Sous-merde – Partie 3/3

Quinze jours après la soirée poker que Cédric avait plus qu’adorée, et moi également, vînt l’anniversaire de ma lope. 27 ans, il fallait fêter ça et je voulais que cet anniversaire reste bien gravé dans sa petite mémoire de sous-merde. Pour cela, je me suis donc rendu dans mon sex-shop favori afin de lui acheter un cadeau spécial. Un gode vibrant de vingt-trois centimètres de long et de cinq centimètres de large. Je n’en voulais pas un qui soit plus large que ma queue, il n’aurait plus senti grand-chose lorsque j’aurai voulu le pénétrer et lui détruire littéralement son fondement.

Nous arrivions donc au jour J. Je n’avais plus touché Cédric depuis quelques jours afin qu’il m’appartînt bien en ce jour spécial et afin que moi-même je fus en une forme olympique pour la journée qui s’offrait à nous. Nous étions samedi et nous avions pour nous tout le week-end. Deux jours ou nous allions pouvoir repousser toutes nos limites et lui montrer comment je savais m’occuper de lui.

C’est à dix heures que je vins réveiller ma lope ; elle dormait sur un matelas juste devant mon lit. Exceptionnellement aujourd’hui, il n’avait pas l’obligation de venir me réveiller avec mon petit déjeuner et sa bouche gobant ma queue. Je sortis du tiroir le cadeau que je lui avais réservé et je vis dans ses yeux une immense joie, mais également une légère appréhension. C’est vrai que la bête était tout de même impressionnante. Je lui ai donc annoncé que je comptais m’en servir tout de suite. Évidemment, il n’a pas eu une seconde pour contester mes paroles, et s’est tout de suite placé à quatre pattes afin que je l’embroche, telle une truie. Mais je ne voyais aucunement les choses ainsi. C’était son anniversaire après tout, je pensais que cela méritait un sort exceptionnel…

Étant donné que j’ai pas mal de matos chez moi, je me décidai d’expérimenter de nouvelles choses avec Cédric. J’avais acheté du papier plastique afin de tenter la momification. J’ai déjà fait cela plusieurs fois avec d’autres lopes, mais jamais encore avec cette pute, et je sais que ce sera aussi pour lui une expérience totalement inédite. C’est donc avec peur qu’il me dit qu’il était d’accord pour tenter cela. Je lui expliquai alors qu’il n’y avait pas de risques du tout pour lui et que de toute façon, je saurai m’arrêter s’il ne se sentait pas bien. On convint donc d’un mot qui cesserait toute action de ma part sur son corps. Pour le rassurer. En contrepartie, s’il utilisait ne serait-ce qu’une seule fois ce mot, il aurait droit à cinquante coups de ceinture et cela à tout endroit que je souhaitais. Heureusement pour lui, il n’eut pas à l’utiliser.

Je le fis donc se tenir debout avant que je commence l’emballage de son putain de corps que j’aime tant faire crier. Je lui dis alors de se tenir pieds joints, corps bien droit et mains allongées le long du corps. Je commençais par le torse afin de pouvoir le garder en équilibre. L’opération dura pas mal de temps, étant donné que j’aime les choses bien faites. C’est donc avec un plastique d’une largeur de quarante centimètres que je commençai à lui entourer le torse puis le ventre, avec les bras bien sûr. Puis je passais aux fesses, ainsi qu’au haut de ses cuisses. Je m’arrêtai alors afin de laisser une place pour le gode. Car tout ce manège était, tout de même, dans la finalité de lui glisser ce nouveau gode dans le fondement sans qu’il puisse se rebeller, sans qu’il ne puisse contrôler quoi que ce soit. Je pris donc un long couteau. Il eut pour réflexe de paniquer et, étant donné que le haut de son corps était emprisonné, il perdit l’équilibre. J’eus à peine le temps de lâcher le couteau pour le rattraper. Je ne voulais pas qu’il tombe et se brise la clavicule ou pire encore, étant donné qu’il ne pouvait plus se rattraper avec ses mains. Je le rattrapai alors non, sans l’engueuler, lui disant qu’il devait me faire confiance. Il eut, par conséquent, droit à une série de baffes magistrales dans sa petite gueule de pédale, si bien qu’il chialait comme une gonzesse.

Je lui ordonnai donc, et tout en l’aidant, de se mettre debout et de se tenir bien droit, sans bouger, alors que je perçai une longue fente dans la sienne, pour que je puisse y pénétrer une fois la momification terminée. La fente faite, je le portai pour le placer sur le lit, momifié du haut des cuisses jusqu’au cou. Je pris alors le rouleau de plastique afin de continuer mon œuvre. Je me plaçai le cul au dessus de son torse et pris ses jambes en main afin de les enrouler. Quelques minutes après, il était totalement recouvert de plastique du bout de ses orteils jusqu’au cou. Restait encore le plus compliqué pour l’esclave : la tête. Il fallait, pour le maître, fonctionner assez vite afin que la salope ne s’étouffe pas. Je me plaçai face à lui et soulevai sa tête d’une main. De mon autre main, je fis avec six ou sept tours avec le plastique et toujours muni de mon couteau, perçai un trou sur sa bouche restée ouverte afin qu’il puisse respirer.

C’est alors que j’entendis un bruit de plastique plutôt minable. Je me rendis alors à l’évidence : j’avais totalement oublié une partie de son corps, sa petite queue qui se mit à bander lorsque son corps fut totalement recouvert de plastique. Avec toute la grâce que j’ai, je me résolus à sortir cette petite quenelle de son emballage plastique. Après tout, c’est bon aussi de branler sa petite lope alors qu’elle n’a plus aucun contrôle physique sur elle-même. Étant donné que son érection commençait à être bien forte, c’est avec délicatesse que je passais le couteau entre sa queue et son pubis pour pouvoir avoir accès à ses couilles et à sa queue, sans faire un trou trop grand. Ceci fait, je pris alors sa queue à pleine main et ses couilles ridicules dans l’autre. Je branlai la première et serrai bien fort la seconde. Il était à moi, et j’aimais ça.

Je l’ai ensuite complètement retourné afin que je puisse avoir accès à l’objet de mes désirs : son petit cul de larve. Je me saisis du gode, le plaçai d’abord dans sa bouche afin qu’il soit un minimum lubrifié et le doigtai pendant ce temps. Son cul s’ouvrait assez facilement, ma salope a, ce qu’on appelle, le syndrome du cul béant. Toujours open à tous les calibres que vous lui présentez. Même si avec le mien, elle a mis du temps à le recevoir sans préparation. Je sortis ce qu’elle avait en bouche afin de le lui mettre bien profondément dans le cul. D’abord doucement afin que ma lope puisse tranquillement s’ouvrir puis très vite bien à fond. Je commençai un va-et-vient incessant qui, j’en suis certain, le mènerait très vite à l’orgasme ultime.

C’est lorsqu’il eut le gode bien à fond que mon ventre commença à crier famine. Il était déjà 12h30 et je n’avais encore rien ingurgité. J’informai donc ma lope de mes intentions d’aller me faire à manger et la laissai là le temps de mon repas. Je saisis la télécommande livrée avec le gode afin de pouvoir commander à distance les vibrations du gode que ma lope allait recevoir. Je préparai mon repas, chose rare puisqu’en général, c’est mon Cédric qui s’occupe de cela. Entre deux actions, je me saisissais de la télécommande et lui infligeais quelques secousses qui le faisaient crier de bonheur ! Mais quelle lope, bordel ! Le repas prêt, je m’en voulais de ne pas nourrir ma lope, aussi je me rendis au freezer afin de prendre quelques glaçons de mon sperme. J’en pris donc une bonne dizaine que je posai délicatement dans un entonnoir.

Je retournai vers ma petite chienne afin de la retourner. Elle était toute suintante en dessous du plastique, j’adorais ça. Le mot secret n’avait toujours pas été prononcé, j’étais très fier de lui ! Je le portai pour le retourner sur le dos, le gode restant toujours bien planté au fond de son fion. Là, je lui expliquai mes intentions, il acquiesça donc.

