Les conséquences de mon infidélité (02/02)

Quelques jours plus tard et à la demande de Tony, mon mec me dit qu’il l’a invité à manger le soir même. Il ne va pas bien, et a envie de parler. J’espère juste qu’il n’a pas envie de parler de moi et de ce qu’il s’est passé il y une semaine plus tôt dans la forêt… Il me dit qu’il faudra que je fasse à manger étant donné qu’il bossera toute la journée. Et moi étant encore en vacances, j’ai tout le temps pour ça. Le soir arriva. Mon mec était là depuis environ trente minutes lorsqu’on sonna à la porte.

— Bah qu’est-ce que t’attend pour aller ouvrir ? Lâcha mon mec.

Je l’envoyai chier de me parler ainsi mais j’allai ouvrir la porte tout de même. Tony était là, tout fier, il ne me fit pas la bise comme à chaque fois mais me cracha dans la bouche et me glissa à l’oreille que je n’avais pas intérêt à contester un seul de ses actes ce soir… Je me suis alors inquiété, encore une fois je n’avais pas du tout envie que tout notre petit manège soit découvert.

Il entra dans la pièce, dit bonjour à mon mec. On passa alors à l’apéro. Et une, et deux, et trois vodka-Red bull plus tard, les discussions allaient bon train, Tony nous parlait beaucoup de son ex qui l’avait quitté pour rejoindre son amant. Qu’il était trop mal à la suite de cela et qu’il n’aimait pas être pris pour un con. Qu’on se foute de sa gueule. Le truc plein de sous-entendus, et ça m’énervait pas mal à vrai dire. Mais mon mec ne se doutait de rien, il lui disait juste que si ça lui arrivait, il ne pourrait pas se retenir de casser la gueule à son mec. Pour lui c’est être faible que de tromper. Et là, je me sentais encore plus mal… S’il lui avouait là tout de suite, je sais que je me ferais tabasser peut-être à en crever.

La table était prête et les lasagnes cuites, on se mit donc à manger. J’étais en face de Tony qui m’écrasait en permanence les pieds afin de bien me faire comprendre qui était le patron. A la fin de la soirée, j’avais les pieds totalement endoloris, j’en pouvais plus, si bien que je me levais le plus souvent possible. Il le remarqua au bout d’un moment et me lança un regard à glacer le sang. J’acceptai donc la situation, et posai mes pieds à plats sur le sol. Il posa alors ses talons sur mes orteils en appuyant de toutes ses forces. Mon mec partit un court instant aux toilettes. Tony alla alors chercher un mollard énorme au fond de sa gorge et le cracha dans mon verre, et me fit un clin d’œil. Je n’avais vraiment pas envie de boire ça. Ce mec est un réel porc.

Et puis tout bascula d’un coup. Mon mec reçut un coup de fil de son boulot. Il fallait qu’il parte pour une mission le plus vite possible. Il en aura pour quelques heures logiquement. Il s’habilla donc et parti, me laissant seul avec Tony. Il avait toute confiance en nous. Il savait très bien que je n’aimais pas les petits lascars comme lui. Et puis il n’avait aucune raison de s’inquiéter. Il nous dit donc de finir le dessert tranquille, et me dit qu’il ne fallait pas que je l’attende, il rentrera au milieu de la nuit. La porte claqua. Il ne restait donc dans la pièce plus que Tony et moi. Mais étaient surtout présentes ses idées salaces et dégradantes… Il finit son dessert en silence. Puis il me dit :

— Ramasse la table, je veux que plus rien ne traîne, je ne veux pas que ton cher et tendre se doute de quelque chose. Mais avant tout, donne-moi ton PC, j’ai quelques recherches à faire.

J’allais donc lui chercher mon ordinateur portable, et lui confiai. Je me mis à ramasser la table, à laver la vaisselle et à tout ranger. Une fois cela terminé, je retournai au salon. Tony était là, les pieds nus sur la table, la clope au bec et l’ordinateur posé entre les jambes.

— Viens me lécher les pieds, je ne suis pas sûr qu’ils soient très propres. J’ai dû marcher sur un truc merdique pendant le repas.

