Un week-end avec les plus gros pervers (3/3)

(Point de vue de Farid)
Ce salaud de Mathieu m’a bien défoncé le cul avec sa grosse bite bien large. Après avoir juté en moi, il s’est retiré. Jared est allé chercher deux assiettes creuses à la cuisine, à contre cœur. J’avoue que le scat ne m’attire pas du tout mais, pour l’heure, je dois juste chier dans une assiette et ça j’en suis clairement capable. Mathieu et moi, on s’installe l’un en face de l’autre accroupi, on se tient par les épaules, les deux assiettes sont positionnées juste en dessous de nos trous.
« Un, deux, trois ! » qu’on dit ensemble avec Mathieu avant de tout lâcher dans nos assiettes. Jared est juste à côté de nous. Une odeur terrible envahit la pièce et je suis à deux doigts de rendre tout ce que j’ai avalé pendant le repas. Je me torche avec une serviette encore présente sur la table, Mathieu en fait de même.
Trônent alors deux assiettes remplies à ras bord de merde. Les olives sont à peine distinguables. Jared se met à pleurer et à baragouiner des phrases qu’on ne comprend même pas. Moi, je m’approche de la fenêtre, l’odeur est trop forte pour moi. J’ai envie de gerber. C’est de loin que j’entends ce qui se passe entre Mathieu et Jared.
« Parle mieux, on ne comprend rien Jared » s’énerve Mathieu.
« Jamais je ne pourrai avaler ça. Je suis désolé » bredouille Jared.
« J’ai envie de te dire que ce n’est pas notre problème en fait. Si tu n’avales rien, alors que tu pouvais gagner 1.000€ facilement et que tu décides d’en faire qu’à ta tête, c’est ton problème. » lui dit Mathieu avec diplomatie. « C’est donc ton choix ? »
« Je ne peux pas faire ça. » dit Jared.
« Très bien, tu me nettoies tout ça et on va se pieuter. On a du shopping à tes frais à faire demain ».
« Oui Messieurs » répond, tout confus, Jared.
Mathieu s’approche de moi, il me demande si je vais bien. Je lui explique que pour moi, la merde, c’est no way. Il me dit être déçu par Jared, qu’il n’a pas progressé niveau scat, et qu’il le paiera le lendemain. Je lui dis que je veux bien l’aider à lui éclater les burnes s’il a besoin. Jared revient les mains vides, les yeux tout boursouflés. Je le prends dans mes bras pour le réconforter et voilà pas qu’il se met à chialer toutes les larmes de son corps. Le pauvre, s’il savait la suite…

(Point de vue de Jared)
Je ne pouvais pas avaler ces tas de merdes énormes que mes deux tortionnaires venaient de lâcher sur mes jolies assiettes Maison du Monde. J’en était totalement incapable. Mathieu a compris mon désarroi mais je le sens déçu. Quand Farid m’a tendu ses bras, je m’y suis engouffré pour lâcher tout mon désespoir. Je ne m’attendais pas à tout ça : à la merde, à devoir dépenser plus de 2.000 balles pour ce séjour et à lâcher tant de larmes, rien que le premier soir.
Il était presque trois heures du matin et tout le monde semblait crevé. Ils sont allés se doucher à tour de rôle, j’ai rangé l’appartement, j’ai ouvert toutes les fenêtres en grand. L’odeur de merde semble s’être échappée quand je quitte la pièce pour rejoindre la chambre. Les deux pachas sont déjà roulés dans le pieu, sans drap sur eux, la chaleur est tellement pesante. J’ai alors ce beau spectacle devant moi de Mathieu et Farid, se frottant les yeux, leurs couilles énormes pendantes entre leurs cuisses.
« Toi, tu dors à nos pieds, c’est ta place petite lope » me dit Farid. Je m’exécute alors, sans broncher, je suis de toute façon trop crevé par cette soirée d’une folle intensité.
« Je kiffe m’endormir en me faisant lécher les pieds. Ne fais pas comme si tu le découvrais » me dit Mathieu. Alors, je bouge mon visage et me rapproche de ses deux panards pour les lécher, il ne met que quelques minutes à s’endormir. Et moi, je peux enfin savourer ma nuit. Enfin, c’est ce que je croyais.
Dans la nuit, Farid et Mathieu se sont servi de moi, à tour de rôle, comme d’une pissotière. J’ai dû me mettre sur le dos et ils ont lâché tranquillement leur pisse. Le dernier jet de Farid a atterri, et c’était voulu, sur mon oreiller. J’ai donc trôné dans sa pisse tout le reste de la nuit. Entre leurs coups de pieds et leurs ronflements, je n’ai pas beaucoup dormi. Il n’empêche que je me suis fait réveiller à presque 11h par Mathieu qui voulait que je bouffe le fion de Farid pour qu’il puisse l’engrosser. Je me suis donc exécuté à lécher la belle rondelle de Farid pendant que Mathieu lui limait la gueule.
Le soleil, de ce beau samedi en perspective, perce à travers toute la chambre. Mes deux beaux mâles sont là, et c’est un plaisir de les voir se bouffer l’un l’autre.

