Retourné : partie 2 : toi

Bien que je me fusse juré de ne plus jamais avoir à faire à toi, aujourd’hui l’heure était venue pour toi de comprendre que rien n’est gratuit dans la vie. Tu as voulu ramener ta petite gueule de PD chez moi une dernière fois mais ça ne s’est pas passé comme tu l’avais imaginé. J’ai envie de graver dans ta mémoire ce qu’il s’est passé ce fameux lundi en te résumant tout ça par écrit, histoire que tu souviennes bien qui je suis.

Il est 14h30 et tu arrives chez moi avec un large sourire et notre contrat à la main. Je t’invite à t’assoir et comme à ton habitude, tu t’installes comme un pacha en te déchaussant pensant que j’allais me jeter à tes pieds. Comme toujours. Je t’arrête tout de suite avec cette phrase « C’est fini mec, tu vas arrêter de me pourrir, j’ai toutes les informations sur toi afin de ruiner ta vie : dans ton couple, à ton taf et avec ta famille. Donc si tu ne fermes pas ta gueule de merde et que tu ne fais pas tout ce que je te dis, à partir de maintenant, c’est moi qui mène la danse ! Et ta vie va changer du tout au tout, crois-moi bien ».

Immédiatement, j’aperçois que tu regardes tous les documents que j’ai laissé sur ma table basse bien en évidence. Je ne mens pas. J’ai de quoi te faire tomber et allègrement. Je t’entends alors me dire « Ok tu m’as coincé, c’est sérieux mais qu’est-ce que tu vas me faire ? »

Ni une ni deux, je te demande alors de te foutre à poil en ne gardant que tes cho7, tu t’exécutes sans broncher. Une fois à poil, je te demande de te mettre debout et de me suivre à la cave. Arrivé au sous-sol, je te menotte les mains dans le dos et je commence une inspection en règle en te gratifiant de quelques baffes dans ta gueule de beau PD un peu trop chic à mon goût.

– Moi : Tu fais moins le malin, n’est-ce pas ? Je sais que tu flippes mais ne t’en fais pas, ça ne va pas durer très longtemps, tu vas vite comprendre que tu n’es qu’une pauvre merde et qu’il ne fallait pas me traiter de la sorte contrairement à ce que je me suis amusé à te laisser croire ces derniers mois. Je vais me venger et pas qu’un peu.
– Toi : Je regrette, je ferai tout ce que tu veux mais ne mets pas la merde dans ma vie. J’ai toujours respecté tes limites et…
– Moi : Ferme ta gueule PD !

Aussitôt après t’avoir foutu à genoux, je me mets assis sur une chaise face à toi, et t’ordonne de retirer mes TN puantes pour commencer à bouffer mes cho7 archi crades non sans te coller quelques coups de pieds bien placés dans ta gueule. Tu semblais tellement dégoûté au début.

Mais au bout de quelques minutes, tu faisais ça très bien. Je me demande alors si tu n’y prends pas du plaisir, ce qui a tendance à m’agacer légèrement. Je pensais te répugner et n’imaginais pas te donner du plaisir. Alors je te remets debout et prends ton gros paquet de couilles dans les mains en serrant bien fort pour voir ton visage se crisper de plus en plus.

– Moi : En fait, tu n’es qu’une lope soumise, tu kiffes ça et je le savais depuis le début. Mais je ne suis pas là pour te faire plaisir, alors on va commencer à jouer vraiment espèce d’enculé !

J’enfile sur ton visage une cagoule à un trou qui te rend aveugle et ne laisse que ta bouche apparaitre. Je ne manque pas de remarquer alors que tu t’es mis à bander. Je prends ta grosse queue dans ma main gauche en faisant quelques petits mouvements de va-et-vient te laissant penser que je vais te branler la queue. Je sens très vite que tu y prends un plaisir mais rapidement interrompu par l’énorme coup de latte en bois que mon autre main assène à ta bite suivi de deux autres coups.