Je m’exécutai à lui récupérer ses cho7 déjà bien pourraves. Avec ses TN au goût bien prononcé, je me doutais que ses cho7 étaient tout aussi dégueulasses et puantes. Puis je passai évidemment aux panards. Ses ongles de panards sont longs et noirs. J’ai cru gerber. Et ça a duré un bon moment…

— Je suis sur un site de rencontres, j’ai mis ta photo et j’ai mis une annonce comme quoi je te faisais tourner ce soir. Déjà trois mecs ont mordu à l’hameçon, ils viennent de Clair Soleil, tu situes ?

— Nan mais Tony, ce n’est pas possible. Baise-moi et file, il va rentrer d’une minute à l’autre. C’est trop de risques pour pas grand-chose. Et puis s’il nous surprend, je pense que votre longue amitié sera elle aussi touchée, lui ai-je rétorqué.

Il me répondit calmement que ce n’était pas à moi de décider ce qui était bon pour mon cul. Et qu’il savait ce qu’il faisait, mon mec ne rentrant pas maintenant de sa mission. Je n’avais pas le choix, j’approuvai en silence, et retournai à ma place, c’est-à-dire à ses pieds… Plus bas que terre. Il me dit ensuite de me mettre totalement à poil, je le fis. Puis de me placer sur le lit et sur le ventre. Il alla ensuite chercher deux paires de menottes qu’il avait dans son sac, m’en mis une à chaque main et m’accrochai au lit. Une main de chaque côté. Il fit de même avec mes pieds qu’il attacha avec des foulards trouvés dans mon placard. J’étais totalement offert. Tout du moins, mon cul l’était.

Mais il devait se foutre totalement de mon bien être.

Puis il s’occupa alors de mon fondement, commença à me doigter lentement, puis un peu plus fort et rapidement. Bien sûr, il m’encula, telle une chienne. Sans ménagement. Mais il n’alla pas jusqu’à la jouissance. Quelques minutes après, les trois mecs dont il m’avait parlé sont arrivées. Trois arabes, on aurait dit trois frères tant ils se ressemblaient, ils avaient la vingtaine. Je pus juste les apercevoir, le premier, ne se défringuant même pas, vînt m’enculer. Il bandait déjà bien dur l’enflure. Un bon dix-huit centimètres, assez épais. Il m’enculait très fort, je poussai des cris de femelle comme Tony m’ordonnait. L’un des autres mecs déballa sa queue devant ma bouche, je le suçai. Je pensais alors que si je le faisais jouir par la bouche, ils resteraient moins longtemps, et je retrouverai ma liberté plus vite.

Le premier juta en moi en une dizaine de minutes, laissant place à celui qui était encore inactif. Et là, je sentis une énorme différence… Sa queue devait faire au moins cinq centimètres de plus tant j’étais rempli à ras bord. C’est à partir de cet instant que je commençai à vraiment prendre du plaisir et ne plus simuler. Sa queue ramonait mes intestins pendant qu’un autre me détruisait la gorge à grands coups de buttoirs. Mes deux actifs jouirent quasi-instantanément. L’un dans ma bouche, je me délectai de ce nectar de rebeu, l’un des plus acres tandis que l’autre tassait le jus de son pote au fond de moi. C’était trop bon. Ils remirent leurs zobs dans leurs survêts, donnèrent vingt euros chacun à Tony puis sortirent.

— Vingt euros pour trois mecs. Je vais être riche à la fin de la soirée ! Lança Tony.

Je ne savais plus quoi penser, alors je ne lui répondis même pas. Il se remit alors sur l’ordinateur afin de trouver d’autres mecs. Il avait reçu, pendant que je me faisais enculer, plusieurs messages de mecs qui habitaient aux alentours. Ils leur donnèrent mon adresse afin qu’ils puissent venir au plus vite me baiser.

C’est ainsi que dans la soirée huit mecs vinrent me baiser le cul tandis que Tony récoltait l’argent que mon cul rapportait. Je pense que si je n’étais pas menotté au lit, je l’aurais volontiers tué de mes mains. Mais ce n’est pas le cas. Il me tient par les couilles et il sait pleinement en profiter.