(Point de vue de Mathieu)
Je défonçais bien la gueule de Farid dont la bouche était d’ailleurs bien plus accueillante que celle de Jared. Ce dernier lui bouffait bien le fion en profondeur avant que je ne le baise. J’ai demandé à Jared de rester la gueule en dessous du fion de Farid. J’ai mollardé deux ou trois fois sur ma grosse teub bien dure, Jared avait bien fait son travail, la rondelle de Farid était bien détendue et j’ai pu y mettre facilement deux doigts. Après ceux-là, j’ai placé mon gland devant son trou et je me suis enfoncé. Plantant ainsi ma grosse queue dans ses entrailles fumants.
Jared avait pour mission de lécher alternativement mes couilles et le cul de Farid. Je me suis retiré en entier et le pauvre Farid n’avait pas le cul bien propre. Mais j’avais mon Jared pour récurer mon gros chibrax, donc je m’en suis servi. Il a fait son dégoûté mais je savais que c’était supportable pour lui ce petit côté scat. Et il n’y avait pas de la merde comme hier dans son assiette. Il s’est exécuté et j’ai bien continué à bourriner Farid alternant donc avec la bouche de mon esclave.
Au moment de jouir, je suis sorti du fion de Farid pour arroser la gueule de mon Jared. Farid, qui était déjà pas mal excité, s’est fini dans la bouche de Jared après l’avoir bien fait baver sur sa grosse queue. Farid aimait défoncer la gueule comme j’ai rarement vu. Il se servait réellement de la gueule de Jared comme un simple trou à remplir et Jared se laissait faire : les yeux embrumés, la bave lui dégoulinant de partout, les larmes coulant sur ses joues. Vu l’état de sa teub, nul doute qu’il aimait ce traitement. Le jus de Farid a alors rejoint le mien sur la gueule de Jared qui était aux anges.
Nous avons autorisé Jared à passer à la salle de bain, nous avons tous enfilé des petits shorts et c’était parti pour une journée de shopping. Nous avions pas mal de fric à dépenser, il fallait juste en conserver une partie pour le repas du soir, Farid et moi avions réfléchi à un plan pour un resto de folie le soir-même sans en avertir Jared. J’avais réservé et il allait déguster.

(Point de vue de Farid)
Jared fut prié d’aller se vider le fion et d’y mettre le plug vibrant pour aller en ville. Il s’est exécuté sans trop faire d’histoires et j’ai pris la télécommande dans ma poche. J’ai laissé mon portefeuille ici, Matthieu en fit de même. Cet après-midi, notre carte bancaire a un prénom : Jared. On a commencé par Les dessous d’Apollon où Matthieu et moi en avons eu pour plus de 300 balles de sous-vêtements, il faut dire que c’est une super boutique mais c’est assez cher. On a fait ensuite plusieurs magasins de fringues, activant intentionnellement le plug de Jared au moment ou il était en caisse pour payer nos articles. On a même réussi à se vider à tour de rôle, Matthieu et moi, dans la bouche de Jared dans des cabines au Printemps. Il nous vidait les couilles, on lui vidait son compte bancaire : c’est juste un échange de bons procédés. Une fois que Matthieu et moi en avons eu marre, on a décidé de rentrer à l’appartement de Jared, il était presque 17h. Matthieu avait réservé le resto pour 20h le soir même, ce qui nous laissait du temps pour profiter de Jared.
On a fait un autre jeu pour défoncer ses couilles, j’ai eu droit à lui mettre 235 coups et Matthieu n’avait pas eu de chance puisqu’il n’avait eu que 47 coups à lui filer. Mais Jared a morflé, il avait encore chialé, et j’avoue que ça commençait à me saouler un petit peu. Je ne suis pas venu ici pour le voir pleurer. Il ne s’est que peu endurci depuis notre dernière entrevue. Mais, côté sexuel, il était toujours aussi performant : j’ai pu profiter de sa gorge comme jamais et j’ai même pu lui exploser le cul au moins pendant une demi-heure avant que l’on ne prenne le chemin du restaurant, tous les trois.
« Le neuvième art » : c’était le nom du restaurant sur lequel nous nous étions mis d’accord avec Matthieu. Nous avons donc rejoint le sixième arrondissement pour déguster notre repas. Arrivés devant, je me suis adressé à Jared en ces termes :
« Toi, tu restes à nous attendre sur le trottoir d’en face. On a réservé une table avec vue sur la rue pour que tu puisses bien nous admirer. Nous contrôlerons ton cul à distance. Nous t’appellerons bien évidemment pour régler l’addition de ce restaurant doublement étoilé. Bonne soirée Jared : profite bien du spectacle. »

