(Point de vue de Farid)
Ce salaud de Mathieu m’a bien défoncé le cul avec sa grosse bite bien large. Après avoir juté en moi, il s’est retiré. Jared est allé chercher deux assiettes creuses à la cuisine, à contre cœur. J’avoue que le scat ne m’attire pas du tout mais, pour l’heure, je dois juste chier dans une assiette et ça j’en suis clairement capable. Mathieu et moi, on s’installe l’un en face de l’autre accroupi, on se tient par les épaules, les deux assiettes sont positionnées juste en dessous de nos trous.
« Un, deux, trois ! » qu’on dit ensemble avec Mathieu avant de tout lâcher dans nos assiettes. Jared est juste à côté de nous. Une odeur terrible envahit la pièce et je suis à deux doigts de rendre tout ce que j’ai avalé pendant le repas. Je me torche avec une serviette encore présente sur la table, Mathieu en fait de même.
Trônent alors deux assiettes remplies à ras bord de merde. Les olives sont à peine distinguables. Jared se met à pleurer et à baragouiner des phrases qu’on ne comprend même pas. Moi, je m’approche de la fenêtre, l’odeur est trop forte pour moi. J’ai envie de gerber. C’est de loin que j’entends ce qui se passe entre Mathieu et Jared.
« Parle mieux, on ne comprend rien Jared » s’énerve Mathieu.
« Jamais je ne pourrai avaler ça. Je suis désolé » bredouille Jared.
« J’ai envie de te dire que ce n’est pas notre problème en fait. Si tu n’avales rien, alors que tu pouvais gagner 1.000€ facilement et que tu décides d’en faire qu’à ta tête, c’est ton problème. » lui dit Mathieu avec diplomatie. « C’est donc ton choix ? »
« Je ne peux pas faire ça. » dit Jared.
« Très bien, tu me nettoies tout ça et on va se pieuter. On a du shopping à tes frais à faire demain ».
« Oui Messieurs » répond, tout confus, Jared.
Mathieu s’approche de moi, il me demande si je vais bien. Je lui explique que pour moi, la merde, c’est no way. Il me dit être déçu par Jared, qu’il n’a pas progressé niveau scat, et qu’il le paiera le lendemain. Je lui dis que je veux bien l’aider à lui éclater les burnes s’il a besoin. Jared revient les mains vides, les yeux tout boursouflés. Je le prends dans mes bras pour le réconforter et voilà pas qu’il se met à chialer toutes les larmes de son corps. Le pauvre, s’il savait la suite…
(Point de vue de Jared)
Je ne pouvais pas avaler ces tas de merdes énormes que mes deux tortionnaires venaient de lâcher sur mes jolies assiettes Maison du Monde. J’en était totalement incapable. Mathieu a compris mon désarroi mais je le sens déçu. Quand Farid m’a tendu ses bras, je m’y suis engouffré pour lâcher tout mon désespoir. Je ne m’attendais pas à tout ça : à la merde, à devoir dépenser plus de 2.000 balles pour ce séjour et à lâcher tant de larmes, rien que le premier soir.
Il était presque trois heures du matin et tout le monde semblait crevé. Ils sont allés se doucher à tour de rôle, j’ai rangé l’appartement, j’ai ouvert toutes les fenêtres en grand. L’odeur de merde semble s’être échappée quand je quitte la pièce pour rejoindre la chambre. Les deux pachas sont déjà roulés dans le pieu, sans drap sur eux, la chaleur est tellement pesante. J’ai alors ce beau spectacle devant moi de Mathieu et Farid, se frottant les yeux, leurs couilles énormes pendantes entre leurs cuisses.
« Toi, tu dors à nos pieds, c’est ta place petite lope » me dit Farid. Je m’exécute alors, sans broncher, je suis de toute façon trop crevé par cette soirée d’une folle intensité.
« Je kiffe m’endormir en me faisant lécher les pieds. Ne fais pas comme si tu le découvrais » me dit Mathieu. Alors, je bouge mon visage et me rapproche de ses deux panards pour les lécher, il ne met que quelques minutes à s’endormir. Et moi, je peux enfin savourer ma nuit. Enfin, c’est ce que je croyais.