Un mec partit tandis que deux minutes plus tard, on entendit des clefs dans la serrure. C’était mon mec. Il découvrit avec surprise mon corps attaché au lit, mon cul dégoulinant de sperme et Tony toujours sur le canapé, la queue à la main en train de se palucher devant mon ordinateur.

— Attend, je vais tout t’expliquer ! Dit Tony pendant que je pleurais toutes les larmes de mon corps.

Il empoigna Tony par le col et lui dit de partir. Qu’il avait des choses à régler mais qu’il aurait très vite à s’expliquer de cette situation. Il partit, me laissant seul avec mon mec.

— Jamais je n’aurais pensé que tu baisais avec Tony. Je n’y crois même pas. N’essaie même pas de te justifier, tu vas prendre tes affaires et te barrer tout de suite de chez moi. Je ne veux plus jamais entendre parler de toi, me lança-t-il.

Ce qui fit redoubler mes sanglots. « Mais avant de te détacher, ne bouge pas chéri, je vais bien m’occuper de toi ! ». Sur ces paroles, il détacha la ceinture de son pantalon et me donna la pire correction de toute ma vie.

Pendant trente minutes, il va me frapper, sans s’arrêter. Pour libérer toute sa haine, pour se venger de la douleur que je lui impose. Aucune partie de mon corps ne sera évitée. C’est avec un corps totalement meurtri qu’il me détacha, ses larmes comme les miennes coulants sur nos joues respectives. Il me dit de me mettre debout, ce que je fis avec beaucoup de difficultés. Il prit mon visage entre ses mains et me mit un coup de pied de toutes ses forces dans les couilles. La douleur irradia totalement mon corps. Je tombai à la renverse.

— Disparais ! Je ne veux plus jamais te voir. Tu sais ce qui t’attend si un jour ta route croise à nouveau la mienne, je ne serais pas aussi clément qu’aujourd’hui.

Je mis donc toutes mes fringues ainsi que mes affaires dans des sacs, et c’est ce soir-là que je partis de chez mon mec. A cause de Tony. Et c’est ainsi que je me retrouvai seul. Mon ex ne m’a plus jamais donné aucune nouvelle. Je n’en ai pas plus de Tony, je sais qu’il est parti à Lyon, mais si je le retrouve un jour celui-là, je me suis promis de me venger. Mon corps mit environ deux semaines à se réparer totalement tant les coups l’avaient endommagé. Mon dos était en bouillie. Mon cœur lui est toujours en miettes.

Les conséquences de mon infidélité (01/02)

Cette histoire s’est passée il y a désormais quelques mois. J’étais à l’hôtel avec mon amant, on avait passé une nuit de folie, du pur bonheur mais tout se gâta arriver au petit déjeuner. On sort de notre chambre autour de dix heures, ayant profités de nos corps en ce début de matinée, on descendit pour prendre ce premier repas de la journée. Nous étions côte à côte et là je vis au loin le meilleur ami de mon mec, Tony. Nos regards se croisèrent, je devais être à cet instant totalement décomposé, livide, si bien que je ne lui adressai aucun signe, aucun mot. Il n’avait pas l’intention de le faire non plus. Il repartit après avoir payé sa note de la nuit, non sans me fixer de son regard le plus noir.

Je ne savais vraiment pas quoi faire. Le rattraper ? Il n’est pas crédule, il a bien compris mon petit manège. Alors je l’ai laissé partir sans rien dire, me disant que peut-être il n’en parlera pas à mon copain. Bien qu’ils se vissent au moins une fois par semaine. J’étais terrorisé, je n’avais pas envie que mon couple dépérisse à la suite de cette tromperie. On prit donc le déjeuner, je n’expliquai bien sûr rien de cela à mon amant, il m’aurait surement rassuré mais je n’avais pas envie d’entendre cela.