(Point de vue de Jared)
J’étais tellement choqué que je n’ai pas su quoi répondre à Farid. Ils sont entrés dans ce très beau restaurant me laissant sur le trottoir, comme une merde de chien. Ils se sont, en effet, installés à une table donnant sur la rue, je me suis alors placé sur le trottoir d’en face à observer ces deux beaux mâles qui ont su m’humilier comme jamais je ne l’avais été. Autant dans le findom, que dans la merde, que dans les coups portés sur moi. Je ne m’attendais pas à cela.
J’ai eu tout le temps pour calculer les dépenses de l’après-midi : j’en avais eu pour presque 1400 euros, un peu plus qu’un SMIC de leurs dépenses. Et je sais que j’allais raquer encore ce soir. Les plats et les verres se succédaient et plus j’attendais et plus je savais que cette soirée allait me coûter un bras. Ils me regardaient parfois, ils actionnaient aussi le plug si bien que je ressentais des sensations au plus profond de mon être. Et puis, au bout de trois heures passé à les attendre, ils se sont levés et m’ont fait signe de m’approcher. Je suis rentré dans le restaurant et Matthieu a dit : « C’est cette petite pute qui nous invite ce soir. Viens payer pour tes maîtres Jared ». Je me suis approché, totalement confus devant cette serveuse qui n’avait rien demandé à personne.
« Deux menus « Au fil de l’eau » avec accord mets et vins, cela vous fera 610€ monsieur » me dit-elle, j’ai sorti ma CB pour la dernière activité du week-end. J’était dépité. Mais ma queue bandait plus que jamais sous mon short. Les deux se gaussaient derrière, je les entendais rire comme des baleines alors que je payais la plus grosse addition de ma vie pour un restaurant alors que je n’ai rien mangé.
Nous avons repris le chemin pour rentrer, ils ont réussi à trouver un coin de rue calme pour soulager leurs vessies. « Prends soin de ne pas perdre une goutte de cet excellent vin que tu nous as offert Jared » me dit Matthieu. Je me suis appliqué pour avaler tout le précieux nectar de mes deux grosses bites qui s’offraient à moi.
Une fois rentré, ils ont retiré le plug de mon cul et ils m’ont sauvagement baisé, l’un par la bouche et l’autre par le cul. Je ne savais plus où donner de la tête. C’était puissant et sensuel à la fois. Ils m’ont fait l’amour tous les deux, ils m’ont embrassé, ils m’ont pris également à deux. Je ne pensais pas qu’une double pénétration avec ces deux énormes chibres était possible. Et pourtant, ils l’ont fait. Et mon cul s’en souviendra très longtemps. C’était l’une des meilleurs baises de ma vie. Ils se sont finis tous les deux sur ma gueule, à hurler de plaisir. On s’est tous les trois assoupis sur le lit et c’est ainsi que l’on s’est endormis, totalement emplis de plaisir.
Le réveil de Farid nous a tous tiré de notre sommeil à neuf heures, j’ai eu le droit à leurs pisses au matin et puis ils sont partis. Le week-end était fou. Ils ont dépensé mon argent, ils m’ont défoncé par tous les trous, et le pire, c’est que j’en veux encore…

 Un week-end avec les plus gros pervers (2/3)

(Point de vue de Farid)
Mathieu m’excite déjà beaucoup, il est au moins aussi pervers que moi. Et voilà qu’il m’offre sur un plateau d’argent le moyen de punir une première fois ce petit enfoiré de Jared. Il est devant moi, mains liées, bite et couilles offertes. Forcément, j’ai envie de taper dedans. Et Jared sait qu’il va se prendre des coups. Je lui ai d’ailleurs même promis les 1001 coups durant ce séjour, et j’espère bien atteindre cet objectif. Il ne me croit pas capable de lui faire autant de mal. Je vais chercher quatre dés dans mon sac que j’avais pris le soin d’apporter pour cette punition.
« Nos grosses queues, tu les auras en toi. Mais avant de pouvoir nous décrasser et étant donné cette première faute difficilement pardonnable, on va jouer à un jeu de dés. Rien de plus simple. Tu lances les dés une fois pour Mathieu et une fois pour moi. La multiplication des quatre chiffres te donne l’entière liberté sur nos queues. Après que ce nombre de coups dans tes couilles aura bien sûr été réalisé. Tu en penses quoi Mathieu ? » ai-je lancé. Je voyais la peur dans les yeux de Jared mais sa queue était toujours fièrement dressée.
« Ça me semble une juste punition » répond-il, alors que Jared a envie de chialer. Je lui confie les dés dans sa bouche pour le premier lancer pour Mathieu : 5-3-2-4, donc 120 coups. Le deuxième lancer sera pour moi, j’espère être plus chanceux que lui : 6-6-3-2, donc 216 coups. Je jubile. Ça fait des années que j’ai envie de lui coller des coups dans les burnes, depuis qu’il m’a parlé d’un mec qui lui avait imposé ça. Il va savoir comment je m’appelle. Et voir que toutes ces vidéos de ballbusting qu’il m’a envoyées ces dernières années m’ont donné de quoi savoir comment frapper.
« À chaque coup, c’est merci Maître. Et on veut du vous désormais. Que ce soit ici ou dans le resto chic que j’ai réservé pour demain soir. » dis-je en m’installant derrière lui pour lui maintenir la tête et le haut du corps en avant pour les coups à venir de Mathieu.

(Point de vue de Jared)
J’étais sûr que mon cul était bien hermétique, mais apparemment, je ne maîtrise pas encore assez ce plug et tout ce liquide dans mon fondement. Et je vais le payer, très cher. Quand Farid m’a mis les dés dans la bouche, j’étais au bord des larmes. Mais je savais très bien que mes couilles prendraient cher durant ce séjour. Et j’ai eu aussi une information capitale pour mon argent : un resto chic était réservé pour le lendemain soir. Je sais que ces deux-là ne vont pas me rater. Mais en attendant, ce sont mes couilles les cibles de mes deux beaux mâles.
Farid s’installe derrière moi, il prend ma touffe de cheveux et la tire violemment vers l’arrière, il met son autre main en haut de mon torse, pour me maintenir. Mathieu s’installe assis sur le canapé. Je vais me prendre des coups de pied, je sais qu’il n’est pas du tout habitué à cette pratique, donc je crains qu’il ne mesure pas tellement ses coups. Les premiers coups tombent et me donnent raison. Je compte et remercie à chaque coup, les derniers coups sont des supplices pour mes couilles, et Mathieu le ressent bien. Ces deux se gaussent comme des porcs de me voir autant me tortiller. Au tour de Farid qui me fait me mettre à quatre pattes sur la table. Il va y aller aux poings. Mathieu retire ses chaussettes qu’il me colle dans la bouche. C’est lui qui comptera pour moi. Les coups sont rapides, violents, Farid se déchaine sur mes couilles, Mathieu en face de moi a du mal à compter. Au bout des 216 coups, je geins, je chiale, mes couilles me font un mal de chien. Farid me retire le lien dans le dos ainsi que le plug. Il m’attrape par les cheveux et me tire en arrière si bien que je tombe de la table sur le dos. La pisse s’écoule sur le parquet. Je fonds en larmes.
« Nos bites sont à toi » me dit Farid. Ils retirent alors leurs boxers. Leurs queues énormes sortent et ils commencent à se tâter alors que je me tiens les couilles au sol. Je m’approche d’eux, ils me sourient, ils savent au fond d’eux qu’ils sont allés loin, j’en suis persuadé. Je respire donc ces grosses queues avant d’y passer la langue. La teub de Mathieu est pleine de from que je me fais un plaisir de bouffer. Je passe de la queue black à la queue blanche et vice versa. Ma gorge commence à en prendre pour son grade, ils m’appuient bien sur la nuque pour que j’avale leurs grosses queues en gorge profonde.

