenêtre mes quatre jeunots se taper le cul de ma lope qui hurle de plaisir. Mais sa bouche n’est pas longtemps laissée béante. Ben se met à lui remplir de sa bonne bite pendant que ses potes se succèdent dans son cul. Ils jutent tous à l’intérieur. Après avoir juté, les mecs vont s’installer un peu plus loin se descendant une ou deux bières. Comme si de rien n’était. No fear.

A quatre heures du matin, je vais saluer mes potes motards et les remercier de leur venue. Je vais retrouver Jared, le cul béant, il doit sentir les courants d’air vu comme il est ouvert. Il est couvert de terre mais son sourire me fait penser qu’il a passer un excellent moment.

_ Je t’emballe les carottes, tu pourras les manger en rentrant chez toi lui dis-je fièrement. Je le détache et lui demande de rester à quatre pattes, je tiens sa laisse et le fais remonter à la salle de bain. Je l’installe dans la douche, je règle la position sur l’eau froide et l’asperge de la tête aux pieds, je lui tends un savon pour qu’il retire toute la terre sur son corps. Il grelotte et j’adore ça. Les lopes ont besoin d’être refroidies : je ne sais pas combien de fois il a lâché son jus durant cette soirée. Je lui tends un linge et lui dit de me suivre, toujours la laisse autour de son cou.

Je l’amène dans ma chambre et l’invite à se coucher… Par terre, devant mon lit.
_ Ton train est à quelle heure demain ?
_ 10h03 Maître me répondit-il.
_ Très bien. Je mets le réveil à 8h, tu me prépares un petit déjeuner sur un plateau et je te ramènerai à la gare. Bonne nuit esclave dis-je. Il me répondit simplement. Je savais qu’il ne dormirait rien de la nuit. Le parquet est froid et grinçant. Je lui avais quand-même refourgué une vieille couette qui sent un peu le moisi. Je suis humain.

J’entends le réveil qui sonne, la lope est déjà debout et se dirige vers la cuisine. Ma vessie va exploser. Toutes ces bières auront eu raison de moi. Quelques minutes plus tard, il m’apporte un petit déjeuner complet.

_ Installe-toi à genoux. Ton petit déjeuner est ici lui dis-je en pointant du doigt ma grosse queue puante. Je lui pisse alors dans la bouche, il semble assoiffé tant il avale ma pisse avec désir. J’aime ça. Le flot semble ininterrompu. Si je n’ai pas pissé plus d’un litre, je n’ai rien pissé du tout. Jared me regarde avec ses grands yeux. Ce serait facile de tomber amoureux.

_ File t’habiller et te préparer, on part dans vingt minutes lui dis-je. Je prends tranquillement mon petit déjeuner, lui se prépare, élimine certainement les dernières traces de merdes laissées la veille. Il revient tout pimpant quelques minutes après.

_ Puis-je faire quelque chose Maître ? me dit-il. Je lui ordonne alors de décrasser mes pieds qui sortent de la couette. Il s’installe devant et fait son dégoûté. Le pauvre ne doit pas être déçu : la soirée en santiags sans cho7, ils sont dégueulasses. Mais il lèche. Après quelques minutes, je lui ordonne de descendre et de se préparer devant ma moto.

J’arrive vers ma bécane, il a son casque et porte le mien dans sa main gauche qu’il me tend. Je le ramène à la gare, avec l’honneur d’avoir pu voir pour de vrai Jared. Et de l’avoir humilié. Il s’en rappellera de cette nuit-là.

La nuit des motards – 1/2

« J’arrive dans deux heures à la gare de Lyon » C’est le message que je viens de recevoir. Je me décide à venir te chercher. Tu connais mes conditions. Je ne suis pas fan d’odeurs ni de crade. J’aime que le mec soit passif et très gourmand. Il doit chercher à me faire plaisir sans que je lui demande, à m’épater, à m’obéir sans rechigner. Chaque fois que je dois être directif, cela m’agace et ce n’est pas bon pour toi… Plus je suis agacé, plus je suis invivable voire brutal et violent. Toi, tu es intrigué par moi, je t’attire mais malgré tout, tu crains de ce que je pourrais t’imposer. Tu me connais sans vraiment m’avoir cerné.

