Quinze jours après la soirée poker que Cédric avait plus qu’adorée, et moi également, vînt l’anniversaire de ma lope. 27 ans, il fallait fêter ça et je voulais que cet anniversaire reste bien gravé dans sa petite mémoire de sous-merde. Pour cela, je me suis donc rendu dans mon sex-shop favori afin de lui acheter un cadeau spécial. Un gode vibrant de vingt-trois centimètres de long et de cinq centimètres de large. Je n’en voulais pas un qui soit plus large que ma queue, il n’aurait plus senti grand-chose lorsque j’aurai voulu le pénétrer et lui détruire littéralement son fondement.
Nous arrivions donc au jour J. Je n’avais plus touché Cédric depuis quelques jours afin qu’il m’appartînt bien en ce jour spécial et afin que moi-même je fus en une forme olympique pour la journée qui s’offrait à nous. Nous étions samedi et nous avions pour nous tout le week-end. Deux jours ou nous allions pouvoir repousser toutes nos limites et lui montrer comment je savais m’occuper de lui.
C’est à dix heures que je vins réveiller ma lope ; elle dormait sur un matelas juste devant mon lit. Exceptionnellement aujourd’hui, il n’avait pas l’obligation de venir me réveiller avec mon petit déjeuner et sa bouche gobant ma queue. Je sortis du tiroir le cadeau que je lui avais réservé et je vis dans ses yeux une immense joie, mais également une légère appréhension. C’est vrai que la bête était tout de même impressionnante. Je lui ai donc annoncé que je comptais m’en servir tout de suite. Évidemment, il n’a pas eu une seconde pour contester mes paroles, et s’est tout de suite placé à quatre pattes afin que je l’embroche, telle une truie. Mais je ne voyais aucunement les choses ainsi. C’était son anniversaire après tout, je pensais que cela méritait un sort exceptionnel…
Étant donné que j’ai pas mal de matos chez moi, je me décidai d’expérimenter de nouvelles choses avec Cédric. J’avais acheté du papier plastique afin de tenter la momification. J’ai déjà fait cela plusieurs fois avec d’autres lopes, mais jamais encore avec cette pute, et je sais que ce sera aussi pour lui une expérience totalement inédite. C’est donc avec peur qu’il me dit qu’il était d’accord pour tenter cela. Je lui expliquai alors qu’il n’y avait pas de risques du tout pour lui et que de toute façon, je saurai m’arrêter s’il ne se sentait pas bien. On convint donc d’un mot qui cesserait toute action de ma part sur son corps. Pour le rassurer. En contrepartie, s’il utilisait ne serait-ce qu’une seule fois ce mot, il aurait droit à cinquante coups de ceinture et cela à tout endroit que je souhaitais. Heureusement pour lui, il n’eut pas à l’utiliser.
Je le fis donc se tenir debout avant que je commence l’emballage de son putain de corps que j’aime tant faire crier. Je lui dis alors de se tenir pieds joints, corps bien droit et mains allongées le long du corps. Je commençais par le torse afin de pouvoir le garder en équilibre. L’opération dura pas mal de temps, étant donné que j’aime les choses bien faites. C’est donc avec un plastique d’une largeur de quarante centimètres que je commençai à lui entourer le torse puis le ventre, avec les bras bien sûr. Puis je passais aux fesses, ainsi qu’au haut de ses cuisses. Je m’arrêtai alors afin de laisser une place pour le gode. Car tout ce manège était, tout de même, dans la finalité de lui glisser ce nouveau gode dans le fondement sans qu’il puisse se rebeller, sans qu’il ne puisse contrôler quoi que ce soit. Je pris donc un long couteau. Il eut pour réflexe de paniquer et, étant donné que le haut de son corps était emprisonné, il perdit l’équilibre. J’eus à peine le temps de lâcher le couteau pour le rattraper. Je ne voulais pas qu’il tombe et se brise la clavicule ou pire encore, étant donné qu’il ne pouvait plus se rattraper avec ses mains. Je le rattrapai alors non, sans l’engueuler, lui disant qu’il devait me faire confiance. Il eut, par conséquent, droit à une série de baffes magistrales dans sa petite gueule de pédale, si bien qu’il chialait comme une gonzesse.