Il ne refuserait en aucune manière le jus de son maître. Je lui dis d’ouvrir bien grand sa bouche pour que je glisse l’entonnoir à l’intérieur. Il le fit. Afin de ne pas prendre de risque, j’agrandis le trou du plastique de sa bouche afin qu’il atteigne ses narines et qu’il puisse respirer normalement. Je lui dis alors de bien avaler tout le jus qui allait couler dans sa gorge.

Je retournai dans ma cuisine afin de prendre mon repas. Évidemment, mon esprit sadique n’avait toujours pas oublié ce qu’il avait dans le cul. Toutes les deux minutes environ, je lui envoyai dans le cul cette décharge qui lui faisait lâcher un gémissement des plus suaves qui soit. J’adorais ça. Quelques dizaines de minutes plus tard, le dîner ingurgité, je retournai dans la chambre où l’entonnoir, bien qu’il soit totalement vide et sec, était toujours tenu bien droit dans la bouche de Cédric. J’adore ce mec ! C’est vraiment la pute parfaite.

« Tu attends qu’on te le remplisse petite lope ? Pas de souci, j’ai une envie de pisser pharaonique. Tu vas garder l’entonnoir coincé entre les dents afin de ne pas perdre une seule goutte de mon précieux liquide doré. » dis-je d’une voix les plus calmes que je puisse énoncer. Sitôt dit, sitôt fait. Je sortis mon steak et plaçai mon gland en haut de l’entonnoir ; je pissai un liquide bien jaunâtre et odorant. Il avala goulûment toute mon urine, sans en perdre une seule goutte. Il faut dire que je l’avais bien habitué à avaler tout ce qui sort de mon corps. Ma pisse dans son estomac, je lui retirai l’entonnoir de la gueule. J’enlevai aussi le gode de son cul que je lui ordonnai de nettoyer intégralement. Le gode nettoyer, je le branlai alors avec vigueur pour le faire juter de toutes ses forces. Le premier jet atteignit même son visage, les suivants son torse et son ventre. Le plastique était alors recouvert de son jus.

J’essuyai tout ça avec mes doigts que je lui glissai ensuite dans la bouche. Cette histoire de momification avait excité au plus haut point mon Cédric. J’entrepris alors de le démomifier lentement sans en perdre une miette. Il était 14 heures et nous en étions qu’à la moitié de cette journée d’anniversaire qui s’annonçait des plus sexes.

Je laissais ma salope se reposer, afin qu’elle reprenne du poil de la bête pour la soirée qui l’attendait. De plus, je sentais qu’après cette momification, elle avait besoin de reprendre tranquillement son souffle. Tout le souffle qu’elle avait perdu pendant tout ce temps. Je lui ai donc dit de tranquillement se préparer pour 20 heures ce soir. Et qu’elle aurait son second cadeau d’anniversaire.

J’avais excessivement réfléchi à ce que je pouvais lui offrir en plus de ce merveilleux gode qui l’avait ravi. J’avais d’abord pensé, pour ses 27 ans, à un immense gang bang avec 27 mecs différents. Bien que réalisable, c’était compliqué à monter, à faire venir et faire attendre 27 mâles pour s’occuper d’une seule et même lope. Et puis, ce n’était pas vraiment ce que je voulais. Je me mis alors à la recherche d’une autre idée. Et ce nombre 27 trottait beaucoup dans ma tête. J’eus alors une idée brillante : 27 comme 27 centimètres. Je me suis donc mis à la recherche d’un maître bien dominant qui possède une queue aussi grosse que l’âge de Cédric. J’ai mis des annonces un peu partout sur les sites que je connaissais, j’ai eu une réponse au bout de trois semaines. Un mec, la petite quarantaine, avec une queue qui m’a moi-même laissé sur le cul tant elle était énorme. Ce n’est pas uniquement en longueur, mais à la base, cette queue mesure huit centimètres de large. Vraiment impressionnant ! Je me suis alors dit que c’était le bon ! Le mec en question ne pratiquait que du soft, mais bon ce n’était pas très grave étant donné la taille de sa queue. Cependant, il me confia qu’il était prêt à me donner un bon paquet d’euros s’il prenait le cul de Cédric jusqu’au bout. Jamais, en effet, il n’avait réussi à trouver homme ou femme capable de prendre son vît en entier. Quant à la gober en entier par la bouche, c’était physiquement impossible.

Les vingt heures sonnèrent tranquillement et Cédric était déjà tout frétillant de la queue. Il ne savait pas du tout que j’allais encore le prêter à un autre mec, et lorsqu’il le comprit, je sentis en lui comme une légère déception. Il était amoureux de son maitre, le bougre ! Et avait envie de rester avec moi. Mais bon, grand bien lui fasse, je lui avais prévu quelque chose de bien plus intéressant à mon sens. On arriva au Commissariat de Police de Besançon ; il ne comprit alors plus du tout ce qu’il se passait. En effet, le mec à queue énorme était commissaire et je pensais alors que ça pourrait être un bon trip de faire ça en uniforme, et qui plus est, dans une salle d’interrogatoire. Nous avons donc mimé une arrestation, Hicham, c’était son prénom, s’est approché de nous et passa les menottes à Cédric, puis l’emmena en salle d’interrogatoire. Enfin, l’emmena assez violemment tout de même. J’étais fier, il me fit attendre dans la pièce d’à côté, vous savez, la fameuse pièce où il est possible de voir tout ce qu’il se passe dans celle d’à côté sans que les autres le sachent.

Il entra alors dans la pièce ou Cédric attendait, toujours menotté et couché sur la table. J’assistai à toute la scène. Hicham passa derrière lui et lui passa autour de la tête de quoi lui couvrir les yeux. Il passa ensuite sous le t-shirt de Cédric et commença à lui titiller les tétons, ce qui a pour résultat, en général, de rendre ma petite pute complètement chaude. J’avais fait mettre à ma pute de vieux vêtements, au cas où. Hicham déchira alors d’un coup le T-shirt de Cédric. Celui-ci avait déjà les tétons bien dressés. Le commissaire fit avancer Cédric et lui fit incliner le torse sur la table. Il lui retira son pantalon et son boxer, puis lui écarta les jambes. Il commença à lécher le trou de ma pute, déjà bien ouvert par l’exercice de la journée. Le gars savait s’y prendre, et les gémissements commencèrent à se faire entendre dans les hauts parleurs de la salle où je me trouvais.

Après l’avoir léché pendant dix bonnes minutes, Hicham entreprit d’élargir un peu la chatte de Cédric. Il commença directement avec deux doigts et travailla progressivement le trou de ma pute. Un troisième doigt passa, Cédric gémissait de plus en plus. Le commissaire prit la matraque qui pendait le long de sa cuisse, cracha dessus et l’enfonça ensuite doucement dans le cul maintenant relativement bien ouvert de Cédric. Les gémissements qui me parvenaient me rendaient dingue et j’avais moi-même commencé à me branler. Après cinq minutes, la matraque fit place à quatre doigts.

Cédric gémissait toujours mais je voyais aux grimaces dans sa figure que ça commençait à devenir pénible sans aide. Je rentrai discrètement dans la salle d’interrogatoire. Je vins me placer devant lui et ouvris un flacon de poppers juste sous son nez. Cédric inspira deux ou trois fois dans chaque narine puis détourna la tête, me faisant comprendre qu’il en avait assez. Je lui remis la bouteille de force sous le nez. « Tu vas en avoir besoin, crois-moi, respire ! » J’étais en train de gazer ma lope au poppers et j’avoue que l’idée m’excitait pas mal…

Hicham avait pendant ce temps sortit sa queue de son pantalon, tout en gardant l’uniforme. Putain, en vrai c’était encore plus impressionnant ! J’étais curieux de voir comment allait se débrouiller ma pute. Hicham vint déposer son immense dard sur les fesses de Cédric. Ce dernier dut se rendre compte de la taille et sursauta un peu. Ses mains, attachées par les menottes dans le dos, descendirent tant qu’elles purent et vinrent saisir l’énorme sexe du commissaire. « Comme tu es une bonne pute, je t’ai trouvé une belle queue de vingt-sept centimètres pour fêter ton anniversaire. » Rien que cette phrase le fit gémir. Hicham positionna son gros gland à l’entrée du cul de Cédric et s’y enfonça avant que celui-ci me dise « Merci Maître ». L’immense queue entra centimètre par centimètre. Cédric gémissait toujours, de plaisir mais aussi un peu de douleur. Je m’agenouillai à côté de la scène et commençai à branler doucement Cédric. J’étais également très bien placé pour voir le pieu de Hicham s’enfoncer dans la chatte de ma pute. Après dix centimètres dans le cul de la lope, le commissaire fit une petite pause pour laisser le temps à Cédric de s’adapter à son calibre hors normes, puis fit des petits va-et-vient tout en ne dépassant pas cette mesure.