(Point de vue de Mathieu)
Putain, que c’est bon ! J’avais presque oublié à quel point Jared était une bonne décrasseuse et une bonne suceuse. C’est presque aussi bon que la fois où j’avais fait nettoyer ma tige par le clebs d’un pote. Jared s’applique, ne craint pas d’engloutir ma bite, puis celle de Farid, à tour de rôle, en gorge profonde ! Avec la queue interminable de Farid, il manque de s’étouffer mais il y va, le bâtard ! Farid et moi on bande comme des dingues et toute cette activité nous fait transpirer, ça sent bon le mâle dans la pièce. La pression commence à monter mais on se retient de jouir avec Farid, il faut prolonger le plaisir ! Je retire ma queue, biffle violemment Jared, lui lâche un gros mollard dans la gueule et m’affale dans le canapé et je lâche : « Ce n’est pas tout ça, mais je commence à avoir faim moi, pas toi Farid ? Tu nous as préparé quoi de bon, petite lope ? » Farid, qui avait pris le relais pour limer la bouche de Jared, ressort son chibre humide, biffle encore plus fort Jared et s’affale à mes côtés. « Ouais c’est vrai, petit larbin ! tu nous as préparé quoi ? On n’a pas prévu de se faire inviter au resto ce soir, la flemme de se bouger après cette journée ! ».
Jared se relève et part dans la cuisine sans rien dire, la bouche luisante de bave et de mouille, et le cul humide de pisse. Il revient avec assiettes et couverts et commence à mettre la table. Je jubile et lui lâche : « Bah qu’est-ce que tu fous ? C’est pour qui la troisième assiette ? T’as vraiment cru que t’allais manger avec nous ?! Attends ! » Je pars chercher mon sac et lui lance une gamelle et un tablier de soubrette.
« Tu mangeras là-dedans, par terre ! c’est la gamelle du chat de ma voisine, t’inquiètes, je ne l’ai surtout pas nettoyée… et puis habille-toi pour nous servir. Je te laisse la note sur la table, bien sûr ! Tu seras gentil de nous apporter quelques olives pour l’apéro aussi ! »
J’ai surpris le regard dégoûté de Jared, mais il s’exécute (« Oui maître, bien sûr maître »), et je vois que ça fait bander Farid ! Avant même que Jared ne soit reparti en cuisine, j’attrape la grosse bite de mon camarade tortionnaire et commence à le pomper. Très vite on se retrouve à même le sol plein de pisse, en bonne suce et lèche mutuelle. C’est bon aussi de se faire plaisir et de montrer à Jared que nos bites ne sont pas que pour lui. Après un petit moment, Jared revient avec une vingtaine d’olives. Je lui demande de se mettre à quatre pattes et je lui colle une par une dans le cul. « Et tâche de les garder intactes ! On les comptera avant de se coucher ! » Farid a l’air d’aimer l’idée, on se comprend bien tous les deux ! Je commence à croire que ce mec ne débande jamais.

(Point de vue de Farid)
Je ne m’attendais pas à ce que Matthieu soit aussi salace. Mais j’adore ça et ma queue est super dure. Après avoir pris les vingt olives dans le cul, il repart à la cuisine préparer à manger. On continue à se palucher entre mâles et à pomper nos grosses teubs. Je dévie rapidement sur le trou de Matthieu déjà bien ouvert. J’y plonge ma langue bien profond, il râle de plaisir ce porc. J’y mets ensuite un doigt, puis deux. Je vois qu’on s’est bien trouvé. Il bave sur ma queue et j’ai envie de la mettre un peu plus au chaud. Matthieu me comprend rapidement et se positionne sur le dos, cul à dispo. Je lâche quelques mollards sur ma grosse queue et je commence à lui enfiler. Il râle alors de plaisir. J’en connais un dans sa cuisine qui doit vraiment l’avoir mauvaise.
Je commence alors des va-et-vient dans le cul de Mathieu. Il est bien large mais ma queue l’est encore plus. Je prends un gros plaisir. Je sue de partout, mes aisselles sont trempées. Jared se pointe dans la pièce avec les plats pour le repas du soir.
« Tiens, commence par bouffer ma queue » que je lui sors.
« Ne t’en fais pas, il doit y avoir du relief, je suis plein » lâche Matthieu.
Je ne m’attendais pas à ça. Pour moi, le scat, c’est clairement une limite et ma queue ressort avec de jolies traces de merde. Ce n’est pas non plus énorme, mais ce n’est pas clean. Jared s’approche de ma grosse bite qui sort du fion de son autre maître. Il prend sa mine dégoûtée. Je le comprends mais je lui colle une bonne mandale dans la gueule.
« Bouffe ! » qu’on lui hurle à deux.
Alors il s’exécute et il récure ma queue. Ce n’est qu’un avant-goût de tous les trucs salaces qu’on va lui faire ce week-end, mais je pense qu’il s’en doute déjà. Il m’a bien bouffé la queue, Matthieu s’est torché le cul avec le boxer de Jared et va s’installer à table. A poil. C’est beau à voir. Au menu du soir : Jared a préparé deux bonnes grosses saucisses de Morteau et des frites. Je rejoins Mathieu à table, je m’assois juste en face de lui. Jared se met à genoux, juste devant nous. Et sa gamelle.
Mathieu se saisit d’une saucisse, il la découpe tranquillement, se sert grassement de frites. Il prend la gamelle du chat et se fout plein de nourriture dans la bouche. Il mâche bruyamment et vulgairement, il en a plein la bouche. Il recrache alors tout dans la gamelle, mollardant à plusieurs reprises pour ne rien oublier dans sa bouche.
« Vas-y frère, fais comme moi » me lance-t-il. Je me mets donc à l’imiter et à prémâcher la bouffe que Jared va avoir ce soir à bouffer. Je kiffe l’idée.