Je lui ordonnai donc, et tout en l’aidant, de se mettre debout et de se tenir bien droit, sans bouger, alors que je perçai une longue fente dans la sienne, pour que je puisse y pénétrer une fois la momification terminée. La fente faite, je le portai pour le placer sur le lit, momifié du haut des cuisses jusqu’au cou. Je pris alors le rouleau de plastique afin de continuer mon œuvre. Je me plaçai le cul au dessus de son torse et pris ses jambes en main afin de les enrouler. Quelques minutes après, il était totalement recouvert de plastique du bout de ses orteils jusqu’au cou. Restait encore le plus compliqué pour l’esclave : la tête. Il fallait, pour le maître, fonctionner assez vite afin que la salope ne s’étouffe pas. Je me plaçai face à lui et soulevai sa tête d’une main. De mon autre main, je fis avec six ou sept tours avec le plastique et toujours muni de mon couteau, perçai un trou sur sa bouche restée ouverte afin qu’il puisse respirer.
C’est alors que j’entendis un bruit de plastique plutôt minable. Je me rendis alors à l’évidence : j’avais totalement oublié une partie de son corps, sa petite queue qui se mit à bander lorsque son corps fut totalement recouvert de plastique. Avec toute la grâce que j’ai, je me résolus à sortir cette petite quenelle de son emballage plastique. Après tout, c’est bon aussi de branler sa petite lope alors qu’elle n’a plus aucun contrôle physique sur elle-même. Étant donné que son érection commençait à être bien forte, c’est avec délicatesse que je passais le couteau entre sa queue et son pubis pour pouvoir avoir accès à ses couilles et à sa queue, sans faire un trou trop grand. Ceci fait, je pris alors sa queue à pleine main et ses couilles ridicules dans l’autre. Je branlai la première et serrai bien fort la seconde. Il était à moi, et j’aimais ça.
Je l’ai ensuite complètement retourné afin que je puisse avoir accès à l’objet de mes désirs : son petit cul de larve. Je me saisis du gode, le plaçai d’abord dans sa bouche afin qu’il soit un minimum lubrifié et le doigtai pendant ce temps. Son cul s’ouvrait assez facilement, ma salope a, ce qu’on appelle, le syndrome du cul béant. Toujours open à tous les calibres que vous lui présentez. Même si avec le mien, elle a mis du temps à le recevoir sans préparation. Je sortis ce qu’elle avait en bouche afin de le lui mettre bien profondément dans le cul. D’abord doucement afin que ma lope puisse tranquillement s’ouvrir puis très vite bien à fond. Je commençai un va-et-vient incessant qui, j’en suis certain, le mènerait très vite à l’orgasme ultime.
C’est lorsqu’il eut le gode bien à fond que mon ventre commença à crier famine. Il était déjà 12h30 et je n’avais encore rien ingurgité. J’informai donc ma lope de mes intentions d’aller me faire à manger et la laissai là le temps de mon repas. Je saisis la télécommande livrée avec le gode afin de pouvoir commander à distance les vibrations du gode que ma lope allait recevoir. Je préparai mon repas, chose rare puisqu’en général, c’est mon Cédric qui s’occupe de cela. Entre deux actions, je me saisissais de la télécommande et lui infligeais quelques secousses qui le faisaient crier de bonheur ! Mais quelle lope, bordel ! Le repas prêt, je m’en voulais de ne pas nourrir ma lope, aussi je me rendis au freezer afin de prendre quelques glaçons de mon sperme. J’en pris donc une bonne dizaine que je posai délicatement dans un entonnoir.
Je retournai vers ma petite chienne afin de la retourner. Elle était toute suintante en dessous du plastique, j’adorais ça. Le mot secret n’avait toujours pas été prononcé, j’étais très fier de lui ! Je le portai pour le retourner sur le dos, le gode restant toujours bien planté au fond de son fion. Là, je lui expliquai mes intentions, il acquiesça donc.
Il ne refuserait en aucune manière le jus de son maître. Je lui dis d’ouvrir bien grand sa bouche pour que je glisse l’entonnoir à l’intérieur. Il le fit. Afin de ne pas prendre de risque, j’agrandis le trou du plastique de sa bouche afin qu’il atteigne ses narines et qu’il puisse respirer normalement. Je lui dis alors de bien avaler tout le jus qui allait couler dans sa gorge.
