Salope du pion (2/2)

Rendez-vous était alors pris le vendredi suivant : même heure, même endroit, pour un second rencard un peu plus salé et surtout un peu plus dégueulasse que le précédent. Il était à l’heure, et moi aussi dans cette piaule de huit mètres carrés qui sentait le fauve. Les élèves ne devaient pas être déçus quand ils venaient le voir dans sa chambre. Bref, j’étais là, dans la même position que la dernière fois, il me commanda alors de retirer uniquement ma veste et de rester totalement habillé cette fois-ci.

Il baissa son pantalon et à ma grande surprise, il se retourna pour me tendre son cul. Son cul, comment le décrire ? Celui-ci était poilu et dégoulinant de sueur. Ça ne sentait pas la merde, mais la bonne transpi, genre du mec pas douché du jour, voire de la veille. J’introduis directement ma langue dans son trou et le récurai pendant cinq bonnes minutes qui me parurent passer en un éclair de seconde tant je kiffer bouffer du fion. Il se retourna alors, et me dit de retirer sa chaussure. À ma surprise encore, il ne portait pas de chaussette sous sa Air Force 1 et le mec ne mentait pas. Une bonne odeur de pied remplit mes narines, je portai sa sket à mes narines pour bien m’en imprégner. Ça l’a fait sourire… Lui avait commencé à se branler bien vigoureusement pendant que je lui léchais d’abord les orteils un à un.

Après avoir passé ma langue entre chacun d’entre eux, je pris les cinq orteils dans ma bouche, il semblait apprécier ça. Il ne me lâchait pas des yeux. Ce mec m’excitait vraiment trop. J’avais pour consigne de ne pas me branler, je respectai ses consignes et me concentrai à lui donner le maximum de plaisir.

Après cela, je passai évidemment au second pied, avec le même traitement. Et puis il se dirigea vers une étagère ou trônait un verre à peine rempli, ses pieds gluants de bave faisaient un bruit hyper excitant sur le carrelage. J’ai très vite deviné là où il voulait en venir. Il m’a dit qu’il avait conservé son jus depuis 5 jours au frigo, depuis notre dernière conversation en réalité. Il avait en effet juté il y a cinq jours dans ce verre, qu’il avait gardé au frigo et qu’il avait recouvert au matin même d’une nouvelle dose. L’on voyait très bien à la consistance qu’il y avait deux couches provenant de deux doses bien distinctes. Il m’a dit l’avoir recouvert d’un papier aluminium jusqu’à ce matin mais lorsqu’il l’a ouvert, il a failli gerber tant l’odeur était prenante et écœurante.

Il me l’amena sous le nez, et je pus constater, que l’odeur était bien âcre et que son jus avait réellement quelques jours. Ça sentait le sperme évidemment mais c’est comme si l’odeur était multipliée par dix. Il m’a donc ordonné de le boire, j’ai eu d’abord un peu de mal, mais l’ai pris, l’ai regardé et tout avalé d’un trait. Évidemment, j’ai failli tout gerber. Mais j’ai tenu bon et me suis senti fier de moi, et j’ai compris que ça l’avait excité tant sa queue était gorgée de sang.

Il m’a par la suite donné ma dose version chaude et directement à la source. De la même manière que la dernière fois, je me suis agenouillé devant lui, j’ai léché ses couilles et ai recueilli ses jets de foutre, peu abondants cette fois-ci. Mais le peu qu’il restait, je l’avalai bien goulument et je partis donner cours à mes élèves. S’ils savaient…

La semaine suivante, je le vis à nouveau, pour notre rendez-vous devenu hebdomadaire, sous la même formule. Mais cette fois-ci, le verre n’était plus rempli de son sperme mais de sa pisse matinale que je dus boire d’un trait. Avant de l’avaler, il mit sa bouche au-dessus et cracha un bon mollard dedans. Il me regarda d’un air supérieur et me dit « T’en veux encore ? », je lui dis répondu évidemment par la positive. Il monta à peine le verre pour le mettre au niveau de son nez, se boucha la narine gauche et se vida à l’intérieur. De la même manière que la dernière fois, je pris le verre et le vidai tout en le regardant, même si mon air devait paraitre bien dégoûté. Et je l’étais. Mais d’un autre côté, je bandais comme rarement j’avais bandé : aucun mec ne m’avait alors amené jusque-là niveau soumission.

Le rendez-vous s’est poursuivi par une bonne pipe, faite de gorges profondes et agrémentées de quelques mollards par-ci par-là. Sa queue était bonne et son jus finit évidemment dans ma gorge, comme à l’accoutumée. Il savait que j’adorais cela, et il ne semblait pas étranger à cette sensation de vider ses bonnes couilles dans la bouche d’un mec sans que celui-ci ait son mot à dire. Puis vint le mois de juin, mois assez difficile et chargé pour les pions et les enseignants qui doivent respectueusement organiser, surveiller et corriger les épreuves du baccalauréat. L’on parla une nouvelle fois virtuellement et il me dit qu’il a envie de me revoir pour un repas et une nuit chez lui.