Il s’immobilisa ensuite et continua la pénétration… Onze, douze, treize, on devait maintenant être arrivé à un bon quinze centimètres. Hicham reprit le même traitement. Le cul de Cédric s’élargissait, mais la queue de Hicham faisait de même plus on arrivait près de sa base. Cédric n’était pas au bout de ses peines. Après une série de petits va-et-vient doux, Hicham continua à s’enfoncer dans les entrailles de ma pute. Ce gars savait y faire, on voyait bien qu’il devait être habitué aux petits culs récalcitrants. Seize, dix-sept, dix-huit… Cédric commença à geindre un peu plus et à se plaindre « C’est gros, Maître. » Je vins me replacer devant lui. « Je sais, ma pute, mais tu vas le faire pour ton maître. Il reste neuf centimètres, je sais que tu peux le faire, alors courage ! » et je lui replaçai la bouteille de poppers sous le nez. Il inspira à plein poumons et reprit sept ou huit bouffées. Il allait être bien stone, le pauvre.

Je lui passai mon gland sur les lèvres pour l’encourager encore un peu plus. Il ouvrit instinctivement la bouche pour gober mon sexe. Ma foi… Je lui enfournai d’un coup ma queue bien profondément dans la bouche et il se mit à la téter comme un enfant qui recherche du réconfort.

Hicham avait continué à avancer et son bassin touchait à présent presque les fesses de Cédric. On allait y arriver. Je baisais maintenant à un bon rythme la gueule de mon bâtard et fis un petit sourire à Hicham, accompagné d’un petit signe d’encouragement de la tête. Celui-ci ressortit quasiment tout sa queue du cul de Cédric et vint s’y renfoncer violemment jusqu’à la garde. Cédric cria mais continua à sucer goulûment. Ça y était, toute la queue était entrée. Le commissaire était manifestement satisfait au vu du sourire qu’il exhibait. Il laissa à Cédric quelques minutes, le temps de s’habituer, puis commença à faire de vigoureux mouvements de bassin, lents puis de plus en plus rapides. La queue de Cédric, qui dépassait de la table, était bandée à fond, et pire, mouillait abondamment, laissant un fil de mouille se former entre sa queue et le sol.

Hicham le pilonna pendant une bonne demi-heure et commença à gémir à son tour. Le temps était venu de jouir. J’allai chercher un plug de bonne taille dans mon sac et, en revenant dans la salle, fit changer Cédric et Hicham de position. On plaça Cédric au sol et je pris ensuite ses jambes et les levai vers la plafond. Seule la nuque de Cédric touchait le sol et son cul était posté à bonne hauteur pour que le commissaire vienne s’y enfoncer de nouveau. Il ne lui fallut même pas cinq minutes pour se déverser à grands râles dans le cul de ma pute. Il branla en même temps Cédric qui jouit pendant que Hicham lui remplissait le cul. Cédric inonda son torse et son visage, sa queue se retrouvant juste au-dessus. Hicham se retira du cul de mon bâtard et vint à ma place pour tenir les jambes de Cédric. Je vins me mettre à sa place en me branlant. Le cul de Cédric était encore béant. Rien que la vue de ce cul bien ouvert me fit jouir à mon tour. Je jouis directement sur son trou et mon jus y entra sans difficulté. Je mis alors à Cédric le plug qui entra sans difficulté, avant que nos deux jus ne ressortent. On remit Cédric à genoux, on lui retira les menottes et le bandeau et on lui laissa le soin de nous décrasser la queue. Cédric nous suça doucement tous les deux et je pouvais percevoir une lueur de remerciement quand il me regardait. 200 euros plus tard, nous rebroussions chemin. De retour à la maison, Cédric a pu dormir dans mon lit. Le lendemain, le plug était encore bien en place…

Malheureusement, quelques jours après cette aventure, Cédric tomba malade. Gravement malade. Le pancréas bien souvent, cela ne pardonne pas. Son agonie dura un peu plus de mois, je pris soin de lui et malgré sa maladie et son état, il me demandait de le soumettre. J’avoue, c’était dur pour moi parfois, mais je le faisais pour lui. Je savais que Cédric était né pour être un soumis, une larve, une chienne soumise à l’être supérieur. Cette courte histoire lui rend hommage modestement.

Sous-merde – Partie 2/3

Je me suis branlé durant toute la lecture de récit, tant ma lope a été salie, humiliée et baisée comme je l’aime et comme elle doit l’être. Je suis très fière d’elle pour la parfaite retranscription de tout ce plan, mais je pense que ça l’excite au plus haut point… Ce dont je suis moins fier, c’est en effet la fin de l’histoire ou ma lope a osé se révolter. Je peux admettre qu’elle ait subie toute l’après-midi des choses plus salaces mais elle n’a en aucun cas le droit de dire « Non ! » à quoique ce soit. La punition a certes été rude mais je pense qu’elle lui aura servie de leçon. Tu ne voulais pas sortir la gueule pleine de foutre dans la rue jusqu’à la voiture, j’ai alors approuvé et t’ai ordonné d’aller à la salle de bain te débarbouiller ainsi que d’enlever tout tes vêtements. Tu m’as répondu par un « Comment ? » que j’ai alors ponctué d’une bonne mandale dans la gueule qui t’a fait tomber à la renverse. Un fou rire s’est alors fait entendre pendant que tu reprenais tes esprits en courant vers la salle de bain. J’ai alors demandé à tes nouveaux tortionnaires s’ils possédaient une laisse ainsi qu’une chaine, ils m’ont répondu par la positive. Je leur ai dit que ça te donnera une raison de leur rendre visite bientôt, afin de leur rendre leur bien. Tu reviens de la salle de bains, le nez écarlate et les yeux tout mouillés. « A quatre pattes ma pute. Puisque tu me désobéis pour une chose peu humiliante, tu vas devoir subir une chose bien plus humiliante. ». J’attachai la chaine au collier que Yassine venait de t’enfiler, et je vis des larmes couler sur tes jours. Tu compris finalement assez vite ce qui t’attendait. Nous sommes donc sortis de l’appartement de ces deux mecs, moi debout tenant fièrement en laisse ma salope, ma pute, mon chiottes totalement nu et chialant sa mère. Ma voiture n’était pas garée très loin, et tu as de la chance, on ne croisa finalement qu’un mec qui était plus que choqué et une mère avec son fils de cinq ou six ans qui regardait la scène avec une grande inquiétude. La mère lui boucha les yeux tout en nous insultant, je lui répondis que les mauvaises graines avaient besoin d’être punies. Et tes pleurs redoublèrent à l’énoncé de mes paroles, ce qui me faisait bander au plus haut point. J’ouvris le coffret et te fis monter lentement, j’observai brièvement les égratignures sur tes genoux et tes mains dus à cette position avilissante que tu as dû conserver jusqu’ici. Tu avais dû souffrir, mais je m’en foutais. C’était ce que tu voulais après tout.

Le lendemain, 10 heures, je dois filer en cours. Je te dis d’attendre mon retour ici, mais je ne te dis pas à quelle heure je rentre. Ainsi, tu m’attendras toute l’après-midi totalement nu. Et afin de te mettre au défi, je te demanderai juste après le plan de rédiger ce que je viens de te faire subir en vingt minutes, pas une de plus, et que tu avais intérêt à faire ça dans les règles de l’art si tu ne voulais pas subir cinquante coups de fouet sur ton frêle corps encore marqué de Yassine et de Greg. Après vingt minutes d’attente après ce que je t’ai infligé, tu me donnes cela :

* * *
Je t’attendais comme une pute, entièrement à poil dans le couloir pour que tu puisses me coller la gueule direct sur ton paquet fumant à peine la porte franchie ! Sachant que ton bâtard serait là pour t’accueillir comme il se doit, tu aurais grave transpiré et bien sûr oublié d’essuyer les dernière gouttes de pisse de ton prépuce afin que ton gland soit bien gluant quand tu me le foutras sous le pif !

