Mon Maître – Chapitre 5 : Le voyage de la fin

(Attention, cette dernière partie contient des passages allant parfois très loin, pour public averti uniquement…)

Pour mon anniversaire, mon Maître a choisi de m’envoyer plusieurs semaines en Guadeloupe. Je n’y allais évidemment pas pour du tourisme mais pour y être soumis, y être humilié, y être totalement souillé. Au départ, je pensais que ce voyage se ferait à deux avec mon Maître mais il s’est avéré que je serai seul et que je devrais obéir là-bas à Monsieur Farid. Ce dernier est venu me chercher à l’aéroport, je n’avais qu’une petite valise avec très peu d’affaires à l’intérieur et c’est ainsi que je serai soumis pendant deux semaines à un nombre presque incalculable de grosses queues noires et que je me ferais baiser par tous les trous. Et aussi que je servirai de défouloir à Monsieur Farid. Je retrouvais donc ce boxeur qui avait fait découvrir à mon homme le ball-busting, et rien que pour cela, je détestais Monsieur Farid. Je lui devais l’explosion quasi-hebdomadaire de ma grosse paire de couilles devenue bien pendante depuis.

Monsieur Farid m’avait donc récupéré à l’aéroport de Point-A-Pitre – Le Raizet, le voyage m’avait épuisé, tout comme le décalage horaire. Pourtant, je n’aurai aucunement le temps de me remettre de ce jet-lag puisque Monsieur Farid me montra très vite la chambre qui avait été louée pour moi pour le séjour. L’aéroport est simple d’accès, tout comme cette chambre qui allait devenir le point d’orgue de l’abattage d’un jeune blanc affriolant.

J’étais arrivé à 21 heures, heure locale, Monsieur Farid m’a expliqué le fonctionnement de ce séjour : je ne sortirai pas de ma chambre durant ces deux semaines, je serai la proie à un abattage quotidien de plusieurs mecs, pour la plupart blacks, je ne devrai rien refuser, tout est guidé à distance par mon Maître, il a approuvé tous les mecs et toutes les pratiques demandées. Toutes les pratiques se feraient évidemment contre rémunération. Plus les clients sont prêts à payer, plus ils peuvent abuser de moi. Une caméra a été installée juste au-dessus du lit de la chambre pour permettre à Monsieur Farid et à mon Maître de voir ce qui se passe dans la chambre.

Chaque matin, Monsieur Farid passera pour me voir et me donner le planning du jour. En fonction de mes exploits de la veille, l’unique repas quotidien serait adapté. Si je ne suis pas capable de faire des choses qui satisfont mes Maîtres alors j’aurai uniquement de la merde à bouffer. De la merde et rien de plus. Mais si je suis conciliant et que mes clients sont satisfaits, je pourrais avoir des sandwichs ou salades du « Prêt-A-Manger » de l’aéroport. Je savais donc pertinemment que j’allais avoir faim mais Monsieur Farid m’a confisqué mon portefeuille avec mes papiers, mon passeport, je n’ai donc aucun moyen de sortir, si ce n’est pour me balader autour de l’hôtel.

Je tombais de sommeil, Monsieur Farid l’a bien remarqué et m’a juste demandé de lui vider les couilles avec la bouche ce soir, j’ai donc sorti son énorme queue pour lui offrir une pipe, même si ma mâchoire était déjà un peu endormie. Assis sur le lit, j’étais à quatre pattes à pomper sa queue, à lécher ses couilles, il semblait prendre un pied monstrueux étant donné ses gémissements. Au bout d’un certain moment, il a gueulé et j’ai senti tout son jus chaud couler dans ma bouche et ma gorge. Une fois vidé, je continuais à lécher sa queue, lentement, pour le faire redescendre tranquillement.

« Tiens-toi prêt demain, je passerai à 8h avec ton repas du jour et le planning. Sois vidé et prêt à l’emploi. Et enfile ça » me dit-il en me tendant un ballstretcher en silicone d’une belle longueur, mes couilles allaient donc être bien tendues.

Je l’ai remercié et lui ai demandé s’il avait prévu quelque chose pour moi ce soir, j’avais eu un encas dans l’avion mais je n’étais pas forcément rassasié. Il m’a répondu que j’avais eu son jus et que je n’aurai rien d’autre avant le lendemain matin. J’étais un peu dépité, mais je savais que je ne passerai pas un séjour de plaisir, je devais m’y habituer. Je me suis prélassé dans un bain alors que mon Maître m’avait appelé pour savoir si tout s’était bien passé. Il était en train de se faire sucer la queue par Adrien, un jeune mec qu’il voit souvent en ce moment. J’étais heureux de l’avoir au téléphone mais j’aurais aimé qu’il me passe ce détail. De tout ce qu’il me faisait subir, la chose la plus difficile à supporter pour moi était qu’il voit d’autres mecs. Il me mettait toujours au courant, afin de bien m’humilier. Parfois, j’avais même droit à des photos ou des vidéos. Bref, il m’a souhaité à nouveau un excellent séjour et m’a dit de bien profiter et de ne décevoir personne. Il m’a dit également que j’aurais droit à une part des bénéfices à mon retour, cela me motivait et il le savait.

Mon bain terminé, j’ai profité un peu du balcon et de la vue sur l’océan, c’était beau. Ca donnait envie de connaître cette sublime île. Je n’y connaitrai que ses habitants et gens de passage. Je me suis plongé dans mon lit king-size immense et doux. Le climat était chaud mais la chambre avait la clim, les draps étaient soyeux, ils seraient dès le lendemain souillés. Le service de chambre avait pour consigne de ne nettoyer qu’une seule fois durant mon séjour les draps et linges, à la fin de la première semaine. Ils ne me dérangeraient donc pas dans mes exploits. Je trouvai très vite le sommeil, j’étais éreinté par l’avion.

Sept heures : le réveil sonne et je comate encore à moitié. Le soleil éclaire déjà de partout ma chambre et j’ouvre lentement mes yeux. Mon ventre fait déjà des bruits monstrueux, je meurs de faim, je n’ai rien avalé depuis presque 15h. Je sors du lit et je me prépare le corps, je fais un lavement en profondeur et je mets le ballstretcher confié la veille par Monsieur Farid. Ca étire bien mes couilles, je dirais qu’elles pendent d’environ 10cm en dessous de ma queue, ce qui ne présage rien de bien bon connaissant mon Maître. A huit heures et deux minutes, j’entends la porte s’ouvrir. On accède à la chambre avec un code à 6 chiffres, qui ne m’a même pas été communiqué, histoire que je ne cherche pas à prendre la fuite. Monsieur Farid arrive en tenue de travail (il est directeur d’un magasin sur l’île) tenant en sa main un sachet qui a l’air bien gras, j’en frémis d’avance. De l’autre, il a une pochette noire, j’imagine que le planning s’y trouve.