Dans la nuit, Farid et Mathieu se sont servi de moi, à tour de rôle, comme d’une pissotière. J’ai dû me mettre sur le dos et ils ont lâché tranquillement leur pisse. Le dernier jet de Farid a atterri, et c’était voulu, sur mon oreiller. J’ai donc trôné dans sa pisse tout le reste de la nuit. Entre leurs coups de pieds et leurs ronflements, je n’ai pas beaucoup dormi. Il n’empêche que je me suis fait réveiller à presque 11h par Mathieu qui voulait que je bouffe le fion de Farid pour qu’il puisse l’engrosser. Je me suis donc exécuté à lécher la belle rondelle de Farid pendant que Mathieu lui limait la gueule.
Le soleil, de ce beau samedi en perspective, perce à travers toute la chambre. Mes deux beaux mâles sont là, et c’est un plaisir de les voir se bouffer l’un l’autre.
(Point de vue de Mathieu)
Je défonçais bien la gueule de Farid dont la bouche était d’ailleurs bien plus accueillante que celle de Jared. Ce dernier lui bouffait bien le fion en profondeur avant que je ne le baise. J’ai demandé à Jared de rester la gueule en dessous du fion de Farid. J’ai mollardé deux ou trois fois sur ma grosse teub bien dure, Jared avait bien fait son travail, la rondelle de Farid était bien détendue et j’ai pu y mettre facilement deux doigts. Après ceux-là, j’ai placé mon gland devant son trou et je me suis enfoncé. Plantant ainsi ma grosse queue dans ses entrailles fumants.
Jared avait pour mission de lécher alternativement mes couilles et le cul de Farid. Je me suis retiré en entier et le pauvre Farid n’avait pas le cul bien propre. Mais j’avais mon Jared pour récurer mon gros chibrax, donc je m’en suis servi. Il a fait son dégoûté mais je savais que c’était supportable pour lui ce petit côté scat. Et il n’y avait pas de la merde comme hier dans son assiette. Il s’est exécuté et j’ai bien continué à bourriner Farid alternant donc avec la bouche de mon esclave.
Au moment de jouir, je suis sorti du fion de Farid pour arroser la gueule de mon Jared. Farid, qui était déjà pas mal excité, s’est fini dans la bouche de Jared après l’avoir bien fait baver sur sa grosse queue. Farid aimait défoncer la gueule comme j’ai rarement vu. Il se servait réellement de la gueule de Jared comme un simple trou à remplir et Jared se laissait faire : les yeux embrumés, la bave lui dégoulinant de partout, les larmes coulant sur ses joues. Vu l’état de sa teub, nul doute qu’il aimait ce traitement. Le jus de Farid a alors rejoint le mien sur la gueule de Jared qui était aux anges.
Nous avons autorisé Jared à passer à la salle de bain, nous avons tous enfilé des petits shorts et c’était parti pour une journée de shopping. Nous avions pas mal de fric à dépenser, il fallait juste en conserver une partie pour le repas du soir, Farid et moi avions réfléchi à un plan pour un resto de folie le soir-même sans en avertir Jared. J’avais réservé et il allait déguster.
(Point de vue de Farid)
Jared fut prié d’aller se vider le fion et d’y mettre le plug vibrant pour aller en ville. Il s’est exécuté sans trop faire d’histoires et j’ai pris la télécommande dans ma poche. J’ai laissé mon portefeuille ici, Matthieu en fit de même. Cet après-midi, notre carte bancaire a un prénom : Jared. On a commencé par Les dessous d’Apollon où Matthieu et moi en avons eu pour plus de 300 balles de sous-vêtements, il faut dire que c’est une super boutique mais c’est assez cher. On a fait ensuite plusieurs magasins de fringues, activant intentionnellement le plug de Jared au moment ou il était en caisse pour payer nos articles. On a même réussi à se vider à tour de rôle, Matthieu et moi, dans la bouche de Jared dans des cabines au Printemps. Il nous vidait les couilles, on lui vidait son compte bancaire : c’est juste un échange de bons procédés. Une fois que Matthieu et moi en avons eu marre, on a décidé de rentrer à l’appartement de Jared, il était presque 17h. Matthieu avait réservé le resto pour 20h le soir même, ce qui nous laissait du temps pour profiter de Jared.