Les trois cris que tu pousses me dérangent. Je saisis donc mes cho7 crades et encore humides de ta salive pour te les fourrer dans la gueule et être tranquille. J’installe ensuite une pince sur chacun de tes tétons pour pouvoir jouer avec par la suite dès que je sens que tu n’es pas trop obéissant. Les gémissements couvert par les cho7 dans ta bouche au moment où les pinces écrasent tes tétons me donnent un plaisir plus qu’agréable.

Je te remets à genoux et te penche en avant. Aveugle, les mains dans le dos, ne pouvant plus parler, je profite de ce moment pour m’allumer une clope en enfilant un gant en latex que je lubrifie un peu. Sans te prévenir et sans que tu le voies arriver, j’enfonce un doigt dans ton fion assez brusquement mais le gel me permet de le mettre directement assez profond. Une fois bien à l’intérieur de toi, je me penche pour te glisser doucement à l’oreille :
– J’espère pour toi que tu as le fion propre, sinon, tu vas bouffer ta merde sale connard !!

Je t’enfile alors un deuxième doigt dans le cul et commence à fouiller dedans à la manière d’un douanier suspicieux mais bien pervers. Malheureusement pour toi, je ressors mes deux doigts souillés de merde. Évidemment, je prends un malin plaisir à retirer mes cho7 de ta bouche pour y fourrer mes doigts sales que tu n’as pas l’air de vouloir bien nettoyer. Après avoir appuyé bien fort sur les pinces à tétons, je saisis la latte de bois et te balance un énorme coup sur chaque fesse dont je sens qu’ils te font très mal et laissent la peau bien rouge.

– Moi : Tu as compris que tu avais intérêt à bien lécher les gants jusqu’à ce qu’il n’y ait plus une trace de ta merde de fils de chien dessus ?
– Toi : Oui… J’ai compris…
– Moi : Oui… J’ai compris Boss ! (Accompagné d’une bonne grosse tarte dans ta gueule).

Je te fourre à nouveau mes doigts merdeux dans la gueule que tu te mets à lécher comme je l’espérais. Tu entends alors que je retire le gant en latex. Je sais que tu imagines que tu as vécu le pire. Je te regarde alors, à genoux dans ma cave, aveugle, les mains dans le dos avec encore un peu de merde sur la commissure des lèvres.

– Moi : Ne t’en fais pas, sale merde, je ne compte pas te baiser, te voir ainsi, minable, ne me fait vraiment pas bander, sois en certain !! Pour l’heure, je vais tout de même être gentil avec toi et je vais te rincer le gosier de cette odeur de merde que tu trimballes.

Je place alors une pince sur ton nez au-dessus de la cagoule t’obligeant à garder la bouche ouverte.

– Moi : Si tu fermes la bouche une seule fois dans les cinq minutes qui viennent, j’envoie en direct une photo de toi à ton mec, on s’est compris ?
– Toi : Ne fais pas ça s’il te plait…
– Moi : Bah je viens de te dire ce que tu avais à faire ou ne pas faire alors réfléchis connard !

Profitant de ta peur et de grande bouche bée, je commence à l’inonder d’une bonne rasade de ma pisse chaude comme si j’étais en train de tout lâcher dans un urinoir public. Je vois que tu as du mal à avaler tellement y’en a, ça coule dans ton cou, sur ton torse et ça me procure un plaisir de dingue. Une fois ma vessie vide, je me rassoie et prends ta tête entre mes mains pour amener ta bouche humide sur mes couilles.

– Moi : Lèche bien les couilles, bouffe-les, vénère-les sale fil de pute !

Sentant ta langue bien active sur mes couilles, je me remémore alors ces moments où tu kiffais les latter à grand coups de pied et de poing. Pour autant, je me mets à bander. Je te fourre alors ma queue dans la bouche en l’enfonçant direct au plus profond de ta gorge et en insistant comme un taré te provocant des haut le cœur de malade.