« Ce matin, je t’ai pris des bokits, c’est une spécialité de la Gwada, c’est hyper sucré mais tu auras besoin de sucre ces jours-ci. Tu auras un repas complet demain si tu bosses bien. Voilà le planning de la journée, tu as 14 mecs à voir aujourd’hui, ne garde pas les plans pipes plus de 30 minutes, sinon ça va déborder sur la plage horaire suivante. Pour les plans intégraux (pipe & baise), tu auras des créneaux d’une heure. Tu n’as pas de plans spéciaux aujourd’hui, ça viendra dès demain, ne t’en fais pas. Le dernier est programmé à 21h donc si tu bosses bien à 22h, tu auras bien mérité ta nuit. J’ai mis des mails automatiques à tous les clients pour qu’ils aient le code 5 minutes avant le plan. Tout devrait bien se passer. Tu n’as pas à recevoir d’argent, tout est prévu à l’avance. Pas de pourboire. Ils te paient en foutre et c’est largement suffisant pour une salope de ton espèce. Jusque-là, c’est OK bâtard ? » me dit-il d’une traite. J’ai approuvé de la tête même si j’avais envie de chialer… 14 mecs et c’est que le premier jour… J’avais pour consigne de faire un compte sur un cahier pour mon Maître. Il voulait savoir à la fin du séjour combien de mètres de queues je m’étais tapé. Je devais donc jauger la taille de la queue du mec et la reporter au journal, faire la somme par jour et la somme à la fin du séjour.

« Bon, sinon tu te doutes que tes couilles vont y passer aussi durant ce séjour. Je suis l’instigateur du ball-busting dans votre couple, par conséquent, tu ne vas pas déroger à mes poings durant ces semaines. Ton Maître m’a fixé un objectif qui lui semble inatteignable de 10.000 coups de poing dans tes boules durant le séjour. Je lui ai dit que je tenais le pari, et je compte bien obtenir les 500 balles qu’il a misé dessus. On a onze matinées à passer ensemble donc on fait 1000 coups par jour, un jour de relâche et ce n’est pas négociable. Je te propose deux solutions : soit plusieurs séries de deux minutes non-stop jusqu’à atteindre les 1000 coups, soit les 1000 coups à la suite avec quelques secondes d’écart entre chaque coup. Tu pourras choisir chaque matin la formule qui te convient le mieux. » me dit-il.

Et je me suis surpris à me mettre à chialer devant Monsieur Farid alors qu’il n’en était qu’à sa deuxième tirade et qu’il était à peine 8h05. Je sais pertinemment les conséquences d’un tel nombre de coups sur mes boules et qu’elles ne seraient que douleur dès le premier soir. C’est une sensation de gêne permanente qui allait résonner dans mes couilles durant tout mon séjour ici. Se faire réveiller chaque matin par 1000 coups de poing données par un boxeur à l’endroit le plus sensible de votre corps, y-a-t-il pire supplice ? Mon Maître en était entièrement conscient et je savais qu’il voulait me briser encore davantage.

« Il ne faut pas pleurer petite larve, tout va bien se passer. C’est que des couilles. Et jusqu’à preuve du contraire, elles ne servent à rien chez toi. Allé à 4 pattes au bord du lit, ce matin je ne te laisse pas le choix de la formule » me dit Maître Farid. Je me suis donc installé au bord du lit, mes couilles bien pendantes flottaient dans le vide. Le premier coup était violent, les suivants encore pires. Il a choisi la formule numéro deux aujourd’hui, je n’ai pas retenu mes sanglots bien longtemps mais mon boxeur n’en avait que faire. Il frappait et frappait encore.

« 1000 ! » lança-t-il tellement fier de lui. Je m’effondrai sur le lit, mes semblants de boules en main. J’étais déjà épuisé et mes couilles me tiraient comme pas possible. Il a pris ses affaires, a posé le petit sac gras sur la table de chevet, juste à côté du planning et m’a dit à demain. J’essuyais mes larmes et observai avec attention le planning du jour. Les mecs étaient notés juste avec des numéros. A 9h arriverait numéro 1 et numéro 14 à 21h, j’avais 4 créneaux de sodo et 10 uniquement de pipes. Mais j’enchaînais à partir de 19h trois plans complets, ce qui veut dire que ma chatte allait être bien béante. Je me jetai sur les beignets achetés par Maître Farid, il y en avait une vingtaine, j’avais de quoi me rassasier l’estomac de ces beignets que je trouvai plutôt bons.

Numéro 1 arrivait donc à 9h, il n’était pas spécialement beau, il a sorti sa queue et m’a demandé de le sucer. J’ai donc décalotté sa grosse queue noire puante de sperme et j’ai attaqué cette première queue de la semaine. Le manège a duré des heures. J’avais pris une pause vers douze heures pour manger des beignets que je rationnais pour cette première journée. J’espère que le travail fourni aujourd’hui me permettrait le lendemain d’avoir accès à des repas plus costauds. Aussi étonnant que cela puisse paraître, il n’y avait pas que des vieux libidineux, au contraire même. Le profil moyen était un type black de 30-35 ans, qui voulait très certainement se vider les couilles et se faire sucer. Il parait que les meufs ne sont pas toutes accro à la suce. Moi j’aime tellement pomper, et mon Maître se saisit de cette opportunité pour faire du fric sur ma bouche.

Les jours se suivaient et se ressemblaient. J’avais droit à un sandwich et une salade par jour, en tout cas jusqu’à l’avant dernier jour. Ce qui voulait dire que je bossais bien. J’ai eu durant les huit premiers jours des plans assez classiques, entre pipes et sodos, parfois de l’uro ou des plans fessées, j’avais un peu peur que rien de plus salace me soit arrivé. Monsieur Farid m’éclatait les couilles chaque jour et il semblait y prendre un plaisir incommensurable. Il donnait de vrais coups de boxeur dans mes couilles bien offertes, je comprends un peu son plaisir au fond. Cela devait être jouissif. Après cela, il ne me donnait aucune marque d’affection, j’étais une chose sur laquelle il se faisait un bon bénéfice. Et c’était tout.

Le quatrième jour a vu me faire rencontrer Ayann, un jeune métis né sur l’île. Il a tout de suite été différent, me traitant différemment, me caressant les cheveux pendant que je prenais son énorme queue en bouche. Après plusieurs minutes de suce, il a pris mon visage dans ses mains pour m’embrasser. C’était tendre et sucré. Il m’a fait ensuite retourné sur sa queue et je lui ai vidé les couilles. « Tu es vraiment très beau » m’a-t-il dit avant de partir. Et je l’ai revu tous les jours suivants, uniquement pour se vider les couilles dans ma bouche. A partir de notre troisième entrevue, il m’a emmené des bokits, il avait dû comprendre que je crevais la dalle. Ou il souhaitait être simplement gentil avec moi. Ayann était beau et tendre et c’était un peu mon réconfort de la journée. Le huitième jour, il m’a dit qu’il ne pouvait pas me louer pour le lendemain mais qu’il souhaitait quelque chose de spécial pour ma dernière nuit sur l’île. Il m’a donc loué sur le dernier créneau du dixième jour, je repartais le lendemain matin pour le vol de 9h41. Il m’a dit qu’il souhaitait m’emmener quelque part et peut-être dormir chez lui. Mais avant cela, je vais passer une journée terrible.