Je retournai dans ma cuisine afin de prendre mon repas. Évidemment, mon esprit sadique n’avait toujours pas oublié ce qu’il avait dans le cul. Toutes les deux minutes environ, je lui envoyai dans le cul cette décharge qui lui faisait lâcher un gémissement des plus suaves qui soit. J’adorais ça. Quelques dizaines de minutes plus tard, le dîner ingurgité, je retournai dans la chambre où l’entonnoir, bien qu’il soit totalement vide et sec, était toujours tenu bien droit dans la bouche de Cédric. J’adore ce mec ! C’est vraiment la pute parfaite.
« Tu attends qu’on te le remplisse petite lope ? Pas de souci, j’ai une envie de pisser pharaonique. Tu vas garder l’entonnoir coincé entre les dents afin de ne pas perdre une seule goutte de mon précieux liquide doré. » dis-je d’une voix les plus calmes que je puisse énoncer. Sitôt dit, sitôt fait. Je sortis mon steak et plaçai mon gland en haut de l’entonnoir ; je pissai un liquide bien jaunâtre et odorant. Il avala goulûment toute mon urine, sans en perdre une seule goutte. Il faut dire que je l’avais bien habitué à avaler tout ce qui sort de mon corps. Ma pisse dans son estomac, je lui retirai l’entonnoir de la gueule. J’enlevai aussi le gode de son cul que je lui ordonnai de nettoyer intégralement. Le gode nettoyer, je le branlai alors avec vigueur pour le faire juter de toutes ses forces. Le premier jet atteignit même son visage, les suivants son torse et son ventre. Le plastique était alors recouvert de son jus.
J’essuyai tout ça avec mes doigts que je lui glissai ensuite dans la bouche. Cette histoire de momification avait excité au plus haut point mon Cédric. J’entrepris alors de le démomifier lentement sans en perdre une miette. Il était 14 heures et nous en étions qu’à la moitié de cette journée d’anniversaire qui s’annonçait des plus sexes.
Je laissais ma salope se reposer, afin qu’elle reprenne du poil de la bête pour la soirée qui l’attendait. De plus, je sentais qu’après cette momification, elle avait besoin de reprendre tranquillement son souffle. Tout le souffle qu’elle avait perdu pendant tout ce temps. Je lui ai donc dit de tranquillement se préparer pour 20 heures ce soir. Et qu’elle aurait son second cadeau d’anniversaire.
J’avais excessivement réfléchi à ce que je pouvais lui offrir en plus de ce merveilleux gode qui l’avait ravi. J’avais d’abord pensé, pour ses 27 ans, à un immense gang bang avec 27 mecs différents. Bien que réalisable, c’était compliqué à monter, à faire venir et faire attendre 27 mâles pour s’occuper d’une seule et même lope. Et puis, ce n’était pas vraiment ce que je voulais. Je me mis alors à la recherche d’une autre idée. Et ce nombre 27 trottait beaucoup dans ma tête. J’eus alors une idée brillante : 27 comme 27 centimètres. Je me suis donc mis à la recherche d’un maître bien dominant qui possède une queue aussi grosse que l’âge de Cédric. J’ai mis des annonces un peu partout sur les sites que je connaissais, j’ai eu une réponse au bout de trois semaines. Un mec, la petite quarantaine, avec une queue qui m’a moi-même laissé sur le cul tant elle était énorme. Ce n’est pas uniquement en longueur, mais à la base, cette queue mesure huit centimètres de large. Vraiment impressionnant ! Je me suis alors dit que c’était le bon ! Le mec en question ne pratiquait que du soft, mais bon ce n’était pas très grave étant donné la taille de sa queue. Cependant, il me confia qu’il était prêt à me donner un bon paquet d’euros s’il prenait le cul de Cédric jusqu’au bout. Jamais, en effet, il n’avait réussi à trouver homme ou femme capable de prendre son vît en entier. Quant à la gober en entier par la bouche, c’était physiquement impossible.