Quelques semaines passèrent sans aucun remous, je me suis dit que Tony avait surement autre chose à faire, qu’il n’avait pas envie de rentrer dans notre couple. Après tout me suis-je dit, il n’est pas censé savoir comment fonctionne notre couple… Alors je me mis aussi à oublier cette fâcheuse rencontre, mais je peux vous avouer que cela m’a calmé au niveau du cocufiage. Jusqu’au jour où je reçus un Snap de Tony. Chose qu’il n’avait jamais faite. Je m’empressai alors de l’ouvrir et un message simple en trois phrases plutôt surprenantes m’y attendaient : « RDV à 10 heures demain matin au Grand Désert. On verra de quoi tu es capable par amour. Sois là, où ce qui t’arrivera risque de ne pas te plaire du tout. » Surpris. Voilà le mot qui me vînt à l’esprit à cet instant, j’étais chamboulé, et je ne savais comment vraiment réagir.

Je n’ai pas beaucoup dormi cette nuit-là. Me retournant sans cesse dans notre lit. Réfléchissant à ce qu’il avait l’intention de me faire. Voulait-il juste me parler ? Régler ces comptes en redonnant toute sa dignité à mon copain ? Je connaissais le Grand Désert de Besançon, c’est un endroit sur une colline, qui est réputé pour les rencontres gays. Bien souvent, des mecs de tout âge s’y retrouvent pour baiser, de nombreux bosquets et recoins y pullulant. Dix heures, j’étais déjà sur le parking du Grand Désert à attendre ma destinée. J’avais enfilé un short en jean et un T-shirt blanc, je portais mes Converses aux pieds. Une barbe de trois jours durcirait mon visage et mes cheveux partaient dans tous les sens. Quelques minutes plus tard, Tony arriva dans sa vieille bagnole, il se gara à quelques dizaines de mètres de moi. Nous étions les seules voitures sur le parking, un jour de semaine et tôt le matin, ça semblait plutôt logique. Il descendit de la voiture, il était habillé en survêtement et TN, et on voyait qu’il faisait la gueule. Tony opte pour le style lascar, même s’il est aussi blanc que moi, il kiffe ça. Il n’est pas bien grand et ne m’a jamais vraiment attiré.

Il m’adressa quelques mots en me disant qu’on allait se promener dans les bois. Là, il me parla de mon mec, que ce que je faisais n’était pas bien, mais qu’il ne lui en parlera pas à condition que je fasse tout ce qu’il me disait de faire. Tout ce que j’avais donc envisagé tomba à l’eau, en fait il profitait du fait de savoir quelque chose de confidentiel sur moi pour me faire chanter et profiter de mon jeune corps. Pendant cette balade, on croisa un vieux type, la soixantaine, qui avait tout du parfait pervers. Et puis arrivé dans un bosquet, il me dit de me mettre à genoux devant lui. Je m’exécutai donc, je n’avais encore une fois pas le choix. Puis il me dit qu’aujourd’hui il se contenterait d’abuser de ma bouche et de mon cul.

De quoi pouvait-il donc abuser d’autres ? Et là, il m’attrapa par les cheveux et positionna ma gueule sur son pacson qui refoulait bien la pisse. Il me fit renifler puis lécher son bas de survêtement au niveau de la bite.

Instinctivement, je sortis ma queue, on ne peut pas dire que je restais indifférent devant ce traitement. Je suis une chienne et toute chienne qui se respecte serait excitée par une telle situation. Il le vit et m’engueula, en me disant que j’avais assez pris de plaisir avec le mec l’autre jour à l’hôtel. Il me fila donc un coup de pied dans les couilles, ce qui eut pour conséquence de me refroidir. Puis il baissa son jogging, laissant apparaître un boxer noir déjà bien porté. Ça avait l’air de bien avoir déjà macéré là-dedans. Il me fit faire la même chose avec son boxer, c’est-à-dire le sniffer et le lécher. Sa queue transparaissait bien et on devinait une bonne bite de mec, un bon dix-huit centimètres à vue de nez. Enfin, vînt le moment où il retira son boxer bien dégueulasse. J’aperçus alors la queue du meilleur ami de mon mec. Il portait un cock-ring en métal et sa queue était bien raide. Il refoulait bien la pisse et le sperme.