Au neuvième jour, Monsieur Farid est arrivé les mains vides, ce qui n’engageait rien de bon pour moi. J’avais eu mon Maître la veille au téléphone, il m’avait dit que j’allais subir un max durant cet avant dernier jour. Mais que rien que sur cette journée, il se ferait 3000€ grâce à ma bouche et à ma gorge. Je savais pertinemment de quoi il allait en retourner, j’allais me taper le scat que je ne me tapais pas chaque soir avec mon Maître. Monsieur Farid m’a donc expliqué le fonctionnement de cette journée : un premier plan à 9h, un deuxième à 14h et un dernier à 18h. Pour ces trois plans, je n’aurai aucune limite et leur exigence était que je sois une bouche et une gorge prête à tout avaler. Ils ne me feraient rien de sexuel, c’étaient uniquement des plans gavages. Je savais d’avance que ce serait l’une des pires journées de ma vie.

Je n’ai pas échappé aux coups de Monsieur Farid, qui semblent être un peu plus doux ce matin. Peut-être me préserve-t-il pour aujourd’hui. Ou peut-être me fais je des idées. Il n’empêche que j’ai terminé en pleurs, comme chaque matin. Nous en étions à 9000 coups et quelques bleus étaient apparus sur mes boules, ce n’était pas uniforme mais elles me pesaient en permanence. « Ton Maître ne souhaitait rien t’offrir à manger, tu seras assez gavé. Si j’ai un conseil à te donner, vide toi l’estomac après chaque plan, pour ne pas être rassasié pour le suivant. Je t’admire pour ce que tu vas faire aujourd’hui, je ne serai même pas capable d’en faire un centième » m’a-t-il adressé avec une tape en dessous du menton. Et puis il a quitté la chambre, comme tous les matins. Il ne s’est vidé que trois fois les couilles depuis mon arrivée ici.

Mes couilles en main, j’appréhendais la première visite du jour. C’est un mec black d’une cinquantaine d’années qui est arrivée avec un grand sac isotherme. Il m’a fait m’installer sur le lit et a déballé tout son attirail. Il y avait deux grandes bouteilles de pisse bien jaune, des bocaux remplis, je pense, de son jus, ils semblaient énormes. Il s’est approché de moi pour m’expliquer le fonctionnement du plan.

« D’abord le sperme, à la petite cuiller, ensuite la pisse, gorgée par gorgée et on terminera avec la merde. Je me retiens de chier depuis hier et j’ai envie de te gaver. J’ai payé pour que tu avales tout donc tu avaleras tout. » fut l’une des seules phrases qu’il me dit.

Alors le plan a commencé, je savais que je ne devais pas traîner en longueur. Plus vite le plan passerait, plus tôt j’en aurai terminé. J’ai donc commencé à bouffer son jus macéré, deux grands bocaux remplis à ras-bord. L’exercice est vraiment plaisant aux premières cuillères mais les suivantes sont de plus en plus dégoutantes. L’exercice est réellement difficile et je suis heureux d’arriver à la fin du premier bocal. Il m’offre une petite pause et je l’en remercie. Il est assis face à moi et lâche des caisses puantes depuis le début du plan. Je sais que je vais devoir y passer ensuite. Je reprends mes esprits et lui dit que je veux bien continuer. Le deuxième bocal se vide plus lentement que le premier, c’est lui-même qui me donne son sperme à la petite cuiller. J’ai mis beaucoup de temps et des relents me donnaient la gerbe mais je sais que je devais me concentrer. Je le payerais très cher si je décevais. Je suis arrivé à la fin de ses deux bocaux. Il semblait fier de lui, le barreau énorme qu’il trainait au niveau de l’entre-jambe en était qu’une confirmation.

Il m’a ensuite approché les deux bouteilles de pisse, pour la pisse, c’était plus simple pour moi. J’avais été habitué rapidement à boire de la pisse et les deux bouteilles, même si très fortes et concentrées, furent rapidement vidées. Mais le plus dur restait à faire. Il installa une petite bâche en plastique à terre et me fit me positionner allongé sur le dos, il retira son pantalon et son boxer pour me donner un cul bien gras et poilu. Il s’est positionné au-dessus de ma bouche et m’a demandé d’ouvrir bien grand. La première merde est tombée directement dans ma bouche, elle était dure (ce qui était réconfortant) et j’ai mis quelques minutes à l’avaler, en mâchant consciencieusement. Quatre autres suivirent, d’un volume assez conséquent, des morceaux tombèrent évidemment à côté de mon visage. Il prit du PQ pour s’essuyer le fion et me regarder mâcher la dernière merde qu’il venait de me mettre en bouche. Une fois avalé, il m’a demandé de me mettre à quatre pattes pour avaler le reste sur la bâche. Il restait des morceaux raisonnables que je pris en bouche pour avaler, il s’était positionné devant moi, sur une chaise et branlait sa petite queue. Une fois tout avaler, il accéléra la cadence et juta un foutre éparse et épais un peu partout sur moi et dans la chambre. Son râle de plaisir était conséquent et c’était beau à voir. Même si je n’avais qu’une seule envie : gerber. Je venais très sûrement de réaliser son fantasme le plus fou. Et j’étais fier de ça.

Il remballa ses affaires avant de quitter la pièce. Sans un mot. Et moi j’étais là, empli de foutre, de pisse et de merde. J’avais tout avalé. Je me forçai à tout gerber avant de me laver les dents plusieurs fois afin d’oublier le goût immonde de la merde. Je pense que je ne m’y ferai jamais.

Le deuxième rendez-vous de l’après-midi fut plus simple, le mec voulait juste me chier dans la bouche et me voir avaler. Cela demandait moins d’efforts. Il y avait une quantité beaucoup plus raisonnable que pour le premier plan et le mec devait manger pas mal de pommes, sa merde était presque sucrée. Le plan a du durer une demi-heure au maximum. Cela sera différent pour le dernier plan. Je ne suis pas sûr d’avoir été autant humilié de toute ma vie que durant ce plan. Un mec black d’environ trente ans est arrivé, il avait un bon bide et surtout un sac rempli de trucs tout autant immondes les uns que les autres. J’avais eu droit à avaler des bouteilles de pisse, de mollards, de sperme, des petits bocaux d’ongles noirs et puants, de poils de cul et de couilles et de crottes de nez. J’ai mis un temps fou à tout avaler cela. Je pouvais piocher ou je voulais mais je devais tout avaler. Devant lui.