Après m’avoir plaqué la gueule sur ton paquet déjà raide, tu me tire violement la tête en arrière et sans que je m’y attende, tu me balanceras une baffe magistrale suivie d’un putain de mollard bien glaireux juste entre les deux yeux !!! Me voyant au sol en train de gémir comme une pute, tu m’écraseras direct ta sket pourave sur la tronche afin que l’empreinte de la semelle soit bien imprimée sur ma gueule de pute dégoulinante de ta bave… Tu enlèves alors la sket, dégageant une odeur monstrueuse de chacal dans tout le couloir, et tu me colles direct la TN pourrie sur la gueule en de demandant de lécher l’intérieur pour récupérer tout le sperme de la dernière salope que tu avais fait cracher dedans lors de ta pause déjeuner !

Complètement gazé par tes odeurs de queutard, je chancelle et un coup de pied dans le bide me fait comprendre qu’il me faut maintenant te récurer les orteils un à un… Putain ça daube, un truc de fou ! Mais je n’ai pas le choix, mon master veut que je lui récure les ieps, je n’ai pas mon mot à dire ! Il faut que j’obéisse comme la pute crade que je suis…

Après t’avoir bien nettoyé ton 45 fillette, tu me traines par les cheveux jusqu’aux chiottes où tu t’installes illico sur le trône, ton futal sur les chevilles. Tu ramènes ma gueule au niveau de ta queue encore mi- molle et là une putain d’odeur de gland me met direct hors de moi. Je me lance sur ta queue pourave ne pensant qu’à la décalotter mais tu m’arrêtes par une baffe monstrueuse dans la gueule ! « Pas tout de suite bâtard !! J’ai prévu autre chose pour toi sale pute !!! » Et avant même que tu aies fini ta phrase, ma gueule se retrouve coller entre tes cuisses et tu largues une énorme caisse bien foireuse. Putain je me retrouve carrément gazé avec ton trou à quelques centimètres seulement de ma gueule de pute ! Ça daube comme jamais et je manque de peu de gerber ! Mais tu n’es pas décidé à en finir ainsi et avant même que je réagisse, je vois un boudin bien compact t’écarter la rondelle et glisser le long de ta raie déjà moite de sueur. Putain, j’ai des haut le cœur mais avant que je ne puisse faire quoi que ce soit, tu es déjà en train de me décalotter ton chibre monstrueux sous le nez… Ma langue ne se fait pas prier et lape immédiatement ce bon bitos. Satisfait de me voir faire la chiennasse ainsi, tu me roules une putain de pelle afin de profiter toi aussi de l’odeur de ton onctueuse bite… Après une bonne soupe de langue, je retourne exécuter ma mission de décrasseur de chibre ! Je manque carrément d’étouffer quand, une fois le gland nickel, tu décides de me fourrer la gueule avec ta queue d’étalon en rut ! Tu me bourrines la gueule pendant de longues minutes m’explosant littéralement la mâchoire et me faisant baver sur mon torse en sueur. Et après 20 minutes de bourrage de gueule en règle, je sens des litres de dèches bien crémeux remplir ma bouche de putasse ! Putain je n’en reviens pas comment tu me doses la gueule au jus de gland… je n’ai jamais connu un aussi gros foutreur que toi maitre, c’est clair. Je pense que je t’aime vraiment maître… Et dire que je suis encore à ta disposition pour toute la vie… Je vais morfler comme jamais, c’est clair ! Mais pour le plus grand plaisir de mon maître Jared et c’est le principal…
* * *

Défi réussi. Il est 17 heures, je prends donc un bon gouter et dit à ma lope que ce soir elle va encore devoir servir de vide couilles à plusieurs mecs. C’est à ce moment qu’elle s’interrogea et me dit « Mais ce n’est pas soirée poker le lundi ?». Je lui répondis alors par la positive et que justement la soirée poker se fera sans lui, ou plutôt qu’il ne jouera pas avec nous ce soir. J’avais en effet parlé à mes potes des penchants pervers qui nous réunissaient Cédric et moi, et je pense que ça leur a tout de suite donné envie de contempler de leurs yeux ce dont ma salope est capable. Je préparai donc la table de jeu pour 20 heures comme prévu, je laissai alors quelques heures à ma lope pour se raser le corps et profiter d’un bon bain chaud pour être prêt pour nos invités. Je lui ai donné uniquement un ordre, c’est d’aller ouvrir la porte en jockstrap. Mes amis devraient entrer dans l’appartement en voyant Cédric à genoux par terre, la gueule grande ouverte. Il avait juste cette consigne à respecter. Facile pour une lope en son genre…

La sonnette retentit et mon esclave était tout frétillant de la queue. Il se mit à sa place à côté de la porte et l’ouvrit accroupi derrière celle-ci et ouvrit grand la bouche. Mes trois amis rentrèrent et à tour de rôle crachèrent un mollard dans la bouche de Cédric. Mollard qu’ils allèrent chercher au plus profond d’eux et dans un raclement de gorge divin vinrent vider tout le contenu absolument dégueulasse dans la bouche de ma lope. Je fis alors signe à ma salope de s’approcher de moi sans avaler le contenu de sa bouche, et alors, je me bouchai une narine pour vider l’autre dans la bouche de cet esclave qui n’attend et ne comprend que les humiliations sévères. Je fis de même avec l’autre narine et admirai alors mon petit chef d’œuvre, il était à la limite de la gerbe. Je lui donnai alors la bénédiction pour avaler tout le contenu de morve, ce qu’il fit sans réellement broncher, il savait pertinemment ce qui l’attendait s’il se révoltait.

« Alors c’était donc vrai ? » lança Xavier, « Tu as une réelle pute totalement soumise à la maison… Si j’avais su ça avant Cédric, tu aurais morflé à mort durant toutes ces années ! ». Tout le monde se mit à rire, et on débuta donc notre partie de poker à quatre pour la toute première fois. Cédric avait pour mission de nous servir, d’exécuter le moindre de nos désirs. Ainsi, lorsque Florent lui demandait un cendrier, je lui obligeai à ouvrir lui-même la bouche afin de récupérer les cendres de clopes de mes trois amis. J’ai vu une larme couler lorsque Zack lui écrasa son mégot sur la langue, je lui ai tout de même donné le droit de le recracher. Son regard m’a trop fait pitié. Et puis je tiens tout de même à sa santé. En milieu de soirée, il nous a alors servi à boire et à manger. A plusieurs reprises, je lui dis de venir, crachai alors un bon gros mollard à terre et lui obligeai à le gober. Il passa également un bon bout de temps à sniffer et vénérer nos pieds sous la table. C’était si excitant d’avoir une petite pompe à orteils pendant une bonne partie de poker. Il était 22 heures, et tous avions en nous des envies de sexe tant cette petite pute de Cédric nous avait chauffés.

On s’installa donc alors au salon, les quatre côte-à-côte sur le canapé, et je mis un bon film de boules (hétéro…) pour nous chauffer. Cédric avait pout ordre de retirer à tour de rôle nos skets daubantes à souhait uniquement avec ses dents. En effet, je lui ai menotté les mains derrière le dos, afin de l’humilier encore un peu plus. Ce manège dura pas mal de temps. Si bien que peu à peu, la pièce se remplissait des odeurs les plus dégueulasses et pouraves des pieds de mes potes et des miens qui ne sont pas en reste au niveau odeurs. Nous avons alors eu le temps de retirer nos hauts et de bien transpirer serrés les uns contre les autres. On a alors instauré un petit jeu. Chacun de nous donnait un ordre à Cédric, et ce dernier devait alors l’exécuter pour nous tous. Par exemple, Florent lui demandait de lécher ses aisselles bien transpirantes. Il dut ensuite récurer les six autres. Ma lope était au nirvana. On enleva alors les pantalons pour garder uniquement nos boxers et nos chaussettes. Les autres ordres furent un bon sniff du trou de bal à travers le calbut, une prise en bouche de tous les orteils de chacun de nos pieds à travers les chaussettes, des bonnes baffes à l’en faire rougir les joues, des fessées, des coups de poing dans le ventre pour couper sa respiration et puis des mollards à n’en plus finir.

