Rendez-vous était alors pris le vendredi suivant : même heure, même endroit, pour un second rencard un peu plus salé et surtout un peu plus dégueulasse que le précédent. Il était à l’heure, et moi aussi dans cette piaule de huit mètres carrés qui sentait le fauve. Les élèves ne devaient pas être déçus quand ils venaient le voir dans sa chambre. Bref, j’étais là, dans la même position que la dernière fois, il me commanda alors de retirer uniquement ma veste et de rester totalement habillé cette fois-ci.
Il baissa son pantalon et à ma grande surprise, il se retourna pour me tendre son cul. Son cul, comment le décrire ? Celui-ci était poilu et dégoulinant de sueur. Ça ne sentait pas la merde, mais la bonne transpi, genre du mec pas douché du jour, voire de la veille. J’introduis directement ma langue dans son trou et le récurai pendant cinq bonnes minutes qui me parurent passer en un éclair de seconde tant je kiffer bouffer du fion. Il se retourna alors, et me dit de retirer sa chaussure. À ma surprise encore, il ne portait pas de chaussette sous sa Air Force 1 et le mec ne mentait pas. Une bonne odeur de pied remplit mes narines, je portai sa sket à mes narines pour bien m’en imprégner. Ça l’a fait sourire… Lui avait commencé à se branler bien vigoureusement pendant que je lui léchais d’abord les orteils un à un.
Après avoir passé ma langue entre chacun d’entre eux, je pris les cinq orteils dans ma bouche, il semblait apprécier ça. Il ne me lâchait pas des yeux. Ce mec m’excitait vraiment trop. J’avais pour consigne de ne pas me branler, je respectai ses consignes et me concentrai à lui donner le maximum de plaisir.
Après cela, je passai évidemment au second pied, avec le même traitement. Et puis il se dirigea vers une étagère ou trônait un verre à peine rempli, ses pieds gluants de bave faisaient un bruit hyper excitant sur le carrelage. J’ai très vite deviné là où il voulait en venir. Il m’a dit qu’il avait conservé son jus depuis 5 jours au frigo, depuis notre dernière conversation en réalité. Il avait en effet juté il y a cinq jours dans ce verre, qu’il avait gardé au frigo et qu’il avait recouvert au matin même d’une nouvelle dose. L’on voyait très bien à la consistance qu’il y avait deux couches provenant de deux doses bien distinctes. Il m’a dit l’avoir recouvert d’un papier aluminium jusqu’à ce matin mais lorsqu’il l’a ouvert, il a failli gerber tant l’odeur était prenante et écœurante.
Il me l’amena sous le nez, et je pus constater, que l’odeur était bien âcre et que son jus avait réellement quelques jours. Ça sentait le sperme évidemment mais c’est comme si l’odeur était multipliée par dix. Il m’a donc ordonné de le boire, j’ai eu d’abord un peu de mal, mais l’ai pris, l’ai regardé et tout avalé d’un trait. Évidemment, j’ai failli tout gerber. Mais j’ai tenu bon et me suis senti fier de moi, et j’ai compris que ça l’avait excité tant sa queue était gorgée de sang.
Il m’a par la suite donné ma dose version chaude et directement à la source. De la même manière que la dernière fois, je me suis agenouillé devant lui, j’ai léché ses couilles et ai recueilli ses jets de foutre, peu abondants cette fois-ci. Mais le peu qu’il restait, je l’avalai bien goulument et je partis donner cours à mes élèves. S’ils savaient…
La semaine suivante, je le vis à nouveau, pour notre rendez-vous devenu hebdomadaire, sous la même formule. Mais cette fois-ci, le verre n’était plus rempli de son sperme mais de sa pisse matinale que je dus boire d’un trait. Avant de l’avaler, il mit sa bouche au-dessus et cracha un bon mollard dedans. Il me regarda d’un air supérieur et me dit « T’en veux encore ? », je lui dis répondu évidemment par la positive. Il monta à peine le verre pour le mettre au niveau de son nez, se boucha la narine gauche et se vida à l’intérieur. De la même manière que la dernière fois, je pris le verre et le vidai tout en le regardant, même si mon air devait paraitre bien dégoûté. Et je l’étais. Mais d’un autre côté, je bandais comme rarement j’avais bandé : aucun mec ne m’avait alors amené jusque-là niveau soumission.
Le rendez-vous s’est poursuivi par une bonne pipe, faite de gorges profondes et agrémentées de quelques mollards par-ci par-là. Sa queue était bonne et son jus finit évidemment dans ma gorge, comme à l’accoutumée. Il savait que j’adorais cela, et il ne semblait pas étranger à cette sensation de vider ses bonnes couilles dans la bouche d’un mec sans que celui-ci ait son mot à dire. Puis vint le mois de juin, mois assez difficile et chargé pour les pions et les enseignants qui doivent respectueusement organiser, surveiller et corriger les épreuves du baccalauréat. L’on parla une nouvelle fois virtuellement et il me dit qu’il a envie de me revoir pour un repas et une nuit chez lui.
Il m’a expliqué que lors d’un diner assez romantique au demeurant, il avait pour intention de m’humilier au maximum.
Pour l’apéritif, il voyait pour moi un verre de jus et une goutte d’alcool. Ensuite, un plat classique pour lui mais pour moi ce même plat agrémenté de merde et de pisse. Il m’a bien confirmé qu’il n’était pas une putain de compagnie aérienne à la con et qu’il ne fournissait pas de sac pour vomir. Donc si je vomissais, c’était dans mon assiette pour ensuite être ravalé. Je savais en être totalement incapable, donc je me disais que cela ne se passerait pas et qu’en tout cas, je ferai tout pour… Pour le dessert, il envisageait une glace à la vanille agrémentée de ses ongles noirs, crades et puants coupés en direct au-dessus de ma coupe.
Il m’avait également parlé de réaliser pour moi des goûters qu’il me donnerait au lycée et que je devrais manger devant tout le monde en salle des profs. En plus de l’aspect soumission, ça l’excitait d’autant plus que son statut de pion est considéré comme inférieur aux profs aux yeux des autres. Il m’avait dès lors parlé de madeleine fourrée à son sperme ou de de gâteaux aux pépites de merde.
Mais depuis, j’ai été muté et n’ai alors jamais pu subir ce repas qu’il voulait m’imposer. Je regrette évidemment, mais d’un autre côté, je me dis que c’est mieux ainsi. Je ne sais pas si j’aurais été capable de réaliser de telles choses, d’aller aussi loin. Depuis, je croise quelques enseignants mignons, et quelques pions à tomber, mais j’attends que ce soit eux qui fassent le premier pas. Un jour, je retrouverai peut-être un mec aussi kiffant que lui dans ma vie…