Une fois terminé, il m’a dit qu’il avait encore deux choses à me faire avaler. Il avait amené un bol doseur d’une contenance de deux litres. Il s’est accroupi face à moi, a posé son cul juste au-dessus du bol doseur et a commencé à se lâcher. Des tonnes de chiasse puante et très liquide sortait de son trou de bal. Et cela ne semblait pas s’arrêter. Il a terminé et le bol doseur affichait 1700Ml. Il a sorti une grande paille de son sac et m’a souhaité un excellent cocktail. Il s’est assis en face de moi et j’avais ce bol doseur entre mes mains et la paille qui appelait ma bouche. Je me suis mis à pleurer comme une merde mais ça l’excitait un max. Il avait même sorti sa queue d’une grosseur folle pour se branler en me regardant. J’ai donc siroté cette diarrhée infâme tout en le regardant, les yeux embués. J’ai mis des plombes, et lui se branlait face à moi. Alors que j’avais quasiment terminé le bol doseur, il a lâché sa queue et m’a demandé de poser le bol doseur à terre.

Il s’est mis à genoux devant, il a reniflé l’odeur et a mis des doigts dans sa bouche. Il a gerbé comme un malade dans ce bol doseur, il s’y est repris à plusieurs fois… Il m’a alors confié à nouveau le précieux mélange qui indiquait 1200Ml. Mes sanglots ont redoublé et sa branle a elle aussi reprise de plus belle. Je me suis résolu à attraper à nouveau la paille. Je ne savais pas combien de temps ce manège allait durer. Il était presque 23h lorsque j’ai terminé le breuvage.

« Bon toutou » me dit-il avant de partir. J’étais effondré à côté du lit, je ne pouvais même plus me regarder en face tellement j’avais honte de ce que j’étais. Un mange-merde. J’ai pleuré un bon moment avant de remettre la chambre en ordre et me vider de tous les côtés. Une fois absolu, je me suis mis sur mon lit, serrant tout contre moi mon oreiller. Je mourrai de faim mais la fatigue l’emporta et je fis une nuit complète jusqu’à être réveillé par l’arrivée de Monsieur Farid le lendemain matin, sans que je me sois préparé.

Il a été surpris de me voir dans le lit, habituellement je suis préparé à l’attendre dans la salle de bain ou dans la chambre. Mais jamais directement dans le lit. Je me suis très vite excusé et il m’a dit que mon comportement était inadmissible mais m’a aussi dit que j’avais passé une mauvaise journée la veille. Il m’a tout d’abord laissé sucer sa queue, tranquillement, il savait que j’adorais ça. Il a juté dans ma bouche tranquillement aussi, sans rien dire. J’étais heureux, il y avait deux sandwiches et des beignets aujourd’hui. Il a ensuite désinstallé les caméras et les as remises dans un grand sac. Il m’a donné le planning du jour, j’avais six rendez-vous, le dernier arrivant à 18h, j’espérais de tout cœur que ce soit Ayann. Il m’a rendu mes affaires personnelles, je repartais le lendemain à 9h41 et je ne reverrais pas Monsieur Farid.

Il s’est saisi de mon smart et a appelé mon Maître sur What’s App. « Wesh poto ! Je veux que tu me voies lui asséner les 1000 derniers coups du séjour, ce qui portera donc à 10.000 le nombre de coups, pour gagner mon pari. » lui a-t-il dit. Mon mec semblait excité par l’idée. J’ai enfilé mon ballstretcher et me suis mis à 4 pattes sur le lit. Il posa le portable sur un côté pour qu’il puisse voir la scène. Il m’a demandé de compter bien fort les coups qu’il m’assénait toutes les dix secondes environ. Les coups étaient bruts, secs et puissants. Je ne pensais pas pouvoir réussir. Et puis il est arrivé à 1000. Il semblait victorieux. Moi j’étais effondré, mes couilles en main, je pleurais comme pas possible en me tordant dans le lit. Mais je n’étais pas au bout de mes peines.

« Je double la mise si tu lui en balances 1000 de plus » dit mon Maître. Cela résonna comme un coup de grâce pour moi, j’ai croisé le regard de Monsieur Farid et ai tenté de m’échapper du lit. Il a attrapé mon pied et je me suis débattu. Il a pu très vite me maîtriser et m’a dit dans l’oreille : « Je serai doux si tu coopères. Je te le promets ». Je me suis approché de son oreille et lui ai promis que ce serait la dernière fois qu’il me toucherait. Il n’en a pas tenu compte et m’a fait m’installer sur le dos cette fois-ci, jambes écartées, couilles bien offertes. Il s’est assis devant moi et le compte a repris. Tous les nombres cités l’ont été fait en chialant. Mes sanglots recouvraient cette diction de nombres invraisemblables. Je ne sentais plus mes couilles, elles n’étaient que douleur et peine. Quand il a terminé, je suis tombé du lit, j’étais comme paralysé. Je n’en pouvais plus. Il m’avait achevé. K.O.

« Tu me dois 1000 balles en plus du pourcentage de ce séjour poto. » a-t-il dit à mon mec. Il m’a demandé si je voulais lui parler, j’ai refusé. Je ne voulais pas lui parler. Je lui en voulais beaucoup trop. Monsieur Farid a remballé ses poings, m’a dit que j’avais été courageux et bien serviable durant ce séjour. Il m’a donné mes repas et m’a aussi filé 250 euros, la moitié de ce qu’il a obtenu grâce à mes couilles quelques minutes auparavant. « Fais-en bon usage. Tu les mérites plus que moi. Et ne m’en veux pas. Je fais ça pour ton bien. ». Je l’ai remercié. Ce n’est pas quelqu’un de mauvais. Il applique juste ce qu’on lui demande.

Je me suis douché et j’ai retiré mon ballstretcher très douloureusement. Je n’avais jamais eu les couilles de cette couleur. Sorti de la douche, je me suis préparé pour mes rendez-vous. C’était assez classique pour cette journée. Des pipes, des sodos, rien de hard. Avec la journée que j’avais passée hier, c’était réconfortant… Et puis à 18 heures, Ayann est arrivé, il était en costume, il m’a souri et moi j’ai sauté dans ses bras, j’avais besoin d’un câlin, je me sentais tellement mal.

« Ce soir, tu t’habilles, tu prends tes affaires, je te sors de cette chambre et tu dormiras chez moi » me dit-il. Il ne pouvait pas me faire davantage plaisir. J’ai appelé mon Maître histoire de ne pas avoir à le faire plus tard. Je lui ai dit que je lui en voulais pour ce matin, il m’a dit que je n’avais rien à dire. Que mes couilles ne m’appartenaient plus depuis un moment. J’ai coupé court à la discussion et je lui ai dit que j’avais hâte de le retrouver le lendemain. Il m’a dit aussi que je lui avais manqué. Que je lui manquais.