Je viens te chercher et malencontreusement, je suis obligé de t’attendre. Le train aura du retard et du coup je me mets en rogne. Tu me sonnes lorsque le train entre en gare. On se rejoint quelques minutes après. Tu es désolé. Tu as une boule d’angoisse. Tu sais que je suis contrarié. On sort alors pour rejoindre ma bécane. Je ne suis pas impressionnant et cela te rassure un peu. Je ne fais pas si peur que tu l’avais imaginé, mais ce n’est qu’une couverture, je sais cacher ce genre de choses.

Tu te présentes à moi tout sourire mais avec ce fond d’angoisse que je ressens dès tes premiers mots. En fait tu espères que ton sourire charmeur endormira mon agacement. Et moi à cet instant je pensais « Mais quel con ! Il me fait mariner et il me nargue avec son sourire ». Je m’assois sur ma bécane et je tends mon bras et te colle une magistrale claque devant tout le monde. « Efface-moi ce sourire de niais de ta tronche de morveux ! Tu me fais poireauter et ça te fait sourire ! Tu as vraiment besoin d’être dressé toi ! Tu vas voir, je vais te montrer à coups de fouets comment on apprend le respect aux sous-merdes dans ton genre ! » Tu tentes alors de bégayer quelques mots mais tu n’as pas le temps de finir ta phrase que tu en reprends une dans ta face : « Ta gueule… Et mets ton casque ! » Tu t’exécutes et je rajoute : « J’espère que tu sais au moins être un bon passager à moto ! Grimpe salope ! » Tu commences à douter… La peur te tiraille et tu te demandes dans quelle galère tu vas te fourrer…

Mais finalement tu te décides. Tu grimpes sur la moto et nous partons. En roulant, tu tentes de m’amadouer et m’exciter en glissant ta main sur mon paquet. Ça ne me fait aucun effet. Tu as raison, tu m’excites mais l’excitation aiguise mon irritabilité. J’ai été particulièrement agacé de devoir t’attendre dans le froid à la gare, avec passants qui me regardaient comme si j’étais une pute en train de faire le trottoir. Cette décharge de haine qui est en moi n’est pas près de disparaître. Il va falloir que tu donnes de toi pour te faire pardonner !

Nous arrivons chez moi et je te demande de descendre de la moto pour aller ouvrir le portail. Tu descends de la bécane d’une manière foireuse et en plus tu n’arrives pas à ouvrir le portail. Je suis obligé de mettre la moto sur béquille et ouvrir le portail par moi-même. Non seulement tu n’as pas l’air doué mais en plus j’ai l’air fin avec la trique visible dans la rue. Je rentre la moto dans le jardin et te montre une porte. Je te demande alors de m’attendre devant cette porte. Je fais le tour pour entrer chez moi et je descends t’ouvrir. Je te fais entrer. Nous sommes dans une pièce de deux mètres carrés avec une porte sur chaque mur.

Là je plonge ma main dans ton boxer. Je veux vérifier, je manipule brutalement ta queue, la décalotte, frotte mon doigt contre ton gland. Je ressors ma main et sens mon doigt. Je vois que tu as fourni un effort : ta queue est propre mais après quelques heures dans le caleçon, elle sent, très peu mais il y a un soupçon d’odeur. Je te colle une baffe sur l’arrière de la tête. Ce ne sera pas la dernière que tu recevras durant ton séjour.

J’ouvre une porte et tu découvres alors un minuscule cagibi. Il y a une chaise et elle occupe toute la place. Je te retourne et attache tes mains dans ton dos avec un collier plastique. Je te force à t’assoir sur la chaise et attache tes mains à celle-ci avant te balancer : « Hey mec ! Je t’ai à peine vu que tu m’as gavé alors je vais te laisser sécher ici. Ça te fera réfléchir un peu. Quand je reviendrai, j’espère que tu seras capable de me proposer quelque chose pour te faire pardonner. » Je claque la porte et tu te retrouves coincé dans le noir dans ce petit espace exigu. Tu entends mes pas sur les marches d’escaliers qui sont le dessus du cagibi.

Je reviens te voir une heure plus tard, j’ouvre la porte et tu es ébloui par la lumière : « Alors tu as réfléchi ? Tu n’es même pas à la hauteur de tes prétentions… Tu as une grande gueule par mail et à la caméra mais en réel tu n’es qu’une grosse merde. » Je te sors un glaviot d’anthologie. J’ouvre ta bouche et le crache au fond de ta gorge, la referme et te colle une claque sur l’arrière de la tête. Je te montre un verre plein sur une toute petite étagère dans un coin de ce cagibi. « Regarde ce verre ! C’est ma pisse de ce matin… bien froide et puante. » J’attrape le verre te le porte à la bouche : « Bois ! Et ne t’avise pas d’en faire tomber à côté ou de recracher. » Tu bois tout en prenant bien soin de ne rien faire tomber ou ruisseler. « Tu boirais n’importe quoi toi ! C’était la pisse de mon chien, mais ce n’est pas grave, ça prouve que tu es prêt à beaucoup de choses… » Je te vois avoir des relents, je sais que je suis sadique. Je n’ai même pas de chien.

