J’étais à quatre pattes devant mon cousin qui s’est assis sur son lit, il continuait à se toucher la teub pendant que je lui bouffais les pieds. Je passais entre chaque orteil, pour récupérer tous les morceaux et les odeurs que j’avais oublié tout à l’heure. Il prit alors une barre chocolatée près de son lit, se mit à la bouffer. Je compris vite lorsqu’il me fit ouvrir la bouche pour tout recracher dedans. J’étais sa pute, son urinoir, son mouchoir et maintenant sa poubelle. Il me dit qu’il n’est pas loin de juter.
— Fous-toi allongé sur le dos sur le lit, ta gueule en dehors du matelas que je puisse prendre ta bouche comme une chatte et y foutre toute ma sauce.
Je pris la position qu’il souhaitait et il enfourna sa teub dans ma bouche pour un dernier pilonnage en règle ! Au bout de deux minutes, il déchargea alors, le gland sur mes lèvres. Je pris de grandes giclées dans la gueule. Il juta énormément, c’était impressionnant. Mais je me délectais de cette liqueur. Il en coula bien sûr par terre. Il reprit doucement ses esprits. Mon cousin me fixait droit dans les yeux, peut-être se rendait il compte qu’il vient de grave m’humilier. Ou alors de réellement prendre son pied. Pour de vrai. Pas avec une salope de meuf qui ne veut pas se faire réellement baiser comme elle devrait l’être.
— Je veux quand même que tu jutes salope ! Alors tu vas commencer par laper tout le jus sur le sol et viendra t’asseoir sur ça !
Il montrait du doigt sa lampe torche qui avait un diamètre assez large. Je lapai donc toute la semence perdue, et vînt m’asseoir sur la lampe. Il prit alors pour la première fois ma queue en main, et me branla pendant que mon cul coulissait sur sa torche. Je mis quelques secondes à juter tant j’étais excité par tout ce qui venait de m’arriver. Je restai immobile, mon cul empalé, et mon jus tout autour. La main de mon cousin était recouverte de sperme, il me la fit nettoyer comme une chienne. Il était déjà 3h du matin, et je tombais de sommeil lorsque mon cousin me dit :
— Attends ! Viens dormir dans mon lit ma p’tite salope, ça me ferait plaisir que tu m’appartiennes encore pour la nuit ! Et tu dois partir à quelle heure demain ?
— Vers 9 heures
— Tu resteras jusqu’à 11h, on va encore s’amuser un peu avec toi demain matin !
Je n’allais quand même pas dire non ! Ça ne se refuse pas des occasions comme celle-ci, de plus, le lendemain matin on allait être seuls, les parents étant au boulot…
On se mit donc au lit, mon nouveau maître me mettant alors sa queue molle dans le cul et me disant que je devais la garder toute la nuit dans mon fondement, sinon, j’allais être réveillé à coups de ceinture… Bien que l’idée m’excitât un peu, je m’exécutai et essayai de garder ce mandrin toute la nuit en moi… L’idée n’était pas si mauvaise finalement.
Je fus réveillé par une sensation bizarre dans mon corps… Je sentais la respiration de mon couz’, il était réveillé, je compris quelques secondes plus tard, sentant toujours sa queue dans mon cul qu’il était en train de me pisser dedans… La sensation était vraiment très forte… Et puis j’entendis :
— Si tu en perds une seule goutte, c’est ma merde que je te mettrai dans la bouche !
Je fis donc bien attention. Sa queue était toujours plantée dans mon boule, ça servait de bouchon. Rien ne pouvait sortir. Je me rendormis complètement esclave et in love de mon cousin.
9h. Il avait foutu un réveil cet enfoiré, je pense qu’il n’avait pas envie de rater la matinée qu’il m’avait prédite. Sa queue était toujours dans mon cul ! Ouf, il la retira et je me plaçais sur le ventre par peur que la pisse de la nuit ne coula sur les draps. Il sortit de la chambre, ne faisant même pas attention à moi ! Il m’a juste dit qu’il avait faim, et qu’il m’attendait sur la terrasse pour le petit déjeuner. Je plaçais mes mains sous mon cul et fit un saut par les chiottes pour me vider de la pisse d’un autre mec… Ce n’est pas commun comme truc ! Mais ça me faisait bander comme un âne…
Bien vidé, je me rendis sur la terrasse. Mon cousin était en train de bouffer, il avait enfilé ses TN, on avait les mêmes mais les siennes avaient au moins deux ans de plus. Bien pourraves. Je m’assis face à lui, il portait juste un caleçon plutôt large qui lui aussi avait du vécu !