J’ai rangé mes affaires et j’ai passé avec Ayann un moment hors du temps. Il m’a fait visiter une plage au soleil couchant, on s’est allongé un peu sur le sable encore chaud, je l’ai sucé un peu aussi sur cette plage. Il m’a embrassé, il m’a étreint. Il m’a ensuite amené dans un restaurant « Chez Man Michel » ou j’ai pu goûter des spécialités locales. Avec le punch de là-bas avalé, j’étais bien, ce qui ne m’a pas empêché de lui donner mon corps toute la nuit. Il m’a fait l’amour comme un fou avec son énorme queue. Le lendemain matin, il m’a fait l’amour une dernière fois avant de me raccompagner à l’aéroport. Je l’ai quitté en l’embrassant et en lui promettant de revenir un jour. Je l’ai remercié pour cette dernière nuit. Monsieur Farid m’avait rendu mes papiers la veille avant de partir.

J’ai repris l’avion pour rejoindre la France métropolitaine. Durant cette épopée, j’ai vu 87 mecs différents. Selon mes comptes, j’avais pris 18,27 mètres de queues durant ces dix jours. J’apprendrai plus tard que j’avais rapporté 14.700€ à mon Maître durant ce même séjour. Mais le pire restait à venir : j’avais reçu un mail de Monsieur Farid quelques jours après mon retour. Il y avait trois pièces jointes, trois photos d’Ayann, totalement défiguré, le sang coulant sous son nez et sa bouche, les yeux presque fermés, des entailles un peu partout. Il y avait juste une inscription dans ce mail : « A la demande de ton Maître. On ne gagne pas à tous les coups. ».

Mon Maître – Chapitre 4 : Le partage et la routine

Le partage a pris alors une place importante dans notre couple après ce premier anniversaire sans être néanmoins quotidien. Contrairement au bouffage de merde qui l’est devenu. J’ai mis de nombreux mois à pouvoir tout bouffer, c’est d’ailleurs devenu un objet de paris d’argent sur Skype avec des potes à mon Maître. Il me mettait en cam sur une session Skype avec des paris sur le nombre de bouchées complètes que j’allais pouvoir avaler. Evidemment, plus j’en avalais, plus mon Maître gagnait du pognon. J’étais sans cagoule, mais mon Maître m’a certifié que c’était sans risque. Il y a parfois eu jusqu’à cinquante mecs qui me regardaient en train de manger les étrons de mon Maître.

L’opération était compliquée mais au bout de quelques mois, je suis parvenu à avaler sa grosse merde puante tous les soirs. Les paris se sont alors considérablement réduits, il n’y avait plus d’enjeu puisque le chiottes que j’étais alors devenu avalait toute la merde à chaque fois. Ces sessions se sont arrêtées et j’étais désormais seul face à mon Beau Maître, sans écran interférant, qui me regardait, satisfait que j’avale sa merde. Lui mangeait comme un ogre chaque soir. Sa musculature était de plus en plus impressionnante, ses séances de sport étaient quotidiennes, il faisait ça avant de rentrer du travail. Il n’utilisait jamais de déo, jamais de savon. Ma langue et mes narines en prenait pour leur grade de manière quotidienne. Les meilleurs moments de ma vie.

Une habitude est devenue mensuelle à partir du Noël de notre deuxième année. Tous les derniers dimanches du mois, cela tombait cette première fois le 30 décembre, pendant toute la journée, j’étais mis en location. Mon Maître avait élaboré une carte, comme un menu dans un restaurant, tarifs bien salés à la clé, et tout homme pouvait alors me louer pour toute action qu’il souhaitait. Les tarifs allaient de 30€ pour la pipe à 250€ pour du scat. Et les mecs pouvaient venir dans l’état qu’ils voulaient, si bien que je me tapais souvent à sucer de la queue bien fromageuse. Mon Maître s’est rapidement fait une clientèle fidèle. En général, il me déposait le matin sur l’aire d’autoroute entre Buchelay et Paris dans un recoin alors bien indiqué et il m’attendait au chaud dans la voiture, à regarder au loin les années et venues.

Dans sa bagnole, il pouvait bosser tranquillement ses émissions de la semaine, il avait tout le confort possible : sa musique, son PC, il était bien au chaud, du café tant qu’il voulait. Et certains mecs venaient lui payer de main à main. Il trouvait le principe vraiment excitant de jouer au mac. Je peux le comprendre : sa pute taffe, se donne à fond et lui ramasse le pognon bien tranquille.

J’ai été soumis, humilié par de trop nombreux mecs sur l’A13. La plupart du temps, quand je rentrais dans la voiture de mon Maître vers 19h, j’étais épuisé, cassé, puant de la gueule et avec au minimum 30 doses de foutre dans l’estomac ou dans les intestins. Mais j’étais fait pour ça selon mon Maître, et je pense qu’au fond il a un peu raison. J’ai adoré ces instants où le mec arrive, baisse sa vitre, me demande de monter dans sa voiture, déballe sa queue et où ma bouche miraculeuse l’amène à la jouissance. Ce sentiment, une fois le foutre dans ma bouche, de plénitude… Evidemment, de nombreux routiers étaient mes clients. Enfin, mes clients… Les clients de mon Maître, car finalement, je n’obtenais pas grand-chose par rapport à tout ce que je gagnais.

Le deal était que j’obtenais 10% de tout ce que je gagnais lors de ce dernier dimanche du mois, cela me servait d’argent de poche, que je pouvais utiliser comme je voulais. La plupart du temps, je me commandais des trucs sur Internet, de la musique principalement. Mon Maître m’aura donné ce plaisir de la musique sur vinyles, je les collectionne désormais, comme lui. Au mieux, j’ai récupéré jusqu’à 210€ par jour. Ce qui voulait dire que mon mec se faisait dix fois plus grâce à moi. A la fin de chaque dimanche, une fois dans la voiture, j’avais droit à un sandwich que mon Maître était allé m’acheter sur l’aire d’autoroute. Alors la voiture démarrait, je dévorais mon casse-croûte tant la faim me transperçait le corps. Mon Maître rejoignait la capitale, choisissait un grand restaurant, s’y garait et allait y manger seul. J’attendais dans la voiture. La plupart du temps, je dormais car la journée avait été plus que rude. Il sortait en général au bout de quelques heures de chez Gagnaire, Ducasse ou autres Meurice ou Arpège. J’étais humilié. Il avait dépensé des centaines d’euros, durement gagnés par mes soins dans la journée. C’était son plaisir de fin de mois.

Il y avait une autre habitude mensuelle avec mon Maître. Il avait le vendredi après-midi en RTT, il finissait le travail à 11h, il passait au sport et rentrait donc plus tôt ce jour-là. C’était mon jour préféré de la semaine, car il passait beaucoup de temps avec moi, et il me soumettait. De manière générale, le vendredi matin, j’étais tranquille car je ne devais pas faire de ménage. Je faisais ma séance de sport et je préparais notre repas du midi. Il agrémentait souvent ma part de sa pisse, de ses ongles ou de ses poils savamment coupés. J’adorais ça.