Je te détache de la chaise, te mets debout, baisse ton froc et ton boxer. Je palpe ta queue et tes burnes. Je prends tes burnes en main et je les serre fort. Tu te plies de douleur. « Alors tu es prêt à m’obéir sagement ou tu as besoin d’être dressé ? Penche-toi en avant. » Une fois penché, je palpe tes fesses, mon doigt va titiller ton petit trou. Puis je t’enfonce sans ménagement un plug à peine lubrifié. Je te force à t’asseoir te rattache et repars en te laissant dans le noir le plus total. Encore.

Toi de ton côté, tu commences à être excité par la tournure que prennent les événements mais tu as peur. Que va-t-il bien t’arriver ? Tu sens la présence de ce plug en toi, tu as le goût de mon urine dans ta bouche, tu es attaché dans le noir d’un minuscule espace. C’est le seul endroit que tu as vu dans ma maison.

Quelques heures plus tard, c’est autour d’un whisky-coca que nous nous réconcilions. Je t’ai laissé mariner dans le cagibi pour voir si tu étais capable de tenir, de ne pas t’effondrer telle une merde, tu as résisté, le jeu va donc reprendre son cour normal. Je t’ai retiré le plug de ton cul de lope et je voulais désormais passer aux choses sérieuses.

Prétextant quelques photos incroyables dont je voulais te faire partager la primeur, je t’attirai alors vers une pièce au fond de la maison. Tu me suivis sans broncher, savais-tu que tu étais au centre d’un piège qui se refermait sur toi-même à chacun des pas que tu faisais ? Que tous ces pas te conduisaient, dans ce long couloir, au destin que je te réservais ? Une grande chambre, aux volets baissés, avec salle de bain et WC privatifs, sera l’aire de jeux et de dressages intensifs. Je te fis passer devant moi pour te faire les honneurs de la pièce. À peine avais-tu le dos tourné que je te poussais sur le lit pour t’attacher solidement les mains à l’aide de menottes de circonstance. Tu poussas un cri de stupéfaction en lâchant un : « Déjà ! Mais attends un peu ! » vite contré par la lanière de cuir tendue autour d’un slip sale imbibé de pisse et de sperme séché que je te serrais autour de la bouche.

Étendu sur le lit, les mains et la gueule entravées, il me faut à peine une minute pour ôter ton pantalon, tes baskets et t’arracher cette chemise bleue déjà partiellement déboutonnée. Un beau spectacle que ce grand garçon presque nu, les genoux à terre et le torse sur mon lit. Je t’écartais violement les jambes et passais ma main par derrière entre tes cuisses. Je pouvais constater que tu bandais très fort et que ta queue était tout bonnement énorme lorsqu’elle bandait fort. Je pensais à ce moment précis que j’avais choisi la bonne salope et qu’elle allait en baver. À dire vrai, je bandais comme un taureau et mon boxer était trempé de mouille à l’idée de ce séjour qui s’annonçait torride.

Une fois le caleçon à terre, je tirais sévèrement ta grosse queue et tes couilles en arrière entre tes cuisses pour te faire comprendre qu’il fallait désormais m’appeler Maître et me vouvoyer. Une ceinture en cuir et une raclée sur tes fesses suffisaient à te faire lâcher le « Oui Maître, bien Maître » que j’attendais. Pour te féliciter de ce premier pas, je te permis de te mettre debout afin de t’inspecter des pieds à la tête. Mais pourquoi est-ce que je te parle à toi finalement ? C’est à tous mes lecteurs que je vais désormais m’adresser pour leur montrer le calvaire que je t’ai imposé…

Je lui fis comprendre qu’il devait baisser la tête et les yeux par quelques baffes bien administrées. Ce qu’il fit sans broncher. Inspection édifiante, bon tétons que je pinçais et mordillais et comme j’avais ses couilles dans une main, chaque petit cri était assorti d’une pression pour lui faire comprendre que je voulais du silence. Une vraie grosse bite très épaisse que je décalottais à plusieurs reprises en mordillant le prépuce. Me restait à examiner son cul plus en profondeur. Je le fis mettre à quatre pattes la tête sur la moquette et le cul en arrière. Du gel, un doigt, deux doigts, trois doigts, un nouveau plug de taille plus considérable enfin enfoncé qu’il garderait quelques temps. J’étais satisfait, tant le potentiel de cette salope à en devenir était énorme.