Puis vinrent les choses sérieuses. Il fallait désormais s’occuper de nos bites, mes potes n’étaient pas les mieux montés du monde mais ils se défendaient. Florent a une queue de 17 centimètres bien durs et d’une bonne largeur, Xavier un 18 qui pointe vers le bas et Zack était le mieux monté du groupe avec un 22 centimètres mais beaucoup moins large que moi. C’était d’ailleurs bien dommage ! Alors Cédric commença à sniffer nos bites gonflées à travers les boxers puis il eut le droit de les découvrir et de les prendre en bouche, il suçait avidement ces queues qui ne connaissaient pas beaucoup le savon, pendant que je passai derrière lui afin de lui bouffer un peu la rondelle et lui lubrifier le trou pour le passage de mes hôtes. C’est Xavier qui eut le privilège d’attaquer le cul de Cédric, il y plaça sa queue tout entière du premier coup, ce qui arracha à Cédric un cri vite calmé par la bite de Zack bien au fond dans sa gorge.

La défonce commença alors pour mon Cédric qui couinait bien qu’empaler de chaque côté de son corps par deux bonnes queues. Pendant ce temps-là, Florent s’était installé de manière à pour voir me sucer. Je poussai ma queue au fond de l’orifice de Florent qui avait bien du mal avec les gorges profondes. Puis du côté du trio, les rôles s’échangèrent, Zack passa dans le cul du déchet et Xavier dans sa bouche. On se plaça alors en 69 avec Florent qui continuai à bien prendre ma teub en bouche et moi qui le bouffai allègrement le cul, afin qu’il puisse peut-être recevoir une queue, je sais qu’il aime beaucoup cela… Et puis, un nouveau changement s’opérait juste à côté de nous puisque qu’une double pénétration se profilait à l’horizon. Cédric fut donc placé sur le dos s’empalant alors sur la queue de Zack, la plus longue et sans grande difficulté Xavier rentra dans son petit cul avec lui. Florent eu alors l’idée de s’empaler sur la queue de l’esclave qui était dure comme du bois… Je me plaçais alors devant la bouche de Cédric afin de lui défoncer de ma teub. Il était rempli au maximum, par tous les orifices, on ne pouvait faire plus, la triple pénétration étant un peu compliquée. Les rôles s’échangèrent de nombreuses fois au cours de la soirée, et c’était à chaque fois un pur bonheur que de bourrer cette chienne en manque permanent de bites.

Il était alors venu le temps de la jouissance suprême. On se plaça alors autour de Cédric, et nous nous branlons comme des malades afin de lui offrir son baptême au sperme. C’est quasiment instantanément que nous jutèrent, recouvrant totalement la moindre parcelle du visage de Cédric. Il en avait dans l’oreille, dans le nez, sa bouche étant restée ouverte, il reçut de bonnes grosses giclées à l’intérieur. On pouvait alors vraiment s’apercevoir de son potentiel de lope, il était recouvert de jus, et il se jeta sur nos queues afin de toutes les nettoyer. Quand il arriva sur la mienne, je lui ai ordonné « Si tu laisses une seule goutte s’échapper, je te préviens que c’est ma merde qui te sera servie chaque matin », il prit alors mon gland en bouche, et je me mis à pisser une bonne partie de l’alcool ingurgité durant la soirée. Il avala tout, il savait ce qu’il l’attendait s’il ne le faisait pas ! Florent et Zack firent de même, puis chacun lui mollarda au visage. Mes amis se rhabillèrent alors et repartirent tranquillement chez eux. Il était une heure du matin et ma salope ne tenait même plus debout. Je lui fis avant qu’il aille se reposer, me décrasser le cul et avaler les quelques pets bien gras que j’avais conservés durant toute la soirée… Je lui permis ensuite de se coucher, avec un plug de 15 centimètres planté dans son fondement.

Sous-merde – Partie 1/3

Je suis le propriétaire d’une sous-merde. Une petite pute en manque permanent de foutre, de pisse ou bien d’autres choses qui seraient dégoutantes d’énumérer ici. Cette petite salope, qu’on appellera Cédric de son prénom m’appartient pour la vie. À moins que je décide de m’en débarrasser ou qu’un autre maitre me propose un paquet de fric assez important pour en avoir la totale garde.

Cédric était docile, il l’était devenu avec les mois passés à être sous mes ordres. Je l’avais cassé, humilié, dégradé, déshumanisé afin qu’il soit totalement soumis à moi et à mes envies. Ce n’est pas simple d’arriver à un tel summum avec une pute, mais Cédric a un potentiel monstre, et ça m’a tout de suite sauté aux yeux quand on me l’a prêté pour essai un week-end.

Un jour, je pris la décision de le prêter à un ou plusieurs maitres pour un jour ou un week-end. Mais, afin que je garde totale appartenance sur lui, je lui exigeais un compte-rendu détaillé de tout ce que son ou ses maitres d’un jour lui avaient infligé. Parfois même, les maitres pourraient débuter et donner leurs impressions sur ce que mon Cédric a fait. Ça lui donnerait un peu de travail, et moi ça m’exciterait beaucoup de connaitre toutes ces choses dégueulasses qu’on lui fait faire. Dimanche dernier, deux maitres de 27 et 28 ans, pour donner suite à mes annonces passées dans plusieurs sites de cul, m’ont contacté. Ils voulaient ma pute pour quelques heures ce vendredi. J’ai pensé que ce serait l’occasion ou jamais, en plus ce seraient juste quelques heures pour commencer. Je suis attaché à ma salope, et je n’ai pas envie qu’on me l’abime. Les deux maitres en question se disent très dominateurs, et me confient avoir quelques idées avec de la nourriture. Ils m’ont posé beaucoup de questions sur lui, sur ses capacités etc… Je me décidai donc à leur prêter pour quatre heures hier, c’est-à-dire vendredi. Je l’ai emmené chez eux, deux beaux jeunes mâles, en jeans et baskets. Je leur ai dit de faire ce qu’ils voulaient de cette pute, qu’elle n’est jamais assez rassasiée de coups et de sperme dans sa bouche.

Je vais comme prévu recherche Cédric quelques heures plus tard, je le retrouve très fatigué. Je salue les deux mecs et je ramène ma salope à la maison, il est alors 19h. Un repas, une pipe ou il faillit rendre son repas trois fois, une sodomie qui dura une petite heure, et je laissai ma pute à 22 heures, à mon bureau. Je lui donnai la nuit pour romancer ce qu’il s’était passé en cette journée, à 10 heures tapantes le lendemain, je devais avoir ce qui me revient. La nuit passe avec beaucoup d’excitation de ma part je dois dire. Que lui avaient-ils fait pour qu’il soit si fatigué au bout de quelques heures ? Et pire que tout, a-t-il pris du plaisir avec ces deux mecs ?

J’eus la réponse au lendemain à 9 heures du matin. Je me mis donc à lire ce que mon esclave a subi durant ces heures…

* * *
Bonjour Maitre,

Comme prévu je vous envoie le récit détaillé de mon premier prêt, afin que vous puissiez être informé de tout ce que j’ai subi ces dernières heures. J’avoue que j’ai été très excité quand vous m’avez parlé pour la première fois de me prêter à d’autres mecs dominants. Je sais que je peux vous faire entièrement confiance et que ces « prêts » n’ont pour but que d’améliorer mes performances de lope à votre service.

Mon récit commence donc dans leur hall d’entrée, je suis à genoux à vos pieds pendant que vous leur donnez les dernières recommandations. Je bande déjà comme un fou rien qu’à entendre la façon dont vous parler de moi et dont ils peuvent à mon tour me traiter. Vous partez ensuite, me laissant là pour 4 heures. Ils me font alors passer dans leur salon. J’essaye de me relever pour marcher mais une petite claque bien placée me rappelle que ma place est à 4 pattes.