« Alors elle te plait ma queue ? » qu’il me demanda, je répondis d’un hochement de tête. « Il faudra t’y habituer, tu vas la voir souvent désormais… ». Joignant les paroles à l’acte, il prit ma tête dans ses mains pour me faire bouffer sa queue bien à fond. Il me donnait la cadence à laquelle il aimait être sucé. Je respectai ça et il n’eut plus à me tenir lorsque je compris son rythme. Je le suçai tantôt en fond de gorge tantôt en faisant des va-et-vient incessants. Puis il tira fort mes cheveux vers l’arrière, renifla un bon coup et se plaça juste aussi de ma bouche. Il cracha alors le contenu de sa bouche, je l’avalai de force même si ça me dégoutait vraiment.

Quand il en eut marre de ma bouche, il me dit de faire descendre mon short et mon caleçon en bas de mes jambes pour qu’il puisse accéder à mon cul. Quelques bouffées de poppers plus tard, il était à me mettre quelques doigts mouillés de sa salive. Le poppers faisait son effet, c’était la toute première fois que j’en prenais, et n’étant pas habitué, je me sentais déjà partir. Il en profita. Ma queue bandait bien dure, ce qui ne lui plaisait pas. Il me mit alors plusieurs coups bien placés dans mes grosses couilles pendantes.

En ayant marre de me coller des doigts dans le cul, il vint y placer sa queue. En moins de temps qu’il faut pour le dire, il m’avait mis sa queue en entier dans le cul et tout ça sans capote. Cela me fit juter des litres de foutre alors qu’il n’avait encore effectué aucun mouvement. Alors qu’il n’avait pas encore commencé à me bourriner. Mais je n’avais jamais été pris aussi sauvagement. Cela ne l’arrêta surtout pas au contraire ! Il me bourrait le cul comme si de rien n’était. Après tout, il se foutait bien de ce que je pouvais ressentir. C’est à cet instant que je vis à côté de nous le vieux qui nous matait et qui avait sorti sa queue pour se soulager.

Humilié ! Je ne pense jamais avoir été aussi humilié de la sorte, j’étais en train de me faire baiser au milieu d’une forêt et un vieux branlait sa queue totalement pourrie à quelques mètres de moi. Cela n’arrêta pas non plus Tony qui lui fait tout de même signe de se barrer, même si ça peut être excitant, ce n’était pas vraiment dans le trip qu’il avait imaginé. Puis Tony se retira de mon cul, il avait l’intention de jouir, il devait déjà bien être onze heures. Il me dit de me placer à genoux devant lui comme au début et commença à branler sa belle queue. « Tu as envie de le sucer ? » me dit-il d’un ton totalement naturel et franc. Je lui fis signe que non. « Pour cette fois, je ne t’y oblige pas, mais les prochaines fois… » me répondit-il.

Et il empoigna mes cheveux tout en se branlant. Je fermai les yeux pour recevoir tout son jus. Il m’arrosa tout le visage de son jus bien liquide. J’en avais plein les cheveux, mais je pense que c’était le cadet de ses soucis. Il m’ordonna alors de jouir une nouvelle fois tout en bouffant sa queue. Je jouis pour la seconde fois en quelques minutes, sa queue toujours coincée entre mes lèvres. Je me rappelle même avoir poussé quelques cris aigus. Le vieux à côté avait dû jouir également parce qu’il était parti. Tony remballa sa queue dans son calbut et renfila son bas de survêtement. Je me rhabillai également et on se dirigea vers nos voitures respectives. Juste avant de partir, il me dit « Je te fixerai le prochain rendez-vous bientôt ma petite chienne mais saches que tu as été à un encore meilleur niveau que j’avais imaginé ! Je vais aller loin avec toi. Le bonjour à ton mec ! » Puis il rentra dans sa voiture et démarra. Je reparti silencieux et honteux.

Cette histoire s’est passée hier matin et depuis aucune nouvelle de ce cher Tony. Bien que j’appréhendasse ce rendez-vous, finalement j’avais trouvé un nouvel amant qui me domine comme j’aime l’être. La seule chose qui va être étrange, c’est quand il viendra boire un verre chez nous ou passer des soirées… Les sous-entendus risquent de fuser, et j’ai désormais plutôt intérêt à lui obéir. Je suis devenu partiellement à lui.