Il était à genoux… Je lui mis sans attendre davantage son collier de chienne et une laisse qu’il garderait toute la nuit. Je retirai mon boxer de sa bouche. Exigeant de ma salope qu’elle se déplace à quatre pattes, je le tirais vers les WC, par sa laisse. J’exigeais qu’il mette sa tête dans les chiottes, le visage incliné. Je sortais ma grosse queue du jeans et fis couler délicatement ma pisse sur ses joues pour qu’elle arrive ruisselante au creux de ses lèvres en ordonnant qu’aucune goutte ne lui échappe. « Tu vas boire toute ma pisse petite salope. » Ce second « Oui Maître » me fit l’effet d’une bombe. L’excitation était à son comble et j’en voulais encore d’avantage. Assis sur les chiottes, je lui bandais les yeux. Je lui ordonnais de me lécher la bite et sans crier garde je lui enfonçais dans la gorge en l’étranglant avec sa laisse. Cette pute pouvait vraiment faire des gorges profondes sans pratiquement s’étouffer. Je décidais alors de le balancer sur le lit, sur le dos, tête en arrière sur le rebord du matelas et je me mis à lui limer la gorge pour lui faire gober tout ma mouille et je lui balançais des mollards sur sa petite gueule de salope excitée.

Cet exercice dura bien dix minutes et à chaque tentative d’esquive de ma queue, je lui administrais une correction sur ses grosses couilles pendantes. J’avais l’idée de lui faire bouffer mon cul, aussi je m’asseyais sur sa face de chienne en chaleur et lui imposais de me récurer le cul avec sa langue, bien en profondeur. Au même moment je décidais de m’attaquer à ses couilles en les serrant avec une corde que je pourrais tirer à volonté le cas échéant. Je pris du gel au creux de ma main et commençais à le branler frénétiquement. Puis j’arrêtais pour qu’il ne jouisse pas et je repris pour bien chauffer le gland de la salope qui me récurait profondément le cul.

Le plug ayant fait son effet je décidais d’aller inspecter son cul avec ma grosse bite. Je collais ma pute à genoux, par terre, je retirai le plug de son cul déjà bien ouvert. Avec une main je tirais la corde avec laquelle ses couilles étaient attachées et le rodéo pouvait commencer. Je lui introduis d’un coup sec ma queue et commençais à le limer sauvagement en me cramponnant à la corde à couilles. Je possédais totalement ma monture et quinze minutes après, j’entrepris de le gazer au poppers pour m’attaquer à une double pénétration avec mon pote le gode de vingt-quatre centimètres.

Les débuts de cette double pénétration étaient laborieux, mais la corde à couilles était là pour dissuader ma chienne de toute tentative de rébellion. Je parvenais à mes fins et les deux gros calibres pouvaient aller et venir dans son cul béant de salope au service du maître. Ce dernier exercice avait tellement excité ma chienne que je finissais par la goder en la suçant et c’est une explosion de sperme que ma bouche pouvait enfin accueillir. Je déversais ce trop-plein de jus sur mes pieds dont j’exigeais le nettoyage immédiat par ma salope. Un bon quart d’heure passé à me récurer les pieds, il était temps que je fasse bouffer mon jus à ma monture assoiffée. Je lui enfonçais ma grosse bite dans la gorge sans jamais la sortir avant que mon sperme explose et qu’il avale tout jusqu’à la dernière goutte.

Comme il était temps de se restaurer, j’enchaînais ma lope au lit, j’allais préparer quelques sandwiches dont je jetais quelques miettes et morceaux déglutis dans la gamelle réservée à ma chienne entravée. La nuit pouvait commencer… Le temps de reprendre quelques forces… Le premier round était désormais terminé et je le trouvais très prometteur. Je déposais sur le sol des pinces à tétons, des godes de différentes tailles, des entraves cloutées, d’autres cordes, une cage de chasteté, quelques foulards et chaussettes dégueulasses et le second round au clair de lune s’annonçait déjà comme jouissif.