Il m’a expliqué que lors d’un diner assez romantique au demeurant, il avait pour intention de m’humilier au maximum.

Pour l’apéritif, il voyait pour moi un verre de jus et une goutte d’alcool. Ensuite, un plat classique pour lui mais pour moi ce même plat agrémenté de merde et de pisse. Il m’a bien confirmé qu’il n’était pas une putain de compagnie aérienne à la con et qu’il ne fournissait pas de sac pour vomir. Donc si je vomissais, c’était dans mon assiette pour ensuite être ravalé. Je savais en être totalement incapable, donc je me disais que cela ne se passerait pas et qu’en tout cas, je ferai tout pour… Pour le dessert, il envisageait une glace à la vanille agrémentée de ses ongles noirs, crades et puants coupés en direct au-dessus de ma coupe.

Il m’avait également parlé de réaliser pour moi des goûters qu’il me donnerait au lycée et que je devrais manger devant tout le monde en salle des profs. En plus de l’aspect soumission, ça l’excitait d’autant plus que son statut de pion est considéré comme inférieur aux profs aux yeux des autres. Il m’avait dès lors parlé de madeleine fourrée à son sperme ou de de gâteaux aux pépites de merde.

Mais depuis, j’ai été muté et n’ai alors jamais pu subir ce repas qu’il voulait m’imposer. Je regrette évidemment, mais d’un autre côté, je me dis que c’est mieux ainsi. Je ne sais pas si j’aurais été capable de réaliser de telles choses, d’aller aussi loin. Depuis, je croise quelques enseignants mignons, et quelques pions à tomber, mais j’attends que ce soit eux qui fassent le premier pas. Un jour, je retrouverai peut-être un mec aussi kiffant que lui dans ma vie…

Salope du pion (1/2)

J’ai débuté mon travail d’enseignant il y a quelques années dans un lycée de banlieue parisienne plutôt cool. L’ambiance était bonne, mes premières classes étaient tenables et le personnel était agréable. Peut-être un peu trop pour certains. Dès le premier jour de rentrée, j’avais remarqué ce mec : un assistant d’éducation. Il semblait avoir des origines mexicaines ou colombiennes, le teint mat, pas très grand et un regard à vous glacer le sang. Il était plutôt accueillant mais réservé à la fois. Évidemment, mon premier jour au Lycée n’allait pas être marqué par mon outing. J’avais un certain rang à garder et ne voulais aucunement aller le voir pour savoir s’il voulait mettre sa queue de latino au fond de ma gorge. Je pense que nous avons tous vécu cette situation : trouver, dans le milieu du travail, un collègue fort charmant sans pourtant oser l’aborder.

Les mois passèrent alors, des regards entre lui et moi étaient échangés sans pour autant que plus ne se concrétise. Nous avons échangé quelques mots un vendredi après-midi mais des mots purement professionnels à propos d’une classe de première. Et une semaine après, l’on s’est même croisés dans les chiottes réservées aux enseignants, là encore un large sourire, courtois, mais rien de plus. C’est à ce moment-là que je me suis dit qu’il fallait passer à l’action. Nous étions en mars, je savais que je serais muté l’année suivante, je n’avais alors plus que trois mois pour oser espérer quelque chose de lui. Je l’ai traqué sur le net et j’ai osé l’aborder en message privé. Nous avons correspondu plusieurs jours par messages différés et puis un soir, lui comme moi étions connectés en même temps, nous avons alors pu discuter plus longtemps. Alors, les grands mots sont vite arrivés, je lui ai avoué qu’il me faisait bander depuis le premier jour, et lui m’a dit que l’autre jour dans les chiottes, il aurait aimé me balancer dans une cabine pour me défoncer le cul. L’histoire était déjà presque écrite.

Il était donc actif et semblait plutôt entreprenant : c’est ce que j’aime ! Nous avons continué à discuter et je lui ai dit que j’aurais aimé qu’il me baise ainsi, voire plus, et la conversation s’est vite éternisée sur nos trips sexuels.