(Point de vue de Jared)
Je vois la gamelle du chat se remplir de matières gluantes et visqueuses. On reconnait à peine les frites et la saucisse que j’ai préparé avec amour pour mes deux beaux maîtres. Une fois mon auge dégueulant, ils m’autorisent à commencer à manger. Je plonge alors la bouche dans cette gamelle qui pue les croquettes pour chat. Ce n’est pas une partie de plaisir, mais ça pourrait être pire. Mes deux mâles se parlent tranquillement de leur taf, des lopes qu’ils baisent régulièrement, de leur vie. Ils dégustent. Et moi aussi. Au bout d’un moment, Mathieu me demande d’approcher de lui et de placer mon cul vers ses jambes. Il descend alors de sa chaise et place sa queue à hauteur de mon cul.
Il prend la mayonnaise, il s’en fout plein la queue, m’en bourre dans le cul et me colle sa grosse queue. Les olives vont être surprises. Jusqu’à la garde : j’en râle de plaisir. « Ta gueule et bouffe » entends-je, sans distinguer si ça vient du maître blanc ou du maître noir. Mais je colle à nouveau ma tronche dans la gamelle alors que Mathieu me déglingue le fion bien profond. Il continue tranquillement à manger, et même à discuter avec Farid. Comme si de rien n’était. Après un moment que je trouve assez long, ils échangent. Et là, je vais sentir ma douleur : les presque vingt-quatre centimètres de Farid vont me ravager la rondelle et me niquer les boyaux.
Et ce que je pensais fut le cas. Il m’a défoncé comme une grosse chienne alors que ma gamelle était presque vide. Je prenais un plaisir monstre à me faire défoncer par Farid. Ça faisait un moment que je ne l’avais pas vu et sa grosse queue m’avait manqué. Farid me déglinguait en finissant de manger, j’avais désormais la tête totalement sous la table et Mathieu en a profité pour mettre sa grosse bite dans ma bouche. Une bonne grosse queue saveur mayonnaise et olives. Alors, j’ai bouffé sa queue, je lui ai donné du plaisir avec ma gorge déjà bien surmenée.
Les deux compères n’ont pas dû se donner le mot et pourtant ils ont giclé les deux au même moment : Mathieu au fond de ma gorge et Farid au fond de mon cul. Je suis rempli par les deux bouts : totalement rassasié de leur jus. Mathieu m’a semblé juter des litres de foutre.
« Ton dessert va bientôt arriver Jared » me dit Mathieu. Il apporte son assiette vide, il la dépose à terre.
« Tu fais ressortir tout ce que tu as pris dans le cul. Ça va faire un sacré mélange. Mais il y a une chose que nous t’avons tue jusqu’alors. On t’a dit de mettre du fric de côté pour ce séjour : le sort va se jouer ici. Chaque olive vaut 100 euros. Tu en as vingt dans le cul, tu es bon en maths Jared, combien peut-être le budget de ce séjour ? » dit Mathieu.
« Deux mille euros Maître » bredouillais-je.
« A toi de bien gérer les olives » dit Mathieu.
Il était une heure du matin et je m’accroupis au-dessus d’une assiette pour lâcher ce que j’ai dans le cul devant mes deux plus grands fantasmes.