Quand il rentrait, nous mangions tranquillement, amoureusement. Et l’après-midi était consacré au gros nettoyage de la partie chiottes. Il prenait un malin plaisir à me voir faire cela. Mon Maître pissait toujours debout, sans forcément bien viser. J’avais interdiction de nettoyer les chiottes de la semaine (sauf invité ou famille) et donc il venait s’installer vers la porte des chiottes, je devais arriver à quatre pattes afin de nettoyer à la langue la totalité des chiottes : cuvette, extérieur et intérieur. Souvent, il y avait des traces bien jaunes, des traces de merde aussi, aucune brosse à chiottes n’était présente, c’était voulu évidemment. Alors il me regardait, souvent, sa TN posée sur mon dos pour bien que je cambre pendant que je nettoie ses chiottes à la langue. Le manège durait pas mal de temps, il appelait ça mon dessert. Bien souvent aussi, il sortait sa grosse queue puante pour se la toucher en me regardant m’abaisser à faire cela.

Lorsque j’avais assez léché à son goût, il me laissait finir à l’ongle pour les traces trop incrustées. J’utilisais deux de mes ongles en général, bien évidemment je devais tout ingurgiter ce que j’arrachais de ces chiottes parfois bien crades. Quand il invitait des potes, il leur disait parfois de se retenir pour bien chier chez nous. Quel gros porc, mon Maître !

Le vendredi après-midi, je prenais également soin de son corps : je lui coupais les ongles de mains et je m’occupais de ses pieds toutes les deux semaines : ongles et corne. Evidemment, tous les restes de son corps finissaient dans ma bouche, cela nous excitait un maximum tous les deux. Après toutes ces tâches, il me baisait avec un peu plus de douceur. C’est peut-être pour cela que j’aimais les vendredis : il prenait un peu plus soin de moi que les autres jours de la semaine. Mais je lui devais bien ça : il travaillait pour moi, je restais à la maison. Je ne voulais rien qu’il ait à faire dans notre appartement, cela me semblait d’une logique implacable.

Nos week-ends étaient, disons-le plus lestes. Mon Maître m’offrait fréquemment (en réalité je me les offrais grâce à mes passes) des séjours dans de superbes hôtels. Evidemment, il m’y soumettait mais c’était totalement différent. Il n’avait plus de famille mais nous voyons mes parents de manière assez régulières, la plupart du temps, nous allions les voir. Et ils voyaient en mon Maître le gendre idéal. Je ne suis pas sûr qu’ils aient un jour soupçonnés la manière dont leur fils se rabaisse à des choses les plus dégradantes possibles.

Enfin, les choses qui ne sont pas régulières sont les prêts à ses potes. J’avais droit à tout ce que bon soumis peut imaginer : les matchs de foot avec ses potes remplis à la bière. Il avait surtout deux potes « hétéros » mais bien heureux de ne pas avoir à se lever pour aller pisser. Ces soir-là, j’étais le larbin à l’état pur : j’apportais bières fraîches, pizzas et desserts maison. Je servais de repose-pieds, de pissotière à l’ensemble de ces mâles buveurs de bières. Les soirées foot, surtout pendant la dernière Coupe du Monde, sont des souvenirs totalement impérissables. Surtout après le parcours de la France qui m’a même permis de vider les couilles d’Antoine, le mâle puissant, meilleur pote de mon Maître. Depuis le temps que je voulais voir sa queue énorme bandée. J’avais déjà avalé des litres de sa pisse fumante…

Il y avait aussi des prêts réguliers à son pote Icham. Icham, c’était le pur rebeu, en djellaba, claquettes et chaussettes. Il habitait une cité pas très loin de chez nous. Il organisait de temps à autre des tournantes avec deux ou trois lopes de mon genre. Il faisait rameuter tout le quartier, parfois des jeunes de 15 ou 16 ans pour apprendre à besogner de la femelle. Ce n’était pas tellement kacher mais pour moi, c’était à coup sûr une belle soirée. Il n’y avait rien de crade, je me faisais baiser bouche et cul par des rebeux et des blacks, souvent bien montés. Je sais que mon Maître se ramassait 500 balles à chaque plan tournante. Il ne participait jamais, il restait tranquillement à la maison, mais il y avait un rituel à mon arrivée. Je devais vider mon cul au-dessus d’un verre à bière. Il jaugeait alors par combien de mecs je m’étais fait remplir. Il disait un nombre, et je lui disais le nombre réel. La différence par mec me donnait droit à vingt balles.

Mais évidemment, il m’a imposé bien pire. Il a compris que je n’avais pas de limites, que j’étais capable d’encore tellement plus. J’étais fou amoureux de lui à cette période.

Mon Maître – Chapitre 3 : La vie de couple

Et puis la routine s’est très vite installée, j’ai emménagé chez lui quelques jours après sa demande et je suis alors devenu son esclave, son larbin et assez rapidement ses latrines. Il m’a alors demandé d’arrêter de travailler au bar où j’allais chaque soir et de me consacrer entièrement à lui. Par conséquent j’ai obéi à tout ce qu’il souhaitait. Et puis, j’étais tellement heureux d’être à lui, j’étais tellement fier d’être à son bras dans la rue ou dans les lieux publics. Je le trouvais simplement beau et attirant, tout me plaisait chez lui.

Une routine bien excitante s’est alors mise en place. Le matin, je me lève pour lui préparer son petit déjeuner, il vide sa vessie dans ma bouche et je vis un bonheur chaque matin de devoir avaler toute la pisse souvent puante de mon Maitre. Il prend ensuite son petit déjeuner et bien souvent, je passe mon temps à le dévorer des yeux. Il s’habille puis part enregistrer son émission. Dès son départ, je réalisais mon emploi du temps hebdomadaire de tâches ménagères : cuisine, vaisselle, ménage, lavage, repassage. Son appartement était assez grand pour que j’y passe un temps certain. Il rentrait ensuite entre 15h et 16h à l’appartement et je devais l’attendre totalement vidé pour obéir à tous ses fantasmes les plus tordus. Au début de notre relation, chaque fois qu’il rentrait, on passait des heures au lit. Il me dominait, il me baisait par tous les trous, dans tous les sens et dans tous les recoins de l’appartement.

Lors de notre premier anniversaire, notre relation a changé et s’est encore intensifiée. Avant ce premier anniversaire, je préparais chaque soir un repas pour deux. Mais ce soir-là, il m’a demandé de préparer un repas pour une seule personne et d’installer deux assiettes à table. Je me demandais bien ce qui m’attendait. Il m’a bandé les yeux et m’a laissé sans un mot à table devant mon assiette vide. Je l’ai alors entendu se saisir de mon assiette, il est allé dans une autre pièce avant de revenir avec une assiette pleine.