Je me remets donc en ma position de chienne et les suit dans leur appartement. Le salon est plutôt quelconque, pas très entretenu même et sans grand signes distinctifs, si ce n’est la grande collection de skets, TN pour la plupart, qui sont exposées fièrement sur plusieurs étagères accrochées au mur. Ça sent tous sauf le frais ici, ils ne doivent ni aérer ni nettoyer très souvent. Je m’installe à genoux au milieu de la pièce pendant qu’ils vont se vautrer dans leur fauteuil, allumant un joint qu’ils se passent à tour de rôle, tout en continuant à me mater de la tête aux pieds en se tâtant le paquet. Ça me laisse le temps à moi aussi de les observer. Je vous remercie d’ailleurs d’avoir choisi de si beaux mecs pour commencer. Le premier est grand, musclé sec, cheveux blonds tondus très courts et petit anneau à l’oreille. Il porte un jean assez moulant, un t-shirt et une casquette Adidas et des TN noires. J’apprendrai par la suite qu’il s’appelle Greg et qu’il a 28 ans. Le deuxième est plutôt typé maghrébin, plus petit et plus massif, portant un baggy, des Nike air max blanches bien usées et un polo blanc. Lui s’appelle Yassine et a 27 ans.

C’est ce dernier qui brisa finalement le silence. « A poil, sale pute !». Le ton est donné. Je m’exécute et me déshabille le plus rapidement possible pour ne pas les contrarier, me remettant ensuite à genoux. Ils continuent à fumer leur joint en me regardant. Je ne peux m’empêcher de bander tellement la situation m’excite. Une fois leur joint terminé, ils se lèvent et s’approchent très près de moi. Même sans avoir le nez collé dessus je sens déjà qu’il n’y a pas que leur appartement qui n’est pas très frais… Le plus mince des deux sortit alors une chaîne de sa poche et me le mit au cou. J’étais désormais réellement leur chienne pour l’après-midi. Avec le bruit du cadenas se refermant, c’était toute mon identité qui disparaissait pour un petit moment.

« On s’en fout que ton maître t’appelle Cédric, ou autre. Ici tu réponds au nom de bâtard, pigé ? » Ils commencent alors une inspection dans les règles de l’art, s’accroupissant à mes côtés, me titillant et me pinçant les tétons, me tirant les couilles, décalottant plusieurs fois ma queue et finissant avec chacun un doigt dans mon cul pour tester l’élasticité de mon trou. Ils se sont ensuite relevés et m’ont ordonné d’ouvrir la bouche. J’eu droit à une rapide inspection de mon orifice buccal puis une pluie de mollards bien épais s’abattit en partie dans ma bouche et en partie sur le reste de mon visage.

Pendant que Yassine me crache son dernier mollard directement dans la bouche, son pote fait couler une bonne quantité de salive sur l’un des air max de son pote. « Vise mieux Greg, maintenant notre petite pute va devoir tout nettoyer ! ». Ils se rassoient tous les deux dans le canapé et Greg claque ses doigts en désignant la sket de son pote. Je me rapproche, toujours à 4 pattes et commence à faire ce qu’on attend de moi. Je lèche avidement la sket pendant de longues minutes, passant ensuite à l’autre. Il lève ensuite son pied droit en m’indiquant que je n’ai pas encore nettoyé la semelle. Ses skets ont clairement été utilisés pour aller dans la rue, même vous mon maitre ne m’aviez pas encore fait subir ce traitement. J’hésite un peu trop à leur gout et Greg vient me coller directement la gueule sur la semelle de son pote, en m’ordonnant de sortir la langue. Tête maintenue bien fermement, bouche grande ouverte, Yassine n’a plus qu’à passer sa sket de haut en bas sur ma langue. Au fur et à mesure que je décrasse ses semelles crasseuses je me sens de plus en plus lope et Greg ne doit quasiment plus me maintenir la tête pendant que je décrasse l’autre sket.

Une fois mon travail terminé, je ne peux m’empêcher de me jeter sur les TN de Greg, qui sont toujours debout à côté de moi. Je décrasse ses skets aussi méthodiquement que celle de Yassine, pendant que celui-ci commence à me donner de petits coups de pieds dans le cul et les couilles. Greg, toujours debout pendant que je m’affairais sur ses skets se déchaussa alors, laissant ses skets à portée de mon nez et m’ordonnant d’y mettre le nez. Même sans avoir le nez directement dedans une très forte odeur de pied envahit la pièce. J’avais déjà sniffé pas mal de skets bien odorantes mais là c’était carrément irrespirable. Je n’avais pas trop le choix alors j’y mis le nez, pendant que Yassine avait commencé à jouer un peu avec mes couilles. L’odeur n’était pas très agréable au début mais je me surpris bientôt à inspirer à grandes bouffées. J’étais de plus en plus persuadé que j’allais beaucoup m’amusé durant les quelques heures que vous m’aviez confié à ces deux mâles en rut. J’entends Greg retirer son jeans pendant que Yassine me retira le nez de la sket de son pote. Je suppliai pour avoir encore de leurs bonnes odeurs, c’était trop bon. Ils riaient et me dirent de patienter, j’en aurais bien assez par la suite. En relevant la tête je découvris en effet Greg torse nu et ne portant plus qu’une boxer blanc, ou qui fut blanc en tout cas car l’entrejambe était à présent maculée de grosses taches jaunes…

J’allais morfler niveau odeur, ça c’était clair. Ils me demandèrent si mon maitre me faisait faire un peu de sport. Je leur réponds que oui, bien évidemment, j’ai un entrainement très strict. Ils ont voulu naturellement vérifier et m’ont fait effectuer plusieurs exercices. Une soixantaine d’abdos pour commencer. Yassine me maintenait les pieds au sol pour que plus de facilité. Greg lui me regarda faire les premiers abdos puis se posta debout, jambes écartées au-dessus de moi, de sorte qu’à chaque fois que je me redressais je me retrouvais le nez dans son paquet odorant. Au fur et à mesure des abdos mes narines se chargeaient de ses odeurs de sperme, de transpiration et de pisse séchée. Je voyais également sa queue grossir peu à peu dans son boxer et prendre des dimensions fort prometteuses. Les dix derniers abdos furent plus difficiles, et afin de me ménager un peu Greg me soutenait la tête quand je me redressais, maintenant mon nez de plus en plus longtemps dans son paquet dégageant de forts effluves de mâle. Je voulus à un moment essayer de saisir entre mes lèvres sa queue, qui tendait maintenant fortement son boxer et qui me donnait de plus envie mais je reçus pour toute réponse un bonne claque me recouchant au sol. « 60 pompes maintenant bâtard ! ».

Je me mis en position, à côté du divan, face au sol et commençai mes pompes. Ma queue raide frappait à chaque descente le sol et ceci ne s’arrangea pas quand Greg vient poser sa sket fumante juste là ou mon nez touchait le sol. Yassine, toujours assis dans le divan dut trouver que je faisais mes pompes un peu trop facilement, il tendit les jambes et vint poser ses skets sur mon dos. Je continuai malgré tout, commençant à transpirer sous l’effort. Encore un peu trop facilement pour lui semble-t-il puisque se leva et mis un pied sur mon dos, me forçant à rester au sol. Je pus faire encore 4 ou 5 pompes comme ça mais fut bientôt incapable de me relever, ce qui fut suivi d’une nouvelle pluie de mollards et d’insultes. Yassine retira à son tour ses air max et se déshabilla. Il ne garda qu’un slip gris clair qui n’était pas dans un meilleur état que celui de son pote. Ils me retournèrent et s’assirent tous les deux dans le fauteuil. Je pus alors me rendre compte de l’état de leurs chaussettes, des chaussettes blanches Lacoste qui ne devaient malheureusement pour moi plus être blanche depuis un long moment. Couché sur le sol j’étais à leur merci et j’eu bientôt 4 pieds en même temps sur ma gueule. Ils avaient dû porter leurs chaussettes des semaines entières à en juger l’odeur rance de transpiration. A 4 pieds en même temps, j’avais toujours une chaussette puante sous le nez, et ne pouvait donc que respirer l’odeur qui s’en dégageait. Comme pour les skets cependant il ne fallut que quelques minutes de ce traitement pour que je devienne complètement accro à ces odeurs, comme en témoignait ma queue qui pointait régulièrement vers le haut. Je pris le risque de la saisir et de me branler un peu. J’aurais dû savoir bien sûr que vous leur aviez surement demander de m’interdire de me toucher pendant le plan, ou bien que de toute façon ils n’auraient pas apprécié. Je reçu un coup de talon dans le ventre pendant que Greg me saisit les couilles et les serra pour me faire lâcher prise.