– Moi : Alors sale PD, ça t’a plu de répéter sans cesse que j’avais une petite queue ? J’ai pourtant bien l’impression qu’elle arrive bien au fond de ta gorge. Profite de ma petite queue.

Je sens alors que tu es en train de dégueuler mais je continue à te bourrer la gueule comme jamais. Je sens surtout tes relents de salive suivis de ceux de ton déjeuner arriver sur mes poils pubiens mais je continue encore à te forcer à prendre ma queue en bouche ! D’un grand coup pied sur le torse, je te pousse violement en arrière te faisant tomber sur le cul. La marque de mon pied est alors présente quelques secondes sur ton torse de minet.

– Moi : Fous toi à genoux sale crado et viens nettoyer la gerbe que tu as foutu sur ma queue.
– Toi : Non, c’est dégueulasse, je ne peux pas faire ça, demande moi autre chose s’il te plait ! Tout ce que tu veux.

Tu n’avais pas fini ta phrase que trois énormes coups de lattes en bois viennent méchamment frapper ton cul. Ils le rougissent encore plus qu’il ne l’était. Tu sais que tu ne peux pas rentrer chez toi avec des marques. Donc, au fond de toi, tu sais que tu ne peux pas aller trop sur le chemin de la désobéissance.

– Moi : Inutile que je te menace d’un envoi de SMS à ta mère pour que tu m’écoutes j’imagine ?
– Toi : D’accord, je vais le faire…
– Moi : Je vais le faire Boss !

Et deux grandes claques frappent ta gueule à nouveau. Tu as du mal à piger. Tout de suite après, je sens ta langue ravaler toute la gerbe sur ma queue, dans mes poils et sur mes couilles. Je profite de ce moment pour saisir un gros plug que j’avais à côté de moi. Aussitôt, je le fourre dans ton cul.

– Moi, tu as de la chance d’avoir encore un peu de gel dans le fion, t’a pas eu trop mal et maintenant allonge toi sur le dos sale chien.

Virant mon fut, je me mets alors accroupi sur ta bouche.

– Moi : Allez vas-y batârd, clean moi bien le fion, j’ai pris soin de ne pas me torcher avant que t’arrive. Je le veux nickel.

Je sens alors que tu ne désobéis plus sachant les conséquences que ça pourrait avoir et ta langue commence à travailler pendant que je glisse ma raie sur ta bouche. Je profite de ce moment bien kiffant pour saisir ta queue et commencer à la faire bander à nouveau. Je la branle pendant que tu t’occupes de nettoyer mon anus souillé sans oublier de lâcher quelques bons pets sur ton nez et dans ta bouche.

Une fois ta queue bien raide, je me mets à la frapper très violement ainsi que tes couilles.

– Moi : Combien de coups tu penses que tu m’as mis dans les couilles ces derniers mois ? Tu te rappelles le jeu avec les papiers ?
– Toi : Aucune idée mais je ne pense pas moins de 200…
– Moi : J’ai repris les comptes : 25 pour la première séance et j’en ai totalisé 105 pour les séances suivantes. Donc un total de 130 coups dans mes couilles. On pratique le même tarif ?
– Toi : Non, je t’en supplie, tu vas me les broyer si tu fais ça.
– Moi : Tu as raison. Je ne peux pas t’en donner que 130. On part sur le double !
– Toi : Non, ce n’est pas ce que je voulais dire. Pardon boss.

Le mal est fait. Je te positionne tant bien que mal à quatre pattes au milieu de ma cave. Je te fourre à nouveau mes cho7 en bouche, je ne veux pas inquiéter les voisins. Et je commence les coups dans tes grosses couilles pendantes avec mes pieds que tu qualifiais encore de boudinés il y a quelques semaines…

Au bout de cent coups, j’en ai marre. Je n’imagine pas ce que tu devrais dire. Mais j’ai aucune pitié pour les mecs de ton espèce. Tu as voulu me dominer. Mais tu ne faisais pas le poids. Loin de là. Au bout des 260 coups, je m’approche de ton visage et te retire la cagoule et les cho7. Des larmes ont coulé, tu as les yeux rouges. Mais pas autant que tes couilles.