Ce jeune latino était déjà allé bien loin dans la domination et l’humiliation de mecs. En effet, les expériences scatos ne le rebutaient aucunement. J’ai avalé ma salive à plusieurs reprises. Mais je lui parle que je suis prêt à pas mal de choses. Entre autres, citions les trips avec de la pisse, des mollards, du sperme et lui dit que je suis absolument fan des odeurs de mecs, même bien poussées. De plus, j’adore lécher les pieds et bouffer du jus. Il m’a alors dit que c’était parfait et on a convenu de se voir dès le lendemain au Lycée dans sa piaule et qu’il verrait s’il aimerait aller plus loin avec moi ou pas. J’étais surexcité. Premièrement, par la situation, car j’avais espéré que ce mec me démonte un jour, pas de façon aussi hardcore, mais j’en rêvais depuis septembre. Secondement, cela va se passer au lycée, entre deux cours, et cela ramène un côté hyper excitant. La discussion s’était terminée à deux ou trois heures du matin, je le sentais tellement chaud.

Vendredi 12h45. L’on avait seulement trente minutes car il devait reprendre le BVS à 13h30. Les limites qui m’incombaient étaient évidemment que je ne devais avoir aucune marque visible sur le visage, le cou ou les bras à la sortie de ce rendez-vous et bien sûr qu’il devrait utiliser des capotes pour l’éventuelle baise qu’il m’infligerait.
Pour le reste, je lui avais laissé carte blanche même s’il savait que je n’avais encore jamais pratiquer la merde. Et il m’avait confié vouloir d’abord me tester et que cela serait progressif si l’on se revoyait.

J’arrivai donc au rendez-vous après mon repas avec des collègues, il était là, au bout du couloir, les bras croisés, l’air impatient mais tout de même rassurant. L’on monta alors dans sa piaule que l’on ferma évidemment à double tour, pour être certain que personne n’y rentrerait. L’on jouait évidemment très gros si l’on se faisait attraper.

On arriva, il me dit alors de me mettre en jockstrap, que j’avais dû porter toute la journée pendant mes cours et donc devant mes élèves. Il m’a aussi demandé de me mettre à genoux devant lui. Il était assis sur une table, je me suis alors mis devant lui, il m’a demandé d’ouvrir la bouche, à raclé et m’a craché un premier mollard directement dans la bouche. Quelques autres suivront ensuite. Puis, il déballa sa belle queue, d’une taille plutôt respectable, pas énorme, pas minuscule, mais il n’avait pas menti sur la marchandise, ce jeune mec était réellement odorant. Cela me prit au nez dès que le tout avait été déballé, mais j’adorais ça.

J’ai donc commencé par sniffer cette belle queue puis la déguster, sans aucun geste de sa part. Il était là, assis, à me contempler le vénérer. Puis au bout de quelques minutes et une belle érection, il empoigna mes cheveux et donna alors son rythme. Un rythme assez soutenu que j’arrivais à suivre malgré quelques haut-le-cœur. Je résistai, je ne voulais surtout pas gerber sur lui, je sais que je l’aurais payé très cher. Après l’avoir bien sucé, il avait entrepris de me baiser le cul, il me fit m’allonger sur cette table, et commença à doigter mon cul que j’avais évidemment pris soin de vider auparavant. Malgré tout, le temps ne nous permit pas d’effectuer la totale. Il m’enfila donc quelques doigts, les alternant entre ma bouche et mon cul, et agrémentant le tout de quelques mollards.

Il restait encore quelques minutes et il avait envie de me voir bouffer son jus. Par conséquent, nous avons repris nos positions initiales, il s’est alors branlé pendant que je léchais ses couilles poilues et suintantes. Il mit peut-être deux minutes pour lâcher son jus, il m’interrompit et me dit qu’il allait venir, j’ai alors pris dans ma bouche son gland, il a continué à branler sa queue en moi, jusqu’à éjaculer de bons jets de foutre bien chauds. Son jus était vraiment très bon : doux et onctueux. J’ai tout gardé en bouche, lui ai montré le résultat de cette branle et ai avalé en ne le lâchant pas des yeux. Il a apprécié ce traitement apparemment mais m’a tout de même congédié. Il avait à s’occuper d’élèves, et je retournai alors en salle des profs gavé de son sperme et de ses mollards.

Nous avons pu parler le week-end même de cette escapade au foutre et débriefer un peu. Il avait aimé et moi adoré. Il m’a dit que j’avais du potentiel. L’on a encore développé nos trips, et il m’a avoué empester des pieds, c’est la raison pour laquelle il ne me les a pas fait bouffer. En une phrase, il m’avait fait bander directement. J’adore les pieds, et j’adore les odeurs de mec, alors il ne pouvait pas me faire plus plaisir. Je partageai alors avec lui ces vilaines et crades pensées, cela semblait lui convenir, et il me dit alors qu’il prenait des notes. De plus, il m’a demandé si j’aimais vraiment le jus, je lui ai alors répondu que j’adorais vraiment ça. Il m’a dit qu’il notait aussi ! Hâte de le revoir déjà…