Ils me dirent que si je voulais m’occuper d’une queue ce serait de la leur et prirent alors une laisse sur la table du salon qu’ils fixèrent à mon collier. Ils me baladèrent à 4 pattes dans l’appartement jusqu’à une autre pièce située au fond du couloir. L’odeur dans cette pièce était encore pire que celle de l’appartement, un mélange de bouffe, de sexe et de vieille urine séchée. Vu l’aménagement de la pièce celle-ci devait certainement leur servir de Play room : bâches en latex fixées au sol, murs peints en noir, plusieurs bacs contenant à ce qu’il me semblait divers sex-toys ainsi qu’une sorte de banquette en cuir dans un coin de la pièce. Dans un autre coin de la pièce était suspendu un sling qui attira vivement mon attention. Malheureusement je n’allais pas y avoir droit, ou en tout cas pas cette fois du moins.

Rien ne laissait en tout cas prévoir que ces deux mecs typés lascars étaient si bien équipé. Ils me tirèrent vers 2 gamelles qui étaient sur le sol. L’une était vide mais l’autre contenait de l’eau et je pus boire un peu, lapant comme une bonne chienne à leur pied.

Ils m’emmenèrent ensuite vers la banquette. Elle était en fait constituée d’une banquette en cuir rembourré d’où partaient à mi-hauteur 4 sortes d’accoudoir d’où pendaient des lanières. Je compris assez vite le fonctionnement ; ils me firent monter dessus, à plat ventre et les avant-bras et mollets reposant sur les accoudoirs. Ils furent bientôt attachés fixement avec les lanières. L’ensemble se complétait par un carcan à l’avant de la banquette qui me maintint et m’immobilisa complètement la tête. Je me retrouvai donc à 4 pattes, complètement immobilisé et impuissant, juste à hauteur de leur queue. Yassine se mit à chercher et à prendre différents objets dans les bacs de rangement pendant que Greg se rapprocha de mon visage. Il me remit le nez dans son boxer crasseux que je respirai à fond pendant de longues minutes. J’avais trop envie de sa queue, qui devait faire un bon 20 cm à vue d’œil mais je n’osai plus essayer de la toucher, vu le coup que je m’étais reçu. Il dut comprendre mon envie car il abaissa tout doucement son boxer.

Sa queue était magnifique, bien droite et veinée comme je les aime. Il l’approcha de mon nez. « Tu te contentes de sniffer pour le moment, compris bâtard ? » Il n’était pas rasé, et certainement pas lavé depuis une bonne semaine vue l’odeur qui se dégageait de sa queue. Je sniffai pourtant avec plaisir sa queue et ses couilles surtout. Il se recula un peu, commença à se branler à 5 cm de ma bouche et finit par se décalotter entièrement. Ce que je craignais un peu fut pourtant enfin révélé. Le décalottage de sa grosse queue révéla un gland complètement crade et fromageux. Même vous ne m’aviez jamais fait subir ça maitre et j’éprouvai sur le moment un peu de dégout. Il le remarqua également, et d’un rire moqueur me nargua en me demandant pourquoi je ne voulais soudainement plus gouter à sa queue. Il prit tout d’abord un peu de fromage de son gland et me le fourra dans le nez. Cette odeur était encore pire que celle de son boxer. Il essaya ensuite d’approcher le bout de sa queue vers ma bouche mais j’essayai, autant que je pouvais vu le carcan, d’éviter de la prendre en bouche. Il me pinça alors le nez, et dès que je fus obligé d’ouvrir la bouche pour respirer, il y plongea son membre odorant et crade. Le gout était repoussant mais pas aussi terrible en bouche que je n’y attendais. Je commençais donc à lui lécher et nettoyer sa queue, timidement au début puis de plus en plus avidement. Elle n’était pas si mauvaise que ça au finale… Il entreprit de me baiser la bouche alors que Yassine revenait avec différents accessoires.

Il me passa en premier lieu une cagoule en latex assez serrante qui renforça encore plus la sensation d’immobilisation. Greg repris ensuite son limage de bouche pendant que son pote passait derrière moi. Je sentis soudainement du gel couler sur ma rondelle, et rapidement un doigt puis deux rentrer dedans. Je m’étais fait un lavement et déjà un peu travaillé le trou chez vous avant de partir, ces deux doigts rentrèrent donc assez facilement. Il les ressortit et me mis un plug de taille moyenne pour assouplir un peu mon cul. Je le sentis ensuite mettre des lanières autour de ma queue et de mes couilles. Je l’entendis chipoter derrière mon dos et il revint ensuite face à moi avec un petit boitier que je reconnu assez vite, ayant déjà eu droit à des jeux électro avec vous maitre. Il laissa le générateur aux mains de Greg qui ressortir de ma bouche et laissa la place à son pote. Difficile à dire qui avait le sous-vêtement le plus puant mais toujours est-il que Yassine se défendait pas mal du tout. Il me fourra le nez dans son paquet au moment même au Greg mettait le générateur sous tension. Je craignais un peu qu’il y aille à fond mais au contraire il appliqua un faible courant, à un rythme plutôt agréable ; résultat au lieu d’éprouver de la douleur comme je le craignais c’était même plus qu’agréable, comme si l’on me branlait gentiment mais de manière appuyée. Le plug avait lui aussi une électrode et je sentis donc de petits coups répétés à coups réguliers au niveau de ma prostate. Je commençai à gémir sous les stimulations électriques appliquées à mon cul et à ma queue.

Karim enleva son slip et me le fourra sous le nez pendant qu’il m’enfonçait sa queue sans ménagement dans la gueule. Heureusement il était circoncis et je n’eus donc pas à décrasser une deuxième queue au from. Cependant elle était encore plus impressionnante que celle de Greg, brune foncé, un tout petit plus grande mais surtout encore plus épaisse, elle devait bien faire 6 voire 7 centimètres de diamètre. J’allais le sentir passer. Même ma bouche semblait trop petite pour ce calibre, mais il n’hésita pas à me baiser la bouche dans les règles de l’art. Greg qui matait jusque-là se rapprocha et j’eus bientôt les deux queues puantes sous le nez. Leurs glands étant assez imposants à tous les deux. J’essayai de mettre les deux bites en bouche mais elles n’allèrent pas bien loin. Ils se relayèrent pendant un bon 20 minutes pour se faire sucer, chacun leur tour, pendant que moi je commençais à transpirer sous la cagoule de latex et que doucement les simulations électriques faisaient monter le jus. Greg crachait régulièrement sur la queue de Yassine avant qu’il me la remette en bouche, et vice versa, ou me crachait directement dessus en m’insultant.

L’électro faisait son effet, je me rapprochais de la jouissance malgré moi et commençai à gémir de plus en plus fort. Yassine augmenta un peu l’intensité et me menaça de me prendre à sec si je jouissais. J’essayais de me concentrer sur leur queue pour ne pas penser à mon propre plaisir mais ce n’étais pas évident. Je restai ainsi à la limite de l’orgasme pendant cinq bonnes minutes quand Greg arrêta la courant, et dit à son pote de baise qu’il avait envie d’enfiler un peu de latex pour continuer à jouer. Yassine préférait rester à poil et continua donc de jouer avec moi pendant ce temps-là. Il alla chercher ses chaussettes puantes qu’il mit dans une de ses skets, m’enfila un masque à gaz avec un tuyau et plaça la tuyau dans la sket. L’odeur envahit immédiatement le masque et je fus véritablement gazé avec ses bonnes odeurs de pieds. La double couche de latex sur ma tête ne me permettait pas d’entendre très bien mais je pense qu’il me dit en passant derrière moi un truc du genre « on va s’occuper un peu de ton petit trou maintenant bâtard ». Il devait en effet être habitué que certains culs n’acceptent pas si facilement son épais dard. Je n’étais moi-même pas persuadé d’y parvenir. Il me retira le plug et m’enfonça directement 2 doigts sans peine.