— Ben t’attend quoi pour te mettre à l’œuvre ma salope ?
— Là, sur la terrasse ?
— Ouais, tu verras c’est kiffant en extérieur. Allé, passes sous la table !
Je n’avais rien à perdre, de toute façon, je ne connais pas les voisins ici ! Alors je suis passé sous la table, j’étais à quatre pattes sur le balcon avec seulement un calbut blanc et mes pompes. Je m’approchai de sa teub qui était déjà bien bandée. L’odeur était forte. Mélange de pisse, et de jute. Je commençai par bien respirer l’odeur puis je me mis à le sucer bien fort. Je ne voyais même pas sa gueule mais je suppose qu’il kiffait ce que je lui faisais ! Je l’ai entendu écrire un texto. Cinq minutes après, le frérot apparut juste derrière avec ses skets et un short de bain. Il s’assit à ma place.
— Tant qu’à faire, autant que Loïc en profite aussi lâcha mon cousin.
S’il savait que cette nuit, je l’ai pompé et lui ai vidé les couilles… Loïc commença à me tripoter le cul, me foutre des doigts. Tout ça sans ménagement. Mon cul était encore bien open. Les deux frères parlaient pendant ce temps la.
Après quelques minutes à servir de pute à mon maître, les deux me dirent de rentrer, et de m’allonger sur le dos sur la table du salon. Je le fis sans rechigner ! Ils arrivèrent quelques minutes après, le temps de mettre une stratégie au point pensais-je.
Le petit se plaça au niveau de mon cul et m’enfila directement son chibre… Pendant ce temps-là, le face-sitting allait s’accomplir. Mon maitre s’agenouilla alors au dessus de ma tête, j’avais son trou du cul au niveau de la bouche et la queue me retombait sur le dessus du visage. Il commença alors à se lâcher… Voulant limite m’étouffer, c’est le principe me confiront-ils plus tard. Il lâchait même à l’occase quelques pets foireux que j’étais obligé d’avaler, ce n’était pas désagréable. Je ne voyais pas mon enculeur, pourtant il me labourait bien la chatte, ça durait depuis dix bonnes minutes. Puis ils échangèrent les places. J’eus donc à être étouffé par le plus jeune de mes cousins. Lui ne se gêna pas pour me larguer des caisses énormes dans la gueule… Après cette nouveauté, j’eus droit encore à une première…
Mon maître se plaça cul sur la table, et m’ordonna de venir m’empaler sur sa belle queue, je le fis… Et quelle ne fut pas ma surprise lorsque je sentis une deuxième queue s’introduire en moi… Putain mais mes cousins sont vraiment géniaux… Je les vénère ! Les deux me défonçaient bien le cul à fond. Ça dura facilement vingt minutes, mais mon cul s’en souvient encore ! Après, le petit s’est retiré, ils m’ont allongé sur le dos… Mon maître a continué à m’enculer et le petit à se faire sucer… Ils ont juté les deux en même temps, l’un dans mon cul, l’autre dans ma bouche béante. Mon cousin me fit ensuite sucer sa queue pleine de foutre qu’il sortait de mon cul.
Après avoir jouis comme des fous et souillés mon corps, il fallait le nettoyer… Ils me soulevèrent à deux pour me mener à la salle de bain dans la baignoire où je me pris leurs pisses bien copieuses et fumantes sur tout mon corps, ma bouche restant grande ouverte pour recueillir le précieux breuvage… Ils me laissèrent ainsi dans la salle de bain, recouvert de pisse et gavé de leur sperme. Je me mis à me branler, jutant jusque dans ma bouche vu l’excitation de cette matinée. Puis je me nettoyai, et reparti. J’ai revu mes cousins après ça, mais cela ne fut jamais aussi intense que ces jours de juillet. Malheureusement…