(Point de vue de Mathieu)
Qu’est-ce qu’il a l’air pitoyable dans cette position ! Il est rouge et apeuré, on voit qu’il se concentre mais honnêtement, il y a peu de chances pour qu’il s’en sorte. Farid me fait signe « Deux fois dix » avec les mains. J’acquiesce. On se met au sol, au niveau du cul de notre pute préférée, qui est encore bien ouvert après une telle défonce. Son anus se dilate encore un peu et lâche un premier filet discret de jus mélangé à la mayonnaise. Je ne résiste pas à goûter, mais c’est décevant, le goût de la mayonnaise est trop fort. « Faudra que tu me files une dose, direct en bouche mon grand » je lâche à Farid. Clin d’œil complice de Farid, qui me fait signe de mater la rondelle dilatée de Jared qui se met à lâcher… Une première olive engluée dans la mayonnaise au jus, puis deux, puis trois… Et le reste de pisse fait le reste ! Très vite, l’assiette déborde et au milieu flottent vingt belles olives.
« Jared, tu n’as pas assuré sur ce coup-là ! Vingt olives, ça fait donc deux mille boules ! » dis-je. Il blêmit, j’ai l’impression qu’il est au bord de l’évanouissement.
« Mais si tu nous supplies comme il se doit, nous pourrons peut-être t’accorder une indulgence… » ais-je ajouté. Je lis une lueur d’espoir dans son regard.
« Si tu nous supplies, Farid et moi, on va se foutre chacun dix olives dans le cul. On va ensuite les chier et la même règle s’appliquera… Mais tu devras les manger pour qu’elles vaillent quelque chose. Perso j’ai le cul plutôt plein et à mon avis que Farid aussi… »
Farid arbore un large sourire… mes calculs semblent bons. « Ah ! Et bien sûr, comme elles ont déjà servi, les olives ne valent plus que 50 euros. Donc si tu avales tout, tu réduis de moitié le budget. »
Jared est abattu. Mais il s’exécute rapidement, s’agenouille à nos pieds, nous implore, nous supplie, tout en nous abreuvant de superlatifs et de flatteries. Nous décidons d’être cléments avec lui. Je prends 10 olives, je les donne à Farid.
« Mets les moi et surtout tasse bien avec ta tige, j’ai bien aimé l’avant-goût tout à l’heure » lui dis-je.
Je me mets à quatre pattes, cul tendu. Farid bande à nouveau comme un taureau. Il prend bien soin de me glisser les olives une à une dans mon trou sous le nez de Jared qui tremble. Puis il crache sur son énorme chibre et me monte sans ménagement. Je sens que ça se tasse au fond. Et ça me fait bander comme un dingue. Je lui demande d’arrêter, un peu à contre-cœur. Mais il faut bien continuer le jeu pour Jared. Farid se met à son tour à quatre pattes et je commence à lui lécher la rondelle… Il a bien transpiré le salaud, l’odeur de son cul est parfaite… Il happe les olives, puis je lui bouffe à nouveau le fion. Son petit anus commence à bien s’agiter et se détendre. Alors je lui colle ma queue pleine de mouille, doucement au début, puis de plus en plus fort. Je sens les olives contre mon gland, puis juste une masse chaude au fur et à mesure que j’enfonce ma queue plus profond. Il encaisse bien le salaud… Et je pense qu’il est bien plein lui aussi.

Un week-end avec les plus gros pervers (1/3)

Mon cul avant l'assaut.

(Point de vue de Jared)
À l’aube de mes trente ans, j’ai bien vécu ma vie, j’ai profité, j’ai tenté des tonnes d’expériences et je ne suis pas mécontent de ce que je suis devenu. Un concours de circonstances a fait que les deux mecs avec qui je me suis le plus éclaté au lit étaient disponibles le même week-end et m’avaient demandé si je pouvais les héberger chez moi à Lyon pour ce week-end de juin où la chaleur allait à coup sûr encore frapper cette belle ville.
Ils ne se connaissent pas. Mais les deux connaissent mon corps par cœur, ils l’ont testé et maltraité. Ils ont distendu les deux mon trou du cul avec leurs bites énormes, ils m’ont imposé des choses qui m’étaient jusqu’alors impensables. Et pourtant, j’ai tout assumé et ces deux mecs ont réellement été les meilleurs coups de ma vie. Ce sont des souvenirs impérissables. Le destin fait que je vais me soumettre à nouveau mais à ces deux mecs en même temps. Ils adorent le principe d’être deux à pouvoir profiter de moi. Surtout que leurs esprits pervers réunis vont donner un mélange proche de l’enfer, ou du paradis, c’est selon.
Mathieu habite Paris, il a la queue la plus large que je me suis prise dans ma vie. Il a la quarantaine, il est beau et il me plait. Il a ce sourire et ce regard pervers auquel je ne peux résister. Farid a fait ses études en métropole avant de rejoindre les îles, mais il revient de temps en temps faire le tour de France métropolitaine des culs. Ce beau black a la queue la plus longue que j’ai vu de ma vie : il atteint presque les vingt-quatre centimètres, et j’ai réussi à me la prendre plusieurs fois en fond de gorge. Farid est peut-être davantage porté sur la violence que l’est Mathieu, et je sens donc que mes couilles vont être mises à rude épreuve durant ce séjour.
Le week-end est arrivé finalement assez rapidement, j’impatientais de recevoir mes deux beaux mâles. Ils arrivent à quelques minutes d’intervalle à Part-Dieu, l’un du Sud, l’autre du Nord, je les attends tranquillement au milieu de cette immense gare. En réalité, je ne suis pas si tranquille que cela. On avait créé un groupe WhatsApp pour détailler les besoins et les envies de chacun. Je sais qu’ils se sont parlé hors du groupe et qu’ils ont prévu des trucs de folie pour ce week-end. Ils n’avaient pas de limites sur moi sauf celle de n’inviter personne d’autres. C’était Mathieu, Farid et moi pour le séjour entier. C’était moi soumis durant ce week-end au deux plus gros pervers que je connaisse. Je leur avais préparé le repas pour ce premier soir, j’imagine que les autres repas se passeraient au resto, je les connais. Seule certitude : ils partaient en milieu de matinée le dimanche, les deux à Paris.