On a fait un autre jeu pour défoncer ses couilles, j’ai eu droit à lui mettre 235 coups et Matthieu n’avait pas eu de chance puisqu’il n’avait eu que 47 coups à lui filer. Mais Jared a morflé, il avait encore chialé, et j’avoue que ça commençait à me saouler un petit peu. Je ne suis pas venu ici pour le voir pleurer. Il ne s’est que peu endurci depuis notre dernière entrevue. Mais, côté sexuel, il était toujours aussi performant : j’ai pu profiter de sa gorge comme jamais et j’ai même pu lui exploser le cul au moins pendant une demi-heure avant que l’on ne prenne le chemin du restaurant, tous les trois.
« Le neuvième art » : c’était le nom du restaurant sur lequel nous nous étions mis d’accord avec Matthieu. Nous avons donc rejoint le sixième arrondissement pour déguster notre repas. Arrivés devant, je me suis adressé à Jared en ces termes :
« Toi, tu restes à nous attendre sur le trottoir d’en face. On a réservé une table avec vue sur la rue pour que tu puisses bien nous admirer. Nous contrôlerons ton cul à distance. Nous t’appellerons bien évidemment pour régler l’addition de ce restaurant doublement étoilé. Bonne soirée Jared : profite bien du spectacle. »
(Point de vue de Jared)
J’étais tellement choqué que je n’ai pas su quoi répondre à Farid. Ils sont entrés dans ce très beau restaurant me laissant sur le trottoir, comme une merde de chien. Ils se sont, en effet, installés à une table donnant sur la rue, je me suis alors placé sur le trottoir d’en face à observer ces deux beaux mâles qui ont su m’humilier comme jamais je ne l’avais été. Autant dans le findom, que dans la merde, que dans les coups portés sur moi. Je ne m’attendais pas à cela.
J’ai eu tout le temps pour calculer les dépenses de l’après-midi : j’en avais eu pour presque 1400 euros, un peu plus qu’un SMIC de leurs dépenses. Et je sais que j’allais raquer encore ce soir. Les plats et les verres se succédaient et plus j’attendais et plus je savais que cette soirée allait me coûter un bras. Ils me regardaient parfois, ils actionnaient aussi le plug si bien que je ressentais des sensations au plus profond de mon être. Et puis, au bout de trois heures passé à les attendre, ils se sont levés et m’ont fait signe de m’approcher. Je suis rentré dans le restaurant et Matthieu a dit : « C’est cette petite pute qui nous invite ce soir. Viens payer pour tes maîtres Jared ». Je me suis approché, totalement confus devant cette serveuse qui n’avait rien demandé à personne.
« Deux menus « Au fil de l’eau » avec accord mets et vins, cela vous fera 610€ monsieur » me dit-elle, j’ai sorti ma CB pour la dernière activité du week-end. J’était dépité. Mais ma queue bandait plus que jamais sous mon short. Les deux se gaussaient derrière, je les entendais rire comme des baleines alors que je payais la plus grosse addition de ma vie pour un restaurant alors que je n’ai rien mangé.
Nous avons repris le chemin pour rentrer, ils ont réussi à trouver un coin de rue calme pour soulager leurs vessies. « Prends soin de ne pas perdre une goutte de cet excellent vin que tu nous as offert Jared » me dit Matthieu. Je me suis appliqué pour avaler tout le précieux nectar de mes deux grosses bites qui s’offraient à moi.
Une fois rentré, ils ont retiré le plug de mon cul et ils m’ont sauvagement baisé, l’un par la bouche et l’autre par le cul. Je ne savais plus où donner de la tête. C’était puissant et sensuel à la fois. Ils m’ont fait l’amour tous les deux, ils m’ont embrassé, ils m’ont pris également à deux. Je ne pensais pas qu’une double pénétration avec ces deux énormes chibres était possible. Et pourtant, ils l’ont fait. Et mon cul s’en souviendra très longtemps. C’était l’une des meilleurs baises de ma vie. Ils se sont finis tous les deux sur ma gueule, à hurler de plaisir. On s’est tous les trois assoupis sur le lit et c’est ainsi que l’on s’est endormis, totalement emplis de plaisir.
Le réveil de Farid nous a tous tiré de notre sommeil à neuf heures, j’ai eu le droit à leurs pisses au matin et puis ils sont partis. Le week-end était fou. Ils ont dépensé mon argent, ils m’ont défoncé par tous les trous, et le pire, c’est que j’en veux encore…