Tu me regardes avec hargne et a le courage de me cracher au visage.

– Moi : C’est mérité, tu as raison.

Je te retire les menottes, te retourne, t’allonge sur le dos. Tu n’opposes aucun geste, la séance t’a lessivé. Je me mets alors à genoux au-dessus de ta tête pour me branler car tout cela a commencé à bien m’exciter. Au moment de juter, je fourre ma queue dans ta gueule afin que mon sperme entre bien profond dans ta gorge. Je retire alors tes cho7 et les fourre dans ta bouche afin d’être certain que tu ne recrache pas.

Moi : Je laisse la porte de la cave vers l’extérieur ouverte. Tu comptes jusqu’à 20 et tu auras deux minutes pour retirer le plug de ton fion, te rhabiller et te casser. Je ne veux plus jamais te voir, entendre parler de toi ou même penser à toi. Adieu sombre merde.

Retourné : partie 1 : moi

La première fois où l’on s’est parlé, je n’aurais jamais imaginé que nos routes se croiseraient en vrai. À l’époque, j’étais célibataire et toi tu étais en couple depuis quelques années déjà. Cela ne t’empêchait pas de faire la connaissance de tout ce qui bougeait dans notre ville. Rien de sexuel, mais tu jaugeais les personnes, toutes les personnes. Souvent, ça ne donne rien par la suite, tu ne les abordes même pas, mais tu marques ta présence.

De mon côté, j’ai eu droit à un message assez rapidement et on a fait connaissance. Les discussions sont vites parties sur des sujets hardcore, toi et moi, on était deux gros pervers et on s’était bien trouvé. Toi comme moi avons de l’expérience dans la soumission, les odeurs, le SM et on a passé pas mal de temps à savoir qui pourrait dominer l’autre si nos chemins se croisaient réellement. Même si à l’époque, je n’aurais jamais pensé te voir tant ton physique me répugnait. En effet, j’accorde beaucoup de place au physique et le tien en tient pas mal de place justement. Mais, j’ai l’esprit ouvert et cela ne m’a pas empêché d’avoir envie de te rencontrer, voire de te dominer.

La première fois que l’on s’est vus, c’était pour signer un contrat d’appartenance. Tu avais envie que je profite de toi, comme les maîtres les plus impitoyables existants t’avaient exploité jadis. Tu avais certainement envie de vivre autre chose dans ton couple et je te comprenais. L’homme n’est en réalité par fait pour être monogame. Ce contrat sur quatre pages était des plus complets, il comprenait de très nombreux articles concernant ta condition d’esclave envers moi et comprenait évidemment des limites pour ne pas entraver ton statut d’homme en couple et censé être fidèle.

Je suis donc arrivé chez toi, chez vous, avec ma paire de TN et des chaussettes bien pourraves. Il faisait beau ce jour là et nos destins allaient être scellés. Nous nous sommes installés à table à la cuisine et je t’ai fait lire notre contrat, et t’humilier une première fois à devoir me faire la lecture de tous les trucs salaces que je pouvais t’imposer en tant que maître. J’avais évidemment des idées derrière la tête par rapport à cette lecture. Arrivé au paragraphe trois, j’ai choppé ton verre que tu avais terminé. Je me suis positionné juste derrière toi. J’ai déboutonné mon jean, ma braguette, j’ai sorti ma grosse queue puante et j’ai lâché ma pisse dans ce grand verre. Tu continuais à lire, parfois déconcentré par ce qui se passait dans ton dos.