« D’abord, tu vas sentir, ensuite tu pourras retirer ton bandeau »

Dès que j’ai eu l’assiette sous le nez, j’ai reconnu clairement l’odeur de la merde. Une odeur qui était atroce à mes yeux. Certes, dans notre relation, j’avais du parfois récurer quelques petites traces de merde laissées par son immense queue dans mon fondement. Je le faisais à contre-cœur mais je le faisais car je savais que c’était ma place. Mais ce soir-là, je suis tombé des nus. Il m’a alors retiré le bandeau et j’ai vu son énorme merde qui s’était brisée en deux dans une assiette. J’avais placé une fourchette et un couteau.

« Désormais, chaque soir, tu auras ma merde à avaler. Et tu devras être heureux d’avaler cette grosse merde puante. Tu n’es bon qu’à cela. Joyeux premier anniversaire mon Prince. »

Les premières fois, j’ai pleuré et j’ai mis du temps avant de pouvoir avaler. Il faut dire que vu le gabarit de mon Maître et ce qu’il s’enfile comme nourriture chaque jour, ses merdes sont des monuments. C’est une nouvelle habitude, qui sera, je l’avoue, la plus compliquée à adopter au quotidien. Mais je m’y pliais car cela lui plaisait, car cela le rendait fier de moi lorsque je terminais l’assiette. J’avais droit à de l’eau ou à du vin pour accompagner. Mais je me faisais plaisir le midi, je prenais un repas bien consistant, plusieurs desserts pour pouvoir tenir toute la journée. Je me maintenais en forme en faisant également une heure d’exercices par jour. Mon Maître me voulait ferme, musclé et en excellente condition physique. Je lui dois mon corps d’éphèbe. Allègrement.

Ce premier soir, j’ai pris quelques bouchées de sa merde, j’ai pu en avaler deux ou trois seulement. Lui était face à moi, à dévorer le bon repas que je lui avais préparé. Sa merde avait un goût tellement âcre, je me dégoutais de faire ça. J’ai chialé comme pas possible en amenant ma fourchette plusieurs fois dans ma bouche. Je touchais la merde de mon mec avec ma fourchette, un peu comme un bébé va faire la bouillie avec ses petits poids ou ses épinards. Je lui en voulais de m’imposer ça, mais je sais qu’il voulait me rendre plus fort. Mon Maitre, ce n’est pas du genre bouquet de fleur et gâteau, c’était désormais indéniable. Il avait fini son assiette et il me regardait en se marrant. Il a pris son assiette, ses couverts, son verre, il est venu à côté de moi en me disant « Tu y arriveras à la longue. » et il est allé à la cuisine poser tout ça dans l’évier. En revenant, il m’a dit « Tu as terminé ? Car tu n’auras rien d’autre à manger ce soir. », j’ai opiné de la tête. Je n’en pouvais plus. C’est lui qui a porté mon assiette à la cuisine et quand il est revenu, il s’est mis face à moi.

« Ce n’est pas la seule surprise du jour. Pour notre anniversaire, je t’offre un vraie bite noire » me lança-t-il. Il a fait défiler différentes photos sur son smartphone. Des photos avec une grosse bite noire épaisse charnue qui me donnait envie de me soumettre immédiatement. Et puis il m’a regardé dans les yeux et il m’a annoncé les chiffres : 24cm de longueur pour 6 de largeur. À partir de cet instant j’ai eu plus qu’une seule envie : sucer et me faire pénétrer par cette grosse bite black. Mon Maître savait que c’était l’un de mes plus grands fantasmes. Je n’ai jamais eu l’occasion de me taper un black et mon Maître en a trouvé un dans toute sa splendeur : avec un gourdin entre les cuisses. Son sosie de queue couleur ébène.

Je devrais l’appeler Monsieur Farid. Il était boxeur professionnel et de passage à Paris pour une compétition. Il était prévu qu’il passe après son échauffement du soir, vers 23h. Mon mec m’a demandé d’aller me nettoyer correctement la bouche, de me refaire un lavement bien profond avant d’accueillir notre boxeur. J’étais excité comme une pucelle. Je me suis mis en jock et j’ai attendu aux pieds de mon Maître qui s’était lancé un film dans sa salle. Une sonnerie sur son portable a retenti, Monsieur Farid était en bas de l’immeuble, mon Maître est allé le chercher et ils sont donc rentrés les deux dans l’appartement, je les attendais juste en face, à genoux, soumis.

« Tu veux boire un truc ? »
« Ouais, je veux bien un truc frais » lança Monsieur Farid. Je le détaillais du regard, il portait un débardeur blanc trempé sous les aisselles, un short noir et des chaussettes Adidas. Il avait retiré ses TN à l’entrée de l’appartement.
« Sous merde, arrête de rêver et vas chercher deux verres et la bouteille de Coca » me réveilla mon Maître. Je m’exécutai et leur apportai la boisson, ils se sont installés sur le canapé. Je me lovai devant mon Maître pour lui caresser ses pieds nus.

« Occupe-toi de notre invité plutôt. Masses ses pieds endoloris par son entraînement. Putain, il faut tout te dire. » me dit-il. Je me positionnai devant lui pour masser ses pieds. Enfin ses chaussettes qui n’en étaient pas à leur premier jour. Je pris sa grande pointure entre mes mains pour le masser, il semblait apprécier le traitement. Les deux mâles discutaient tranquillement, j’écoutais, ça m’excitait un max. Dire que je vais bientôt avoir accès à ces deux queues.

« Il a l’air d’avoir une bonne paire de couilles ton esclave. Tu le ballbuste parfois ? »
« Le quoi ? »
« Le ball-busting, c’est une technique qui consiste à bien exploser les couilles de son esclave. Coups de poing, de pieds, écrasement, histoire de bien le faire couiner. »
« Ah non je ne fais pas ça avec lui mais ça peut être intéressant à voir. Ce soir, lors du repas, il m’a déçu. Je pense qu’il a bien mérité quelques coups de poing dans les couilles, t’en dis quoi ? »
« Ah moi je veux bien te montrer mais il risque de souffrir un peu, je sors de l’entraînement et j’ai frappé comme un fou ce soir, je vais lui défoncer les couilles à ton esclave »

J’ai avalé ma salive de manière bruyante, ils me faisaient peur ces deux-là finalement.
« J’te propose de te limiter à 100 coups. Je le tiendrai fort. S’il chiale, ne t’en fais pas, je le consolerai quand tu seras parti. Il a bien mérité ça pour notre premier anniversaire. »

J’ai alors tenté de m’échapper mais mon Maître m’a choppé par les cheveux pour me retirer de force mon jock. Je n’ai pas résisté, je savais que je ne faisais pas le poids. Il m’a positionné à 4 pattes, couilles bien pendantes. Il est venu s’assoir sur ma nuque pour me bloquer, il a saisi mes cuisses pour bien les écarter. Monsieur Farid s’est installé assis derrière moi, les jambes croisées. Il a fait un compliment sur mon beau cul de chienne et les coups ont commencé à tomber. Tout d’abord quelques petits coups, mais déjà bien pesants sur mes boules. Et puis ça s’est intensifié, aucun coup ne passe à côté, on voit qu’il maîtrise ça.