Les vingt heures sonnèrent tranquillement et Cédric était déjà tout frétillant de la queue. Il ne savait pas du tout que j’allais encore le prêter à un autre mec, et lorsqu’il le comprit, je sentis en lui comme une légère déception. Il était amoureux de son maitre, le bougre ! Et avait envie de rester avec moi. Mais bon, grand bien lui fasse, je lui avais prévu quelque chose de bien plus intéressant à mon sens. On arriva au Commissariat de Police de Besançon ; il ne comprit alors plus du tout ce qu’il se passait. En effet, le mec à queue énorme était commissaire et je pensais alors que ça pourrait être un bon trip de faire ça en uniforme, et qui plus est, dans une salle d’interrogatoire. Nous avons donc mimé une arrestation, Hicham, c’était son prénom, s’est approché de nous et passa les menottes à Cédric, puis l’emmena en salle d’interrogatoire. Enfin, l’emmena assez violemment tout de même. J’étais fier, il me fit attendre dans la pièce d’à côté, vous savez, la fameuse pièce où il est possible de voir tout ce qu’il se passe dans celle d’à côté sans que les autres le sachent.
Il entra alors dans la pièce ou Cédric attendait, toujours menotté et couché sur la table. J’assistai à toute la scène. Hicham passa derrière lui et lui passa autour de la tête de quoi lui couvrir les yeux. Il passa ensuite sous le t-shirt de Cédric et commença à lui titiller les tétons, ce qui a pour résultat, en général, de rendre ma petite pute complètement chaude. J’avais fait mettre à ma pute de vieux vêtements, au cas où. Hicham déchira alors d’un coup le T-shirt de Cédric. Celui-ci avait déjà les tétons bien dressés. Le commissaire fit avancer Cédric et lui fit incliner le torse sur la table. Il lui retira son pantalon et son boxer, puis lui écarta les jambes. Il commença à lécher le trou de ma pute, déjà bien ouvert par l’exercice de la journée. Le gars savait s’y prendre, et les gémissements commencèrent à se faire entendre dans les hauts parleurs de la salle où je me trouvais.
Après l’avoir léché pendant dix bonnes minutes, Hicham entreprit d’élargir un peu la chatte de Cédric. Il commença directement avec deux doigts et travailla progressivement le trou de ma pute. Un troisième doigt passa, Cédric gémissait de plus en plus. Le commissaire prit la matraque qui pendait le long de sa cuisse, cracha dessus et l’enfonça ensuite doucement dans le cul maintenant relativement bien ouvert de Cédric. Les gémissements qui me parvenaient me rendaient dingue et j’avais moi-même commencé à me branler. Après cinq minutes, la matraque fit place à quatre doigts.
Cédric gémissait toujours mais je voyais aux grimaces dans sa figure que ça commençait à devenir pénible sans aide. Je rentrai discrètement dans la salle d’interrogatoire. Je vins me placer devant lui et ouvris un flacon de poppers juste sous son nez. Cédric inspira deux ou trois fois dans chaque narine puis détourna la tête, me faisant comprendre qu’il en avait assez. Je lui remis la bouteille de force sous le nez. « Tu vas en avoir besoin, crois-moi, respire ! » J’étais en train de gazer ma lope au poppers et j’avoue que l’idée m’excitait pas mal…
Hicham avait pendant ce temps sortit sa queue de son pantalon, tout en gardant l’uniforme. Putain, en vrai c’était encore plus impressionnant ! J’étais curieux de voir comment allait se débrouiller ma pute. Hicham vint déposer son immense dard sur les fesses de Cédric. Ce dernier dut se rendre compte de la taille et sursauta un peu. Ses mains, attachées par les menottes dans le dos, descendirent tant qu’elles purent et vinrent saisir l’énorme sexe du commissaire. « Comme tu es une bonne pute, je t’ai trouvé une belle queue de vingt-sept centimètres pour fêter ton anniversaire. » Rien que cette phrase le fit gémir. Hicham positionna son gros gland à l’entrée du cul de Cédric et s’y enfonça avant que celui-ci me dise « Merci Maître ». L’immense queue entra centimètre par centimètre. Cédric gémissait toujours, de plaisir mais aussi un peu de douleur. Je m’agenouillai à côté de la scène et commençai à branler doucement Cédric. J’étais également très bien placé pour voir le pieu de Hicham s’enfoncer dans la chatte de ma pute. Après dix centimètres dans le cul de la lope, le commissaire fit une petite pause pour laisser le temps à Cédric de s’adapter à son calibre hors normes, puis fit des petits va-et-vient tout en ne dépassant pas cette mesure.