(Point de vue de Mathieu)
Quelle fournaise dans ce train sans clim ! Ça fait trois heures que je transpire à grosses gouttes dans mon short… Je sens que mon boxer est trempé, j’ai la raie humide de sueur, les couilles collées et j’imagine l’état sous mon prépuce, avec en plus la mouille qui monte au même rythme que monte mon excitation à l’approche de Lyon. Quant à mes pieds, ils baignent dans un jus de chaussettes dont l’odeur commence à titiller mes narines… J’en connais un qui va se faire plaisir en enlevant mes chaussures tout à l’heure. Ça fait un moment que je pense à ce week-end… En plus, Farid m’a bien chauffé par téléphone, on a plein d’idées pour ce pauvre Jared qui ne sait pas encore à quoi s’attendre. Je me touche sans m’en rendre compte en y pensant, et je me rends compte que le passager d’en face, un petit mec qui a embrassé goulument sa copine au départ du train en la quittant, est en arrêt devant la bosse que fait ma tige bien raide sous le short moulant. Il évite mon regard mais je vois bien qu’il regrette que je ne prenne pas les devants pour entamer une discussion… Mais aujourd’hui, mon chibre est réservé. Quatre jours que je le préserve de l’eau au cours de mes douches sommaires… Ça sera mon petit cadeau à cette petite salope de Jared avant son voyage en enfer : un parfum d’homme comme il aime tant !
Bon, le train ralentit, nous sommes presque à Lyon. Le passager me lance des œillades avec insistance. Je me lève, je récupère mes affaires en l’ignorant, passant mon paquet pas loin de son visage comme par accident. Je fais mine de partir, avance dans le couloir, en profite pour glisser ma main sous mes couilles et me coller un doigt dans la raie… Puis je me retourne, attends qu’il sorte à son tour, le fixe et lui fourre ma main sous le nez. Il est rouge de honte, mais je vois bien que ça l’a excité. Peut-être une future salope comme celle que je vais rejoindre dans quelques instants !
Je descends du train, Jared est au bout du quai, je vois qu’il est déjà en bonne compagnie, aux côtés de Farid qui me regarde en souriant, son regard de pervers est exactement comme je l’imaginais. Jared, lui, oscille entre bonheur et crainte, ça se voit sur son visage. Je reconnais ce même rictus qu’il avait le jour où je l’ai menacé de le laisser toute une journée attaché comme un chien pendant que j’allais bosser… J’avance lentement et les salue. L’aventure ne fait que commencer.

(Point de vue de Farid)
Mon séjour à Marseille m’a épuisé, j’étais avec un couple de potes qui a profité de ma queue comme jamais. Ils l’ont sucé, léché, pris dans le cul pendant ces trois derniers jours non-stop. Durant ces mêmes trois jours, je n’ai même pas approché la douche, une langue parcourait bien souvent mes pieds, mon cul, mes aisselles ou mes couilles. Donc aucun besoin d’hydrater davantage. Mon short de bain fait limite sortir ma queue alors que je suis assis dans le train en face d’un quadra plutôt bien foutu pour son âge. Il ne faut pas trop que je pense au week-end qui m’attend sinon ça va dépasser. Et la petite vieille à quelques mètres va vraiment comprendre que les blacks à grosses queues, ce n’est pas une légende urbaine. Je m’endors à plusieurs reprises, piquant du nez. À un moment, je me réveille et vois que le mec en face de moi a une gaule monumentale. Il roupille mais j’imagine qu’il pense à des trucs bien salaces. Ça me fait trop marrer. La vieille à côté s’en est aperçu et cache les yeux de son petit-fils à côté d’elle. Comme s’il comprenait… Elle me regarde et je ne peux m’empêcher de lui faire un clin d’œil.
J’approche de Part-Dieu, je prends mon sac sur les genoux, j’en sors le plug Bluetooth vibrant que j’ai acheté pour Jared. Enfin, acheté, jusqu’à ce qu’il me rembourse. Je lui avais dit qu’il aurait une facture dès mon arrivée à Lyon. J’ai acheté quelques trucs à Marseille pour bien le soumettre pendant ce week-end. Le train s’arrête et je descends, je repère assez rapidement Jared que je somme d’aller directement aux chiottes. Il s’exécute même s’il me fait déjà chier en disant que Mathieu arrivait dans dix minutes. On arrive dans les chiottes ou cinq pissotières trônent, je lui tends le plug et lui dis d’aller se l’enfiler dans la cabine. Il s’exécute, non sans pousser un petit cri de fiotte. De mon côté, je remplis de pisse la bouteille de jus de pomme que je n’avais pas encore finie. On ressort des chiottes pour aller attendre Mathieu au milieu de cette gare.
Je lui demande de boire la bouteille et de pas faire d’histoire. Pendant ses premières gorgées, j’actionne la télécommande qui lui fait avoir ses premières sensations anales du week-end. Ça le faire rire et s’étouffer un peu avec ma bouteille de pisse. Je fais défiler quelques niveaux avec la télécommande, certains font s’échapper de Jared des petits couinements hyper excitants. La bouteille est terminée, il est fier de lui. S’il savait à quoi on a prévu de le nourrir ce week-end… Je lui dis que ça fera 120 balles pour le sexshop, il me dit qu’il retirera des thunes le lendemain pour mes dépenses. Mathieu arrive, il me serre la main et lâche un mollard sur Jared. Je lui file la télécommande.