« Tant que tu ne comptes pas, ça ne compte pas. T’en voulais davantage c’est ça ? » me dit-il. Je me suis alors mis à compter, la dizaine de premiers coups comptait donc pour du beurre. Je me disais en mon for intérieur que j’étais vraiment une pauvre merde. Alors j’ai compté les coups de poings que le boxeur Monsieur Farid me donnait dans les couilles. Les coups étaient intenses, la douleur était assez impressionnante, je ne pensais pas être capable de me prendre autant de coups dans les couilles. Je gesticulais mais je me savais écrasé par mon Maître, totalement offert pour ce boxeur qui maitrisait pleinement son nouveau punching-ball constitué par ma paire de couilles.

Une fois les 100 coups donnés, j’ai chialé en exultant. Mon mec s’est levé et lui a juste dit : « J’adore, je bande comme un âne ». Dès lors, je savais qu’outre sa merde à manger chaque soir, il se ferait un malin plaisir à entraîner ses poings sur mes grosses couilles. J’étais effondré à terre, complètement allongé, me tenant les couilles dans la main droite. « Moi aussi, ça m’a foutu la gaule » lui dit le boxeur.

« Il est temps de te mettre au taf, va nous attendre sur le lit » me dit mon Maître. Je me relevais difficilement, apparemment pas assez vite pour mon Maître qui m’a choppé par les couilles pour m’amener dans notre lit. Je hurlais de douleur. Il devait avoir envie de montrer sa puissance en ces murs. Il est ensuite retourné voir Monsieur Farid dans le salon, je me tordais de douleur dans le lit. Ils sont arrivés quelques minutes plus tard, après une pause clope. Et j’ai ramassé sévère.

J’ai commencé par bouffer la queue du black qui était vraiment énorme. J’ai léché ses grosses couilles, je le branlais, je le suçais bien profond. Il semblait adorer ce traitement vu les compliments qu’il me faisait sur ma façon de sucer. Mon mec me bouffait le fion depuis tout à l’heure. Il allait hyper profond, il savait que j’adorais ça. Et puis, je savais aussi que je me prendrais bientôt leurs deux chibres énormes, alors je devais être bien ouvert.

Mon Maître a pointé son gros gland à l’entrée de mon cul. Il me l’a mis doucement alors que ma bouche était remplie par la grosse queue de Monsieur Farid. Je le suçais comme un malade, sa queue sentait trop bon. La pièce s’était emplie d’odeurs de transpiration et de sexe, j’étais réellement en transe. Mon Maître a commencé à me baiser durement, je couinais sous ses coups de rein, mes cris étaient de toute façon étouffés. Le black a saisi ma bouche pour m’embrasser, ses grosses lèvres sur les miennes, c’était un bonheur. Il m’a collé quelques baffes et m’a renvoyé sur son énorme queue qui était vraiment d’une largeur folle.

« On échange ? ». Alors ils ont échangé, le manège a duré trois ou quatre fois. Je me prenais des ass-to-mouth à n’en plus finir. C’est peut-être ce qui m’excite le plus dans les films de cul que je me tape sur ThisVid. Il avait été convenu qu’il me baiserait au jus, je sais que mon Maitre ne me ferait prendre aucun risque.

Ils ont donc échangé plusieurs fois de rôle, quand le black avait son énorme queue bien au fond de mon cul, mon mec me labourait la gueule avec son énorme queue blanche. Il essayait d’aller au plus profond de ma gorge, histoire de me mettre vraiment la misère. Ou de me faire gerber. Parfois, je ne sais pas tellement ce qu’il a dans la tête. C’est à la fois excitant et terriblement effrayant. Le black m’a arraché un cri quand, lorsqu’il était en moi, il a choppé mes couilles totalement endolories par le traitement de tout à l’heure. Ca les a fait rire tous les deux.

« Double ? »
« Double ! »

Mon Maître s’est installé sur le dos et m’a demandé de venir sur lui, sa grosse queue dans mon cul. Il a saisi mes hanches puis m’a fait signe de m’approcher de son visage, il m’a embrassé à pleine bouche et j’ai fondu. Je l’aimais tellement à cet instant. Avec tout ce qu’il m’avait pourtant fait subir ce soir, je l’aimais atrocement.

« Joyeux anniversaire mon ange » me dit-il. « Achève-le ! » dit-il à Monsieur Farid. Ce dernier s’est alors enfoncé en moi, écartelant mon trou du cul à l’extrême. La baise était intense, j’étais en transe et en nage, tous nos corps luisaient de transpiration. Les coups tombaient de partout sur mon corps. Mon Homme me collait des baffes à m’en faire siffler les tympans tandis que Monsieur Farid se faisait plaisir sur mes côtes. Le manège n’a pas duré très longtemps avant que ces deux mâles puissants n’éjaculent en moi. Dans des râles de plaisir, ils ont lâché tout leur jus. Ma queue était dressée au maximum, mais je sais que ni l’un ni l’autre ne chercherait à me faire juter.

Le black s’est un peu laissé aller sur moi, nous faisant tout deux nous reposer sur mon Maître. Ce dernier touchait du bout de ses doigts mes hanches. Je sentais leurs deux queues perdre du volume dans mon cul. Le black s’est retiré le premier en se levant.

« Tu n’as plus qu’à nettoyer nos deux queues pleines de jus » me dit-il.
En effet, sa queue noire était recouverte du jus de mon Maître et vice-versa. J’ai pris sa grosse queue en bouche, j’ai pris aussi celle de mon Homme pour les décrasser et les rendre bien luisantes. Et le black nous a remercié, il est allé se rhabiller et est parti. Je l’ai accompagné, mon Maître était tout groggy sur le lit et surtout crevé de sa longue journée.

Monsieur Farid m’a embrassé à nouveau à pleine bouche. Il m’a dit qu’on se reverrait quoiqu’il arrive. J’ai fermé la porte avec une excitation dans le bas du ventre. J’ai rangé un peu l’appartement avant de rejoindre mon Maître dans le lit. Il était toujours là allongé sur le dos, les yeux fermés. Je l’ai chevauché, je l’ai couvert de baisers avant de me blottir contre lui. Sa main gauche est venue caresser mes cheveux, j’étais bien là. Tellement heureux. Tellement à lui.

« Ce soir, c’était un peu un test. Pour voir comment tu réagis avec d’autres mecs. J’ai l’intention de te partager davantage. Parfois même au plus offrant. Tu ne bosses plus et je me dis que tu pourrais rapporter un max de fric tout en prenant du plaisir. Je vais réfléchir à tout ça mais c’est déjà bien avancé dans ma tête. Tu en tires du plaisir, j’en tire du fric pour profiter, c’est donc un excellent deal. Qu’as-tu pensé de mon invité ? »

« J’ai adoré mon Ange. Merci pour ce cadeau… Enfin, ces cadeaux… », j’étais un peu perplexe quant à ce futur partage mais aussi tellement excité…