Il s’immobilisa ensuite et continua la pénétration… Onze, douze, treize, on devait maintenant être arrivé à un bon quinze centimètres. Hicham reprit le même traitement. Le cul de Cédric s’élargissait, mais la queue de Hicham faisait de même plus on arrivait près de sa base. Cédric n’était pas au bout de ses peines. Après une série de petits va-et-vient doux, Hicham continua à s’enfoncer dans les entrailles de ma pute. Ce gars savait y faire, on voyait bien qu’il devait être habitué aux petits culs récalcitrants. Seize, dix-sept, dix-huit… Cédric commença à geindre un peu plus et à se plaindre « C’est gros, Maître. » Je vins me replacer devant lui. « Je sais, ma pute, mais tu vas le faire pour ton maître. Il reste neuf centimètres, je sais que tu peux le faire, alors courage ! » et je lui replaçai la bouteille de poppers sous le nez. Il inspira à plein poumons et reprit sept ou huit bouffées. Il allait être bien stone, le pauvre.
Je lui passai mon gland sur les lèvres pour l’encourager encore un peu plus. Il ouvrit instinctivement la bouche pour gober mon sexe. Ma foi… Je lui enfournai d’un coup ma queue bien profondément dans la bouche et il se mit à la téter comme un enfant qui recherche du réconfort.
Hicham avait continué à avancer et son bassin touchait à présent presque les fesses de Cédric. On allait y arriver. Je baisais maintenant à un bon rythme la gueule de mon bâtard et fis un petit sourire à Hicham, accompagné d’un petit signe d’encouragement de la tête. Celui-ci ressortit quasiment tout sa queue du cul de Cédric et vint s’y renfoncer violemment jusqu’à la garde. Cédric cria mais continua à sucer goulûment. Ça y était, toute la queue était entrée. Le commissaire était manifestement satisfait au vu du sourire qu’il exhibait. Il laissa à Cédric quelques minutes, le temps de s’habituer, puis commença à faire de vigoureux mouvements de bassin, lents puis de plus en plus rapides. La queue de Cédric, qui dépassait de la table, était bandée à fond, et pire, mouillait abondamment, laissant un fil de mouille se former entre sa queue et le sol.
Hicham le pilonna pendant une bonne demi-heure et commença à gémir à son tour. Le temps était venu de jouir. J’allai chercher un plug de bonne taille dans mon sac et, en revenant dans la salle, fit changer Cédric et Hicham de position. On plaça Cédric au sol et je pris ensuite ses jambes et les levai vers la plafond. Seule la nuque de Cédric touchait le sol et son cul était posté à bonne hauteur pour que le commissaire vienne s’y enfoncer de nouveau. Il ne lui fallut même pas cinq minutes pour se déverser à grands râles dans le cul de ma pute. Il branla en même temps Cédric qui jouit pendant que Hicham lui remplissait le cul. Cédric inonda son torse et son visage, sa queue se retrouvant juste au-dessus. Hicham se retira du cul de mon bâtard et vint à ma place pour tenir les jambes de Cédric. Je vins me mettre à sa place en me branlant. Le cul de Cédric était encore béant. Rien que la vue de ce cul bien ouvert me fit jouir à mon tour. Je jouis directement sur son trou et mon jus y entra sans difficulté. Je mis alors à Cédric le plug qui entra sans difficulté, avant que nos deux jus ne ressortent. On remit Cédric à genoux, on lui retira les menottes et le bandeau et on lui laissa le soin de nous décrasser la queue. Cédric nous suça doucement tous les deux et je pouvais percevoir une lueur de remerciement quand il me regardait. 200 euros plus tard, nous rebroussions chemin. De retour à la maison, Cédric a pu dormir dans mon lit. Le lendemain, le plug était encore bien en place…
Malheureusement, quelques jours après cette aventure, Cédric tomba malade. Gravement malade. Le pancréas bien souvent, cela ne pardonne pas. Son agonie dura un peu plus de mois, je pris soin de lui et malgré sa maladie et son état, il me demandait de le soumettre. J’avoue, c’était dur pour moi parfois, mais je le faisais pour lui. Je savais que Cédric était né pour être un soumis, une larve, une chienne soumise à l’être supérieur. Cette courte histoire lui rend hommage modestement.