(Point de vue de Jared)
Une fois ces deux beaux mâles réunis, on a pris le métro juste derrière la gare. Aucun d’eux n’avait déjà vu mon appartement. J’ai dû porter le sac de Farid et la petite valise de Mathieu, comme un bon larbin. Je leur avais pris un ticket de métro chacun pour tout le week-end. Arrivés à Guillotière, on est descendus pour rejoindre mon appartement. Dans mon cul, c’était la fête ! Le plug battait à des rythmes variés au bon vouloir de mes bourreaux qui prenaient plaisir en se marrant comme des baleines.
J’ouvre la porte de mon appartement et je dépose leurs bagages, on fait rapidement le tour de mon quarante-deux mètres carrés, au troisième étage d’un bâtiment presque neuf. Mathieu me demande d’aller directement m’installer dans la douche. Et de me mettre à poil : ma condition physique pour ce week-end. Je m’exécute, il me retire le plug qui était à l’arrêt depuis mon arrivée dans l’appartement. Il déballe alors sa queue, une odeur me monte au nez mais je reste calme. Il place son gland à l’entrée de mon cul encore ouvert par le travail du plug. Il me remplit par une bonne quantité de pisse que je peux apercevoir bien jaune foncée. Il me remet alors le plug. « Pas une goutte par terre sinon je te détruis » me dit Mathieu. Il sort de la pièce, j’en profite pour pisser un coup, en maintenant le plug enfoncé dans mon cul, je ne veux pas faire de bêtise.
Je les ai ensuite rejoints, ils étaient posés côte à côte dans le salon, sur mon canapé. Ils ne portaient que leurs chaussettes et leurs boxer. Farid, peau ébène, et Mathieu, peau translucide, j’avais devant moi un magnifique spectacle. Je me suis approché, mi-intimidé, mi-excité, j’avais envie de prendre soin de leurs belles odeurs qu’ils m’avaient réservées. Ça sentait le mâle à plein nez et j’allais bientôt m’en prendre plein le pif. Je me suis assis devant eux, j’ai soulevé une jambe de chacun que j’ai posé sur mes propres cuisses, d’une main, j’ai tâté leurs paquets plus que généreux. J’ai alors commencé un jeu tranquille de reniflade de mes mâles : leurs chaussettes maculées de transpiration, leurs boxers qui n’étaient pas en reste, le spectacle était beau, vraiment. J’ai léché leurs chaussettes, j’ai léché leurs boxers, leurs queues prenaient alors des proportions énormes et ma queue n’était pas en reste, je ne pouvais pas la branler, j’avais trop à m’occuper. J’ai sorti leurs deux queues pour les branler, les deux souriaient, leurs corps étaient luisants de chaleur.
Je me suis levé pour allumer le ventilo, histoire de ne pas les fait mourir de chaud. Je leur ai aussi ramené deux grands verres de thé glacé maison. Ils m’ont remercié en me traitant de soubrette.
« C’est quoi ça ? » me dit Mathieu en désignant du doigt une tâche sur le tapis où j’étais assis. « Je t’avais prévenu, si tu perds ma précieuse pisse, tu le paies, tu es prêt à ça ? ».

(Point de vue de Mathieu)
Décidément, ce week-end va être bien sympa. Avec Farid, ça a accroché direct. On n’a pas vraiment besoin de se parler pour se comprendre sur les sévices à faire subir à notre petit Jared… Afin de faire un peu plus connaissance, après avoir laissé Jared dans la douche le cul plein de pisse, je suis retourné m’installer auprès de Farid qui s’était déjà mis à l’aise. J’en ai vite fait autant, j’avais tellement envie de pisser en arrivant que je n’ai pas pris le temps de me déshabiller avant de remplir le cul de notre petite pute. J’ai bien vu que Farid se marrait en me voyant tout habillé avec mes baskets dans la douche. Une fois installés dans le canapé, on a commencé à se toucher et à se sniffer un peu forcément, c’était trop tentant. À coup sûr, Jared allait aimer, on lui avait travaillé de bonnes odeurs de mâle.
Confirmation quelques minutes plus tard, il s’est bien lâché sur nos pieds, nos couilles et tout le reste, s’attardant sur les endroits les plus odorants, ne sachant où donner de la tête entre nos deux corps de mâles transpirants. Et là, première erreur de Jared : il se lève sans qu’on lui ait demandé et prend une initiative. Bon, c’est pour nous servir un thé, comme un bon larbin… Mais j’en profite pour pisser quelques gouttes sur le tapis sans qu’il s’en aperçoive. Farid me lance un regard complice et se marre doucement. Et quand Jared revient, le piège se referme, je lui montre la tâche et le rappelle à l’ordre. Persuadé qu’il a commis une erreur, il se met à rougir et la peur se lit dans son regard… Je l’attrape par les cheveux, lui colle le visage contre le tapis sans ménagement et lui redemande : « Qu’est-ce que je t’avais dit sur la pisse qui est dans ton cul, petit bâtard ? Qu’est-ce que tu n’as pas compris ? » Il essaie de bafouiller des excuses, mais je lui appuie le visage encore plus fort contre le tapis.
« Et tu ne réponds pas ! Tu écoutes et tu obéis ! Je t’avais prévenu ! Lèche le tapis ! ». Farid se marre toujours discrètement pendant que Jared commence à lécher le tapis avec dégoût. « Putain, t’en as même laissé couler en dessous », je lui lâche sévèrement. Et je soulève le tapis, et lui ordonne de lécher dessous. Apparemment il avait oublié de faire la poussière à cet endroit… C’est fait ! Il lèche comme un bon soumis et se met à tousser. « Tu vas t’étouffer ! Arrête et bois ! » Je lui attrape les cheveux, lui colle deux baffes et lui enfourne ma bite dans la bouche, et je finis de me vider la vessie à nouveau, mais cette fois-ci dans sa gorge… Une pisse bien forte. En un clin d’œil, Farid a la bite collée à la mienne et ne laisse pas de répit à Jared quand j’ai fini de pisser. Il lui ouvre le bec, et lâche un bon jet jaune foncé. Jared avale tant bien que mal, mais il en fout la moitié sur le tapis. On s’en fout, ça lui fera un souvenir de notre passage. De toute façon, des traces y’en aura bien d’autres !
Une fois le gavage fini, Farid lui recolle la joue contre le tapis mouillé et écrase son visage avec le pied tout en l’insultant et en lui rappelant ce qu’il est : notre larbin à tous les deux ! J’en profite pour attraper une de mes skets, puis j’enlève le lacet, lui colle la grolle puante sur le nez et la bouche, et lui attache les mains dans le dos avec le lacet. Je serre tellement qu’il geint. Alors je serre plus fort en lui ordonnant de se calmer ! Farid bande comme un dingue.