Il continua avec 3 doigts, puis 4… Il était assez doué et le flux permanent de ses odeurs dans mes narines aidait également à m’ouvrir progressivement. Greg revint dans la pièce habillé d’un polo et d’un short à tirette, tous deux en latex et je dois avouer qu’il était hyper sexy là-dedans. Il revint avec son boxer en main et le mit à la place des skets de Yassine… Décidément je ne sais pas quelle odeur me rend le plus dingue. Il se dirigea vers mon cul et entreprit de s’en occuper avec son compère. Chacun y mit 2 doigts, je sentis ensuite un 5ème, puis péniblement un 6ème… Normalement avec ça, la queue de Yassine devrait rentrer. De nouveau, rendu un peu sourd par les 2 couches de latex, je ne suis pas sûr que Greg ait dit « On la remplit maintenant ? » mais ça devait être quelque chose comme ça.

Tout de suite après les doigts se retirèrent et je sentis un énorme plug s’enfoncer dans mon trou déjà bien ouvert. Ils me retirèrent le masque à gaz, me placèrent un bandeau en cuir devant les yeux ainsi qu’un bâillon en forme de tuyau dans la bouche. Je commençai à comprendre ce qui m’attendait quand je reçu en effet un liquide chaud et au gout fort directement dans la bouche. Je commençai à boire et à avaler du mieux que je pouvais quand je senti également un liquide chaud me remplir le cul cette fois ! Ils étaient en train de me remplir des deux cotés en même temps ! Rien que cette idée faillit bien me faire jouir à l’instant, mais les efforts nécessaires pour avaler le flot de pisse qui envahissait ma bouche m’y interdirent. Ils avaient dû boire des litres avant que j’arrive, la quantité de pisse avec laquelle il me remplissait les 2 orifices ne s’arrêtait pas. J’arrivai finalement à tout avaler et le flot s’arrêta dans mon cul aussi. Je sens qu’on touchait au plug, pour mettre un bouchon à mon avis.

On me retira le bandeau et je découvris alors l’entonnoir fixé au bâillon. Il fut tout de suite remplacé par la queue de Yassine qui m’avertit qu’ils n’avaient pas encore finit de me remplir, tout en reprenant de lents aller et venues dans ma bouche. Greg s’empara d’une grande bouteille d’eau vide puis je le vis disparaître derrière moi. Tout doucement il me retira le plug et m’enfonça le goulot de la bouteille dans le cul. N’en pouvant plus de garder une telle quantité de pisse dans mon cul je me relâchai et rempli en quelques secondes la bouteille. Il revint vers nous, nous montra le précieux liquide. Comme je m’étais fait un lavement en profondeur avant, la pisse était ressortie limpide. Et heureusement, car Greg eut alors l’idée d’en verser le long du torse de Yassine, ainsi que sur sa queue, que celui-ci me fourrait ensuite bien au fond de la bouche. J’essayai de grogner, trouvant ça vraiment trop crade pour moi mais ils ne l’entendirent pas de cette oreille. Comme je rouspétais, ils me remirent de force le bâillon avec l’entonnoir et me firent boire un peu de pisse en provenance de mon cul. Je bus un quart de la bouteille et reçu ensuite quelques compliments, toujours ponctués du mot bâtard. Ils vidèrent ensuite le reste de la bouteille sur moi et me laissèrent couvert de pisse. Pendant que Yassine allait de plus en plus loin dans ma bouche et dans ma gorge, avec de lents allers et venues, Greg vint se poster derrière moi et tapota sa queue sur mon trou encore humide de pisse. Les plugs et les différents lubrifiants utilisés jusque-là permirent à mon enculeur de rentrer assez facilement et de commencer à me limer le cul bien à fond.

Je pensai qu’ils avaient usé toutes les idées les plus crades mais je n’étais pas encore au bout de mes peines. Yassine quitta la pièce un moment, me laissent seul avec Greg qui me baisait le cul à fond, s’agrippant à mes fesses et me donnant de bonnes fessées de temps en temps, et revint après un petit temps avec 7 ou 8 bananes, qu’il posa sur mon dos. Il en saisit deux, et alla chercher la gamelle vide qui était toujours au sol. Il éplucha une première banane et ma la fit sucer comme une queue, puis manger petit à petit. Pendant que je mâchais la première banane, il éplucha la deuxième, la mâcha et la recracha dans la gamelle. Il entreprit alors de me fourrer en bouche la banane mâchée et de me la faire avaler jusqu’au bout. Il reprit une troisième, l’éplucha et recommença le même procédé mais seulement avec une moitié de banane. Il donna l’autre moitié à Greg qui se retira de mon cul et, comble de perversité me la mit en une fois dans le cul.

Greg prit à son tour une banane qu’il cassa en 3 morceaux et me les enfonça un à un dans mon trou bien ouvert. Il alla prendra la gamelle pleine d’eau, la vida et vint alors la placer en dessous de mon cul, avant de recommencer à me baiser bien à fond. La sensation était à la fois incroyable et très dérangeante. J’avais l’impression qu’on me baisait le cul plein et que je devais me vider. Ils me répondirent qu’ils savaient, mais que je n’avais pas encore assez de bananes dans le fion à leur gout, ils en placèrent encore deux dans mon cul et reprirent de me baiser de plus belle. Yassin, positionna la deuxième gamelle en dessous de ma tête et recommença son lent limage de ma bouche également. Avaler sa queue était cependant maintenant plus difficile, ayant l’estomac rempli de pisse et de bananes. Il allait cependant de plus en plus loin dans ma gorge et y restait de plus en plus longtemps.

Greg éplucha encore une banane pour mon cul et me la mit quasi entièrement dedans alors que je commençais à avoir des hauts le cœur avec la queue de Yassine. Les hauts le cœur et la sensation de cul plein étaient franchement désagréable mais d’un autre coté la situation était tellement hard, et leurs coups de bite tellement bons que je rentrai dans un état second et me laissai complètement aller à leurs fantasmes les plus crus. Greg avertit son pote que mon cul commençait à être bien plein et qu’il faudrait sans doute un plus gros calibre pour tasser tout ça. Ils changèrent donc de place et je pris pour la première fois l’énorme queue de Yassine dans mon fondement plein à ras bord. Un peu de purée de banane était déjà en train de sortir de mon cul quand il posa son gland sur mon trou et s’introduisit dans mon cul. Heureusement que j’étais bien préparé parce que même comme ça je l’ai senti m’ouvrir la rondelle bien à fond. La sensation de cul plein était encore pire avec queue.

Il prit pourtant une dernière banane et la rentra d’un trait. Il rentra alors de nouveau sa queue et m’offrit un pilonnage en règle. Greg lui me présenta sa queue couverte de purée de banane venant de mon cul. Complètement excité par la situation je ne sourcillai même pas et lui nettoya sa queue à fond. Il reprit ensuite le même rythme que Yassine avant lui, de lents allers et retours, de plus en plus profonds et soutenus. Après quelques minutes, ce qui devait arriver et ce qu’ils voulaient se produisit. Les hauts le cœurs devinrent de plus en plus fort, Greg saisit ma tête et resta alors avec sa queue bien au fond de ma gorge jusqu’à ce que je régurgite les bananes avalées un peu plus tôt.

Yassine retira très vite sa queue et approcha la gamelle au niveau de mon cul. N’en pouvant plus je me vidai de toutes ces bananes présentes dans mon trou. Encore plus crades que je ne l’aurais imaginé ils échangèrent les gamelles… Yassine me vida le contenu de la sienne dans le cul et Greg quant à lui me fit manger la purée de banane provenant de mon cul. Ils recommencèrent ensuite à me baiser par les deux trous, tout en me branlant enfin.

Proche de la jouissance, Yassine se retira de mon cul, laissant la purée de banane s’échapper et Greg me fit gerber une deuxième fois. Leurs mains sur ma queue, et le fait que je me vidai des deux cotés en même temps eurent raison de moi, je jouissais malgré moi de grosses giclées de foutre bien épais. Ils rigolèrent et vinrent se poster devant mon visage. Je nettoyai la grosse queue de Yassine, qui ne mit pas deux minutes à me jouir dans le bouche. Greg jouit quasiment en même temps et m’inonda le visage de 5 ou 6 grosses giclées de sperme. La suite, Maître, vous la connaissez, vous êtes arrivés alors que j’étais couvert de foutre, m’avez craché au visage et dit de rejoindre la voiture. J’ai protesté de sortir couvert de sperme…
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