Une fois ce grand verre bien rempli, je l’ai posé juste à côté de toi. La pisse était jaune et je sentais déjà que tu aurais du mal à tout avaler. Je riais intérieurement. J’ai remballé le matos et suis allé me rassoir face à toi, ta lecture continuait et tu t’es saisi du verre, me regardant avec un air vicieux que je ne soupçonnais pas et en a bu quelques belles gorgées.

« Je ne m’attendais pas à ça. Elle est bien forte » me dis-tu. J’en ris.
« Poursuis la lecture » dis-je.

Tu as alors terminé cette lecture.

« 27 ! » te dis-je.
« 27 quoi ? » m’as-tu répondu.
« 27 accros ou erreurs dans ta lecture orale. Ça veut donc dire 27 coups dans tes couilles ridicules » te dis-je sans me démonter. Je savais que les coups dans les couilles te faisaient peur. Et je le comprends totalement. Comment un homme normalement constitué peut-il avoir l’envie, voir même l’idée de se faire exploser les couilles par des poings, des pieds ou même une paire de TN ? toi, gros tas, tu ne devais pas trop tenir à cette petite paire de burnes que tu trainais.

Tu as cru que je rigolais, alors que pas du tout. On est passé dans le salon et j’ai retiré mes TN, te laissant alors entrevoir mes chaussettes maculées de crasse et de sperme. Tu portais les mêmes que moi, d’ailleurs, dans un état encore plus dégueulasse que les miennes. Tes petites burnes, que j’allais bientôt réduire en bouillie, devaient produire de bonnes grosses doses de sperme, que tu récupérais avec tes chaussettes.

Je t’ai alors laissé profiter de mes odeurs, je me suis posé sur un rebord du canapé et tu es resté un long moment à sniffer et lécher mes chaussettes crades. Tu semblais y prendre du plaisir mais tu cherchais surtout à gagner du temps sur l’explosion de tes couilles. Je t’ai demandé de retirer ton jean et ton boxer. Tu t’es exécuté. Le contrat était de toute façon signé en deux exemplaires. Tu n’avais plus le choix.

« Mets-toi debout face à moi, jambes bien écartées » te dis-je.

J’ai alors pris de l’élan pour te foutre un premier coup dans les couilles. Vingt-six suivront, non sans mal, tu avais voulu plusieurs pauses, tu avais souhaité que je fasse moins fort. Je n’y suis pas allé très fort cette première fois. Je ne voulais pas non plus te briser.

Au dernier coup, tu t’es effondré à genoux à terre. Je n’ai pas bougé. Je suis resté debout devant toi. Mais j’ai dû te dire que tu étais une bonne lope, te touchant peut-être un peu les cheveux. Tu m’as encore léché les panards, une fois mes chaussettes retirées. Tu t’y prenais d’ailleurs très bien. Cette première rencontre s’est arrêtée là. Nous en avions assez fait pour cette journée : tu en avais assez vu. J’ai donc enfilé mes TN, tu avais tes couilles en main, j’ai bien senti que tu avais souffert. J’ai récupéré mon exemplaire du contrat et j’ai quitté ton appartement.

La deuxième fois que l’on s’est vus, on est allé au resto, tu m’y as invité. Comme toutes les autres fois, c’était devenu une habitude, fort plaisante pour deux amoureux de la bouffe comme toi et moi. On mangeait, on buvait bien aussi et tu payais à la fin. Je t’ai fait faire quelques trucs un peu salaces au resto, comme cracher dans ton verre, te faire boire un cocktail de pisse et de sperme mélangés, te foutre des coups de pieds sous la table. A ces moments, tu étais à moi.

Après ce premier resto, on est rentré chez toi et on a réalisé un jeu, celui des petits papiers. On avait fait une pioche avec des nombres allant de 10 à 100. J’en ai pioché deux pour cette première fois, de mémoire, la somme faisait quarante, je te les ai filés et tu as souffert. Et j’ai pris mon pied. J’ai mélangé les coups et les positions pour te ridiculiser et te défoncer les couilles : coups de poings, de pieds, de dessus, de dessous, forts ou moins forts. J’ai adoré te frapper les couilles. Ton regard en disant long à ces moments précis : entre défiance et pitié. Mais je n’avais aucunement pitié de toi, je savais que tes précédents maîtres t’avaient fait bien pire.

Lors de cette même séance, je t’ai fait boire ma pisse dans un verre et tu as passé plusieurs dizaines de minutes à récurer mes TN, mes chaussettes et mes panards puants. On a d’ailleurs fait plusieurs échanges de chaussettes pourraves. Je t’ai ensuite fait t’installer sur le dos. J’ai baissé mon jean et mon boxer pour m’assoir sur ta bouche.

Tu as joué de la langue pour bien récurer de fond en comble ce trou qui ne devait pas être clean. Mais tes gémissements en disaient long. De même que ta petite queue bien dressée qui mouillait un maximum. Voyant que tu y prenais un peu trop de plaisir, j’ai empoigné ta paire de couilles qui avait été mal traitée quelques minutes avant. Le bouffage de mon fion a duré pas mal de temps. Mais rien n’y faisait, ma queue n’était toujours pas dressée. Je n’y pouvais rien, tu ne m’excitais pas sexuellement.

Les visites suivantes furent du même acabit. Tu n’as jamais goûté à ma queue, je ne le souhaitais pas et au fond de moi, je savais que ma grosse queue allait tellement te plaire que tu pourrais trop facilement tomber amoureux de moi. Je me suis donc abstenu.

Une fois, je t’ai assené non plus des coups dans les couilles mais des coups de ceinture sur le cul. Tu m’avais affirmé que ton mec ne s’en apercevrait jamais. Donc j’ai détaché la ceinture que je porte toujours autour de ma taille pour t’asséner cinquante coups bien précis, étalés sur ton cul graisseux qui rebondissait à chaque coup. J’y ai pris beaucoup de plaisir.

Une autre fois, je me suis ramené chez toi avec une bouteille de vingt-cinq centilitres de mollards. Rien qu’à l’ouverture de la bouteille, j’ai cru que tu allais gerber. C’est vrai que l’odeur était dégoûtante, ça m’aurait donné autant la gerbe que toi.

« Tu vas boire ça avant que je ne parte. Sinon on se refait trois papiers. A toi de voir, ce sont tes couilles ou un quart de litre à boire. » te dis-je.
« Je ne peux pas, c’est vraiment trop dégueulasse » me répondis-tu.
« Mais si tu le peux. Assurément. » te dis-je.

Tu as alors pris ton mal en patience, tu as encore une fois ravalé ta fierté et tu as bu cette boisson du diable tant bien que mal. Tes yeux imploraient ma pitié. Mais je n’en avais que faire. Ça a duré pas mal de temps et à la fin, j’ai réellement vu de la haine dans ton regard. Tu me détestais. Et j’ai même pensé à cet instant qu’avec ton gabarit, si tu te retournais contre moi, j’étais vraiment très mal.

Les entrevues se faisaient de plus en plus rares et il faut avouer que j’ai rencontré un mec avec qui j’avais envie d’être fidèle. Ou en tout cas d’essayer. Par conséquent, je t’en ai parlé, et tu as rapidement compris mon point de vue. Cette relation n’était de toute façon pas à la hauteur de tes attentes, je l’avais ressenti.

J’ai donc décidé d’une dernière rencontre avec toi, pour rompre ce contrat. Je ne te voulais plus comme esclave et je ne voulais plus être sous contrat. On a donc convenu d’un dernier rendez-vous chez toi. Je voulais tout de même terminer cette entrevue par un bon léchage de panards. J’ai enfilé mes chaussettes les plus pourraves qui m’appartenaient, que je t’ai confiée et que j’ai ensuite récupéré. Ça puait un max dans la bagnole alors que je rejoignais ton appartement.